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Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

FLASH

lundi 13 août 2007

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

Mgr Fellay aurait-il été piégé par Ratzinger sur Fatima ?

 

L’affaire du « bouquet spirituel » serait-elle liée au faux « 4ème secret » de Fatima préparée par Ratzinger[1] ?

Le tandem Mgr Williamson – abbé Schmidberger rassemble les agents de cette opération du « 4ème secret »

Au fur et à mesure que nous progressons dans notre enquête sur l’opération de la préparation par l’abbé apostat Ratzinger de la révélation prochaine d’un prétendu complément (que nous appelons le « 4ème secret » de Fatima) au faux déjà produit le 26 juin 2000 par le Vatican1, prétendue « vision » présentée au monde comme constituant le « 3ème secret » de Fatima qui devait être révélé en 1960, l’étendue de la manœuvre et les compromissions de ses artisans viennent peu à peu au grand jour.

Rappel sur la polémique Socci-Bertone attisée par Ratzinger en Italie

Dans notre message[2] VM du 4 août 2007, nous avons montré que depuis quelques mois une violente polémique sur le texte publié par le Vatican le 26 juin 2000 comme étant le « 3ème secret » de Fatima, est savamment entretenue par Ratzinger qui soutient tout à la fois d’une part le « cardinal » Bertone, son Secrétaire d’Etat, qui défend la thèse officielle et d’autre part, Antonio Socci, l’ancien rédacteur en chef de 30 jours, une revue très liée aux milieux conservateurs qui ont fait élire Ratzinger.

Socci reconnaît l’authenticité de la prétendue vision, présentée comme constituant le 3ème secret, dont le récit a été publié le 26 juin 2000 par Bertone et seulement commentée par Ratzinger, mais il prétend qu’elle serait incomplète et qu’il y manquerait le message qui, en guise de sous-titres, correspondrait à une partie encore cachée de ce 3ème message de Fatima, dans la continuation de la phrase incomplète, déjà révélée par sœur Lucie : « Au Portugal se conservera le dogme de la Foi »

L’abbé Schmidberger (de concert avec Mgr Williamson) fait publier par Avrillé le faux « repentir » de Ratzinger

Dans un précédent message VM du 12 août, nous avons aussi révélé que, selon le Sel de la terre n°53 (été 2005), un évêque autrichien qu’aurait entendu l’abbé Schmidberger dans un colloque, aurait rapporté une « confidence » de Ratzinger selon laquelle ce dernier se serait vu forcer la main pour commenter le texte de la vision dévoilé le 26 juin 2000 :

« L'année de sa publication, à l'occasion d'une université d'été qui se tient chaque année à Aigen, en Autriche, Mgr Krenn, ancien évêque de St. Pôlten, a publiquement affirmé que le cardinal Ratzinger avait des difficultés dans l'élaboration de l'explication du secret, et que ces difficultés augmentaient à fur et à mesure qu'il se penchait sur le problème, mais que c'était le pape qui voulait cette interprétation. J'étais moi-même présent à cette séance et j'ai entendu de mes propres oreilles les affirmations de Mgr Krenn, qui lui d'ailleurs n'est pas du tout un spécialiste de Fatima[3]. » Père Louis-Marie, Sel de la terre, n°53, été 2005

Sur le site du Vatican, nous constatons que le texte de la prétendue vision est introduit par Bertone, et non pas par le « Cardinal » Ratzinger, et que ce dernier, alors préfet de la CDF (Congrégation pour la Doctrine de la Foi) rédige simplement le commentaire du texte publié.

Mgr Fellay se fait piéger en liant maladroitement l’envoi du « bouquet spirituel » dans sa lettre secrète à Rome avec la réalisation du message de Fatima

Selon, l’interview donné par Mgr Fellay au Remnant le 15 janvier 2007, Mgr Fellay aurait fait référence à Fatima et son message dans la lettre secrète qu’il a envoyée à Ratzinger afin d’offrir les 2,5 millions de chapelets récités pour les intentions suivantes :

  1. Obtenir du Ciel pour le pape Benoît XVI la force (sic) nécessaire afin qu’il libère totalement la Sainte Messe de toujours, dite de Saint Pie V.
  2. Pour le retour de la Royauté sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ.
  3. Pour le triomphe du Coeur Immaculé de Marie.

