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(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

mardi 31 juillet 2007

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L’abbé Lorans, familier du G.R.E.C., responsable
du discrédit de Mgr Fellay dans l’affaire du Motu Proprio

Les propos effarants du Père Lelong sur Radio Courtoisie selon lesquels il n’est pas certain que le sacre de Mgr Fellay soit valide, mais ceux des Anglicans le sont certainement !(sic). - Les révélations de GOLIAS sur le G.R.E.C. – La réaction de l’abbé Barthe

GOLIAS fait des révélations sur le G.R.E.C. et en particulier sur l’abbé Lorans

Nous avons annoncé que nous allions revenir sur les fréquentations de l’abbé Lorans au G.R.E.C.

Selon GOLIAS, généralement très bien informé :

Le principal représentant d’Ecône est l’abbé Alain Lorans. Cet ecclésiastique frêle et cultivé est un proche de Mgr Bernard Fellay, évêque schismatique lefebvriste d’origine suisse et patron de la fraternité sacerdotale Saint Pie X. Les négociations au sommet sont déjà balisées au niveau du G.R.E.C. L’abbé Lorans, habile diplomate, dirige le DICI, l’organe international de presse de la fraternité Saint Pie X. Il serait en relation étroite avec Mgr (autoproclamé tel) Gilles Wach, né en 1956, ordonné en 1979 par le Pape Jean Paul II et fondateur de l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre de Gricigliano.

L’abbé Lorans est ancien Recteur de l’Institut Universitaire Saint Pie X. Il anime une émission sur Radio Courtoisie.

L’abbé Lorans est l’un des artisans de l’ombre de l’imposture sacrilège[1] du « bouquet spirituel » dont il s’est fait le honteux propagandiste à l’automne dernier allant jusqu’à parler de « gerbe magnifique » et de « nouvelle bataille de Lépante » ! (sic).

Par la suite, depuis Noël 2006, il a continué, plus discrètement, à œuvrer pour la préparation des esprits à l’arrivée du piège du Motu Proprio et de son article 1 dans lequel Mgr Fellay a voulu précipiter la FSSPX et pour lequel il a fait chanter le Te Deum le 8 juillet 2007.

L’abbé Lorans responsable de la situation de discrédit de Mgr Fellay entraînée par l’opération Motu proprio et Te Deum

Il est certain que le rôle d’« habile diplomate » (jugement de GOLIAS) dans la coulisse (il semble aimer cela) lui donne une part de responsabilité énorme dans le fiasco où Mgr Fellay s’est placé avec le Motu Proprio et dans le discrédit dans lequel se trouve désormais plongé le Supérieur de la FSSPX.

L’abbé Lorans est l’un des principaux responsables de cette situation.

Il a tout fait pour que se produise cette exultation envers la publication du Motu Proprio comme l’on montré ses agissements depuis deux ans.

Comment Mgr Fellay a-t-il autorisé cette participation de l’abbé Lorans au G.R.E.C. ?  Mgr Lefebvre aurait immédiatement mis son veto.

Comment se fait-il qu’il lui ait confié la responsabilité de porte-parole et de responsable de Dici.org et de Nouvelles de Chrétienté ? Alors que dans le même temps, l’abbé Tam, loué par Mgr Lefebvre et qui fait un véritable travail d’analyse de la révolution à Rome selon les citations de l’Osservatore Romano, a été progressivement étouffé dans la diffusion de ses documents et finalement expulsé en 2002, alors que Mgr Fellay mettait en œuvre la politique Aulagnier des deux « préalables » suicidaires.

Le G.R.E.C. a d’abord été lancé par l’abbé Aulagnier (encore lui !) et puis arrêté par l’abbé de Jorna lorsqu’il était Supérieur de District de France.

Puis, il a ensuite été relancé par l’abbé Laurençon. Quelle responsabilité pour cet abbé !

