Virgo-Maria.org

Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

jeudi 1er novembre 2007

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

Le clerc prédateur homosexuel Urrutigoity protégé
par
l’ancien Anglican, Mgr. Williamson-‘Cunctator[1]’à la Rose[2]

Un abbé homosexuel ordonné dans la FSSPX, protégé par Mgr Williamson et dénoncé par Mgr Fellay

Que signifie cette protection ? Pourquoi a-t-elle duré aussi longtemps ? (10 ans)

Faudrait-il envisager désormais l’hypothèse d’un réseau homosexuel infiltré dans la FSSPX ?

Pour Mgr Williamson, vaudrait-il mieux être homosexuel que d’avoir l’opinion « sédévacantiste » ?

Les faits étranges concernant Mgr Williamson ne cessent de s’accumuler. Et tout un ensemble d’actions et de connexions viennent à la surface au sujet de l’ancien diplômé de Cambridge[3], révélant un personnage réel à l’opposé de l’image d’opposant inconditionnel au ralliement et à l’Eglise conciliaire qu’il prétend être.

Mgr Williamson se révèle par ses actes constituer un leurre, de mèche avec l’abbé Schmidberger, et dont le rôle consiste à expulser de la FSSPX tout clerc suspecté d’opinions sédévacantistes, et à attirer les vrais opposants dans les bras de la Rome des « antichrists » en les neutralisant.

C’est ainsi qu’il s’est fait attribuer le contrôle de la revue Le Sel de la terre des dominicains d’Avrillé.

Nous avons révélé l’entourage anglicano-fabien et mondialiste de son mentor, Malcolm Muggeridge[4].

Puis, son étrange blason épiscopal à la symbolique ouvertement rose+croix[5].

Un clerc qui a bien connu Mgr Williamson, nous avait aussi révélé la protection qu’il accorda à l’abbé Urrutigoity[6], désormais sous le coup de plusieurs procès pour des actes homosexuels commis sur diverses victimes dans des collèges ou séminaires religieux catholiques[7].

  

Livre de Mme Engel (‘Le rite de la Sodomie’) – L’abbé Carlos Urrutigoity à l’élévation

Mme Randy Engel nous en apprend davantage par son livre « Le Rite de la Sodomie », paru en 2006 aux Etats-Unis. Dans une somme de 1318 pages et 4523 notes, la journaliste américaine d’investigation Randy Engel[8] fait l’historique des réseaux de pédérastie au sein de l’Eglise catholique depuis plus de 100 ans.

Dans ce travail monumental d’investigation, elle examine le réseau de Cambridge et ses liens avec les services secrets britanniques, en particulier le MI5 britannique.

Elle détaille aussi la question de l’homosexualité de Montini-Paul VI et les innombrables charges contre lui, à commencer par celles portées par l’abbé de Nantes en 1969 et en 1993.

Dans son livre, Randy Engel consacre aussi plusieurs pages à l’affaire Urrutigoity et au rôle de Mgr Williamson, et à l’implication de Mgr de Galaretta.

Nous les avons traduites en Français, et reproduites en annexe 1, avec leurs originaux anglais en annexe 1bis.

Ces pages décrivent avec des détails très crus et pénibles à lire, l’horrible réalité des actes perpétrés par l’abbé Urritigoity.

C’est devant la gravité terrible des faits, et parce que nous nous refusons catégoriquement à couvrir du « manteau de Noé » ces pratiques et scandales épouvantables qui, sous le fallacieux motif de « piété » et de ne pas vouloir « scandaliser les fidèles », ont si longtemps été obstinément cachés aux fidèles, leurs auteurs infiltrés bénéficiant trop souvent de la couverture du laxisme et de l’indulgence coupable des autorités religieuses, et qui ont, grâce à de tels comportements des responsables, fini par ruiner complètement l’Eglise, que nous avons décidé de conserver l’intégralité du texte de Mme Engel.

Historique de  l’affaire Urrutigoity : un prédateur homosexuel et moderniste protége par Mgr Williamson

Venant de la ville de Mendoza en Argentine, Carlos Urrutigoity est entré au séminaire de La Reja (Argentine – FSSPX).

Ses tendances homosexuelles et ses attentats à la pudeur furent détectés en 1987 par celui qui était alors le supérieur du séminaire de LaReja, l’abbé Morello, lequel établit un dossier à charge contre lui et demanda son éviction.

L’abbé de Galaretta, alors supérieur du District d’Amérique du Sud de la FSSPX, ainsi que d’« autres prêtres influents » de la FSSPX, intervinrent aussitôt pour protéger le séminariste pédéraste.

Selon une note manuscrite de l’abbé Morello, Mgr de Galaretta serait intervenu pour protéger Urrutigoity, à la demande de la famille Calderon.

Mgr Williamson justifiera auprès du Docteur Bond (le supérieur du collège Saint Justin Martyr qui fera éclater publiquement l’affaire), ce comportement de Mgr de Galaretta, par l’imminence d’un péril sédévacantiste que faisait courir l’abbé Morello au District d’Amérique du Sud.

Suite à cette action de l’abbé Morello, et après un rapide passage de l’abbé Urrutigoity au prieuré de la FSSPX de Cordoba (Argentine) qui lui permit de recevoir une recommandation et de se faire « blanchir », Mgr Williamson l’accueillit au séminaire de Winona aux Etats-Unis en 1989.

Pendant cette péripétie l’abbé Morello avait été éloigné temporairement, au premier semestre 1989, à Santiago du Chili, alors que l’abbé Schmidberger était supérieur de la FSSPX et décidait des mutations.

A l’inititiave de Mgr Williamson, l’abbé Urrutigoity écrira une lettre d’auto-justification dès son arrivée à Winona en 1989 et Mgr Williamson-‘Cunctator’ à la Rose remettra personnellement cette lettre à Mgr Lefebvre, en sollicitant et en obtenant son autorisation pour l’admission d’Urrutigoity à Winona. L’archevêque, ainsi visiblement « instrumentalisé » par Mgr Williamson, exigera de Mgr Williamson qu’il surveille le séminariste suspect « avec un œil d’aigle ».

A la veille de l’ordination de l’abbé Urrutigoity en 1989, l’abbé Morello se déplacera personnellement à Winona pour dénoncer l’abbé Urrutigoity que Mgr Williamson soutiendra devant lui au nom de l’« humilité » d’Urrutigoity, traitant même l’abbé Morello de « menteur ». L’abbé Morello sera accusé de « sédévacantisme » puis, dans les jours suivant sa visite impromptue à Mgr Williamson, il sera expulsé de la FSSPX.

A l’automne 1993, l’abbé Urrutigoity deviendra professeur de dogme, de latin et de musique sacrée au séminaire de Winona. Cette promotion de l’abbé Urrutigoity sera suivie par des efforts importants déployés au séminaire de Winona pour le perfectionnement des séminaristes dans le chant grégorien. En sus de l’approfondissement du chant grégorien, l’abbé Urrutogoity se singulisera en prônant les « expérimentations » dans la liturgie et en se montrant favorable au rite réformé de 1965 ; ces positions ne sont pas sans rappeler la lettre de l’abbé de La Rocque (FSSPX) en janvier 2007, où il prônait des adaptations du rite traditionnel de la messe.

De fin 1993 à 1997, l’effervescence se développera au sein du séminaire au point qu’à la mi-1997, les questions liturgiques et de chant sacré deviendront des sujets de profondes discordes entre les séminaristes. La doctrine de l’abbé Urrutigoity prônant un retour à un « modèle médiéval » idéalisé et romantique, duquel auraient été soustraits ce qu’il considérait comme des « excès » de la Contre-Réforme catholique issue du concile de Trente. Cette nouvelle doctrine liturgique et de chant sacré attirera autour de ce personnage, dès lors considéré comme un gourou, un petit réseau de séminariste qu’il projettera d’organiser sous la forme d’une association secrète au sein du séminaire, cette association rejetant ce qu’il considère comme des « déviations » tridentines et qui ne sont autres que les gloires de l’Eglise.

Finalement, l’agitation de l’abbé Urrutigoity se poursuivant et son projet de fondation d’une nouvelle communauté étant rejeté par Mgr Fellay, il sera expulsé de Winona en 1997. Mgr Williamson qualifiera l’abbé Urrutigoity de « jeune prêtre argentin talentueux mais fier ».

Au sein  de l’Eglise conciliaire, sous la protection de ‘Mgr’ Timlin, il fondera alors la SSJ (Société Saint Jean) marquée par un esprit traditionnel en matière de liturgie et de chant grégorien et qui sera rapidement compromise dans des scandales sexuels.

Jusqu’à ce que, les affaires de mœurs s’accumulant, l’abbé Urrutigoity soit finalement mis en cause et traîné devant les tribunaux par un laïc courageux, le Docteur Bond, supérieur du collège Saint Justin Martyr (attaché à la SSJ), qui, tentant de sensibiliser en vain « Mgr » Timlin, et bravant toutes les menaces, combattra jusqu’à faire éclater la vérité et soustraira en octobre 2001, le collège qu’il dirige, de la tutelle de la SSJ.

Tous ces faits, bien que communiqués par le Docteur Bond en 2001 au « cardinal » Castrillon Hoyos, supérieur du dicastère romain de la Congrégation du Clergé, seront recouverts d’un grand silence et la SSJ protégée par les autorités ecclésiastiques conciliaires.

Malgré ces procès et l’irruption sur la place publique de tous ces scandales sexuels causés par l’abbé Urrutigoity, le prétendu ’évêque’ conciliaire Timlin continuera à couvrir Urrutigoity.

En février 1999, Mgr Fellay écrira une lettre où il dénoncera l’abbé Urrutigoity.

Mgr Williamson continuera à garder publiquement le silence sur cette affaire, seul Mgr Fellay ayant réagi par un écrit officiel aux autorités conciliaires.

Les plaintes et les dénonciations vont s’accumuler contre la SSJ, l’abbé Urrutigoity et contre l’abbé Marschall Roberts (un transfuge de l’Institut du Christ-Roi accueilli par la SSJ), une victime réclamera 1 million de dollars de dommages et intérêts en 2002.

Il existe désormais un site internet qui contient toutes les pièces de ce dossier contre l’abbé Urrutigoity et la SSJ (cf. Annexe 2).

Ayant trouvé refuge auprès de l’« évêque » conciliaire de Ciuadad del Este au Paraguay, « Mgr » Rogelio Livieres Plano, l’abbé Urrutigoity sera encore protégé par une lettre de ce prétendu ‘évêque’ conciliaire qui écrira le 8 septembre 2006 un courrier afin de soutenir la SSJ.