Voici les propos de Mgr Fellay :

« Brian Mershon :  Il a été annoncé sur votre site Internet d’information que les fidèles attachés aux chapelles de la Fraternité avaient récité à l’attention du pape Benoît XVI deux millions et demi de rosaires, que vous lui avez transmis dans une lettre. Avez-vous envoyé ce bouquet spirituel et pouvez-vous nous dire quelle est la teneur de la lettre ?

Mgr Fellay : La lettre n’a pas été publiée. Elle a été envoyée, mais n’a pas été publiée. Je ne peux donc en dire grand chose. Il va cependant de soi que lorsqu’on offre un bouquet dans une telle lettre, on ne peut guère parler d’autres recommandations que celles auxquels on pense en offrant le bouquet. Le message est donc limité, peut-on dire. Mais les intentions de cette croisade, ou de ce bouquet, sont très claires et très précises.

            Lorsqu’on parle du triomphe du Cœur Immaculé de Marie, on pense évidemment à Fatima. On a aussi en tête le combat gigantesque annoncé par la Sainte Vierge Marie, à savoir celui entre, d’un côté le démon et les forces du mal, de l’autre, l’Église, qui est le combat même dans lequel nous nous engageons. Nous croyons que Fatima a trait en particulier à ce combat titanesque, dans lequel nous situons la crise actuelle de l’Église. Et nous sommes convaincus que l’on obtiendra la victoire en faisant ce qu’a demandé la Sainte Vierge Marie.

            Donc, lorsque nous parlons de la Royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ, le message est très clair. Ce n’est pas seulement celui du Notre Père (« que Votre Règne arrive »), c’est aussi celui de Quas Primas. Ce dont il s’agit là, c’est du combat, de la croisade pérenne de l’Église, qui a pour devoir de répandre l’Évangile non seulement dans les âmes, mais aussi dans les sociétés naturelles de l’humanité, dans la société humaine. Nous voulons des États chrétiens. Et ce n’est pas seulement nous qui le voulons, car c’est ce que l’Église a toujours voulu.

            Voilà pourquoi nous offrons au pape un bouquet. Mais dans ce bouquet, il se trouve certaines fleurs dont chacune est porteuse d’un message précis. Et naturellement, de manière plus immédiate, il y a la Messe. Mais lorsque nous parlons de la Messe, nous n’avons pas pour unique intention d’être autorisés à la dire. Nous savons que la Messe tridentine possède en elle-même un pouvoir considérable : elle a en effet le pouvoir de restaurer l’Église, le pouvoir de tuer les virus introduits dans l’Église par Vatican II.

            C’est tout cela que nous avons voulu inclure dans ce bouquet. Une partie est dite, l’autre est non dite, mais tout y est assurément.

Brian Mershon : Il s’agit donc de la réaffirmation des éléments de la doctrine catholique perdus ou ignorés depuis quarante ans ?

Mgr Fellay : Oui, bien entendu. » Traduction du Remnant

Mgr Fellay garde secret cette lettre mais tente dans le même temps d’en esquisser le contenu (cette méthode n’est pas catholique) : « La lettre n’a pas été publiée. Elle a été envoyée, mais n’a pas été publiée. Je ne peux donc en dire grand chose. ». Et il apparaît qu’il existe un lien entre Fatima et le contenu de cette lettre. Mgr Fellay établit très clairement le lien entre la 3° demande du « bouquet » et Fatima :

« Lorsqu’on parle du triomphe du Cœur Immaculé de Marie, on pense évidemment à Fatima. On a aussi en tête le combat gigantesque annoncé par la Sainte Vierge Marie, à savoir celui entre, d’un côté le démon et les forces du mal, de l’autre, l’Église, qui est le combat même dans lequel nous nous engageons. Nous croyons que Fatima a trait en particulier à ce combat titanesque, dans lequel nous situons la crise actuelle de l’Église. »

Il est donc très probable que la lettre secrète mette en relation la 3° demande du « bouquet » et Fatima, et en agissant ainsi, Mgr Fellay à achever de se précipiter dans le piège du « bouquet spirituel » qui a été suggéré par Rome et ses agents.

