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Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

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samedi 20 octobre 2007

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L’entourage de Ratzinger compromis dans l’homosexualité

     

Tomaso Stenico, chef de bureau de la Congrégation du clergé et professeur au Latran professe son homosexualité à la télévision italienne[1] en accueillant un homme prostitué dans son bureau du Vatican. Devant le scandale, Ratzinger doit le débarquer. Cette congrégation pour le clergé était encore tenue par l’abbé Castrillon Hoyos juqu’à une date encore récente.

Mgr Lefebvre dénonçait la Rome des « antichrists » en ces termes :

« C'est cela, une gloire purement humaine, purement humaine, abominable même, parce que c'est la vérité avec l'erreur, la vertu avec le vice, les amis de Notre-Seigneur avec les ennemis de Notre-Seigneur ; c'est une abomination, une abomination. C'est cela qui est à Rome maintenant. Ils ne pensent qu'à cela. Ils ne vivent que de cela.

Et derrière tout cela, des histoires financières véreuses, n'est-ce pas, véreuses... C'est ce que me disait un cardinal à Rome. Je lui disais : "Mais enfin, quel est un peu le leitmotiv qui tient tout ce monde-là, tout ce monde qui travaille, ici, à Rome ?" Il m'a dit : "Ça, Mgr, ça..." Il m'a fait le geste : ça, l'argent. Ils travaillent pour l'argent. Derrière tout cela, on peut imaginer tout ce qui peut se passer. Je vous cite ce cas ; j'ai eu l'occasion de le dire à ceux qui ont des hésitations encore sur Rome. Je dis : "Je suis intimement persuadé que nous ne savons pas la moitié de ce qui se passe à Rome et  si nous sommes déjà scandalisés par la moitié que nous savons, eh bien, pensons qu'il y a encore la moitié de plus. Si nous savions tout, nous serions épouvantés, épouvantés". Nous avons affaire à une mafia. Nous avons affaire vraiment à une mafia incroyable, invraisemblable, liée à la maçonnerie certainement, n'est-ce pas. »[2] Mgr Lefebvre, 4 septembre 1987

Il n’aurait sans doute pas imaginé jusqu’où pourrait aller la décadence de ce faux clergé conciliaire – et surtout de ses chefs conciliaires prévaricateurs corrompus - aux Ordres sacramentellement invalides. L’actualité de 2007 nous apporte chaque jour son lot de révélations sur les scandales de cette Rome moderniste qui ne cesse de renier et d’insulter Dieu.

Le faux prêtre Tomaso Stenico, ordonné dans un rite invalide – à tout le moins douteux - par un ‘évêque’ invalide, car soi-disant « consacré » dans un rite hérétique blasphématoire et volontairement sacramentellement invalide, appartient à la Congrégation pour le clergé qu’a dirigé le ‘cardinal’-Préfet, l’abbé apostat Castrillon Hoyos jusqu’à fin 2006.

Il y exerce une responsabilité importante et enseigne aussi à l’Université du Latran.

L’abbé apostat Castrillon Hoyos va-t-il intervenir devant les caméras pour en appeler au « pardon » et à la grâce de la « conversion » pour le « père », homosexuel militant, Stenico, comme il l’avait déjà fait en 2002 auprès des « évêques » américains afin de protéger les ‘prêtres’ conciliaires pédophiles des sanctions que les ‘évêques’ américains allaient abattre sur eux ?

Et c’est avec ce Vatican devenu pire qu’une Sodome et Gomorrhe des temps modernes que Mgr Fellay déclare vouloir engager des « discussions » doctrinales  pour signer enfin un « accord » de « réconciliation » ?

Et en choisissant de surcroît à cette fin pour « expert » l’abbé Grégoire Celier, le nouveau ‘théologien[3] hygiéniste’ IUT Bac+2[4] de la FSSPX, amateur spécialiste du rockeur sataniste drogué Jim Morrison[5]

Quelle insupportable dérision !

Maintenant que le « père », homosexuel militant, Stenico est déchargé de son enseignement à l’Université du Latran, l’abbé moderniste apostat Ratzinger pourrait de son côté le nommer dans la « Commission théologique » qui va « discuter » avec celle de la FSSPX !

L’ancien Anglican, Mgr. Williamson-‘Cunctator[6]’à la Rose[7], pourrait peut-être prendre, lui aussi, ce « père », homosexuel militant, Stenico sous sa protection comme il avait naguère protégé l’abbé Urrutigoity[8], alors inquiété pour de telles tendances au sein de la FSSPX aux USA, et dont nous avions relaté le cas dans notre message VM[9] du 17 septembre.

Et c’est avec cette Rome des « antichrists » que Mgr Fellay déclare vouloir engager des prétendues « discussions » doctrinales et obtenir la levée du décret des « excommunications » ?

Quelle honte !

Dans quel déshonneur, jusqu’à quels bas-fonds, Mgr Fellay, manœuvré par la petite Camarilla des infiltrés modernistes, ces nouveaux marchands du Temple, vont-ils entraîner la FSSPX, l’œuvre providentielle, fondée par Mgr Marcel Lefebvre, pour préserver le véritable Sacerdoce catholique, sacramentellement valide, muni des pouvoirs sacrificiels réel pour le sacrifice de Melchisédech de la Nouvelle et Eternelle Alliance, et des pouvoirs sacramentels valides qui en découlent !

