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Gaude, Maria Virgo,
cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)
mardi 7 mars 2006
Ce
message et son annexe peuvent
être téléchargés au format
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Benedict XVI signe l'encyclique « Deus Caritas est »,
25 December 2005.
«Oui,
l’eros veut nous élever «en
extase» vers le Divin, nous
conduire au-delà de nous-mêmes»
Joseph
Ratzinger, 25 janvier 2006
Vers
le 25 janvier, l'abbé Ratzinger
a publié une "encyclique", Deus caritas est,
datée du 25
décembre 2005, qui va gravement à l'encontre de
l'enseignement de l'Eglise
catholique. Nous reproduisons ci-dessous une analyse faite par un
intervenant
sur le Libre Forum Catholique. L'auteur de
cette analyse met en parallèle les définitions
gnostiques du tantrisme et les
affirmations de Ratzinger. Celles-ci, vous
pourrez le constater, correspondent exactement, ce
qui nous obligent à
dénoncer l'exaltation de la sexualité
chez l'abbé Ratzinger, exaltation de
la sexualité qui est typique des milieux gnostiques.
A ce
jour, nous ne connaissons pas de commentaire officiel de
Relevant
l’esprit de Mgr Lefebvre,
principalement dans sa lettre aux quatre futurs
évêques : «La chaire de Pierre
et les postes d'autorité de Rome étant
occupé par des antichrists (...)»[1],
nous sommes en droit de nous poser la question : le
Fondateur de
Toujours
est-il, alors que les
louanges d'un Hans Küng[2]
sur
le texte de son compatriote ne se sont évidemment pas fait
attendre, l'abbé
Lorans, qui prépare activement ce ralliement, cherche, lui,
à minimiser cette
"encyclique" Deus caritas est, en
privilégiant un sermon de
l'abbé Ratzinger du 22 décembre dernier :
«La
première encyclique de Benoît XVI, Deus
Caritas est, vient de paraître.
Donne t’elle le programme du nouveau pontificat ? (...) Qu'en
est-il de
l'encyclique Deus caritas est ? Nous l'analyserons
dans le prochain
numéro de DICI. Mais il nous semble que d'ores et
déjà, l'important discours
prononcé par Benoît XVI à la curie
(voir DICI 128), le 22 décembre dernier, a
une valeur de programme». Abbé Lorans,
DICI, n° 129.
Et
pourtant, en vous livrant cette
première analyse sur cette "encyclique" ainsi qu'en vous
invitant à
lire en annexe l'encyclique Sacra Virginitas (1954)
de Pie XI, le
lecteur pourra juger de l'écart entre la
véritable
doctrine catholique d'un vrai pape et les écrits gnostiques
d'un antichrist,
l'abbé Ratzinger.
1. Benoît
XVI, le « Pape » du
tantrisme (première citation de Chaussis)
Début
de
la citation de Chaussis dans le LFC[3]
L’identité
des notions saute aux
yeux :
«fusion
du masculin et du féminin
pour réaliser l’union primordiale, une
complétude d’humanité, un niveau de
conscience qui nous fait accéder au divin…»
1°
item GOOGLE :
"En
théorie… Le
"tantra" ou science de l’extase s’inspire de la
philosophie indienne
appelée tantrisme qui recherche la fusion du
féminin et du masculin pour
atteindre un niveau de conscience plus
élevé…
Comment faire
pour fusionner ?
La
première chose est d’apprendre
à connaître son corps pour être plus
à l’écoute de celui de son partenaire.
Il
faut donc aiguiser tes sens, les 5 !!! Pas seulement le toucher. Il
faut aussi
apprendre à être maître de tes
réactions. Tu dois aussi être
libéré de tes
peurs et de tes tabous, accepter ton corps. Voilà, tu es
mûr(e) pour la fusion
:-)
Mise en
pratique
-
à cet endroit l'auteur de cette première analyse
signale
la mise en pratique de ce tantra. Pour des raisons de prudence envers
le
lecteur, nous nous contentons ici de préciser
qu'évidemment cette mise en
pratique consiste en des actes peccamineux gravissimes."