Décodons désormais le piège élaboré par Ratzinger pour Mgr Fellay et la FSSPX

L’agencement de ces différents éléments qui s’emboîtent très bien, avec les personnes idoines, chacune dans le rôle que nous leur connaissons déjà, révèle un plan absolument démoniaque pour créer un choc psychologique espéré irrésistible afin de contraindre Mgr Fellay à signer le ralliement à la Rome de l’abbé Ratzinger et d’entraîner tous les traditionalistes à sa suite dans ce mouvement.

C’est Ratzinger qui a mis Bertone en avant pour la publication de 2000.

Dans le même temps, dès la même année, c’est encore Ratzinger qui commence, par des « confidences » calculées, à faire courir des bruits selon lesquels ce ne serait qu’à contre cœur qu’il aurait accepté, « sous la contrainte » de Wojtyla-JPII, de commenter le texte de la vision.

Au moment de son « élection » au Pontificat, c’est par ses agents au sein de la FSSPX, l’abbé Schmidberger et l’ex-Anglican Mgr Williamson, que Ratzinger fait publier ses doutes dans le Sel de la terre de l’été 2005 des Dominicains d’Avrillé qui déclare sous la signature du Père Louis-Marie que le texte de la fausse vision publié le 26 juin 2000 par le Vatican serait authentique et intégral.

En 2006, c’est encore Ratzinger qui, à travers ses mêmes agents au sein de la FSSPX (l’ex-Anglican Mgr Williamson et abbé Schmidberger), fait adopter à Mgr Fellay et au chapitre général le principe d’un « bouquet spirituel » de rosaires à la Très Sainte Vierge pour obtenir la « libéralisation » de la messe tridentine, la doctrine du Christ-Roi et l’accomplissement du Règne du Cœur immaculé de Marie, demandé par Notre Dame dans le deuxième secret de Fatima.

Ensuite, en janvier 2007, toujours par ses mêmes agents, c’est toujours Ratzinger qui fait envoyer par Mgr Fellay une lettre d’offrande du « bouquet spirituel » à Rome qui lie clairement les intentions de ces chapelets aux secret de Fatima.

Parallèlement, Ratzinger soutient personnellement un célèbre journaliste italien, Antonio Socci, provenant de « Trente Giorni » (revue toujours très favorable à Ratzinger), qui déclenche une violente polémique en Italie en publiant des articles et un livre où il met directement en cause la complétude de la vision révélée le 26 juin 2000 par le « cardinal » Bertone.

Face à lui, Bertone, que Ratzinger soutient également en préfaçant son livre réponse à l’attaque de Socci, défend maladroitement dans ce livre la thèse officielle de 2000 du Vatican sur Fatima.

Ensuite, les revues telles que « Trente Giorni », The Remnant, l’AFS relaient la polémique Bertone-Socci et préparent l’opinion traditionaliste ou conservatrice à une prochaine pseudo-« révélation » de la partie soi-disant encore « manquante » de la révélation : le prétendu 4ème secret qui annoncerait « l’apostasie dans l’Eglise » :

  « Il y a cependant, dans les lignes que le patriarche consacre à la prière, une allusion qui frappe. Luciani relève la difficulté que cette pratique rencontre chez ses contemporains, et il conclut: «Ce n’est pas moi, mais Karl Rahner qui a écrit: “Il y a, à l’intérieur de l’Église elle-même, un engagement exclusif de l’homme pour les réalités temporelles, qui n’est plus un choix légitime, mais apostasie et chute radicale de la foi”». Apostasie ?       En somme, en dépit du dévoilement de 2000, un halo de mystère continue à planer sur le secret de Fatima. Un mot dense d’énigmes menaçantes pour beaucoup de gens,etc »[4] Trente Giorni , juin-juillet 2007

Le 29 juin 2007, Mgr Williamson centre son sermon sur le 3ème secret de Fatima qui « n’aurait pas été complètement révélé » et, afin d’en esquisser le contenu, se réfère à une apparition conciliaire d’Akita au Japon dans les années 70 qui annonce la perte de la Foi, des évènements dramatiques et en même temps présente les autorités conciliaires comme légitimes devant Dieu.

