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Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)
lundi 8 mai 2006
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L’Opération Rampolla
Cardinal Rampolla del Tindaro, secrétaire d’Etat de Léon XIII et membre de la secte satanique de l’OTO
Nous continuons la publication de l’étude de CSI. Les parties 1/3 et 2/3 ont déjà été diffusée depuis le 30 avril 2006. Elles sont incluses dans le fichier PDF publié sur le site Virgo-Maria.
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CATHOLICI semper idem (CSI) |
« Il veut
régner sur la France |
22 mai 2005 |
Mgr Delassus |
La réunion, jusqu'à la fusion, de l'Eglise conciliaire
(déjà
en voie d'anglicanisation progressive depuis 1968)
avec la Communion anglicane et avec le patriarcat Orthodoxe
Vatican d'EUX continue, pour en finir avec
Avertissement Comme nous l'avions précédemment annoncé, nous commençons a porter le projecteur sur ce que nous appelons l'opération Rampolla, à savoir l'anglicanisation progressive du clergé conciliaire, c'est-à-dire l'éradication progressive de la véritable succession apostolique de rite latin, porteuse des vrais pouvoirs sacramentels et qui ira jusqu'à l'union avec la branche traditionnelle de l'anglicanisme et de la High Church franc-maçonne intimement liée aux loges illuministes Rose-Croix britanniques et une tentative de fausse réunion sans conversion des Patriarcats Orthodoxes. |
4- Les bénéfices occultistes attendus par la loge de la réussite de l'opération Rampolla
Cette opération de réunion de la Communion anglicane, de l'Eglise Orthodoxe et de l'Eglise catholique représentait déjà l'objectif du pasteur Pusey et des Tractariens.
Nous livrons ici un extrait du résumé de son projet tel qu'il est résumé dans le DTC. Il ressort de cette analyse que le pasteur Pusey place la partie Anglicane au-dessus de l'Eglise Grecque et de l'Eglise catholique. Il en ira différemment en 1923 à Malines sous l'influence des Anglos-catholiques, mais il se peut aussi que cette évolution doive être considérée comme une évolution tactique, destinée à être remise en cause, une fois la réunion réalisée. L'objectif luciférien des loges illuministes Rose-Croix britanniques reste toujours l'éradication de la véritable succession apostolique afin d'obtenir la disparition des sacrements et des canaux ordinaires de la grâce.
Ce texte mentionne clairement que la proclamation de l'infaillibilité pontificale (qui a d'ailleurs pour conséquence de dresser en barrière infranchissable la lettre Apostolicae Curae de Léon XIII) représente une anomalie que les Anglicans souhaiteraient voir disparaître.
"La succession apostolique est le signe de la véritable Église, dans lequel sont contenus tous les autres : apostolicité, catholicité, et autonomie; c'est le signum signans. A ce point de vue, l'Église anglicane épiscopalienne est la plus parfaite; les autres Églises épiscopaliennes sont malades; les Églises non épiscopaliennes sont des « rameaux coupés », des sectes, dans lesquelles il n'y a pas de moyens de salut parce qu'il leur manque la succession apostolique. L'Église romaine n'est pas une secte, elle est dans la succession apostolique, mais, par le fait de son enseignement sur la puissance et l'infaillibilité du souverain pontife, elle n'a pas maintenu la doctrine apostolique. L'Église grecque a mieux conservé la communion et la doctrine apostoliques. « Seule l'Église d'Angleterre, qui unit l'Orient et l'Occident, qui étend ses rameaux aux quatre coins du monde, est une sorte de type de l'unique Église catholique. » Pusey, cité par Buddensieg, art. Traktarianismus dans Protest. Realencyklopâdie, 3» éd., t. XX, 1908, p. 46.
En revendiquant ainsi la succession apostolique, les tractariens n'étaient pas des novateurs. Pusey a recueilli un grand nombre de textes d'autorités anglicanes du xvii° siècle : les archevêques Laud, Bramhall, Wake, les évêques Andrews, Sanderson, Jer. Taylor, Pearson, Beveridge, toute une série de « non-jureurs », les évêques Wilson, Horsley, Jebb, Van Mildert, affirmant la permanence de la fonction apostolique dans l'Église, le droit divin de l'épiscopat, qui, suivant le sentiment des Pères, a vraiment succédé à l'apostolat; le droit d'ordonner exclusivement réservé à l'évêque, en vertu de la commission donnée par le Christ aux apôtres; la possession sans discontinuité de la succession apostolique par l'Angleterre. Cf. Simpson, op. cit., p. 25-27.