Les scandales de mœurs de l’abbé Urrutigoity et son modernisme liturgique

Dès 1987, l’abbé Urrutigoity attire l’attention du supérieur du séminaire de La Reja, en raison d’un orgueil manifeste, d’entretien d’« amitiés particulières », de mise en place d’un groupe de disciples et de tendances homosexuelles et de scandales de mœurs.

A La Reja, il se livrera à des attouchements des parties intimes des séminaristes la nuit, dans les chambres, pendant leur sommeil, ou dans les toilettes, il se baignera quasi-nu devant les séminaristes, leur tiendra des propos choquants et se complaira lors des confessions à évoquer les tentations d’impureté et de mœurs.

Abbé Carlos Urrutigoity[9]

Un ancien disciple de l’abbé Urrutigoity à Winona, l’ancien séminariste Matthew Selinger, accusera en 1999, l’abbé Urrutigoity de l’avoir invité à introduire un suppositoire devant lui, de s’être baigné nu en sa présence, ou encore de s’être introduit de nuit dans sa chambre pour des attouchements sur sa personne alors qu’il dormait.

Randy Engel souligne avec raison que l’usage original que faisait Urrutigoity des suppositoires rappelle les techniques du « prêtre » anglican théosophe et pédéraste Charles Webster[10] Leadbeater, très lié au milieu des sociétés secrètes britanniques et aux loges Rose+Croix. Il se pratique dans ces milieux occultistes britanniques des techniques de magie sexuelle. Nous l’avons déjà évoqué dans notre dossier consacré à l’entourage de Malcolm Muggeridge[11], le mentor de Mgr Williamson.

En 1998 commencent les plaintes officielles aux Etats-Unis contre les exactions sexuelles de l’abbé Urrutigoity. Durant cette même année, la SSJ dirigée par l’abbé argentin, décide d’intégrer un prêtre expulsé de l’Institut du Christ-Roi en raison de problèmes de mœurs.

En mars 1998, la police doit intervenir, à la demande de l’abbé Paul Carr (Fraternité Saint-Pierre) car des prêtres de la SSJ ont distribué de l’alcool à des mineurs.

A partir d’août 2001, le Docteur Bond qui dirige le collège Saint Justin Martyr va entamer des démarches pour dénoncer la SSJ et l’abbé Urrutigoity auprès des autorités conciliaires.

Le collège que dirige le Docteur Bond est sous la dépendance de la SSJ, il va en couper les liens le 14 octobre 2001, afin de protéger les adolescents.

Le 19 novembre 2001, le Docteur Bond va dénoncer l’abbé Urrutigoity par des lettres au nonce apostolique aux Etats-Unis et au ‘cardinal’ Castrillon Hoyos.

Le 21 novembre, l’abbé Urrutigoity menace le Docteur Bond.

Cette démarche auprès de Castrillon Hoyos semble être restée sans suite. Nous avons déjà expliqué que le « cardinal » Castrillon Hoyos est intervenu auprès de la Conférence ‘épiscopale’ américaine afin de la dissuader de sanctionner les ‘prêtres’ conciliaires pédophiles, et cela au nom de la « miséricorde ».

Castrillon Hoyos semble jouer un rôle pour protéger les clercs conciliaires impliqués dans les affaires de mœurs.[12]

Le 12 janvier 2002, le diocèse de Scranton reçoit une plainte d’une victime des mœurs de l’abbé Urrutigoity.

Le 6 février 2002, l’abbé Marshall Roberts est mis en cause pour une affaire de mœurs.

Le 20 mars 2002, un ancien étudiant porte plainte contre la SSJ, la Fraternité Saint-Pierre et le diocèse de Scranton. Il réclame un million de dollars de dommages et intérêts.

Quelques faits majeurs réveles par Mme Randy Engel, le Docteur Bond et l’abbé Morello

La collecte et le recoupement des différents témoignages et documents nous révèlent les faits suivants :

Abbé Eric Ensey[15]

Nos questions sur Mgr Williamson et les interrogations sur l’hypothese d’un reseau homosexuel infiltré au sein de la FSSPX

Une certaine famille Calderon impliquée, selon l’abbé Morello, dans la protection de l’homosexuel Urrutigoity

Une certaine famille Calderon qui, selon la note manuscrite de l’abbé Morello, serait intervenue dès le début de cette affaire en 1987 auprès de l’abbé de Galaretta à La Reja pour qu’il accorde sa protection à l’abbé homosexuel Urrutigoity, ne serait-elle autre que la famille de l’abbé Alvaro Calderon, actuellement professeur au séminaire de La Reja, sous la direction de Mgr Williamson ?

Rappelons que cet abbé Alvaro Calderon s’est fait connaître pour ses sophismes publiés par Le Sel de la terre, revue des dominicains d’Avrillé et contrôlée par Mgr Williamson, en faveur de la prétendue validité sacramentelle du nouveau rite de consécration épiscopale (Pontificalis Romani, 1968). Cette argumentation fallacieuse (un détournement du rite Copte) a été entièrement réfutée par le Comité international Rore Sanctifica (CIRS).

L’abbé Alvaro Calderon propage également une doctrine fallacieuse de l’ecclésiologie sur la question de l’infaillibilité pontificale et du magistère ordinaire universel.

Enfin, l’abbé Alvaro Calderon fait partie de 5 membres de la Commission théologique occulte mise en place par Mgr Fellay afin de préparer les prochaines « discussions » doctrinales avec Rome[16].

La question que nous posons ici sur ses liens avec la famille Calderon mise en cause au début de cette affaire par l’abbé Morello est donc une question importante.

Nous poursuivons nos recherches et nos investigations sur l’abbé Calderon et son rapport avec toute cette affaire. Si tel est le cas, nous ne manquerons pas de tenir nos lecteurs informés.

Nos questions au sujet de l’action de Mgr Williamson

Pourquoi la demande de l’abbé Morello de faire procéder à une enquête canonique au sujet de l’abbé Morello et de « plusieurs autres prêtres » n’a-t-elle jamais été satisfaite ?

Qui l’a bloquée ?

L’abbé Schmidberger qui était supérieur de 1982 à 1994 ?

Pourquoi l’abbé Morello a-t-il été déplacé pendant 6 mois dans un prieuré isolé, alors que s’opérait le transfert de l’abbé Urrutigoity à Winona ?

Qui a pris la décision de cette mutation de 6 mois ?

L’abbé Schmidberger qui était supérieur de la FSSPX à cette époque là ?

Mgr Williamson-‘Cunctator’ à la Rose et son blason épiscopal à la symbolique similaire à celle des Rose+Croix

Pourquoi Mgr Williamson qui était supérieur de Winona n’a-t-il jamais fait faire cette enquête ?

Pourquoi a-t-il ouvertement violé les règles du droit canonique en révélant à l’abbé Urrutigoity les accusations portées secrètement et selon les règles par l’abbé Morello auprès de son supérieur, Mgr Williamson ?

Pourquoi, au lieu de faire l’enquête canonique qui s’imposait, Mgr Williamson a-t-il agi à l’opposé en incitant l’accusé à rédiger une autojustification ?

Pourquoi a-t-il fait preuve d’un tel zèle à soumettre aussitôt à Mgr Lefebvre cette autojustification de l’abbé Urrutogoity ?

N’eut-ce pas plutôt été dans sa mission à la fois d’évêque (le protecteur du troupeau des âmes) d’alerter Mgr Lefebvre des accusations et de solliciter une enquête canonique ?

En dehors de l’auto-justification de l’abbé Urrutigoity, Mgr Lefebvre a-t-il eu connaissance du dossier constitué par l’abbé Morello ?

Pourquoi Mgr Williamson a-t-il nommé comme successeur de l’abbé Urrutigoity au séminaire de Winona, l’abbé Ensey qui s’est avéré par la suite un délinquant sexuel du même acabit ?

Pourquoi cette nouvelle « erreur » de gestion du personnel du séminaire par Mgr Williamson ?

Pourquoi Mgr Williamson a-t-il nié devant le Docteur Bond avoir eu la moindre connaissance de quelque délit sexuel que ce soit de l’abbé Urrutigoity, apparaissant parfaitement étranger à cette affaire, alors que malgré les dénonciations de l’abbé Morello, il s’est évertué à ne faire procéder à aucune enquête canonique, mais de plus, alors que c’est lui qui a demandé à l’abbé Urrutigoity de rédiger sa défense pour la faire immédiatement approuver par Mgr Lefebvre, bloquant ainsi de par l’autorité de Mgr Lefebvre, toute contestation de l’abbé Urrutigoity, tout en compromettant l’autorité du Fondateur de la FSSPX dans cette sordide affaire ?

Car évidemment s’il apparaissait que la décision d’intégrer Urrutigoity à Winona était prise par Mgr Lefebvre, personne n'aurait pensé à remettre en question cette situation.

Pourquoi, alors qu'il connaissait toutes les charges portées contre l'abbé Urrutigoity, Mgr Williamson a-t-il pris la décision de promouvoir l'Argentin au poste de professeur à Winona ?

Pourquoi est-ce celui qui avait raison, l’abbé Morello, qui a été expulsé de la FSSPX, et non pas le coupable, le prédateur homosexuel Urrutigoity ?

Pourquoi est-ce celui qui a dénoncé le crime qui a été expulsé, et non pas le criminel ?

Pourquoi le criminel a-t-il été promu par Mgr Williamson ?

Pourquoi Mgr Williamson a-t-il laissé l'abbé Urrutigoity enseigner le réformisme liturgique, alors qu'en temps qu’évêque catholique il lui appartient de veiller sur l'intégrité de la doctrine et de la liturgie ?

Pourquoi Mgr Williamson protège-t-il des modernistes avérés, alors que dans le même temps il vient se présenter comme un garant de l'orthodoxie doctrinale liturgique ?

Pourquoi Mgr Williamson vient-il faire devant les fidèles des sermons ostentatoires ou des conférences fracassantes sur le nombre de centimètres des jupes des femmes ou encore sur leur devoir de ne pas fréquenter l'Université, alors que dans le même temps il accorde sa protection vigilante et pertinace dans les faits à un prédateur homosexuel déterminé multirécidiviste au sein de ses séminaristes ?

Que signifie ce double jeu, ce double discours ?

D’où vient une telle hypocrisie ? Une telle dissimulation, de la part d’un supérieur de séminaire méticuleux et organisé qui, au témoignage des anciens séminaristes de Winona, s’attachait tout particulièrement à ne rien ignorer de ce qui pouvait se passer dans son séminaire de Winona (cf témoignages du message VM[17] du 17 septembre 2007) ?

Pour Mgr Williamson, l'opinion sédévacantiste serait-elle pire que le viol physique de ses séminaristes ?