Le 7 juillet 2007, Ratzinger publie son Motu Proprio Summorum Pontificum qui donne l’illusion de libérer la messe de Saint Pie V, en réalité, il la met en liberté surveillée et associe cette abrogation dissimulée de la bulle Quo Primum à l’obligation de reconnaître le rite maçonnisé de la nouvelle messe de 1969 de Bugnini\-DomBotte.

Ce faisant, il répond, en apparence à la première condition du « bouquet spirituel ».

Si désormais, profitant des développements prochains d’une situation géopolitique internationale tendue et d’une crise économique et financière dont nous percevons en août 2007 les signes avant-coureurs, l’abbé apostat Ratzinger décidait de procéder à la publication d’un nouveau texte de Fatima, révélant ainsi le pseudo-« 4ème secret » ainsi préparé, qui prophétiserai une « apostasie » et un « concile mal interprété », Mgr Fellay se trouverait piégé par sa propre lettre, car Ratzinger présenterait son action comme la réalisation totale des conditions du « bouquet » et se donnerait lui-même la posture du « Restaurateur » de l’Eglise pleinement « légitimé » par ce nouveau texte de Fatima qui aurait été fabriqué encore une fois pour la circonstance.

Le petit réseau des infiltrés, animé par l’abbé Schmidberger, et tenu en sous-main par Mgr Williamson, l’ancien Anglican devenu évêque, mettrait ainsi Mgr Fellay face à ses engagements et le contraindrait à signer le ralliement en mettant un terme à ses atermoiements de plusieurs mois.

Et parallèlement tous les médias de la FSSPX et ceux des ralliés chanteraient à l’unisson le « pontificat » de Ratzinger, l’homme de Fatima, l’élu de la Très Sainte Vierge.

Un plan diabolique et sacrilège qui sent le souffre des pires loges lucifériennes

Voilà donc le plan diabolique, d’un machiavélisme presque jamais atteint dans l’impiété, qui ressort de l’analyse et du recoupement des actions de Ratzinger et de ses agents sur l’affaire du faux 3ème secret de Fatima.

Une telle insulte à Notre Dame de Fatima, déjà insultée par la publication d’un faux le 26 juin 2000 par le Vatican, est véritablement blasphématoire et porte la griffe de Satan, le Prince de ce monde.

Seuls des cénacles lucifériens (spécialité des cénacles R+C des loges illuministes britanniques, auxquelles appartient la High Church Anglicane) ont pu concevoir une manipulation aussi odieuse et sacrilège et aussi savamment conçue pour créer une gigantesque illusion destinée à séduire le petit reste des clercs et des fidèles catholiques afin d’achever de détruire ce qui reste de Sacerdoce catholique sacramentellement valide.

Le visage de Ratzinger qui apparaît, comme « l’architecte » de ce projet luciférien, est à l’opposé de celui du « Restaurateur » de l’Eglise pour lequel il tente par ses séductions et grâce à ses agents de se faire passer auprès des Traditionalistes.

Deux agents clés de la subversion de la FSSPX en pleine lumière : l’ancien Anglican devenu évêque, Mgr Williamson et l’abbé Schmidberger

Autre conséquence, le dévoilement de ce projet sacrilège met en lumière au sein de la FSSPX, non pas tant Mgr Fellay, qui semble plus une victime, et même l’otage dans une telle opération, des deux compères majeurs de cette opération au sein de la Fraternité : l’ancien Anglican devenu évêque, Mgr Williamson et l’abbé Schmidberger.

Mgr Williamson est l’évêque, ex-anglican converti, qui a choisi de prêcher sur le 3ème secret de Fatima le 29 juin 2007, lors des ordinations d’Ecône.

Auparavant, avant de se rendre à Ecône, nous savons qu’il a passé plusieurs jours en Allemagne, où il a eu largement le temps de s’entretenir et de mettre au point son sermon et ses plans avec l’abbé Schmidberger.