2°
item GOOGLE :
Le
tantrisme est basé sur l'opposition entre le
féminin et le masculin. Il
recherche la fusion de cette opposition pour atteindre une conscience
plus
élevée.
La
sexualité
est une des étapes de ce chemin. Elle vise à
intensifier l'intimité entre les
deux partenaires et à prolonger l'acte de l'amour. Celui-ci
est ritualisé et
sacralisé afin de pouvoir libérer les
énergies sexuelles. Cette source
d'énergie est considérée comme la plus
grande de l'univers.
La
sexualité tantrique est une forme de méditation
intime dont le but est l'union
complète de deux personnes pour ne former qu'un seul
être. Il donne à la
sexualité un aspect méditatif,
spontané et enseigne à
vénérer l'autre. Avec le
tantrisme, l'amour physique prend une dimension spirituelle en nous
apprenant à
sacraliser chaque geste, chaque perception et chaque action.
Dans le
tantrisme, le plaisir sexuel n'est pas considéré
comme une fin, mais comme le
moyen d'atteindre la conscience divine.
Extrait de
"l'encyclique" de Benoît XVI, le «pape
tantrique» :
«
L’idée
que l’homme serait en quelque sorte incomplet de par sa
constitution, à la recherche,
dans l’autre, de la partie qui manque à son
intégrité, à savoir
l’idée que
c’est seulement dans la communion avec l’autre sexe
qu’il peut devenir
«complet», est sans aucun doute
présente. »
«
L’eros
est comme enraciné dans la nature même de
l’homme ; Adam est en recherche et il
«quitte son père et sa mère»
pour trouver sa femme ; c’est seulement ensemble
qu’ils représentent la totalité de
l’humanité, qu’ils deviennent
«une seule
chair».
Un
certain avant-goût du sommet de l’existence, de la
béatitude vers laquelle tend
tout notre être.
Mais ce
n’est pas seulement l’esprit ou le corps qui aime :
c’est l’homme, la personne,
qui aime comme créature unifiée, dont font partie
le corps et l’âme. C’est
seulement lorsque les deux se fondent véritablement en une
unité que l’homme
devient pleinement lui-même. C’est uniquement de
cette façon que l’amour –
l'eros – peut mûrir, jusqu’à
parvenir à sa vraie grandeur.
Oui,
l’eros veut nous élever «en
extase» vers le Divin, nous conduire au-delà de
nous-mêmes »
Joseph
Ratzinger, 25 janvier 2006
Fin de la
première citation de Chaussis
2. Benoît
XVI, tantrique et gnostique : compléments
(deuxième citation de Chaussis)[4]
Début
de la deuxième citation de Chaussis
Au sujet de
l'encyclique Deus est caritas :
La source de
toutes les grossières
erreurs de l'encyclique, c'est la méconnaissance de
l'analogie. Pour l’abbé Ratzinger,
les mots (et les concepts) sont soit univoques, soit
équivoques (cf. la
question idiote qu'il pose à la fin du n° 2 : est-ce
un ou est-ce différent ?).
Or, la clef
de l'intelligence,
c'est l'analogie : ni univoques, ni équivoques, il y a dans
les concepts un
" tout petit quelque chose de commun" (ti koinon en grec) qui fait
que, sur des réalités distinctes, on applique le
même mot.
Ainsi de la
vie : une plante vit,
un homme vit, Dieu est vivant ; mais ceci ne veut pas dire que Dieu
pousse, se
nourrit et se reproduit (ce qui est le propre la vie de la plante)
etc., mais
que, dans le concept de vie, la racine est de "se mouvoir
soi-même",
et que ceci s'applique aux différentes vies en question. Et
la source de cette
analogie, c'est que tout vient de Dieu, et que tout être est
dans un certain
rapport de similitude avec Dieu (l'homme seul étant, comme
esprit, à la fois
similitude et image).
Ceci
posé : dans l'encyclique,
l'approche analogique est absente : la question de
l’abbé Ratzinger, c'est : ou
l'amour est unique, ou c'est le même mot pour des
réalités différentes (cf. n°
2).
