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Dernières Nouvelles du Blog de Virgo-MariaPublication du 11 février 2009… Selon l’abbé Celier, porte-parole du District de France de la FSSPX, Mgr Fellay, à l’opposé de ses déclarations publiques, soutiendrait en sous-main Mgr Williamson, il aurait approuvé sa nouvelle provocation dans Der Spiegel avant sa parution L’article du Temps du 10 février 2009 vient à point nommer illustrer le VM sorti le même jour sous le titre : “Pourquoi Mgr Fellay s’obstine-t-il - contre les lois de l’Église - à protéger Mgr Williamson , le protecteur, ordonnateur, promoteur de clercs violeurs-prédateurs homosexuels, le provocateur qui met aujourd’hui en péril la FSSPX dans le monde ? “. En effet, selon le Temps,
Vous avez bien lu, l’abbé Celier, ancien directeur des éditions Clovis et de la revue Fideliter, et actuel porte-parole du District de France de la FSSPX, basé à Suresnes, auprès de l’abbé de Cacqueray, vient de déclarer publiquement que l’interview de Der Spiegel du 9 février, dans laquelle Mgr Williamson “persiste et signe” (titre du quotidien Le Monde) et qui déchaîne une grande émotion en Allemagne, a reçu le “feu vert de Mgr Fellay”. Il faut rappeler que VM a montré dans ses informations que l’abbé Celier est un protégé de Mgr Williamson qui n’a pas manqué en 1994 d’intervenir pour protéger sa carrière à Suresnes. La duplicité de Mgr Fellay éclate au grand jour (lui qui avait publiquement interdit à l’évêque britannique à la Rose de s’exprimer), ainsi l’invraisemblable impunité dont jouit Mgr Williamson conservé au sein de la FSSPX, a pour cause le “feu vert” de Mgr Fellay à l’ex-Anglican de La Reja, le provocateur négationniste. Le Temps souligne également, à l’appui des déclarations de l’abbé Celier, que, sur Dici.org (dirigé par l’abbé Lorans, le compère de l’abbé Celier à Paris au G.R.E.C.), “la Maison générale a pris sa défense“. Protecteur de Mgr Williamson et de ses récentes déclarations au Spiegel, Mgr Fellay couvre donc la provocation de Mgr Williamson qui agit de connivence avec Rome pour mettre en place le piège “ralliement ou persécution”. Autre point important souligné par la presse suisse, Mgr Tissier de Mallerais apparaît de plus en plus comme le continuateur de l’oeuvre de Mgr Lefebvre et de son intransigeance dans le rejet de tout accord avec la Rome moderniste. Désormais la grande presse a pris le relais des petites revues aux milieu desquelles Mgr Fellay développait sans risque son rêve éveillé de prophétisme illuministe, lui le “nouveau Jonas du XXI° siècle”, le “convertisseur de Benoît XVI et de l’église Conciliaire” ! Et face au professionalisme des journalistes qui se sont saisis de l’affaire, il semble de plus en plus que les errances illuminées de Mgr Fellay et de la camarilla d’infiltrés dont il s’est plût à s’entourer ne fasse plus le poids, alors que la force des positions doctrinales et théologiques de Mgr Tissier face au modernisme s’imposent de plus en plus. Il ne suffit pas de parler quatre langues couramment, bien plus vaut-il mieux tenir le langage de la Foi. Depuis 2000, Mgr Fellay l’a oublié. Virgo-Maria Article du Temps, grand quotidien suisse, le 10 février 2009 http://www.letemps.ch/Page/Uuid/f442a15a-f6f1-11dd-b8a7-ca4d88a5b5ba|2
Fissures dans la façade intégriste A la suite de la levée de l’excommunication frappant quatre évêques lefebvristes, des dissensions se font jour au sein de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX). Le processus de réconciliation entre Rome et Écône ne semble pas faire l’unanimité à l’intérieur de la communauté intégriste. Mgr Fellay, qui a voulu ce rapprochement avec Rome, commence à être ouvertement critiqué par certains membres. Par ailleurs, les déclarations de deux autres évêques de la FSSPX semblent indiquer que des divergences existent entre les quatre responsables de la Fraternité. Quelle est l’autorité réelle de Mgr Fellay ? Son action de rapprochement avec le Vatican bénéficie-t-elle d’un large soutien ? Des questions qui se posent au vu des récents événements. Mgr Fellay avait ordonné à Mgr Richard Williamson de se taire après qu’il eut délenché un scandale par ses propos négationnistes. Et le Vatican lui avait demandé «de prendre sans équivoque et publiquement ses distances» avec ses déclarations sur la Shoah. Or, lundi, l’hebdomadaire allemand Der Spiegel a publié une interview de Williamson, dans laquelle il affirme qu’il lui «faut à nouveau revoir les preuves historiques». Williamson d’ajouter: «Si je découvre ces preuves, alors je me corrigerai. Mais cela va prendre du temps.» Des extraits de cette interview ont été diffusés dès samedi sur Internet. Le manque d’empressement de Mgr Williamson n’a pas plu à l’abbé Christian Bouchacourt, le supérieur du district d’Amérique latine de la FSSPX. Dans un communiqué publié dans la nuit de dimanche à lundi, il annonce que «les affirmations de Mgr Williamson ne reflètent aucunement la position de notre congrégation», et précise que l’évêque a été privé de la direction du séminaire de La Reja, en Argentine. En revanche, la Maison générale de la FSSPX a pris sa défense. Dans un