Mais Pusey
et ses disciples ne se contentent pas de se rattacher à
l'enseignement des théologiens anglicans
postérieurs à
"Puséyisme et ritualisme" du Dictionnaire de Théologie Catholique (DTC) (Tome XIII, colonne 1406 et suiv.).
Au vu de ces différents éléments, nous pouvons constater très logiquement qu'un tel plan permettrait :
1) La mainmise directe de la High Church anglicane franc-maçonne sur l'Eglise conciliaire, c'est à dire des loges illuministes Rose-Croix, leur permettant de diffuser de plus en plus largement leur doctrine et leurs enseignements des principes gnostiques lucifériens.
2) De rendre irréversible la liquidation des derniers évêques catholiques, c'est à dire la véritable succession apostolique de rite latin. Les rites anglicans seraient considérés comme valides, ainsi que les parodies de sacrements de leur pseudo-clergé, en réalité vrais laïcs.
3) De permettre aux maçons de l'Eglise conciliaire et de la Communion anglicane de commencer à faire pénétrer plus avant les doctrines maçonniques et libérales au sein du monde orthodoxe, et, on peut le supposer, de mettre un terme définitif à la succession apostolique orthodoxe. Nous savons que l'épiscopat orthodoxe est hérétique et schismatique mais qu'il est valide, et qu'il possède encore la vraie succession apostolique, et les vrais sacrements. Dans le plan des lucifériens, les évêques orthodoxes représentent encore un danger car ils portent en potentiel la résurgence de la succession apostolique que les loges illuministes se sont obstinées à détruire au sein de l'Eglise conciliaire à travers Montini et sa promulgation en 1968 d'un rituel anglican de consécration épiscopale invalide.
5- Les retombées géopolitiques de l'opération Rampolla
Un tel plan aurait aussi pour conséquence de consacrer la mainmise rose-croix britannique sur l'Eglise conciliaire et d'affaiblir la Russie, ce qui dans le plan géopolitique des "Skulls and Bones" du clan Bush, ainsi que des "néo-cons" actuels représente un objectif à court-terme, le conflit qu'il n'ont eu de cesse d'attiser de façon obstinée au Moyen-Orient ayant pour but de déboucher sur un affrontement avec la Russie et sur sa soumission à leur tutelle.
L'opération
Rampolla constitue en réalité la pièce
maîtresse du Plan Pike,
révélé en 1871, visant à
répandre et à imposer sur le monde les doctrines
et le culte de l’Adversaire de
6- L'opération Rampolla à moyen terme et la religion universelle à long terme
Il faut néanmoins préciser que le plan anglican que nous dénonçons ici représente un plan à moyen terme. Le plan supérieur, à long terme, demeure l'instauration de la religion universelle.
Le "pontificat" de l'abbé Ratzinger s'annonce plus révolutionnaire que celui de Jean XXIII. La rapidité de son élection prouve des arrangements anciens et surtout qu'il est là "aux ordres". C'est avec son accord qu'on lui a imposé les pires initiés pour ne pas revenir en arrière et accomplir TOUT Vatican d'eux. L'abbé Ratzinger ne serait-il pas un nouvel "illuminé de Bavière"? Comment supposer une minute qu'il ait été choisi sans connaissance du "complot" et sans être un affilié conscient ?
7- L'officier de l'opération Rampolla mis en place : l'abbé Levada
La récente nomination
de l'abbé Levada
à la tête de
Dans notre envoi par mail du 17 mai 2005, nous avons produit un article de CNS (Catholic News Service) qui annonçait qu'au sujet du dialogue Anglicano-catholique, l'abbé Levada avait déclaré le 19 septembre 2002 à New York qu'il "atteignait un nouveau moment"' et il avait suggéré que "le progrès (de ce dialogue) pourrait conduire la hiérarchie catholique à regarder de nouveau la décision de 1896 de Léon XIII pour Apostolicae Curae rejetant la validité des ordinations ".
Le document de la seconde conférence de Malines (14 mars 1923) que nous avons cité plus haut, pose comme préalable à la réunion de la Communion Anglicane et de l'Eglise de Rome, un accord doctrinal.
Sur ce sujet, un nouveau pas vient d'être franchi comme nous l'apprend La Croix du 17 mai 2005, aux Etats-Unis à Seattle par la publication d'un document de l'ARCIC.
En résumé de ce texte, on peut dire que les
Anglicans accepteraient une réunion qui ne se
réaliserait pas sur une unité de Foi. Les
catholiques pourraient selon eux conserver une doctrine
particulièreme sur
La Croix du 17-05-2005
Avancées oecuméniques sur Marie
La Commission internationale anglicane-catholique romaine a rendu
public un document intitulé "Marie, grâce et
espérance dans le Christ". Une étape importante
du rapprochement entre les Eglises
Pour la première fois, Marie fait l'objet d'un document
international officiel de dialogue entre Églises. Plus
précisément entre catholiques et anglicans.