Comment peut-on tolérer un panégyrique de Mgr Williamson qui le présente en évêque avisé et protecteur du troupeau, alors qu’il a agi à l’inverse dans toute cette histoire ?

Voici ce l’intolérable panégyrique que publie un site lié à la FSSPX :

« Alors qu’il était un laboureur des âmes en tant que jardinier de la moisson, il a su faire face à la nécessité d’éradiquer ceux qui aurait gâté le sol. Telle était la situation en 1997 lorsqu’il expulsa M. l’abbé Carlos Urrutigoity ainsi que deux séminaristes du Séminaire St. Thomas Aquin. Ces derniers trouvèrent refuge par la suite dans le diocèse troublé de Scranton, recueilli sans discernement par Mgr Timlin qui a voulu ignorer les avertissements de Ngrs Williamson et Fellay. A présent le successeur de Timlin à Scranton est en train de cueillir les fruits amers des procès pour abus sexuels commis par des prêtres de la Société St Jean que le rebelle Urrutigoity a constituée alors qu’il ne pouvait pas soutenir l’examen soigneux et vigilant de Mgr Williamson. Grâce à Dieu l’évêque fut un bon jardinier et constitua l’un des signes que la FSSPX gardait soigneusement, non seulement le Dépot Sacré de la Foi, mais aussi les vertus de chasteté et de modestie.”[18]

Une telle déformation de la vérité, à l'opposé dès faits, est absolument scandaleuse et réellement insupportable, sinon proprement démoniaque.

Nous avions déjà publié le 17 septembre 2007 des révélations faites par un clerc qui lit Virgo-Maria et qui connait Mgr Williamson. Il mettait clairement en cause Mgr Williamson dans cette affaire Urrutigoity, en affirmant que Mgr Williamson n’ignorait rien de tout ce qui se passait, dans les moindres détails, au sein du séminaire de Winona :

« Le cas de l’abbé Carlos Urrutigoity (protégé de Williamson, et longtemps professeur à Winona) mérite réellement un autre article séparé, et comble une autre pièce manquante dans l’histoire de Williamson, agent secret de l’ennemi.

En bref, ce très intelligent et charismatique jeune homme était sur le point d’être expulsé de La Reja pour des questions de moeurs, quand W a organisé son transfert à Winona. Après son ordination, Urrutigoity y est resté en tant que professeur de séminaire, et ne tarda pas à se constituer une suite de loyaux jeunes gens.

Urrutigoity est fortement suspecté (…). Il est originaire de la (…) cité de Mendoza, Argentina, (...)

Les caractéristiques qui distinguaient la "direction spirituelle" qu’Urrutigoity dispensait à ses disciples à Winona (…) :

(a) Il haïssait le Saint Sacrement. Il incitait ses dirigés à éviter la Bénédiction du Saint Sacrement, et à rester assis s’ils étaient forcés d’y assister.

(b) (…) Urrutigoity méprisait les statues, aussi organisa-t-il une campagne pour remplacer les statues par des icônes au séminaire et dans les chapelles de la FSSPX.

(c) "Ses prêtres" étaient formés pour présider à une sorte de "Repas du Seder" la veille de leur première Messe.

(Par la suite, après son départ de Winona, Urrutigoity s’est révélé être un homosexuel flamboyant et un tireur de ficelles d’une secte homosexuelle, la Société de Saint Jean. Cette partie de sa vie est bien documentée sur le réseau Internet. Voir : http://www.saintjustinmartyr.org/news/notices.html )

Déjà pourtant à Winona, Urrutigoity engageait ses dirigés à se baigner tout nus au cours de promenades.

Maintenant, je vous prie de bien garder présent à l’esprit que tout cela s’est passé sous la direction de Mgr Williamson, un homme qui tenait avec le plus grand soin le registre minutieux DE TOUT ce qui se passait dans son séminaire. »[19] Signé par un clerc, lecteur de Virgo-Maria.org

Ces faits nouveaux concernant l’action de Mgr Williamson dans cette affaire Urrutigoity viennent compléter l’affaire de son blason épiscopal à la symbolique Rose+Croix, et aussi les informations recueillies sur l’entourage de Malcolm Muggeridge, le Mentor de Mgr Williamson et dont nous rappelons ci-dessous le schéma synthétique :


Recapitulatif des actions de Mgr Williamson qui ont bloqué le combat de la FSSPX

Nos questions au sujet de l’action de Mgr de Galaretta

Mgr de Galaretta

Pourquoi Mgr de Galaretta a-t-il protégé l'abbé Urrutigoity ?

Dans son témoignage, l'abbé Morello a rajouté à la main :

(Handwritten) « de Galarreta did not expel him because of the problems this could cause, especially with the Calderon family ».

(« de Galaretta ne l’expulsa pas en raison des problèmes que cela causerait, en particulier avec la famille Calderon »).

Pourquoi ?

Là encore quelle est cette famille Calderon ?

Quels sont ces problèmes que cette famille aurait pu causer à Mgr de Galaretta ?

Pourquoi Mgr de Galarretta s'est-il prêté à toutes ces manœuvres qui ont abouties à protéger un prédateur homosexuel ?

Si la bonne foi de Mgr de Galaretta aura pu s’être laissée surprendre dans cette affaire, le fait est qu’il apparaît qu’il n’ait, contrairement à la vertu de justice, jamais rien réparé des conséquences gravissimes pour certains séminaristes et prêtres des erreurs auxquelles l’ont conduit son aveuglement.

Nos questions au sujet de l’hypothèse de l'existence d'un réseau homosexuel infiltré au sein de la FSSPX

Dix années durant, ce parcours absolument ahurissant de l'abbé Urrutigoity ne réussit à prospérer que grâce à la succession d'un certain nombre de protections et de circonstances qui le protègent et qui lui assurent une totale impunité.

Entré dans un premier séminaire, le prédateur homosexuel se livre en toute impunité à ses exactions, sans que personne ne vienne le dénoncer et le mettre dehors.

Le supérieur du séminaire qui finit par l’apprendre, le dénonce et se voit refuser par son propre supérieur une enquête canonique.

Bien mieux, le prédateur homosexuel se voit déplacé pendant une courte période dans un prieuré où il se voit attribuer des recommandations pour être transféré dans un deuxième séminaire, alors que le supérieur du séminaire qui le dénonçait se voit muter pour six mois dans un petit prieuré à l'écart.

Durant son séjour transitoire dans le prieuré où il a été pour un temps écarté, au cours duquel il collationne les recommandations, le prédateur homosexuel continue ses pratiques, toujours sans être aucunement inquiété.

À peine arrivé dans le deuxième séminaire, ce même prédateur se voit demander, par le supérieur de ce séminaire, de rédiger un document pour sa propre défense. À peine l’a-t-il rédigé, qu’immédiatement le supérieur de ce séminaire le remet personnellement au fondateur de la congrégation, et revient avec une autorisation d'intégration du deuxième séminaire donnée par le fondateur historique en personne.

Alors que le supérieur du premier séminaire le dénonce à nouveau, à quelques semaines de son ordination sacerdotale, le supérieur du second séminaire lui communique immédiatement, au mépris des lois canoniques, les chefs d'accusation. Malgré l'insistance du supérieur du premier séminaire, qui se déplace personnellement pour rencontrer le supérieur du deuxième séminaire, ce dernier prend la défense publique du criminel, et accuse de mensonges le supérieur du premier séminaire.

L'accusateur du criminel est expulsé de l'institution quelques jours à peine après sa visite par laquelle il venait l'accuser. Et quelques jours plus tard il se voit conférer l'ordination sacerdotale.

Quatre années plus tard, il est promu comme professeur dans ce même séminaire. Il peut alors en toute impunité pendant trois ans développer des théories modernistes sur le réformisme liturgique, et créer autour de lui un petit groupe d'adeptes de ses théories. Il continue à perpétrer ses crimes sexuels au sein du séminaire, sans qu'il soit le moins du monde inquiété.

Une telle succession de circonstances favorables au prédateur homosexuel fait penser à une coordination humaine qui expliquerait l'extraordinaire protection dont a pu bénéficier pendant 10 ans ce personnage.

Si bien que nous sommes conduits à ce moment, devant la cohérence et la constance des faits, à nous interroger sur l'hypothèse de l'existence d'un groupe de personnes qui au sein de la FSSPX, cherchait à protéger ce prédateur homosexuel.

Cette protection s’est exercée en passant par des décisions du supérieur de District d'Amérique du Sud, du supérieur du séminaire de Winona puis du supérieur général de la FSSPX en 1987 et 1989, c'est-à-dire les abbés de Galaretta, Williamson (devenus évêques en 1988) et l’abbé Schmidberger.

Faut-il donc en conclure à l'existence d'un réseau homosexuel organisé infiltré au sein de la FSSPX ?

Il est encore trop tôt pour conclure, néanmoins nous retenons que l'ensemble des faits accumulés autour de cette terrible et sordide affaire de l'abbé Urrutigoity pose clairement le problème.

Nous ne manquerons pas d'informer nos lecteurs sur les informations complémentaires et la poursuite de nos analyses sur cette grave question.

Cela met en cause toute la gestion par Mgr de Galaretta, puis par Mgr Williamson des établissements Sud et Nord américains de la FSSPX, avec les vagues de départs des neuf d'abord en 1983 (abbé Cekada entre autres) puis de celle de l’abbé Morello en 1989, puis de celle de l’abbé Neuville en 1997, avec leurs lettres de motifs.

Une protection pour l'abbé Urrutigoity qui s'exerce au sein de la FSSPX comme au sein de l'Eglise conciliaire

Le travail de Randy Angel démontre la gravité de l'infiltration d'un vaste réseau homosexuel sur plus d'un siècle au sein de l'église catholique, et ensuite dans l'église conciliaire.

La protection dont jouit l'abbé Urrutigoity signe se caractérise par une impunité au sein de la FSSPX pendant 10 ans, suivie d’une impunité qui continue au sein de l'église conciliaire qu'il a intégrée.

L’abbé apostat Castrillon Hoyos, préfet de la Congrégation pour le Clergé, au moment des faits

Alerté sur ce dossier en 2001, Castrillón Hoyos est resté de marbre, il a protégé les délinquants.

Nous avons déjà montré le rôle qu’a joué l’abbé apostat Castrillón Hoyos pour dissuader les pseudo évêque conciliaire et leurs conférences épiscopales de sévir contre les prêtres pédophiles[20].

Tomaso Stenic, chef de bureau la Congrégation pour le Clergé et qui a fait une profession de foi homosexuelle sur les télévisions.

L'actualité des derniers mois vient également de faire éclater un énorme scandale homosexuel dans l'entourage de l’abbé apostat Ratzinger, au sommet du Vatican, à la tête de l'un des départements de cette même congrégation du clergé, qu'à dirigée l’abbé apostat Castrillón Hoyos, et qui est en charge de ces affaires de moeurs.