communiqué publié hier, elle affirme : «La démarche de Mgr Williamson traduit une volonté de s’informer objectivement en étudiant la thèse adverse de celle à laquelle il a adhéré jusqu’à présent. […] Préférerait-on voir Mgr Williamson tenir une position anti-négationniste uniquement sur commande ? La sincérité d’une telle position serait plus que suspecte […] Il déclare que son étude prendra du temps. La vérité historique souffrira-t-elle de ce délai ? On ne saurait lui reprocher de prendre du temps pour pouvoir aboutir à des conclusions convaincantes.» “En donnant cette interview au Spiegel, Mgr Williamson n’a pas désobéi à Mgr Fellay”, affirme l’abbé Grégoire Celier, porte-parole du district français de la FSSPX. Celui-ci laisse même clairement entendre que le supérieur général de la Fraternité lui aurait donné son feu vert. Cependant, un autre évêque manifeste des réticences face au processus de réconciliation. Le 1er février, Mgr Bernard Tissier de Mallerais (ré)affirmait dans une interview au quotidien italien La Stampa : «Nous ne changeons pas nos positions, mais nous avons l’intention de convertir Rome, c’est-à-dire de conduire Rome vers nos positions.» Selon des informations parues sur certains sites internet qui rallient les opposants à la réconciliation, l’évêque français réunirait une majorité de membres de la Fraternité opposés au rapprochement avec Rome. «Mensonges, s’exclame l’abbé Celier. Il est certain que Mgr Tissier de Mallerais est sur la même ligne que Mgr Fellay. Mais il est plus raide dans son expression. Par ailleurs, le 29 janvier, les quatre évêques ont adressé une lettre au pape pour lui exprimer leur gratitude unanime pour le décret du 21 janvier qui lève les excommunications.» L’historien français Luc Perrin, spécialiste du mouvement lefebvriste, nuance ces propos. «La Fraternité a toujours été traversée par un certain nombre de clivages et de tensions. Elle a donc toujours navigué entre deux pôles. «D’un côté, il y a le mouvement sédévacantiste, pour qui les négociations sont inutiles et dangereuses car Rome est considérée comme perdue. De l’autre côté, il y a ceux qui pensent que la Fraternité a été créée dans un état de nécessité, et qu’il est légitime de se rapprocher de Rome dès lors que les conditions le permettent. «Mgr Lefebvre a ménagé les deux positions, et Mgr Fellay aussi. «Maintenant que Benoît XVI a ouvert les portes en acceptant les deux préalables posés par Mgr Fellay, ce dernier est dans une position inconfortable, et les tensions apparaissent au grand jour. «Et il est vrai que l’attitude de Mgr Tissier de Mallerais est ambiguë. Sa position s’est radicalisée depuis 2002. Il n’a jamais retiré les propos très violents qu’il a eus dans le passé contre Ratzinger. Il ne semble pas vouloir avancer vers un accord pratique. Il est donc possible qu’une opposition interne se cristallise autour de lui.» Pour le moment, deux abbés de la Fraternité ont fait part publiquement de leur désaccord, l’abbé Juan Carlo Ceriani a lancé le 29 janvier un appel demandant aux quatre évêques de «revenir sur leurs pas» avec le processus de réconciliation. En France, . Au Mexique, le prieur Basilio Méramo a envoyé en date du 26 janvier une lettre ouverte à Mgr Fellay qui condamne de manière virulente le processus en cours, accusé de désactiver «la résistance et le combat contre la nouvelle église post-conciliaire œcuméniste». En Italie, le supérieur de la Fraternité a expulsé vendredi l’abbé Floriano Abrahamowicz, qui était responsable de la FSSPX pour le nord-est du pays. Consultez régulièrement le Blog de Virgo-Maria, vous y trouverez des brèves et des articles que nous vous signalons dans la presse en raison de leur caractère déterminant pour la compréhension de la situation religieuse. 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Qui et pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l'OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la « ré-conciliation » avec la Rome conciliaire (en fait la « ré-conciliarisation » de la FSSPX) ?
Qui a, depuis 2000, PROMU et Pourquoi, le FAUX préalable de la messe de Saint Pie V ?
Pourquoi n'a-t-on pas posé le vrai préalable du rétablissement du vrai Sacerdoce de vrais prêtres ordonnés par des évêques validement sacrés selon le rite valide des Saints Ordres ?
Qui a INVENTE, et pourquoi, le faux préalable de la levée des «excommunications» ?
Pourquoi n'a-t-on pas posé la VRAIE question de l'abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du VRAI rite de la consécration épiscopale VALIDE d'avant 1968 ?
A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ?
Serait-ce donc qu'après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l'on veuille désormais faire dire la messe du VRAI rite par de FAUX prêtres ?
Serait-ce que l'on veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec un clergé aussi INVALIDE que le FAUX CLERGE ANGLICAN ?
“Une fois qu’il n’y aura plus de prêtres validement ordonnés, ils donneront la permission de célébrer la messe latine”
Révérend Père Carl Pulvermacher OFMCap Ancien Rédacteur en Chef, The Angelus
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