Ce type de cercle secret est typiquement ce qui intéresse la Rome conciliaire apostate : elle lui permet, au travers de rencontres cachées aux fidèles, d’influencer des abbés de la FSSPX et de les amener à nouer des relations amicales avec des conciliaires pour ensuite, de fil en aiguille, les faire glisser sur la pente du ralliement. Cette méthode rappelle les méthodes qui ont été pratiquées sous le Pape Pie XII dans la préparation d’un certain nombre de clercs influents aux concepts de l’oecuménisme qui devait triompher au Concile Vatican II.

Nous renvoyons les lecteurs à l’analyse du G.R.E.C. que nous avons publiée[2] en juin 2006 :

Analyse du G.R.E.C. de l'abbé Lorans, rapportant à l'abbé Hoyos, au Nonce à Paris et à la Conférence épiscopale de France, avec l'autorisation de Mgr Fellay. 1.Les hommes et les réseaux du GREC 2.Les principes d’action du GREC 3.Les évènements, les rencontres et les actions du GREC 4.Une mise en parallèle chronologique de l’action du GREC et des tentatives de subversion de la FSSPX 5.Comparaison de la méthode du GREC et de la méthode œcuménique de Dom Beauduin (1924). L'opposition du GREC avec les directives du Saint-Office en 1949. L'opposition du GREC à Mgr Lefebvre. 6.La « praxis œcuménique » de l’abbé Lorans, éminence grise du GREC 7.Conclusion : le réseau allemand, l’abbé Schmidberger et la « réconciliation »

L’abbé Barthe dénie être l’« homme clé » du G.R.E.C. et renvoie la balle au Père Lelong

Un autre personnage du G.R.E.C. est le Père Lelong qui, selon l’abbé Barthe, serait « l’homme clé du G.R.E.C. » :

« A l'époque hellénistique, le grec est devenue une langue universelle pour tout le bassin méditerranéen, une langue qui a permettait à tous les peuples de se parler.

Mais comme l'on sait, il est bien plus difficile de faire se parler entre eux les catholiques !

Le Grec est donc est un Groupe de Réflexion entre Catholiques

"...A partir d’une intuition et d’un projet de Gilbert PEROL, Ambassadeur de France à Rome, pérennisé après son décès par Huguette PEROL, son épouse, un groupe de catholiques, laïcs et clercs, appartenant à plusieurs tendances de l’Église de France dont certains courants de la « tradition » (Fraternité Saint Pie X, Fraternité Saint-Pierre, Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, Institut du Bon Pasteur, abbaye de Randol, etc…) ont pris l’habitude, depuis 1997, de se rencontrer et de dialoguer trois ou quatre fois par an sur les principaux sujets de difficultés qui continuent actuellement de diviser les catholiques entre eux..." Pour toute information : GREC : grec2002@hotmail.fr

Bien entendu, je ne suis nullement l’homme clé du Grec. Cet homme est le P. Michel Lelong, des PP Blancs, qui se donne corps et âme à cette entreprise, et que vous pourrez, lundi prochain, interroger sur ce Forum.

Parmi les membres du Comité d’organisation du GREC, par ordre alphabétique : M. Paul AIRIAU, Mgr Philippe BRETON, l’abbé Claude BARTHE, Marie-Alix DOUTREBENTE (CIELT), l’abbé Hervé HYGONNET, le P Olivier de LA BROSSE, le P Michel LELONG, l'abbé Alain LORANS, Mme Gilbert PÉROL, Luc PERRIN » [3]Abbé Barthe, 22 février 2007

L’abbé Barthe tentait le 22 février 2007 de se dédouaner de l’accusation d’être le véritable ‘homme-clé’ du G.R.E.C. qu’avait lancé Golias le 19 février.

Nous remarquons aussi dans cette liste un autre nom, Paul Airiau, sur lequel nous aurons l’occasion de revenir et qui joue un rôle important sur un plan idéologique.