Il s'agit du clerc Stenico. Nous avons consacré un message VM[21].

La leçon doctrinale que nous donne l’enseignement de Saint Paul sur ces scandales

Saint Paul explique que de tels scandales parmi les prêtres viennent sanctionner divinement leur abandon de la Vérité divine

Epitre de Saint Paul apôtre aux Romains

Chapitre 1

16

Car je n'ai point honte de l'Evangile; c'est une force divine pour le salut de tout homme qui croit, premièrement du Juif, puis du Grec.

17

En effet, en lui est révélée une justice de Dieu qui vient de la foi et est destinée à la foi, selon qu'il est écrit: " Le juste vivra par la foi. "

18

En effet, la colère de Dieu éclate du haut du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes, qui, par leur injustice, retiennent la vérité captive;

19

car ce qui se peut connaître de Dieu, est manifeste parmi eux: Dieu le leur a manifesté.

20

En effet ses perfections invisibles, son éternelle puissance et sa divinité sont, depuis la création du monde, rendues visibles à l'intelligence par le moyen de ses oeuvres. Ils sont donc inexcusables,

21

puisque, ayant connu Dieu, ils ne l'ont pas glorifié comme Dieu et ne lui ont pas rendu grâces; mais ils sont devenus vains dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence s'est enveloppé de ténèbres.

22

Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous;

23

et ils ont échangé la majesté du Dieu incorruptible pour des images représentant l'homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes et des reptiles.

24

Aussi Dieu les a-t-il livrés, au milieu des convoitises de leurs coeurs, à l'impureté, en sorte qu'ils déshonorent entre eux leurs propres corps,

25

eux qui ont échangé le Dieu véritable pour le mensonge, et qui ont adoré et servi la créature de préférence au Créateur, (lequel est béni éternellement. Amen!)

26

C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions d'ignominie: leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature;>

27

de même aussi les hommes, au lieu d'user de la femme selon l'ordre de la nature, ont, dans leurs désirs, brûlé les uns pour les autres, ayant hommes avec hommes un commerce infâme, et recevant dans une mutuelle dégradation, le juste salaire de leur égarement.

28

Et comme ils ne se sont pas souciés de bien connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens pervers pour faire ce qui ne convient pas,

29

étant remplis de toute espèce d'iniquité, de malice, [de fornication], de cupidité, de méchanceté, pleins d'envie, de pensées homicides, de querelle, de fraude, de malignité, semeurs de faux bruits,

30

calomniateurs, haïs de Dieu, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents,

31

sans intelligence, sans loyauté, [implacables], sans affection, sans pitié.

32

Et bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais encore ils approuvent ceux qui les font.[22]

Continuons le bon combat

Abbé Michel Marchiset

Notice concernant l’abbé Andrés Morello,
le premier dénonciateur du séminariste Urritogoity.

L’abbé Morello a été supérieur du séminaire de la FSSPX de La Reja (Argentine) de 1981 à 1988.

Il sera ensuite muté temporairement, de février à juillet 1989 au prieuré de Santiago du Chili avant d’être expulsé le 16 juillet 1989.

Il a depuis été sacré évêque, en dehors de la FSSPX, le 30 novembre 2006, à Tonala, Jalisco au Mexique par Mgr Robert L. Neville, ancien prêtre du District US de la Fraternité ayant quitté Winona en décembre 1997, lui-même sacré évêque le 28 avril 2005 à Highland, Michigan par Mgr Robert F. McKenna, O.P., lui-même sacré évêque le 22 août 1986 à Raveau en France par Mgr. Michel Guerard des Lauriers, O.P.

Notice concernant les fonctions de l’ancien Anglican, l’abbé Williamson-‘Cunctator’, devenu Mgr. Williamson-‘Cunctator’à la Rose.

L'abbé Williamson est devenu supérieur du séminaire de la FSSPX aux États-Unis en 1982. Il a été sacré évêque par Mgr Lefebvre le 30 juin 1988. Il est resté supérieur du séminaire de la FSSPX a Winona, aux États-Unis, jusqu'en 2003.

Mgr Williamson est un ancien anglican, diplômé de Cambridge, et a eu pour mentor, l’ancien Fabien (repenti ?) Malcolm Muggeridge.

Notice concernant les fonctions de l’abbé apostat Castrillon Hoyos.

L'abbé apostat Castrillón Hoyos est originaire de Colombie.

De 1983 à 1987, il est secrétaire général du conseil épiscopal latino-américain (CELAM) dont il devient le président de 1987 à 1991.

Le 16 décembre 1992, Il est nommé au siège archiépiscopal de Bucaramanga.

En juin 1996, après sa nomination à la congrégation pour le clergé, il est notamment responsable des célébrations de commémoration du cinquantième anniversaire de l'ordination sacerdotale du pape Jean-Paul II. Il prend la direction de la congrégation du clergé en 1998. Il est créé cardinal au titre de la diaconie du Ss. Nominis Mariae ad forum Traiani par Jean-Paul II au consistoire de février 1998.

Il est nommé président de la commission Ecclesia Dei en 2000, et est chargé par là des relations avec les communautés traditionalistes.

Atteint par la limite d'âge, il est maintenu dans ses fonctions par Benoît XVI en 2005.

Il démissionne de sa charge à la congrégation du clergé le 31 octobre 2006, tout en restant à la tête de la commission Ecclesia Dei.

(source Wikipedia[23])

ANNEXE 1

Traduction d’un extrait du livre de Randy Engel

« The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church » (Le rite de sodomie - L’homosexualité et l’Église catholique romaine) - Randy Engel – New Engel Publishing, 2006

http://www.riteofsodomy.com

Page 963

« Gourou-tigoity », prédateur homosexuel démasqué

Le 11 février 1999, Mgr Bernard Fellay, Supérieur général de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie, adressa une communication officielle à Mgr Timlin pour l’informer que l’abbé Carlos Urrutigoity avait été accusé d’attentat à la pudeur sur la personne d’un séminariste placé sous sa responsabilité  spirituelle au séminaire Saint-Thomas d’Aquin de la FSSPX situé à Winona, dans le Minnesota (États-Unis d’Amérique).

            Mgr Fellay soulignait également que dès 1987, soit avant qu’Urrutigoity fût entré au séminaire de Winona, l’abbé Andres Morello, recteur du Séminaire de Marie-Corédemptrice à La Reja, Argentine, avait accusé ce prêtre de pratiques homosexuelles.

            L’abbé Morello avait dit avoir tenté de chasser Urrutigoity du séminaire de La Reja en raison de son orgueil, de son habitude de nouer des « amitiés particulières », du fait qu’il avait rassemblé autour de lui une faction de séminaristes agissant sous son influence, ainsi que de graves dénonciations sur des points de morale[24].

            Parmi les accusations portées contre Urrutigoity par des camarades séminaristes et des laïcs vivant au séminaire de La Reja figuraient ses visites nocturnes, sans invitation, dans les chambres des jeunes gens pendant leur sommeil, ainsi que les caresses et massages qu’il avait pratiqués sur les parties génitales et les fesses d’un séminariste dans les toilettes, en disant au jeune homme qu’il adorait son « petit cul pommelé ». Urrutigoity était accusé également de trop s’intéresser, en confessant ou en prodiguant des conseils spirituels, aux tentations sexuelles des pénitents et de s’être vêtu de façon immodeste lors d’un camp d’été qu’il avait organisé pour les jeunes gens du séminaire (il se baignait en slip).

            Malheureusement, l’abbé Morello ne put jamais donner suite à son projet de chasser Urrutigoity, car le séminariste avait le soutien de Mgr Alfonso de Galarreta, Supérieur de district de la FSSPX, ainsi que celui d’autres prêtres influents.

            Au lieu de cela, Urrutigoity fut envoyé au prieuré de Cordoba (Argentine), où il obtint les recommandations nécessaires pour pouvoir être transféré ensuite au séminaire de Winona de la Fraternité Saint-Pie X. Entre-temps, l’abbé Morello avait été affecté à Santiago du Chili, ce qui le mettait temporairement hors jeu[25].

            Toutefois, en juillet 1989, lorsque l’abbé Morello apprit qu’Urrutigoity allait très bientôt être ordonné à Winona, il adressa à Richard Williamson, recteur du séminaire Saint-Thomas d’Aquin, un dossier confidentiel sur l’aspirant à la prêtrise. Craignant que cet effort ne suffîse pas à empêcher l’ordination, il se rendit au séminaire en compagnie d’un associé. À leur arrivée, Williamson leur opposa la négation ou « manifestation de conscience » d’Urrutigoity, qui se proclamait innocent de ce dont on l’accusait. Williamson loua l’« humilité » d’Urrutigoity et accusa Morello et son compagnon de mensonge.

            Quelques jours plus tard, le 16 juillet 1989, Morello, qui était en conflit interne avec la FSSPX sur des points sans rapport avec l’affaire Urrutigoity, fut chassé de la Fraternité[26].

            Williamson a prétendu ensuite que s’il n’avait pas cru Morello, c’est parce qu’on lui avait signalé celui-ci comme étant lié à un groupe sédévacantiste opposé à Mgr de Galarreta. Néanmoins, il reçut l’ordre de son supérieur, Mgr Marcel Lefebvre, qui avait examiné le dossier Morello, de surveiller Urrutigoity « d’un œil d’aigle », tâche pratiquement impossible étant donné la vie secrète d’un prédateur homosexuel comme Urrutigoity[27].

            L’abbé Urrutigoity avait donc réussi à manipuler un groupe traditionaliste contre un autre pour arriver à ses fins.

            Non seulement il fut ordonné, mais on le chargea d’enseigner au séminaire Saint-Thomas d’Aquin, où on le surnommait « Gourou-tigoity »[28].

            Il n’est pas surprenant que dans sa lettre d’avertissement de février 1999 à Mgr Timlin, Mgr Fellay ait décrit Urrutigoity comme dangereux et souligne :

S’il a eu des ennuis avec les supérieurs de la Fraternité Saint-Pie X, c’est surtout parce qu’à nos yeux, il exerçait une influence étrange, anormale sur les séminaristes et les prêtres, qu’il semblait attacher à sa personnalité brillante et charismatique. Lorsqu’il m’a demandé de reconnaître la fraternité qu’il avait l’intention de fonder, j’ai mentionné explicitement parmi les motifs de mon refus cet étrange attachement personnel – analogue à celui que suscite un gourou – entre les disciples et leur chef[29].