La conclusion
de cette grave
erreur logique est donc claire : puisque Dieu aime, puisque l'amour est
unique,
puisque entre homme et femme l'amour s'accompagne de l'éros,
on va donc parler
de l'éros de Dieu pour l'homme !!!
C'est une
confusion intellectuelle
indigne d'un élève de première
année de philosophie. Cette attribution au
Créateur de ce qui est propre à la
créature comme matière, est une des
définitions du blasphème.
Ce qui a
TOUJOURS été cru et
enseigné, c'est :
- l'amour
(au sens large) est un concept tantôt analogique,
tantôt équivoque (en tout cas
jamais univoque comme le conclut l’abbé
Ratzinger).
- aimer le
chocolat, et aimer son prochain, sont deux choses distinctes, mais que
l'on
nomme du même mot (en raison de l'analogie). Idem pour
l'amour conjugal et
l'amour de Dieu pour nous.
- la base de
tout, c'est l'amour de Dieu pour lui-même
(l’abbé Ratzinger n'en parle pas !),
qui est la raison de la création.
- il faut
rapporter à Dieu toute perfection des créatures,
mais toujours analogiquement
(comme la vie).
- Dieu
étant
pur esprit, Dieu étant éminemment parfait, Dieu
étant "un" et non composé,
l'amour de Dieu est éminemment spirituel. Il n'y a pas de
passion en Dieu, ni
d'éros, ni de désir !!!
- On peut,
en raison de l'analogie, user de métaphores pour parler de
l'amour de Dieu : on
peut user de métaphores érotiques
(l’abbé Ratzinger le dit d'ailleurs), parler
de la jalousie divine, du désir divin, mais ce sont des
métaphores pour
désigner quelque chose qui n'est ni jaloux ni
désireux.
En-dehors de
tout raisonnement, on
doit rejeter le plus violemment possible un texte qui parle de
l'éros de Dieu
pour l'homme. Ce dieu-là n'est pas le vrai Dieu, c'est une
idole priapique, une
de plus à inscrire à la prochaine partouze de
l'Olympe... On retombe dans le
plus horrible des paganismes.
Autre
élément de
Tout vient de
Dieu, esprit pur.
Plus une chose est matérielle, plus elle est
éloignée de Dieu, plus la
"similitude" s'estompe. L'amour de Dieu pour Lui-même a une
certaine
similitude avec l'amour des hommes entre eux (la philia), avec l'amour
conjugal
etc., et ceci en raison de la nature spirituelle de l'homme. Quand
à l'éros,
c'est encore plus éloigné. Si l'on doit attribuer
quelque chose à Dieu, c'est
l'amour créé dans sa plus haute existence (la
philia), et non pas dans ce que
nous partageons avec l'animal (l'éros).
Cette vision
de cercles qui
s'éloignent du Créateur, fait partie de la
tradition de la foi. Or, l’abbé Ratzinger
ne cesse de parler de "montée" de l'éros vers
l'amour, vers le divin...
C'est la vision inversée. On part du moins pour en faire
sortir le plus.
Dans la
science, cela a donné la
théorie de l'évolution.
Dans
l'histoire, cela donne Teilhard
de Chardin.
Dans le
contexte du péché originel
(dont l’abbé Ratzinger ne parle pas dans son
texte, alors que c'est un
élément-clé), c'est la
débauche érotique comme chemin vers "le
divin".
L‘abbé
Ratzinger nous propose une
"évolution" de l'éros vers l'amour ...C'est
très dangereux. Nous
sommes là dans une situation analogue à la gnose
: la gnose prétend sauver par
la connaissance ; Ratzinger, lui, prétend accéder
à l'amour par la montée de
l'éros. Ce n'est plus
Il y a encore
mille autres choses
à reprendre dans ce texte. Par exemple :
- l'amour
entre homme et femme comme archétype de l'amour par
excellence. Ah bon ?
Nous,
catholiques, adhérons à la phrase du Christ :
«Il n'y a pas de plus grand amour
que de donner sa vie pour ceux qu'on aime».
L'archétype
de l'amour, ce n'est pas l'amour conjugal ! C'est la philia (laquelle
est au cœur
de l'amour conjugal, donc l'amour conjugal peut être cet
archétype, mais en
tant que philia, non en tant que l'éros y est
présent). Et l'amour parfait,
c'est l'agapè (la vertu de charité).