Les propos effarants du Père Lelong sur radio courtoisie le 17 juillet 2007

Le Père Lelong, interrogé par Philippe de Saint Robert sur Radio Courtoisie au sujet de la question de la condamnation des Ordres anglicans par le Pape Léon XIII (bulle Apostolicae Curae – 1896), a affirmé que les « Anglicans possèdent la succession apostolique » ! Troublé, son interlocuteur a insisté et le Père Lelong a confirmé, mentionnant tout de même qu’« il allait se renseigner » !

Selon le Père Lelong, il ne serait pas certain que le sacre de Mgr Fellay soit valide, mais ceux des Anglicans le seraient certainement ! (sic)

Puis, interrogé par Philippe de Saint Robert sur la FSSPX, le Père Lelong a déclaré « ne pas être certain que Mgr Fellay possède la succession apostolique » ! (sic).

Il a ensuite distingué entre ‘validité’ et ‘licéité’ tout en mentionnant que « tout cela est très compliqué » et qu’il « n’était pas un spécialiste » !

Bien qu’ignorant totalement la bulle Apostolicae Curae du Pape Léon XIII et l’invalidité radicale des Ordres anglicans et les bases de la théologie sacramentelle (affaire de « spécialistes »), le Père n’a pas manqué de défendre l’oecuménisme, en particulier avec les Anglicans, selon lui « très proches de nous ».

Comment ne pas être consternés devant une telle incompétence théologique, voire catéchétique, sur des sujets fondamentaux et basiques, et cela chez un religieux, et qui plus est chez un clerc très actif et qui s’est investi d’une mission pour guider les autres sur des points clés qui touchent à la survie du Sacerdoce catholique sacramentellement valide et qui prétendent engager l’avenir de l’oeuvre de Mgr Lefebvre.  

En dépit d’une connaissance plus précise sur l’invalidité des Ordres anglicans (cela montre que le débat propagé par Rore Sanctifica ne cesse de s’étendre), Philippe de Saint Robert paraissait mal maîtriser la question de la FSSPX. Il a en effet parlé de « deux » évêques consacrés en 1988 par Mgr Lefebvre et « un vietnamien » (sic)

Le Père Lelong se félicite du bon esprit de ralliement de « Mgr Fellay et de son équipe » !

Puis, le Père Lelong s’est livré à un éloge de Mgr Fellay et de « son équipe » grâce à qui il entrevoit désormais la perspective d’une « réconciliation » avec Rome, et il a fustigé les clercs et les fidèles à l’esprit trop « négatifs » au sein de la FSSPX et qui sont fermés « au dialogue ».

Mais pour le Père Lelong, la Direction actuelle de la FSSPX serait entièrement acquise au ralliement, il s’agirait essentiellement désormais pour elle de parvenir à réduire ou à faire taire les récalcitrants dans la FSSPX.

Dans une émission antérieure sur radio courtoisie, le Père Lelong avait révélé qu’il rentrait très facilement à Menzingen dans le bureau de Mgr Fellay, ayant des discussions cordiales avec lui et que ce dernier possède une photo de Ratzinger sur son bureau !

La naïveté et le mauvais entourage de Mgr Fellay parmi les causes de son discrédit

Voilà donc le genre de théologien incompétent sur des sujets essentiels avec qui Mgr Fellay s’accoquine, dans le dos des fidèles et des clercs qui sont tenus dans l’ignorance de toutes ces manœuvres.

Mgr Lefebvre connaissait sa théologie et un Père Lelong n’aurait pas longtemps fait illusion devant lui.

Nous conseillons instamment à Mgr Fellay de réviser sérieusement ses cours de Théologie dogmatique sur les sacrements, et sur les Saints Ordres catholiques en particulier (cf. ses déclarations insensées invoquant sur le sophisme condamné par les papes de « la probabilité a priori des ordinations catholiques » - voir messages VM[4]).

Nous sommes donc consterné à mesure que la réalité vient au grand jour.

Le discrédit de Mgr Fellay dans l’affaire des Te Deum pour fêter le piège de l’article 1 du Motu Proprio a maintenant ruiné sa crédibilité.

