Hamiche reconnaît que l'infiltré Zielinski connaissait le contenu du Motu Proprio depuis 5 mois
Cet article de Daniel Hamiche (rallié Ecclesia Dei) confirme nos analyses publiées sur VM depuis 6 mois : le bénédictin Zielinski, un infiltré introduit par le petit clan moderniste au dernier congrès de Si si No no à Paris les 7 et 8 janvier 2007, connaissait le contenu du Motu prorio Summorum Pontificum dès, au moins, le 22 février 2007. Zielinski, désormais promu par Ratzinger, immédiatement introduit auprès de Mgr Fellay dès 2002 et en contact secret avec certains clercs de la FSSPX et des communautés proches (abbé Rulleau – Bernard de Menthon ?) est une pièce bénédictine maîtresse (comme Dom Botte, comme Dom Beauduin !!!) dans la subversion de la FSSPX pour le ralliement de celle-ci et dans la mise en place de la réforme Anglicano-Tridentine destinée à reproduire dans l’Eglise conciliaire, le mouvement des Tractariens de la High Church au sein de la fausse Eglise Anglicane au XIX° siècle, afin d’abuser les fidèles par une Pseudo-Restauration déjà décrite par l’abbé Tam.
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Jeudi 9 août 2007
Un moine traditionaliste à la Curie romaine
Une nomination d’intérêt – et je pourrais même dire de grande importance – est survenue le 8 mai dernier. Je l’avais gardée sous le coude en attendant de constituer la petite documentation propre à rédiger un article substantiel et non pas superficiel. Le “vaticaniste” italien Sandro Magister me rappele à l’ordre aujourd’hui avec son excellent bulletin Chiesa diffusé sur internet qui traite des « Nominations à la Curie sur fond de nouvelle culture ».
De quoi s’agit-il ? De la double nomination en qualité de vice-président – et non pas de “président” comme l’écrit Sandro – des commissions pontificales pour le patrimoine culturel et l’archéologie sacrée du moine bénédictin (olivétain) américain Michael John Zielinski.
que quelques modestes réformes de la liturgie, mais il voulait qu’elles fussent organiques et clairement en continuité avec le passé. L’ancien rite [aujourd’hui « forme extraordinaire »] est devenu un trésor vivant pour l’Église, et devrait fournir un étalon pour le culte, le mystère, la catéchèse, vers lequel doit s’orienter le Novus Ordo. Pour le dire en d’autres mots, la Messe tridentine est le chaînon manquant. Et si elle n’est pas re-découverte dans la plénitude de sa beauté et de sa fidèle vérité, le Novus Ordo ne répondra pas au changement et au développement organiques qui ont caractérisé la liturgie depuis ses débuts. C’est pourquoi nous devrions pousser beaucoup d’entre les nôtres à fonder un nouveau mouvement liturgique capable de rendre à la liturgie son caractère sacré et surnaturel et à nous éveiller à une compréhension fidèle de la liturgie catholique ». On ne saurait mieux dire. Et le Révérend Père Abbé à été appelé à Rome par Benoît XVI pour y travailler…
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