L’abbé Schmidberger est celui qui écrit le 16 avril 2005, trois jours avant l’élection de l’abbé apostat Ratzinger au « Pontificat », au Père Louis-Marie d’Avrillé qui rédigeait alors son article sur le 3ème secret pour le numéro spécial sur Fatima[5] du Sel de la Terre commandé par Menzingen pour l’été 2005, pour lui communiquer cette « confidence » calculée de première main du prétendu « repentir » du « cardinal » Ratzinger sur le texte publié le 26 juin 2000 par Bertone.

L’abbé Schmidberger est en outre depuis toujours le coordinateur des « discussions » avec Rome.

Mgr Williamson, le profil typique de la haute subversion

Mgr Williamson, ancien Anglican (version méthodiste), et duquel nous avons arraché le masque depuis 9 mois[6], apparaît désormais en pleine lumière, jouant un rôle équivalent, sans doute supérieur à celui de l’abbé Schmidberger, dans la subversion de la FSSPX.

Par sa formation à Cambridge, Richard Williamson, ancien critique littéraire jusqu’à 30 ans, aurait eu le profil typique pour se faire recruter par l’Intelligence Service, s’i n’était pas rentré à Ecône. Il faut savoir que ces services britanniques de renseignements sont tout aussi liés à Cambridge ou Oxford (‘Oxbridge’) que peuvent l’être la C.I.A ou la société influente des Skull&Bones à l’université de Yale aux Etats-Unis[7].

Ainsi, de même que les services britanniques du MI5 et MI6 sont traditionnellement dirigés par des anciens diplômés des sections littéraires de Cambridge (et par conséquent par des personnes que Mgr Williamson peut avoir connues comme anciens condisciples de Cambridge[8]) ou d’Oxford, de même les services américains, l’OSS et la CIA sont traditionnellement dirigés par des anciens diplômés des sections littéraires de Yale.

Ces milieux universitaires Cambrigiens sont très étroitement liés à l’anglicanisme et aux hautes loges illuministes britanniques, tout comme du reste, sur le même modèle, l’université de Yale est très liés aux épiscopaliens, les anglicans de la haute société des WASP américains. Cette dernière université est spécialement placée sous l’influence de la haute loge luciférienne des Skulls&Bones, dont les Bushs, le grand-père, le père et le fils, tous 33èmes degrés de maçonnerie écossaise, appartiennent aux plus hauts dignitaires.

Les deux Présidents Bush ont en outre soutenu personnellement de manière très appuyée et mondialement remarquée l’élection de l’abbé apostat Ratzinger au Pontificat, à l’occasion de leur séjour à Rome en avril 2005 pour les obsèques de Wojtyla et le conclave qui a suivi.

Ces milieux universitaires Cambrigiens, tout comme ceux de Yale, apprécient tout particulièrement la discrétion et les actions feutrées, et ils excellent dans la subversion tout en arborant une façade très « traditionnelle ».

Nous retrouvons quelque chose de similaire dans la formation et le comportement de l’évêque britannique.

Les textes qu’il publie actuellement sur son blog[9] qu’il vient de rouvrir (après notre dénonciation du 19 juillet[10]), sont typiques de ces manières littéraires anglo-saxonnes et faussement indifférentes (« benign neglect ») alors même qu’il ne s’agit que d’une couverture d’une action subversive en profondeur.

Mgr Fellay victime du secret des échanges et de sa meconnaissance des milieux anglicans et de leurs méthodes

Face à une telle personnalité, la formation d’économe de Mgr Fellay ne pèse pas bien lourd, et fait de lui une proie aisée pour l’ ex-anglican, Mgr Williamson qui ne peut qu’exceller à l’influencer et à l’orienter, à en faire un otage.

La nouvelle de la prochaine conférence de Mgr Fellay le 16 août à Buenos-Aires, après quasiment un mois de silence, porte à nouveau la marque de l’ancien Anglican Mgr Williamson. Cette conférence a-t-elle été suscitée par Mgr Williamson ? L’ancien Anglican en a-t-il fait inspirer le contenu à Mgr Fellay par le petit clan des infiltrés à la botte de l’abbé Schmidberger ?

Mgr Fellay a-t-il jamais étudié la subversion anglicane et les méthodes britanniques d’influences ?