Entre l’abbé Lorans d’un côté et le Père Lelong de l’autre, on comprend bien comment le naïf successeur de Mgr Lefebvre a pu sauter à pieds joints et allègrement au chant du Te Deum dans le piège de la pseudo-« restauration » que prépare le rusé Ratzinger depuis déjà 15 ans. Cette même pseudo-restauration que l’abbé Tam, encouragé par Mgr Lefebvre, a décrit, inlassablement depuis 15 ans, preuvede l’Osservatore Romano en main, et qui a été remercié de la qualité de ses travaux par une expulsion de la FSSPX par Mgr Fellay en 2002, alors que dans le même temps, le même Mgr Fellay soutenait la participation de l’abbé Lorans au G.R.E.C. et pour une action de ralliement comme conlut GOLIAS :

« Depuis 1998, le G.R.E.C se réunit chaque mois. Son influence est considérable car il sert de relais aux actions des différents réseaux des participants... et de lieu d’échange et de croisement de ces mêmes réseaux. En 2003, il a notamment organisé un colloque très remarqué sur le thème "tradition et modernité". 

A l’évidence, le G.R.E.C. n’a rien d’un simple groupe marginal se cantonnant à pieuses considérations. Il constitue la courroie de transmission des échanges et des négociations entre Rome et Ecône.

Les différents partenaires sont ainsi également informés des réactions dans les différents camps. C’est en son nom que pourrait se préciser la forme concrète sous laquelle une restauration liturgique pourrait être mise en place et une reconnaissance globale très complaisante de la fraternité Saint Pie X mise en place. » » GOLIAS, 19 janvier 2007

Pour l’instant nous constatons que son œuvre de séduction envers la FSSPX non seulement est en rapport étroit mais se trouve également proportionnelle au degré d’importance des lacunes et des erreurs théologiques ainsi que du libéralisme dont se trouve atteinte la direction actuelle de la FSSPX.

Continuons le bon combat

Abbé Marchiset

Révélations de la revue GOLIAS sur le G.R.E.C.[5]

« Le rôle cardinal du G.R.E.C. »

On sait que "cardo" en latin désigne le "gond". Ce qui permet à une porte de s’ouvrir. Nous entendons ici évoquer le rôle souterrain et néanmoins décisif d’un groupe plus ou moins informel, le G.R.E.C. qui vise à favoriser la réconciliation entre les traditionalistes de la Fraternité Saint Pie X et la hiérarchie catholique officielle.

La règle d’or de ce groupe est d’éviter la polémique agressive au profit d’un échange, d’un partage respectueux et d’une recherche en commun de solutions. Le G.R.E.C. (sans "e" final) est le Groupe de réflexion entre catholiques à ne pas confondre avec le GRECE club d’Alain de Benoist de tendance traditionaliste et gnostique.

Le G.R.E.C est né à l’initiative de Madame Huguette Pérol, veuve de l’Ambassadeur à Rome Gilbert Pérol, dès 1997.

Le groupe fait office de passerelle officieuse entre les intégristes et Rome. Mais l’épiscopat français y participe également avec l’un de ses représentants, Mgr Philippe Breton, né en 1936, évêque d’Aire et Dax depuis 2002, connu pour ses accointances avec tout ce que l’Eglise compte de réactionnaire. Ce prélat très précieux d’ancien régime est d’ailleurs surnommé "Fifi la duchesse".

Deux autres évêques français, désireux de retrouvailles amicales avec les intégristes, auraient des contacts réguliers avec le G.R.E.C : NN SS André Fort, évêque d’Orléans et Alain Planet, évêque de Carcassonne.

Le G.R.E.C. est proche de la revue "Képhas", de l’abbé Denis Le Pivain son rédacteur en chef et du protecteur épiscopal (et collaborateur), Mgr Raymond Centène. Né en 1958, évêque de Vannes, Mgr Centène est attaché à l’ancienne liturgie et proche de la mouvance traditionaliste (Vaucluse). Sur les questions morales, il a pris des positions d’une intransigeance inouïe et réouvert un petit séminaire dans son diocèse pour restaurer la théologie la plus sclérosée du sacerdoce.