Seconde accusation contre Urrutigoity

            Ce n’est que deux ans après que l’abbé Urrutigoity eût été chassé du séminaire Saint-Thomas d’Aquin pour « activités subversives », à savoir les préparatifs secrets de la création de la Fraternité Saint-Jean, et qu’il se fût installé dans le diocèse de Scranton, prenant provisoirement ses quartiers à l’Académie Saint-Grégoire, qu’un séminariste de Winona se présenta pour accuser le prêtre d’attentat à la pudeur.

            L’objet des tentatives de séduction et des assiduités sexuelles forcées d’Urrutigoity était un jeune homme du nom de Matthew Selinger, qui idolâtrait naguère le prêtre. Les deux hommes avaient noué une amitié particulière au séminaire, où Urrutigoity avait été le directeur spirituel du séminariste pendant deux ans avant de passer à l’acte.

            Selinger avait d’étranges histoires à raconter au sujet de l’abbé Urrutigoity.

            Il déclara qu’un jour où il était constipé, il se rendit chez l’abbé Urrutigoity pour lui demander un laxatif (du Metamucil). Le prêtre lui donna à la place un suppositoire. N’en ayant jamais utilisé auparavant, le séminariste crut que c’était un médicament administré par voie orale et le mit en bouche. Le prêtre lui en apprit l’usage correct et insista pour que le jeune homme l’introduisît en sa présence, afin d’accomplir un « acte d’humilité ». À sa grande honte, Selinger résista à cet ordre et se rendit à la salle de bain, se reprochant sans cesse de n’être pas assez mûr spirituellement pour suivre les ordres d’Urrutigoity et crucifier son « orgueil viril »[30].

            À une autre occasion, Urrutigoity invita Selinger et son ami à se baigner nus avec lui.

            Une nuit, le jeune séminariste se réveilla pour trouver le prêtre agenouillé au pied de son lit et le masturbant au point de lui occasionner une érection. Selinger dit que sa première idée avait été d’assommer le prêtre à coups de poing, mais comme l’abbé Urrutigoity était un Alter Christus, un autre Christ, il préféra se retourner et faire semblant de redormir tandis qu’Urrutigoity s’éclipsait sans bruit dans l’obscurité[31].

            L’usage original que Urrutigoity faisait des suppositoires dans le cadre de son répertoire de « grooming » (mise en condition, à des fins sexuelles, de personnes influençables) ne va pas sans rappeler les techniques employées dans le même but par le « prêtre » anglican théosophe et pédéraste du vingtième siècle Charles Webster Leadbeater[32].

            Leadbater utilisait les lavements, les manipulations génitales et l’onanisme comme moyens de stimuler la vigueur physique, psychique et spirituelle (occulte) de ses jeunes disciples. « Cette spiritualisation de la pédérastie l’absout de la culpabilité qui lui fait haïr la société. […] Sa faiblesse n’a plus rien d’ordinaire et d’humain, car il a ressenti le feu purificateur de la divinité », écrit de lui son biographe, Gregory Tillet[33].

            Avant que Selinger n’ait informé ses supérieurs de Winona qu’Urrutigoity avait sexuellement abusé de lui, le fondateur de la Fraternité sacerdotale Saint-Jean s’était retrouvé confortablement installé comme aumônier à l’Académie Saint-Grégoire, où il devait choisir sa nouvelle victime dans un vaste réservoir de jeunes gens qui, à l’instar de Selinger avant ce que le prêtre lui avait fait subir, baisaient littéralement le sol sur lequel il avait marché[34].

            En juin 1999, une réunion eut lieu à Winona entre Matthew Selinger, Williamson, recteur du séminaire, et l’équipe pastorale que le Conseil diocésain de réexamen avait chargée d’enquêter sur les accusations portées contre Urrutigoity. L’équipe pastorale comprenait l’évêque auxiliaire John Dougherty, un prêtre diocésain et un avocat du diocèse de Scranton.

            Pourtant, même après avoir lu le compte rendu du Conseil sur le témoignage de Selinger et alors qu’il savait être en présence de la deuxième accusation crédible de séduction homosexuelle et d’attentat à la pudeur portée contre Urrutigoity, Mgr Timlin décida que les preuves fournies contre le fondateur de la Fraternité sacerdotale Saint-Jean n’étaient « pas concluantes », et il ne donna aucune suite à l’affaire. Une opération classique d’étouffement était ainsi menée sous la direction de l’Ordinaire du diocèse de Scranton, avec la coopération de l’abbé Devilliers, partenaire silencieux de Timlin et Supérieur de la Fraternité Saint-Pierre.

            N’eût été le courage et la détermination du Dr Jeffrey M. Bond, Président du Collège de Saint-Justin Martyr, ainsi que le soutien moral et juridique que lui a apporté Me James M. Bendel, Procureur de Washington, cette opération d’étouffement aurait bien pu réussir.

Note 25 :

Selinger finit par quitter le séminaire, se maria et s’installa en Californie pour élever sa famille. Lorsqu’on apprit qu’il serait cité comme témoin contre l’abbé Urrutigoity dans l’affaire John Doe, l’abbé Eric Ensey, qui avait contribué à créer la Fraternité sacerdotale Saint-Jean et avait remplacé Urrutigoity un certain temps comme conseiller spirituel à Saint-Thomas (Winona), lui rendit visite pour le convaincre de quitter le pays afin de ne pas avoir à témoigner contre Urrutigoity. Il déclara à l’ancien séminariste qu’Urrutigoity avait un « problème médical » avec le pénis. Il ajouta que si le prêtre-fondateur tombait, il (Ensey) tomberait avec lui. Voyant que ces arguments n’émouvaient pas Selinger, Ensey lui dit que l’avocat d’Urrutigoity était lié à la mafia, ce qui donnait à entendre que si Selinger témoignait contre le prêtre, un malheur lui arriverait, à lui-même ou sa famille. Selinger rétorqua qu’il n’avait aucune intention de quitter sa femme et ses enfants pour échapper à une citation à comparaître et mit Ensey à la porte.

Fin de la Traduction d’un extrait du livre de Randy Engel

ANNEXE 1bis

Originaux anglais de la Traduction d’un extrait du livre de Randy Engel

« The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church » (Le rite de sodomie - L’homosexualité et l’Église catholique romaine) - Randy Engel – New Engel Publishing, 2006

http://www.riteofsodomy.com

“The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church” - Randy Engel – New Engel Publishing, 2006

http://www.riteofsodomy.com

Page 963

"Guru-tigoity" Exposed as a Homosexual Predator

In February 11, 1999, Bishop Bernard Fellay, Superior General of the Society of St. Pius X sent a formal communication to Bishop Timlin in-forming him that Father Carlos Urrutigoity had been accused of molesting a seminarian under his spiritual care at the SSPX's St. Thomas Aquinas Seminary in Winona, Minn.

Bishop Fellay also indicated that in 1987, prior to Urrutigoity's accept-ance by the Winona seminary, Fr. Andres Morello, Rector of Our Lady Co-Redemptrix Seminary in La Reja, Argentina had accused the priest of homosexual practices.

According to Fr. Morello, he had intended to expel Urrutigoity from the La Reja seminary because of his significant pride, his habit of forming "par-ticular friendships," his formation of a faction of seminarians acting under his influence and grave denunciations regarding moral matters.176

Among the accusations brought against Urrutigoity by seminarians and laymen living at the La Reja seminary were his uninvited nocturnal Visits into the rooms of young men while they were asleep, the fondling and mas­sage of a seminarian's genitals and buttocks under the guise of a medicai exam, and the touching of the private parts of a seminarian in a restroom

Page 964

accompanied by the remark, that the priest adored his "little round butt." Urrutigoity was also accused of excessive probing during confession and spiritual counseling sessions of the sexual temptations of pénitents; and immodest dress (swimming in his underwear) at a summer camp that he organized for young men from the seminary.177

Unfortunately, the planned dismissal of Urrutigoity by Fr. Morello never took place as the seminarian had the support of Bishop Alfonso de Galar-reta, the SSPX District Superior and other influential priests.

Instead of being expelled, Urrutigoity was sent to the Priory of Cordoba (Argentina) where he received the necessary recommendations that en-abled him to transfer to the SSPX seminary in Winona. By this time Fr. Morello had been posted to Santiago, Chile, so he was temporarily out of the picture.178

However, in July 1989, when Fr. Morello heard of Urrutigoity's immi­nent ordination in Winona, he sent a confidential dossier on the candidate to Rector Richard Williamson at St. Thomas Aquinas Seminary. Fearing this effort would not be sufficient to stop the ordination, Father Morello traveled to the seminary in the company of an associate. Upon their arrivai, they were confronted by Williamson with a déniai or "manifestation of con­science," by Urrutigoity who proclaimed his innocence of the charges against him. Williamson defended Urrutigoity's "humility" and accused Morello and his companion of lying.

A few days later, on July 16,1989, Morello who had been involved in an internal dispute with the SSPX on matters unrelated to the Urrutigoity affair, was expelled from the Society.179

Williamson later claimed that Morello was not believed because he was reported to be connected to a sedevacantist group in opposition to Bishop de Galarreta. Nevertheless, Williamson was ordered by his supe­rior, Archbishop Marcel Lefebvre, who had reviewed the Morello dossier to watch Urrutigoity "like a hawk," a virtualïy impossible task given the secretive life of a homosexual predator like Urrutigoity.180

Fr. Urrutigoity had successfully manipulated one traditionalist group against another for his own ends.

Not only was he ordaîned, but he was also assigned to teach at St. Thomas Aquinas Seminary were he was known as "Guru-tigoity."181

Little wonder that in his warning letter to Bishop Timlin in February 1999, Bishop Fellay described Urrutigoity as "dangerous" and noted:

The reason why he got into trouble with the Superiore of the Society of St. Pius X is mainly because we felt he had a stränge, abnormal influence on the seminarians and priests, whom he seemed to attach to his brilliant, charismatic personality. When he asked me to recognize the society he intended to found, among the reasons of my refusai, I explicitly mentioned this stränge personal, guru-like attachment between the disciples and their leader.182

Page 965

Urrutigoity Faces Second Accusation

It was not until two years after Fr. Urrutigoity had been dismissed from St. Thomas Aquinas Seminary in Winona for "subversive activities," namely, the secret planning of the Society of St. John, and had settled into the Diocèse of Scranton with temporary quarters at St. Gregory's Academy, that a Winona seminarian came forward to accuse the priest of sexual molestation.

The object of Urrutigoity's attempts at séduction and forced sexual attention was a young man named Matthew Selinger who once idolized the priest. The two men had formed a particular friendship at the seminary and Urrutigoity served as the seminarian's spiritual director for two years before making his move.

Selinger had some stränge taies to tell about Fr. Urrutigoity.