- l'obsession
du lien entre éros et "goût du divin" :
«l'éros veut nous élever en
extase vers le Divin» !!! Entre nous, quel père de
famille conscient de ses devoirs
éducatifs, enseignerait cela à ses enfants ?
- la
montée,
la purification, la maturation : on est en pleine gnose,
très semblable aux illusions
des cathares. Le plus ne vient pas du moins. Tout vient de Dieu, et
l'amour
(philia) a une similitude plus proche de Dieu, que l'éros.
- la
montée
: bien des francs-maçons partageraient cette conception des
choses. La montée
de l'éros vers l'amour (philia ou agapè), c'est
en fait le grand-œuvre moral !
- la
confusion entre nature et sur-nature, et l'absence complète
de la grâce :
"nos réflexions sur l'essence de l'amour nous ont maintenant
conduit PAR
UNE DYNAMIQUE INTERNE jusqu'à la foi biblique» !!!
Veut-on dire que
-
l'unification de l'homme avec Dieu (n° 10) : achtung .... Y a
du vrai et du
faux.
-
à
l'arrière plan de
- le
retournement de Dieu contre Lui-même (n° 10 et 12) :
achtung !!!
-
«personne
n'a jamais vu Dieu tel qu'Il est en Lui-même»
(n° 17). Ah bon ??? Et le Verbe
de Dieu ???
Encore un
petit détail : dans le
n° 7, l’abbé Ratzinger dit :
«L'homme peut ...devenir source d'où sortent des
fleuves d'eau vive (cf. Jn 7, 37-38)». Or, cette citation
biblique vient du
Christ et s'applique au Christ. Il faut tout de même une
terrible audace pour
pervertir ainsi une phrase sortie de la bouche de Notre-Seigneur !!!
Quand on
pense au respect infini des paroles du Christ, que l'Eglise a toujours
eu, on
se dit qu'il y a quelque chose de révolu dans
l'église conciliaire ... (révolu,
au sens de révolution...).
Jean-Paul II,
en son temps, avait
osé une pareille perversion, devant l'UNESCO, lorsqu'il a
dit : «l'homme ne vit
pas seulement de pain, mais de culture» (le Christ avait dit
: «l'homme ne vit
pas seulement de pain, mais de toute parole sortie de la bouche de
Dieu»).
La question
n'est pas de savoir si
ces phrases transformées sont vraies ou fausses : nul n'a le
droit de travestir
les paroles du Seigneur. C'est un détail, mais qui
révèle quel est l'orgueil
inouï de tous ces gens.
CONCLUSION
(pour l'instant, 29
janvier 2006) : ce texte (qui comporte de très bonne choses,
c'est évident) est
faux et erroné. Il donne de Dieu une image qui n'est pas
celle du vrai Dieu. Il
s'éloigne de façon impressionnante de la vraie
Foi. C'est un poison pour
C'est un
modèle de confusion intellectuelle
: confusion logique (pas d'analogie), confusion entre le
Créateur et la
créature (anthropomorphisme etc.), confusion entre la nature
et la surnature
etc.
Enfin, c'est
un texte
blasphématoire.
Ce texte seul
est PIRE que Vatican
II, Paul VI et Jean-Paul II réunis.
Vatican II
s'est éloigné de la
foi, mais ne l'a pas niée aussi frontalement : le poison est
distillé.
Paul VI a
détruit l'Eglise (en
détruisant
Jean-Paul II
a commis des actions
abominables (le baiser au Coran, le culte des démons etc.),
mais il n'a pas
blasphémé le Créateur comme vient de
le faire Benoît XVI.
Ce texte, il
faut donc le rejeter
purement et simplement : on ne croque pas une pomme
empoisonnée, en pensant que
notre bouche triera la bonne pomme du cyanure.
Nous devons
garder la vraie foi,
et rejeter toute gnose, toute perversion, toute
hérésie, tout accommodement au
monde.