Le principal représentant d’Ecône est l’abbé Alain Lorans. Cet ecclésiastique frêle et cultivé est un proche de Mgr Bernard Fellay, évêque schismatique lefebvriste d’origine suisse et patron de la fraternité sacerdotale Saint Pie X. Les négociations au sommet sont déjà balisées au niveau du G.R.E.C. . L’abbé Lorans, habile diplomate, dirige le DICI, l’organe international de presse de la fraternité Saint Pie X. Il serait en relation étroite avec Mgr (autoproclamé tel) Gilles Wach, né en 1956, ordonné en 1979 par le Pape Jean Paul II et fondateur de l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre de Gricigliano. L’abbé Lorans est ancien Recteur de l’Institut Universitaire Saint Pie X. Il anime une émission sur Radio Courtoisie.

L’homme clé pourtant est l’abbé Claude Barthe. Né en 1947, prêtre du diocèse d’Auch, longtemps en état d’apesanteur canonique" selon son mot, plaisant en vérité, l’abbé est un théologien brillant, qui écrit dans la revue "Catholica" dirigée par un laïc proche de la droite la plus dure, Bernard Dumont. L’abbé Barthe vient d’écrire et diffuse un petit livre "proposition pour une paix liturgique de l’Eglise" ? Spécialiste de la question liturgique, il critique très vivement la réforme liturgique de Paul VI et souhaite promouvoir une restauration liturgique qui reprend certaines considérations formulées par... Joseph Ratzinger.

L’abbé Barthe a ses entrées à Rome, y compris chez le cardinal français Paul Poupard. Il est également très lié aux abbés Paul Aulagnier et Philippe Laguérie, de l’Institut du Bon Pasteur.

Barthe est à la tête d’un réseau occulte d’influence incluant Gregory Solari, directeur des éditions "ad solem", Daniel Hamiche, chroniqueur à Radio Courtoisie, Denis Sureau, directeur de l’Homme Nouveau (auquel le Vatican vient de confier l’édition et la diffusion de l’édition française hebdomadaire de... l’Osservatore Romano, pas moins !).

Le Père Michel Lelong, né en 1925, père blanc, très actif jadis dans le dialogue avec les musulmans, grand pourfendeur des abus liturgiques et de la catéchèse frelatée (selon lui) y joue également un rôle décisif. Tout comme le Père Olivier de la Brosse, né en 1931, longtemps en poste à Rome, éloigné des vues intégristes à titre personnel mais connu pour son entregent sinon son esprit d’intrigue. C’est un homme fort cultivé au demeurant, maître d’œuvre d’une remarquable chronologie universelle. Le bon père remplit un office stratégique au sein du G.R.E.C. En effet, il tente de se faire l’écho de l’esprit de ce groupe dans le monde de la culture, quitte à apitoyer fallacieusement des personnalités de ce même monde sur le sort de traditionalistes qui seraient exclus et persécutés dans l’Eglise de France.

Depuis 1998, le G.R.E.C se réunit chaque mois. Son influence est considérable car il sert de relais aux actions des différents réseaux des participants... et de lieu d’échange et de croisement de ces mêmes réseaux. En 2003, il a notamment organisé un colloque très remarqué sur le thème "tradition et modernité".

A l’évidence, le G.R.E.C. n’a rien d’un simple groupe marginal se cantonnant à pieuses considérations. Il constitue la courroie de transmission des échanges et des négociations entre Rome et Ecône.

Les différents partenaires sont ainsi également informés des réactions dans les différents camps. C’est en son nom que pourrait se préciser la forme concrète sous laquelle une restauration liturgique pourrait être mise en place et une reconnaissance globale très complaisante de la fraternité Saint Pie X mise en place.

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