He said that on one occasion he was constipated and went to Fr. Urruti­goity to get some Metamucil. The priest offered him a rectal suppository instead. Never having used one before, the seminarian thought it was an oral médication and put it in his mouth. The priest instructed him in its cor­rect use and insisted that the young man insert it in his présence as an act of "humility." Selinger reluctantly resisted the order and went into the bathroom to insert the suppository all the while rebuking himself for not being spiritually mature enough to follow Urrutigoity's orders and crucify his "manly pride."183

On another occasion, Urrutigoity invited Selinger and his friend to swim with him in the nude.

One night, the young seminarian awoke from his sleep to find the priest kneeling by his side massaging his genitals hard enough to produce an érec­tion. Selinger said his first instinct was to punch the priest's lights out, but because Fr. Urrutigoity was an Alter Christus, another Christ, he turned over and pretended to go back to sleep while Urrutigoity quietly slipped away into the darkness.184

The novel use of rectal suppositories as part of Urrutigoity's grooming répertoire is reminiscent of the grooming techniques employed by the early 20th Century theosophist/pederast Charles Webster Leadbeater.

Leadbeater promoted enemas, genital manipulation, and onanism as a means of promoting physical, psychic and spiritual (occult) vigor among his youthful disciples. "This spirituali2ing of paederasty absolves him from the guilt which makes him hate society. ... His is no longer a common human weakness, for he has feit the cleansing fire of divinity," related Gregory Tillet, Leadbeater's biographer.185

By the time that Selinger informed his superiore at Winona that Urruti­goity had sexually molested him, the SSJ founder was safely ensconced as a chaplain at St. Gregory's Academy selecting his next victim from a large pool of young men, who like Selinger before he was molested, literally wor-shipped the ground that Urrutigoity walked on.186

Page 966

In June 1999, a meeting took place in Winona between Matthew Selinger and SSPX Rector Wiliiamson, and the pastoral team that the Diocesan Review Board had assigned to investigate the accusations against Urrutigoity. The pastoral team consisted of Auxiliary Bishop John Dougherty, a diocesan priest, and a lawyer from the Diocèse of Scrantòn.

However, even after reading the Board's report on Selinger's testimony and with the knowledge that this was the second crédible accusation of homosexual séduction and molestation against Urrutigoity, Bishop Timlin decided that the évidence against the SSJ founder was "inconclusive." He took no further action on the matter.187 A classic cover-up was underway led by the Ordinary of the Diocèse of Scrantòn with the coopération of Timlin's silent partner Fr. Devillers, Superior of the FSSP.

Were it not for the courage and détermination of Dr. Jeffrey M. Bond, President of the College of St. Justin Martyr and the moral and legal sup­port given to Dr. Bond by Washington State attorney James M. Bendell, the cover-up may well have succeeded.

Notes

176       See http://www.saintjustinmartyr.org/news/CarlosUrrutigoityinLaReja.htm. Fr. Morello was rector of the SSPX seminary in La Reja from 1981-1988. He is currently the rector of a group called "Campania de Jesus y de Maria" located in the Andes.

177       Ibid.

178       Ibid.

179      Ibid.

180      Ibid.

181      Terrie Morgan-Sesecker, "Accuser to get reports in priests," March 24, 2004, Times Leader.

182      Ibid.

183      Deposition of Matthew Selinger in Civil Action No. 02-0444 in Pittsburgh, PA on October 24,2003.

184      Ibid.

185      See Tiltett, The Eider Brother.

186  Selinger eventually left the seminary, married and settled in California to raise a family. When it became known that he would likely be subpoenaed to testify against Fr. Urrutigoity in the Case of John Doe, Fr. Eric Ensey who helped found the SSJ and who replaced Urrutigoity as spiritual advisor for a time at St. Thomas in Winona, paid a visit to Selinger and attempted to persuade him to leave the country to prevent him from being called as a witness against Urrutigoity. He told the former seminarian that Urrutigoity had "a medicai protocol" about the penis. He said that if the priest-founder went down he would take him (Ensey) and the whole order down with him. When thèse arguments failed to move Selinger, Ensey said that Urrutigoity's lawyer had connections to the Mafia—a suggestion that implied that harm might come to Selinger or his family if he testified against the priest. Selinger said he had no intention of leaving his wife and children to escape a subpoena and showed Ensey the door.

187 Jeffrey Bond Fourth Open Letter of May 19, 2002 to Bishop Timlin, Diocèse of Scranton at http://www.saintjustÌnmartyr.org/news/BishopTimlinOpenLetter4.html.

Fin des Originaux anglais de la Traduction d’un extrait du livre de Randy Engel

ANNEXE 2

Dossier de l’affaire Urrutigoity dans le diocèse de Scranton
sur les pages Web internet des USA

http://www.saintjustinmartyr.org/news/notices.html

TOUT le dossier de l’affaire Urrutigoiti dans le diocèse de Scranton, (lettres, correspondance, jugements, témoignages, articles...) se trouve sur cette page web et dans ses 9 renvois.

Latest new content...
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 I. The Case Against SSJ
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 II. Newspaper Articles
Wednesday, July 12, 2006
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 III. Letters to Bishop Timlin
and Bishop Joseph F. Martino
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 IV. Lawsuits Against the SSJ
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 V.   Affidavits
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 VI. Rev. Munkelt's Statement
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 VII. Financial Misconduct
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 VIII. St. Gregory's Academy
The Sexual and Financial Misconduct
of the Society of St. John
 IX. Church Tribunal Petitions
[]

On October 14, 2001, the College of St. Justin Martyr formally dissociated itself from the Society of St. John (SSJ), a clerical association in the Diocese of Scranton, Pennsylvania. Since that time, the College has striven to expose the moral corruption of the SSJ. Although the primary purpose of the College is to establish itself as a great books liberal arts College with an orthodox Catholic character, the College strongly believes it has a moral obligation to prevent the SSJ from doing further harm to young souls and from continuing to deceive Catholic donors.

The College’s moral battle against the SSJ has brought it into direct conflict with Bishop James C. Timlin, who inexplicably persists in supporting and protecting the SSJ despite the overwhelming evidence of sexual and financial misconduct by SSJ members. In retaliation for the College’s efforts to inform the Diocese of the SSJ’s grave misconduct, Bishop Timlin has sought to obstruct and harm the legitimate business and goals of the College. In response to Bishop Timlin’s gratuitous attack, the College has filed lawsuits against the Diocese and the SSJ. Readers are invited to inform themselves of the case against the SSJ by accessing the documents and articles posted herein.

La bataille morale du Collège a débouché sur un conflit direct avec l’évêque James C. Timlin, qui, inexplicablement s’obstine à prendre la défense de la SSJ et à la protéger en dépit des preuves accablantes de l’inconduite sexuelle et financière de ses membres. En représailles des efforts du Collège pour chercher à informer le Diocèse de la grave inconduite de la SSJ, l’évêque Timlin a tenté de bloquer et de porter préjudice à l’administration et aux buts légitimes du Collège. En réponse à cette attaque gratuite de l’évêque Timlin, le Collège a engagé des poursuites judiciaires contre le Diocèse et la SSJ. Les lecteurs sont invités à s’informer par eux-mêmes de l’affaire judiciaire engagée contre la SSJ en se référant aux documents et articles qui ont été mis en ligne ici.

1.1.1.1.1   V. Affidavits on the SSJ Scandal

  1.) Mr. Jude Huntz's Affidavit on the SSJ

  2.) Mr. Paul Hornak's Affidavit on the SSJ

  3.) Br. Alexis Bugnolo's Letter on the SSJ

  4.) Mr. Joseph Sciambra's Affidavit on the SSJ

  5.) Diane Toler's Affidavit on the SSJ

  6.) Affidavit of a Former SSJ Novice

  7.) Mr. Conal Tanner's letter to Bishop Timlin 

  8.) Affidavit of Mr. Joseph Girod 

  9.) Affidavit of Mrs. Louise Carbonaro new!

ANNEXE 2bis

Lettre ouverte du Dr. Jeffrey M. Bond, President du College of St. Justin Martyr, et témoignage de l’abbé Andrés Morello au sujet de l’affaire Urrutigoity

http://www.saintjustinmartyr.org/news/CarlosUrrutigoityinLaReja.htm

September 2, 2002

Dear Friends,

In a letter dated December 8, 2001, I revealed that Fr. Carlos Urrutigoity, the founder and former superior general of the Society of St. John, had been dismissed for homosexual behavior when he was a seminarian at the Society of St. Pius X (SSPX) seminary in La Reja, Argentina. In that same letter, I noted that Urrutigoity, after he had been dismissed from the seminary in La Reja, was admitted as a seminarian into the SSPX seminary in Winona, Minnesota, where he was eventually ordained and made a professor. Finally, I further mentioned that Fr. Urrutigoity was subsequently expelled from the seminary in Winona as a result of his subversive activities.

My letter left many readers with the same question: How could it be that the SSPX dismissed Carlos Urrutigoity for homosexual behavior from one of its seminaries, but subsequently accepted him into another SSPX seminary, and then ultimately ordained him a priest and even made him a professor there?

I put this same question to Bishop Richard Williamson of the SSPX whom I contacted shortly after I learned that Fr. Urrutigoity had been accused of homosexual behavior as far back as his seminary days in La Reja. Bishop Williamson explained to me that Carlos Urrutigoity had indeed been dismissed from the SSPX seminary in La Reja for homosexual behavior, but that he was received into the SSPX seminary in Winona because the key SSPX authorities in North and South American did not believe the charges against him.

According to Bishop Williamson (and others within the SSPX with whom I spoke), the charges against then seminarian Urrutigoity were not believed because of a deep division that was then taking place within the SSPX district in South America. Fr. Andres Morello, the rector of the SSPX seminary in La Reja, was the head of the sedevacantist group. The District Superior, then Fr. Alfonso de Galarreta, led the opposing group. The division was apparently so intense that the two factions avoided each other. As a result, the SSPX authorities—other than Fr. Morello—were willing to believe that the charges of homosexual behavior made against seminarian Urrutigoity were trumped up. Urrutigoity himself claimed that he was being persecuted and slandered because of his stance against Fr. Morello's group.

Bishop Williamson further explained that when seminarian Urrutigoity arrived in Winona, he was questioned and given the opportunity to write a defense, or "manifestation of conscience," in response to the accusations against him. Bishop Williamson then presented Archbishop Lefebvre himself with Urrutigoity's written defense. According to Bishop Williamson, Archbishop Lefebvre, after reading Urrutigoity's defense, told Bishop Williamson to admit Urrutigoity to the seminary, but to "watch him like a hawk."