Article de Rorate Caeli :

« Dimanche 14 octobre 2007 - HONTE ET IMPUDENCE

Un « monsignor » exerçant les fonction de Capo Ufficio au Vatican (c’est-à-dire chef de service, poste le plus élevé de chacun des départements que compte une Congrégation), appelle au téléphone un prostitué, le fait venir au Vatican, dans son bureau, pour y entretenir avec lui une relation sexuelle intégrale… Et il ne s’interrompt que lorsque son invité persiste à lui demander ce qu’il pense du point vue de l’Église sur le caractère peccamineux des actes homosexuels. Ce à quoi ne s’attendait pas monseigneur Tommaso Stenico, Capo Ufficio au sein de la Congrégation pour le clergé et professeur à l’Université pontificale du Latran, c’est que son invité avait secrètement enregistré toute la scène…

Le scandale a maintenant fait le tour du monde. Associated Press en rend compte dans les termes suivants :

Une chaîne de télévision privée italienne a diffusé ce mois-ci une émission au cours de laquelle on interviewait des prêtres au sujet de leur homosexualité. Le Vatican enseigne que l’homosexualité est un péché.

Les visages des prêtres, y compris le prélat qui a été suspendu, étaient « floutés » et leurs voix déformées afin qu’on ne puisse pas les reconnaître. Mais, comme le révélait samedi La Repubblica, des fonctionnaires du Vatican ont reconnu le bureau du prélat, dans lequel se déroulait l’interview.

On entend l’intéressé déclarer qu’il n’avait « pas le sentiment de pécher » en ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes, ajoute La Repubblica.

Or, voici que cet homme impudent a le front d’écrire sur le site Internet d’informations religieuses Petrus qu’il avait en fait l’intention « d’écrire un livre, une étude sur le problème de l’homosexualité chez les prêtres ». Bien sûr… Sans doute est-ce pour cette raison que Stenico a dit à son invité, en guise d’adieu : « Si tu veux, appelle-moi ou envoie-moi un message. Comme tu es bon ! » (Quanto sei buòno !).

Il est inévitable de conclure de tout cela que le Vatican est infesté d’homosexuels actifs, qui ne sont suspendus de leurs fonctions que lorsqu’ils ont été arrêtés en compagnie de prostitués transsexuels (comme c’est arrivé l’an dernier à Monseigneur Cesare Burgazzi (C.B.), haut fonctionnaire au Secrétariat d’État) ou surpris en train de surfer sur des sites Internet de pornographie homosexuelle (comme c’est arrivé l’an dernier à trois prêtres, dont l’un devait dire « à tout le monde qu’il n’était tombé en disgrâce qu’à cause de la jalousie de ceux pour qui il n’avait montré aucun intérêt ») ou encore montrés à la télévision nationale en train de recevoir un petit ami dans leur bureau du Vatican, comme cela vient d’arriver à Monseigneur Stenico.

Et maintenant, à quoi faut-il s’attendre ?[10]

Autre article publié par l’agence Reuters :

Le Vatican suspend un prêtre homosexuel « anonyme »

De nos correspondants dans la cité du Vatican

13 octobre 2007, 21h30 - Article de l’agence Reuters

Le Vatican a suspendu un ecclésiastique de haut rang membre du Saint-Siège, qui avait fait état de ses relations homosexuelles au cours d’une interview télévisée accordée à titre anonyme, mais que ses supérieurs ont identifié d’après le décor de son bureau.

Au grand embarras de la hiérarchie de l’Église catholique romaine, le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican, a dû déclarer que le monsignor, dont le nom n’a pas été divulgué, faisait l’objet d’une suspension dans l’attente des résultats d’une enquête interne.

Les médias locaux ont identifié l’intéressé comme occupant un poste important au sein d’un service du Vatican chargé de superviser les questions relatives au sacerdoce et ont indiqué qu’il apparaissait régulièrement à la télévision du Vatican.

L’Église catholique ne considère pas les tendances homosexuelles comme peccamineuses en elles-mêmes, mais condamne les actes homosexuels et enseigne que les ecclésiastiques doivent s’en tenir à leur vœu de célibat.

En vue d’un documentaire de la télévision, l’intéressé avait été filmé en compagnie de trois confrères ; les visages étaient « floutés » et les voix distordues pour protéger l’identité de ces quatre ecclésiastiques, qu’on interrogeait au sujet de leur homosexualité.

Il a déclaré à 7 TV qu’il ne se sentait « pas en état de péché » du fait de son homosexualité, mais qu’il préférait garder l’anonymat « pour éviter d’être réprimandé par mes supérieurs, étant donné la ferme position de la doctrine catholique sur le célibat des prêtres et l’homosexualité ».

Toutefois, durant l’interview, on voyait bien derrière lui son bureau du Vatican, ce qui devait conduire ses supérieurs à découvrir son identité.

Le père Lombardi a déclaré que le Vatican avait « dû intervenir avec détermination et sévérité face à un comportement incompatible avec les devoirs du sacerdoce et la mission du Saint-Siège ».

Continuons le bon combat

Abbé Marchiset

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