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Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

samedi 11 août 2007

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Le scandale conciliaire de la ‘Rêve-Party ’ du sanctuaire de Lourdes

Une profanation sacrilège qui a impliqué le « clergé » conciliaire,

et qui n’est qualifiée que d’« apostasie silencieuse » (sic) par La Porte Latine

Le « clergé » conciliaire[1] profanant le sanctuaire de Lourdes lors de la rêve-party du 31 décembre 2006

« L'apostasie silencieuse (sic !) continue son travail de profanation et de démolition »
commente La Porte Latine qui appelle à manifester
sa « désapprobation sévèrement mais courtoisement »[2]

Nous revenons sur la profanation sacrilège du sanctuaire de Lourdes dans la nuit de la Saint-Sylvestre, pour souligner que cette « rêve-party » qui s’est déroulé au sein du sanctuaire consacré à la Très Sainte Vierge Marie, le fut avec l’autorisation et la participation du pseudo clergé conciliaire, le pseudo « évêque » du lieu ayant célébré la synaxe de Montini-paul VI au petit matin devant la grotte.

Cette caution du prétendu clergé conciliaire a été relayée par la Porte Latine mais, tenu par le réseau des infiltrés modernistes tout affairé à préparer le ralliement de la FSSPX à la Rome apostate, cet organe a soigneusement tenté de minimiser cette affaire, ne parlant que d’« apostasie silencieuse » au lieu de « sacrilège abominable et délibéré envers la Très Sainte Vierge Marie », et occultant la participation du clergé conciliaire dans leur communiqué où il n’est question que des « jeunes » et nullement de ce « clergé » impie.

Apostasie vraiment « silencieuse » ? Au son des décibels propagés par 19 tonnes de matériel dans tout le sanctuaire ?

C’est plutôt le caractère inaudible de la « désapprobation » de Suresnes et de l’abbé de Cacqueray qui devient assourdissant !

Voila avec quel prétendu « clergé », ils proposent aujourd’hui aux fidèles d’engager un « processus de réconciliation » depuis le 29 août 2005.

Ainsi le combat dont se prévaut le réseau des infiltrés modernistes n’est plus le combat de la Tradition mais seulement des rapports, certes tendus, mais allant de compromissions en compromissions. Il y a un peu plus d’une quinzaine d’années, sûr que Mgr Lefebvre aurait réagit bien autrement. Qu’elle n’eût pas été ses fermes propos et sa ferme condamnation de ce sacrilège abominable et délibéré dans le sanctuaire de Lourdes, là où la Très Sainte Vierge est venue rappeler « prière et pénitence » !

Continuons le bon combat

Abbé Michel Marchiset

Une coupure de presse sur cette profanation

Pour les pèlerins de Lourdes, l'année 2007 débute par une "rêve-party"

LOURDES (AFP) - Musique pop-rock de louanges, messe dans la grotte de Massabielle de la cité mariale, les pèlerins de Lourdes ont fêté le Nouvel An, en participant à la première "rêve-party" organisée dans la nuit de dimanche à lundi à l'occasion de la Saint-Sylvestre.

Une none et un prêtre danse dans la discothèque de Dieu à Lourdes pour le nouvel an, le 31 décembre 2006

La soirée a débuté vers 20H30 par la "3 D" (La discothèque de Dieu) animée par le concert du groupe Exo, un groupe de pop-rock créé en 1991 par un couple de missionnaires américains, auquel assistaient un millier de personnes, dont de nombreux jeunes venus de France métropolitaine, des Antilles et d'Espagne.

"Exo signifie hors des murs en grec. C'est ainsi que nous voulons faire sortir la foi en Dieu hors des murs habituels de l'Eglise", a souligné Jacques, manageur du groupe venu avec un camion 19 tonnes de matériel.

Pendant trois heures à l'Espace Sainte-Bernadette, sur la façade duquel étaient projetées des lumières rappelant l'ambiance d'une discothèque, religieux et pèlerins ont accompagné les chants de gestes de joie. Parmi eux, une religieuse de 87 ans, membre de la communauté de Marie Immaculée, qui s'était vu offrir le billet d'entrée par la Supérieure de sa congrégation.

Si certains jeunes, comme Agnès et Fanny, deux étudiantes de Paris et Washington ayant des attaches familiales à Lourdes, reconnaissaient être "là par hasard", la plupart des participants étaient venus délibérement dans l'idée "de partage dans une ambiance festive".

Emmanuel, Amélie et Damien sont arrivés de la Drôme, informés de l'événement par la presse régionale, car ils voulaient "débuter l'année dans un esprit de spiritualité". Ils ont ainsi pris part à la première messe de l'année célébrée par Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes, devant la grotte de Massabielle.

"C'est un véritable succès", se félicitait après cette nuit blanche Catherine Albrech, l'une des organisatrices de l'opération sous l'égide de l'évêché de Tarbes-Lourdes. "Nous voulions offrir un réveillon pas comme les autres, même si la nuit de la Saint-Sylvestre n'a pas de signification religieuse particulière", rappelait-elle.

Sourire aux lèvres après ces festivités musicales et religieuses, la plupart des pèlerins, originaires du sud de la France et d'Espagne, multipliaient les échanges autour du "café nocturne" dans la douceur enveloppant la cité mariale.

"Il était important que les gens seuls trouvent ici la possibilité de briser leur solitude", remarquait une jeune femme venue d'Aix-en-Provence pour cette "nuit de partage".

Vers 4H00 du matin, les yeux rougis par la fatigue, chacun regagnait son logement pour quelques heures de repos avec la satisfaction d'avoir participé à cette première alliant musique moderne, religion et convivialité.

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