Il l’a en tout cas découverte à ses dépens en août 2004, lors de la « mutinerie » qui fut soutenue ensuite publiquement par Mgr Williamson le 17 octobre 2004 et le 6 février 2005.

Les abbés Lorans et Barthe jouèrent également un rôle dans la coulisse.

Nous invitons Mgr Fellay à bien étudier le dossier de Fatima et nos diverses publications sur l’anglicanisme, ainsi qu’à prendre ses informations sur le pedigree et les antécédents de son « collègue » Mgr Williamson, car la méconnaissance de cette subversion anglicane, et d’une manière générale la méconnaissance des méthodes de l’ennemi du Christ et de son Eglise, se trouve être le moyen employé par le démon pour piéger l’autorité de la FSSPX et la rendre muette, c'est-à-dire incapable de dénoncer ce genre de  subversion qui menace de s’étendre à l’intérieur même de l’œuvre fondée par Mgr Lefebvre.

Il est évident, et Mgr Fellay devrait le comprendre, qu’une telle opération aussi perverse, ne peut réussir que si elle est couverte par le secret, en particulier le secret sur les échanges épistolaires entre Mgr Fellay et l’abbé Ratzinger. Mgr Lefebvre s’était toujours refusé à cette pratique du secret dans ses rapports avec Rome. La publication de la lettre accompagnant le « bouquet » aurait déjà vraisemblablement alerté les clercs et les fidèles avisés sur le piège dans lequel Ratzinger a fait pousser Mgr Fellay.

Une telle pratique du secret est certainement exigée par Rome et cette exigence est certainement conseillée à Mgr Fellay par le petit clan des agents pro-romains dont il s’est entouré.

Comme nous l’enseigne l’Apôtre Saint Jean, les Fils des Ténèbres recherchent l’obscurité de peur que la lumière ne révèle leurs mauvaises œuvres.

C’est pourquoi un tel double langage devient insupportable. Qu'est-ce que c'est, cette façon de parler ainsi du contenu de cette lettre et pourquoi ne la rend-il pas publique ?

Mgr Fellay ne cacherait-il pas (très mal finalement) quelque chose de grave, c'est-à-dire qu'il est fort possible qu'il se soit déjà engagé avec Ratzinger et Castrillon Hoyos ‘moralement’ et qu'il est tenu par son "péché", tout comme nous le disions dans notre sermon de ce dimanche passé[11].

Continuons le bon combat

Abbé Marchiset

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[1] Cf. nos précédents messages sur le faux « troisième secret » publié le 26 juin 2000 par le Vatican sur le site Virgo Maria :

http://www.virgo-maria.org/D-3eme_secret_de_Fatima/index_3em_secret_de_Fatima.htm

[2] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-08-04-C-00-Fatima_Bertone_Socci.pdf

[3] Abbé Franz SCHMIDBERGER, courrier du 16 avril 2005 à l'auteur de l'article.

[4] http://www.30giorni.it/fr/articolo.asp?id=14859

[5] Ce qui dénote une programmation de publication qui correspond à l’élection de Ratzinger

[6] http://www.virgo-maria.org/D-Mgr-Williamson-leurre/index_mgr_williamson_leurre.htm

[7] Un lecteur nous signale un film récent de Robert de Niro intitulé The Good Shepherd (« Le Bon Pasteur ») et sorti en salles en France sous le titre « Raisons d’Etat ». Ce film illustre les méthodes de la société des Skulls&Bones, de la CIA et de leurs liens très étroits avec les filières littéraires de l’Université de Yale aux Etats-Unis. L’ambiance dans laquelle introduit ce film donne un aperçu de la façon dont fonctionnent ces réseaux : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=49751.html

[8] C’est aussi par des universitaires Cambridgiens anglicans qu’est propagé le mouvement de subversion théologique Radical Orthodoxy complaisamment relayé en France par l’abbé Barthe, l’ « ami » de Ratzinger.

[9] http://dinoscopus.blogspot.com/2007/07/motu-proprio.html

[10] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-07-19-C-00-Mgr_Williamson_Blog.pdf

[11] http://www.virgo-maria.org/index_sermons_abbe_Marchiset.htm