Certes, le rapport rendu public par la Commission internationale
anglicane-catholique romaine (Arcic), lundi 16 mai à Seattle
(États-Unis), et jeudi 19 mai à Londres, Marie,
grâce et espérance dans le Christ, n'a pas valeur
de «déclaration d'autorité»
des deux Églises. Mais celles-ci en ont autorisé
En 2003, à la suite de l'approbation par l'Église épiscopalienne (anglicane) des États-Unis de la consécration d'un évêque homosexuel, le Vatican avait demandé la «mise en attente» de la publication d'une «déclaration commune de foi» entre les deux Églises, tout en «s'engageant à continuer le dialogue». La publication de ce rapport prouve donc que les ponts ne sont pas totalement coupés.
Quant au sujet lui-même, il reste délicat : la
promulgation des deux dogmes marials par le pape, en 1854
(l'Immaculée Conception) et en 1950 (l'Assomption). Ils
constituent toujours un problème aux yeux des anglicans, qui
critiquent aussi la dévotion mariale, telle qu'elle peut
être pratiquée au sein de l'Église
catholique.
"L'Immaculée Conception n'est pas contraire à
l'Écriture"
C'est particulièrement sur ces dogmes que l'on attendait le
rapport de Seattle. De fait, «il marque une
avancée importante», souligne le
jésuite Bernard Sesboüé, co
président du groupe des Dombes. Les deux parties s'accordent
en effet à reconnaître que l'Assomption de Marie
se trouve en «consonance avec l'Écriture, et que
l'Immaculée Conception n'est pas contraire à
l'Écriture».
Comment Arcic est-elle parvenue à ces conclusions ? D'abord
en rappelant que, pour les anglicans comme pour les catholiques,
«il ne peut y avoir qu'un seul médiateur entre
Dieu et les hommes, Jésus-Christ», et donc qu'il
faut rejeter «toute interprétation du
rôle de Marie qui obscurcit cette affirmation».
Ensuite, la commission se livre à une étude
scripturaire : un regard croisé anglican-catholique sur la
manière dont les Écritures, y compris
l'Apocalypse, parlent de Marie.
Après les Écritures, le rapport se penche sur la
Tradition commune aux deux Églises (Pères de
l'Église, Moyen Âge). Grâce à
ce passage en commun par les Écritures et la Tradition, et
après une évocation de la position des
réformateurs, les membres de la commission
anglicane-catholique aboutissent à une proposition commune
sur les deux dogmes en question :
Anglicans et catholiques vont très loin dans l'ouverture
mutuelle
- Pour l'Immaculée Conception : «Nous pouvons affirmer ensemble que l'oeuvre rédemptrice du Christ rejaillit "par avance" sur Marie dans les profondeurs de son être et à ses tout premiers débuts. Ce n'est pas contraire à l'Écriture», affirme le texte. En conclusion, «les catholiques romains peuvent reconnaître en cela ce qui est affirmé par le dogme, à savoir que Marie fut "préservée de toute souillure du péché originel" et ce "au premier instant de sa conception".
- Pour l'Assomption : «Étant donné la
compréhension à laquelle nous sommes parvenus
pour ce qui concerne la place de Marie dans l'économie de
l'espérance et de la grâce, nous pouvons affirmer
ensemble que l'enseignement disant que Dieu a pris la bienheureuse
Vierge Marie, dans la
plénitude de sa personne, dans la gloire, est un
enseignement en consonance avec l'Écriture.»
Reste le problème de l'autorité de ces deux
formulations dogmatiques : les anglicans se demandent si l'on exigera
d'eux l'acceptation des définitions de 1865 et de 1950 comme
condition d'une future restauration de la pleine communion.
Question
délicate, remarque le P. Sesboüé, sur
laquelle le document innove en proposant dans une note en bas de page
que «l'acceptation explicite de la formulation
précise des définitions de 1854 et de 1950
pourrait ne pas être requise des croyants qui
n'étaient pas en communion avec Rome quand elles furent
définies. Inversement, les anglicans devraient accepter que
ces définitions sont une expression légitime de
la foi catholique». Anglicans et catholiques, dans ce
document, vont donc très loin dans l'ouverture mutuelle. Ils
rejoignent d'ailleurs les propositions du Groupe des Dombes dans son
travail sur Marie.
Reste à savoir quelle sera la réponse des
Églises. Les derniers travaux d'Arcic, dits Arcic II (1),
publiés il y a plus de dix ans, n'ont toujours pas fait
l'objet d'une réception officielle par l'Église
catholique.