Et la vraie
Foi, elle n'est pas
devant nous, à découvrir comme n'importe quelle
autre science : elle est donnée
une fois pour toutes, c'est
Nous devons
rester fidèle à la foi
de Pierre, et rejeter tout ce qui en éloigne, même
si cela vient de celui qui
est assis sur la chaire de Pierre.
Le
raisonnement qui consiste à
dire "mieux vaut se tromper avec le pape que d'avoir raison contre
lui" est une des plus grandes absurdités qui soient.
En effet,
nous devons garder
Nous n'avons
jamais le droit
d'abdiquer
Or,
il y a incompatibilité entre la vraie Foi au vrai Dieu, et
l'idole érotique de
Ratzinger.
Donc nous
devons rester fidèle à
la vraie Foi (celle de Pierre) et rejeter le discours de Ratzinger (qui
abdique
Amen.
Fin de la
deuxième citation de Chaussis
Après
ces deux citations, et quoi
qu'il en soit, de la question du degré d'autorité
des encycliques[5],
il
est certain que dans la véritable Eglise de Notre Seigneur
Jésus-Christ, ce qui
a toujours été en vigueur, c'est le nihil
obstat, c'est à
dire l'analyse minutieuse par les autorités
compétentes des ouvrages traitant
de notre sainte religion, de la foi et des mœurs et de tout
ce qui leur est
connexe, afin que ceux-ci ne contiennent aucune
erreur puisque
devant être lus par les fidèles catholiques.
Cette
"encyclique"
frisant l' «apologie» du tantrisme, nous sommes
devant une preuve supplémentaire
de l'occupation de la chaire de Pierre par l'antichrist Ratzinger.
Analyse à suivre…
3. Un
abbé de la Fraternité Saint-Pierre fait
l’éloge de la conception de l’amour de
l’abbé Ratzinger
Dieu est amour. En rappelant à toute
l’Humanité cette conviction profonde qui fait la
force et l’originalité du christianisme, le pape
Benoît XVI affirme son désir
de faire réfléchir les chrétiens aux
fondements mêmes de leur religion. Après
avoir traité de la Foi lors des Journées
Mondiales de la Jeunesse, voici donc
qu’il nous propose une méditation à la
fois ample et dense sur la Charité, dans
ses deux dimensions, symbolisées par les axes de la
Croix : amour de Dieu
et charité fraternelle. «
Ainsi l’amour de
Dieu ne doit pas entraîner un repli sur soi,
égoïste et insensible, et en même
temps la charité fraternelle ne saurait se limiter
à une vague philanthropie ou
à un activisme social sans âme. Il nous faut
trouver l’équilibre,
l’équilibre
des saints, cette ligne de crête habitée par les
géants de la Charité, comme St
Vincent de Paul ou Mère Térésa. Un mot
de Sainte Thérèse de
Il faut donc aimer.
Et même « il suffit
d’aimer » (Sainte Bernadette).
Mais que signifie
aujourd'hui le verbe aimer ?
Bien entendu nous vous exhortons,
chers fidèles, à la lecture attentive
de cette encyclique programmatique. Car, à l’heure
où progresse si vite l’Islam
et sa conception de la religion basée sur les rapports de
force, il faut nous renouveler
dans la certitude que Dieu nous aime et nous demande de nous aimer les
uns les
autres.
Abbé Alban Cras, fssp
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[1] 29 août 1987 et Lettre
de mission de juin 1988
(faire suivre la référence http...)
[2] «Je crois que de
nombreux catholiques seront heureux
de voir que la première encyclique du pape Benoît
XVI n'est pas un manifeste du
pessimisme culturel ou de la morale sexuelle d'une Eglise ennemie du
corps,
mais est consacrée à un thème central
de la théologie et de l'anthropologie».
Hans Küng,
[3]http://www.phpbbserver.com/phpbb/viewtopic.php?t=148&highlight=&mforum=lelibreforumcat
[4]http://www.phpbbserver.com/phpbb/viewtopic.php?t=158&highlight=&mforum=lelibreforumcat
[5] Une source doctrinale : Les
encycliques, Essai sur
l'autorité de leur enseignement par Dom Paul Nau,
Editions du Cèdre, 1952
[6]
http://fssp.retraites.free.fr/