Bishop Williamson then told me that he never saw any evidence of Urrutigoity's homosexuality while Urrutigoity was a seminarian, priest, or professor at Winona. Bishop Williamson said that Fr. Urrutigoity was eventually expelled from the seminary in Winona not for homosexuality, but for subversive activities, namely, the secret planning of the Society of St. John in concert with others. Bishop Williamson hastened to add, however, that after Fr. Urrutigoity had been expelled from Winona, a young seminarian, who had left Winona with him, subsequently accused Fr. Urrutigoity of homosexually molesting him. This young seminarian, with whom Fr. Urrutigoity had had a very close particular friendship at Winona, had been under Fr. Urrutigoity's spiritual direction for two years before Fr. Urrutigoity molested him.

Bishop Williamson also told me that he had accompanied this young seminarian when he gave testimony against Fr. Urrutigoity at a Diocese of Scranton inquiry in July 1999. The inquiry was held at the request of Bishop James Timlin of Scranton who sent his auxiliary bishop, John Dougherty, along with another diocesan priest and an attorney, to hear this young seminarian's testimony. Bishop Bernard Fellay of the SSPX had set this whole process in motion when he formally accused Fr. Urrutigoity in a letter to Bishop Timlin dated February 11, 1999. Bishop Fellay had sent this letter to Bishop Timlin because Bishop Timlin had welcomed Fr. Urrutigoity and his followers into the Diocese of Scranton after Fr. Urrutigoity's expulsion from Winona. At the time of Bishop Fellay's formal communication to Bishop Timlin, Fr. Urrutigoity was working as a chaplain at St. Gregory's Academy, an all-boys high school in Elmhurst, Pennsylvania, owned and operated by the Fraternity of St. Peter. Despite Bishop Fellay's letter and the testimony of the molested seminarian, Bishop Timlin allowed Fr. Urrutigoity to continue in his position as chaplain to adolescent boys.

In order to learn more about the charges against seminarian Urrutigoity, I next contacted Fr. Andres Morello, the former rector of the SSPX seminary in La Reja. Fr. Morello is currently the rector of a group called "Campania de Jesus y de Maria" located in the Andes. I wrote to Fr. Morello to ask him about the accusations against Carlos Urrutigoity while he was a seminarian at La Reja. Below is a literal translation of Fr. Morello's response :

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I was the rector of the seminary of La Reja from 1981 until 1988, having been previously the vice-rector; therefore I was able to witness the behavior of now Father Urrutigoity all throughout his stay in that seminary

I was transferred to the priory of Santiago in Chile in 1989, and I remained there from February until July of the same year. I was expelled because of a denunciation or better said a confidential request I made for a canonical investigation of some priests members of the Society of St. Pius X, and also because of the support I gave to some seminarians who left the seminary of La Reja.

When I was rector at the seminary of La Reja, I had the intention of expelling the then seminarian Carlos Urrutigoity for a number of reasons, mainly:

- a significant pride

- maintaining particular friendships

- forming a faction of seminarians under his influence

- grave denunciations regarding moral matters (probably the very ones you already know about)

Against my intention of expelling him, as the product of a delicate situation of intrigues which at the time affected the seminary, and undoubtedly with the support of certain priests and the then superior of the district (bishop de Galarreta), instead of being expelled he was sent to the priory of Cordoba (Argentina). The good recommendations obtained there, as well as the support which I just mentioned, motivated his transfer to the seminary of Winona (USA). Meanwhile I had already been posted at Santiago, Chile.

His imminent ordination to the major orders obliged me in conscience to write a confidential report to the rector of Winona's seminary, bishop Williamson, in order to stop the ordination. A canonical report of such characteristics demanded reciprocal confidentiality, and in particular to keep it secret from the person in question. Bishop Williamson made it known to the then seminarian Urrutigoity so that he could defend himself from our accusations.

On July 1989 we traveled to Winona, and bishop Williamson read to us the defense of Father Urrutigoity, defended his "humility" and accused us of lying. A few days later, on July 16, 1989, I was expelled from the Society.

You know better than I the rest of the story.

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According to Fr. Morello's account above, he not only sought to expel Urrutigoity from La Reja for the four reasons stated, but he even traveled all the way to Winona from Chile to argue against Urrutigoity's ordination to the priesthood. The "grave denunciations in moral matters," which Fr. Morello mentions as the fourth reason for expelling Urrutigoity, were set down in writing as part of a dossier given to Archbishop Lefebvre when Fr. Morello requested a canonical investigation of certain SSPX priests (as Fr. Morello explains in his letter above). The accusations of homosexual behavior made against seminarian Urrutigoity appear in this dossier as part of a report entitled "Documento No. 2." This report was signed by a group of priests and seminarians from the seminary of La Reja. Below is a literal translation from the three pages of "Documento No. 2" which focus solely on Urrutigoity:

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Page 4, three last paragraphs.

The third case is the one of seminarian Carlos Urrutigoity. Here the subject becomes profoundly disagreeable because of the turpitude of the issues involved, and therefore it is for us very difficult to speak about them. This is why we will only present to you the most serious items.

During his stay in the seminary of La Reja, this seminarian was denounced by a young layman who lives in the seminary, for the following reasons which became most serious as the time passed. Frequently the seminarian brought up in conversation the subject of chastity. He asked him if he had temptations and what did he do in such cases. Also he asked him whether he was a virgin, or if he performed dishonest acts alone or with women.

In a particular conversation he asked him if he went to the movies, and if the films excited him provoking temptations. The lad answered yes, and Urrutigoity asked if this prompted him to search for women, to which the young man replied again yes. Then the seminarian asked if he would consider making the dishonest act with a man. The lad said no.

Page 5.

The same witness denounced as well the seminarian for entering his room without knocking previously. One night at about 3:00 AM he woke up and found him inside the room uncovering him. The excuse that Urrutigoity gave next day was that he had entered the room in order to cover him. Before this situation the lad went to Father Canale, a priest whom he trusted. He laughed and said to him: "The only thing I can tell you is to lock the door." Father Canale was therefore fully aware of the situation and he never talked about it with the superior of the house.

The witness says also that on one occasion the seminarian entered into his room and, finding him in bed, told him that he had a fever. The lad replied that he was feeling well, but Urrutigoity insisted that he had a fever and that in order to confirm it he was going to fondle his genitals to see if they were inflamed, and he did it.

One day Carlos Urrutigoity gave him underwear, insisted that he should get naked and try it on before him to see if it fit. He proposed that he take measurements every week of his physical development, naked and with his back towards the wall, which the young man refused to do.

He gave him a shot and insisted on massaging his buttocks, which he did.

We finish here the testimony of the young man, and we wish to make it clear that these are not all the incidents, just those which we consider more relevant.

A seminarian declares that being in the restroom he touched him in his private parts, and that often he told him things about the private parts, among others that "he adored his buttocks" (the seminarian had not yet received the soutane). He said: "I adore your little round butt" (and made a gesture with his hands).

Another seminarian tells us that he asked him about the sexual life of his past and about his present temptations.

Two traditional young laymen declare that during a summer camp organized by Carlos Urrutigoity - with the inexplicable authorization of Bishop de Galarreta, who knew about the situation, and while the seminarian was in the priory of Cordoba under observation because of his disciplinary problems - he went to the river with a group of young men. There he removed his clothes before the others and remained in underwear. One of the youngsters offered immediately a swimming suit which Urrutigoity rejected, and in such attire he bathed in the river.

(Handwritten) De Galarreta did not expel him because of the problems this could cause, especially with the Calderon family.

We ask your forgiveness, Father, for writing about these unpleasant issues but we consider it necessary since nobody has heard our complaints. What worries us right now is that (a) the superiors know about this situation. Not only was the seminarian not expelled, but the solution to his moral and disciplinary problems is simply to send him to another seminary. (b) Carlos Urrutigoity is about to receive major orders in Winona, USA. (c) a serious investigation was never started.

Page 6, first paragraph.

We are worried and scandalized by all this. We have tried by all means to inchoate an investigation to no avail. Bishop de Galarreta made it impossible to take measures against him, and despite the fact that he now acknowledges his mistake, he still does nothing to repair it.

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Those who are familiar with Fr. Urrutigoity's more subtle modus operandi will readily recognize in the testimony above the incipient techniques of a sexual predator who was not yet able to manipulate others by means of the full authority of the priesthood. Indeed, the above account confirms reports of Fr. Urrutigoity's frequent initiation of discussions on "chastity" in order to test the willingness of his objects of seduction. And given what is already known about Fr. Urrutigoity's fondness for suppositories, it is not surprising to read about seminarian Urrutigoity's efforts to manipulate "medical problems" for his own perverse purposes. We also see in the account above a slightly more modest version of Fr. Urrutigoity's willingness to parade naked in front of potential victims. Moreover, we see here further testimony of Fr. Urrutigoity's penchant for late night visits to those who are asleep and thereby vulnerable to his advances. Although Document No. 2 does not accuse seminarian Urrutigoity of sleeping in the same bed with other seminarians, there is ample testimony that Fr. Urrutigoity slept one-on-one with seminarians under his authority at Winona, and with boys and young men under his spiritual direction at St. Gregory's Academy and at the Society of St. John's property in Shohola.

Document No. 2 and Fr. Morello's letter also reveal that Fr. Urrutigoity's present suspension is nothing new for him. Carlos Urrutigoity has been formally accused of homosexual molestation in three different places, yet each time he has managed to evade justice by enlisting episcopal support. Urrutigoity was first accused, as we have seen above, when he was a seminarian in La Reja, Argentina. After Urrutigoity was ordained a priest, and soon after he left the seminary in Winona, Minnesota, he was accused again, this time by the young seminarian who left Winona with him. The third accusation was made in a federal lawsuit by a graduate of St. Gregory's Academy when Urrutigoity was the superior general of the Society of St. John. Note that Fr. Urrutigoity's victims came from three completely different backgrounds and that they knew nothing about the prior victims. Hence, there is absolutely no basis for the Society of St. John's claim that the accusations of homosexual molestation reflect a conspiracy against Fr. Urrutigoity.

Note also that even those who initially found themselves on opposite sides, such as Bishop Williamson and Fr. Morello, are now all agreed on at least one thing: Carlos Urrutigoity is a homosexual predator. How then can Bishop Timlin, without whose assistance and support Fr. Urrutigoity would have long ago been stopped, continue to protect this Rasputin in a Roman collar? Although Bishop Timlin has been repeatedly warned that Fr. Urrutigoity continues even to this day to create scenarios that place him in the company of young men, Bishop Timlin still does nothing but claim that all the accusations against Fr. Urrutigoity have been fabricated by his enemies.

All who are disgusted with Bishop Timlin's failure to protect his flock from a clear and present danger should write to him at xxxxxx. I also encourage all concerned parties to contact Mr. Andrew Jarbola, the District Attorney of Lackawanna County: (1) to exhort him to ensure that the ongoing criminal investigation of Fr. Urrutigoity and Fr. Eric Ensey is both rigorous and independent of diocesan influence; and (2) to ask why there is no news of impaneling a grand jury.