Isabelle
de GAULMYN
(1) Le Salut et l'Église (1986), L'Église comme
communion (1990), La vie en Christ, morale, communion Église
(1993).
Pour lire le document : Document
Nous avons noté que la lettre Apostolicae Curae de Léon XIII
en 1896 qui condamne infailliblement les ordinations anglicanes comme
invalides, représente un obstacle sur le chemin de
Nous considérons donc avec intérêt les écrits de l'abbé Ratzinger en 1971, en commentaire d'un livre de Hans Küng. Certains diront que depuis l'abbé Ratzinger a évolué et s'est dégagé de son passé de moderniste. Il n'en demeure pas moins qu'aucun écrit public de sa part n'est venu démentir son texte d'alors.
Cette remise en cause de Vatican I est nécessaire pour réaliser l'union avec les Anglicans et les Orthodoxes. Après la "reformulation" de l'infaillibilité pontificale suivra la remise en cause d'Apostolicae Curae. C'est très logique.
"En 1970, le Père Hans Kung a écrit l'ouvrage Unfehlbar? Eine Anfrage (Infaillible? Une enquête). Dans cet ouvrage, il conteste radicalement le dogme de l'infaillibilité pontificale et défie les théologiens d'ouvrir un débat sur ce sujet.
Le Père Karl Rahner a pris l'initiative de répondre à ce défi. Il a invité un certain nombre de théologiens progressistes à faire part de leurs opinions sur le sujet. Leurs collaborations ont été coordonnées par Rahner et publié en 1971 sous le titre Zum Problem Unfehlbarkeit (Le Problème de l'Infaillibilité).
Parmi les auteurs invités à donner leur opinion figurait l'abbé Joseph Ratzinger, qui a écrit un article intitulé "Contradictions dans le livre 'Infaillible' de Hans Kung."
Beaucoup des auteurs dans ce livre défendaient apparemment le dogme de l'infaillibilité pontificale. En fait, cela sauvait tout juste les apparences. Ils prirent avantages du livre de Kung pour affirmer insidieusement que l'infaillibilité pontificale devait changer, malgré les objections qu'ils ont opposées à la vision exagérée de Kung.
L'abbé Ratzinger, aujourd'hui Pape Benoît XVI, était l'un des chanteurs dans cette chorale. Il prit la même position de sabotage de l'infaillibilité pontificale.
Nous proposons des extraits de l'article de Ratzinger qui étaient inclus dans ce travail traduit en anglais depuis l'édition portugaise (Sao Paulo: Loyola,1974). Dans ces deux extraits, avec la version portugaises mise en valeur sur la droite, Ratzinger affirme son soutien à Kung.
Dans la première citation, il est d'accord avec Kung sur le fait que l'infaillibilité pontificale devrait être reformulée. Ratzinger affirme:
«Un
article à prédominance critique ne doit pas,
cependant, ignorer les bons côtés du livre de Kung. Cela peut être
clairement déduit de tout ce qui a
été dit précédemment, lorsque
nous avons affirmé qu'il ouvrait la discussion, d'une
façon explicite et non équivoque, sur des
problèmes qui devaient être reformulés.
Il dénonçait les obscurités dans la
structure historique et systématique de
Ratzinger
continue
de soutenir la position de Kung contre
la Théologie de Rome, dont il est aujourd'hui le
représentant éminent... Il insiste :
«Je
souhaite insister encore une fois que je suis
décidément d'accord avec Kung lorsqu'il fait une
distinction claire entre la théologie romaine (enseignée
dans les écoles de Rome) et
http://www.traditioninaction.org/ProgressivistDoc/A_004_Ratizinger_Kung.htm
8- Quelques textes en illustration de notre analyse
Venons-en aux faits qui viennent corroborer nos hypothèses, et pour lesquels nous joignons les textes.
Nous allons bientôt diffuser un texte, Apostolicae Curae et l'esprit de Saint-Louis, écrit par un catholique conciliaire américain qui propose une voie pour l'acceptation de la validité des ordinations anglicanes par l'Eglise conciliaire, en dépit de la condamnation infaillible du pape Léon XIII en 1896.
Prions sainte Jeanne d'Arc afin que s'accomplisse sa mission posthume, annoncée par beaucoup à commencer par celui qui n'était encore que l'abbé Pie
Prions sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face, contemporaine du cardinal Rampolla, et qui mourut l'année qui suivit la proclamation infaillible des ordinatiosn anglicanes par Léon XIII
Toutes deux patronnes secondaire de la France, qu'elles soient nos protectrices, dans l'attente du Règne du Sacré-Coeur et de celui de Jésus-Christ Roi de France.
CATHOLICI semper idem (CSI) |
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