Sincerely,

Dr. Jeffrey M. Bond
President
The College of St. Justin Martyr
142 Market Road
Greeley, PA 18425

jmb3@ltis.net
www.saintjustinmartyr.org

ANNEXE 3

Chronology

http://www.freerepublic.com/focus/f-religion/1292797/posts

Chronology

Date

Who

What

1987-88

SSPX Argentina

Accusations of sexual misconduct by Fr. Urrutigoity in the wake of his departure from the seminary of the SSPX in La Reja, Argentina. Despite these accusations, Fr. Urrutigoity is accepted into the seminary of the SSPX in the USA.

May 1997

SSPX USA

Fr. Carlos Urrutigoity, along with another priest and 2 seminarians are expelled from the seminary of the SSPX in the USA. Six other seminarians soon leave as well. We are told that the reason for the expulsion is that they were planning to found a new religious order.

1997

Diocese of Scranton

The former priests and seminarians of the SSPX find refuge in the Diocese of Scranton PA, where the Fraternity of St. Peter has its North American HQ. Bishop Timlin of the Diocese of Scranton accepts them without doing background checks.

1998

Diocese of Scranton

Accusations of sexual misconduct by Fr. Urrutigoity in the wake of his departure from the seminary of the SSPX in Winona, MN. After a diocesan inquiry is held, Bishop Timlin of the Diocese of Scranton decides that there is insufficient evidence, despite a letter of condemnation from Bishop Fellay of the SSPX.

1998

Institute of Christ the King

Fr. Marshall Roberts is expelled from the seminary of the Institute of Christ the King because of accusations of sexual misconduct. He finds refuge in the SSJ.

March 1998

St. Gregory's Academy, FSSP

The police are called in by Fr. Paul Carr of the FSSP (Fraternity of St. Peter) after it is discoverd that the priests of the SSJ have served alcohol to minors (boys).

Aug-Oct 2001

Dr. Bond of St. Justin Martyr College

Dr. Bond, HeadMaster of St. Justin Martyr College, which is affiliated with the SSJ, learns of the sexual misconduct of Fr. Urrutigoity. Dr. Bond then begins a series of discussions with Bishop Timlin, and with the SSJ. Bishop Timlin refuses to suspend any of the SSJ priests, despite evidence of wrongdoing. The SSJ refuses to admit there is a problem.

Oct 14, 2001

Dr. Bond of St. Justin Martyr College

Dr. Bond decides that St. Justin Martyr College must separate from the SSJ.

Nov 19, 2001

Dr. Bond of St. Justin Martyr College

Dr. Bond sends letters to Apostolic Nuncio for USA and to Cardinal Hoyos, Prefect for the Clergy, telling them about the sexual misconduct of Fr. Urrutigoity. 

Nov 21, 2001

Fr. Urrutigoity

Fr. Urrutigoity threatens Dr. Bond with libel.

Dec 8, 2001

Dr. Bond of St. Justin Martyr College

Sexual misconduct by Fr. Eric Ensey becomes known. Dr. Bond issues a public notice to concerned Catholics.

Jan 12, 2002

Diocese of Scranton

The Diocese of Scranton receives a letter of complaint from one of those molested by Fr. Urrutigoity.

Jan 15, 2002

Roman Catholic Faithful (organization)

Press Release, asking for suspension of Fr. Urrutigoity and any other priests involved in sexual misconduct, for resignation of Bishop Timlin, for criminal investigation.

Jan 25, 2002

Diocese of Scranton

Bishop Timlin transfers Frs. Urrutigoity and Ensey elsewhere in the Diocese of Scranton, but does not suspend them.

Jan 26, 2002

Times Leader (paper)

News of the scandal hits the secular press.

Feb 6, 2002

Dr. Bond of St. Justin Martyr College

Fr. Marshall Roberts becomes a third suspected sexual offender.

Feb 27, 2002

Scranton Times-Tribune (paper)

The DA's office of Lackawanna County, PA, launches an investigation into allegations of sexual misconduct by members of the SSJ.

Mar 20, 2002

National Review Online (paper)

A former student of St. Gregory's Academy launches a $1 million lawsuit against the SSJ, FSSP and Diocese of Scranton.

Mar 28, 2002

St. Justin Martyr College

Fr. Richard Munkelt, formerly with the SSJ, comes forward with further insights into the scandal.

ANNEXE 4

Extraits d’informations au sujet d’Urrutigoity et de Williamson

(Traduction de l’annexe 5)

http://www.sspxseminary.org/whoweare/winona.shtml

A l’automne 1993[35], le Séminaire fut doté de deux nouveaux professeurs : les abbés Juan Iscara et Carlos Urrutigoity. L’abbé Iscara assumait les charges de l’enseignement de la Théologie Morale et de l’Histoire de l’Eglise. L’abbé Urrutigoity devint professeur de Dogme, de Latin et de Musique Sacrée. C’est sous l’influence de l’abbé Urrutigoity que le Séminaire ne tarda pas à commencer à se centrer fortement sur le perfectionnement des séminaristes dans le chant Grégorien.

L’année académique 1996-97 avait commencé sans heurts, mais alors qu’approchait le second semestre, une certaine agitation gagnait le Séminaire. Des cliques s’étaient constituées, et un fosse sans cesse plus large devenait perceptible, opposant en toute chose les séminaristes du domaine de la Liturgie à celui du Chant Grégorien et jusqu’au activités de détente. Les signes avant-coureurs du problème semblaient insignifiants, mais sous-jacent à des différences mineures de goût se faisait jour un “Médiévalisme” malsain – le désir de “restaurer” le véritable curriculum reconstitué selon un “modèle médiéval” à la sauce romantique, en abandonnant ce que l’on dénommait les excès et déviations qui aurait été apportés par la Contre-Réforme. C’est cinq mois plus tard que l’on a découvert qu’une société de dissidence avait été secrètement  planifiée. La Société de Saint Jean avait en effet été conçue pour établir une vie religieuse débarrassée des “déviations” ainsi méprisées (lesquelles étaient en fait les gloires de l’Eglise).

Ce retour à un Age d’Or imaginaire était, en fait, la construction de quelque chose de complètement nouveau ; Le Moyen Age est révolu et son retour est impossible. Pour tenter de réaliser un tel projet dans le monde d’aujourd’hui, il aurait été nécessaire d’introduire des nouveautés qui n’ont jamais existé au cours de l’histoire de l’Eglise, encore moins au Moyen Age. C’est précisément ce que les Modernistes ont fait au Concile Vatican II. Chaque innovation était justifiée par l’appel au retour à la pureté originelle de l’ancienne Eglise, alors que dans le même temps n’était jamais avouée l’intention de se décharger des charges que nous impose la vie selon la doctrine et les lois de l’Eglise.

Après de longs atermoiements, Mgr. Williamson a démis du Séminaire le “talentueux, mais fier jeune prêtre Argentin” (pour reprendre les propres mots de l’évêque) qui avait été le fer de lance du plan de cette nouvelle société. Il avait vu ceci se passer auparavant : un prêtre récemment ordonné, intellectuellement brillant, utilisant ses capacités pour s’efforcer de réformer la FSSPX à sa propre image, pour finalement, frustré dans ses plans, recourir à la subversion et à la désobéissance – en entraînant d’autres dans sa chute. De tels hommes devaient suivre leur chemin, tandis que le Séminaire devait continuer à tenir ce qu’il avait reçu de l’Archevêque Lefebvre.

As a consequence of this affair, the Seminary lost two priests and over 12 seminarians. Following these painful events, the Seminary was solemnly consecrated to the Sacred Heart of Jesus on June 6th, to give glory to His name and reaffirm that the Seminary is His domain.

http://www.christorchaos.com/MarchtoOblivion.htm

Néanmoins, pourtant, ul demeure plus d’une poignée de prêtres de la Société Saint Pie X et de la Fraternité sacerdotale Saint Pierre qui jettent des yeux ravis sur l’Ordo Missae de 1965, qui est resté en vigueur Durant tout juste cinq années avant d’être remplacé par le Novus Ordo Missae lui-même (ce qui a constitué une période précisément de trois ans plus longue que celle durant laquelle le Missel modernisé de 1961 de Jean XXIII avait été en vigueur). Il y a encore des prêtres dans la Société Saint Pie X, par exemple, qui demeurent, quoiqu’en privé, des adeptes des conceptions liturgiques de l’abbé Carlos Urrutigoity, le fondateur de la corrompue Société de Saint Jean, laquelle a, à présent, trouvé refuge sous la protection, croyez le ou non, de l’évêque conciliaire de Ciudad del Este au Paraguay, Rogelio Livieres Plano (lequel a envoyé une lettre de soutien de la Société de Saint Jean, le 8 Septembre 2006), un petit fait qui devrait prouver que la perversion n’est nullement un empêchement pour être accueilli à bras ouverts dans les quartiers généraux de l’église conciliaire.

La conviction de Urrutigoity, telle qu’il l’a exprimée lui-même devant moi personnellement au cours d’une interview qu’il m’a accordée à Shohola, Pennsylvania, en Novembre 1999, est que "nous devrions considérer dans quelle direction la liturgie se serait développée" si les "polémiques" des années 1960 n’étaient pas intervenues. En d’autre mots, "nous" devrions rester ouverts au changement liturgique en sorte de ne pas "cimenter" la Messe selon un Missel quel qu’il soit, raison pour laquelle Urrutigoity, qui avait le plein soutien de la Commission Pontificale Ecclesia Dei, qu’il n’hésiterait pas à utiliser de temps à autres le Missel de 1910 ou le Missel de 1955 ou le Misse de 1962 ou le Missel de 1965, mais en aucun cas le Missel de 1969, ainsi qu’il le soulignait. Urrutigoity déclarait ainsi être en faveur d’un certain degré d’expérimentation liturgique "approuvée", point de vue qu’il enseignait au cours de ses années de professorat au Séminaire Saint Thomas d’Aquin à Winona, Minnesota, avant son expulsion de la Société Saint Pie X en 1998 environ.

Il se trouvait à Winona des séminaristes pour soutenir l’approche liturgique d’Urrutigoity, mais n’osaient pas s’opposer à l’héritage de l’Archevêque Lefebvre en le suivant lui, Urrutigoity, hors de la Société Saint Pie X. Il existe au moins un courant de sympathie pour les conceptions liturgiques d’Urrutigoity au sein de certains cercles de la Société Saint Pie X. Ainsi, la chose elle-même qui a dévasté tant d’âmes dans la contrefaçon d’église que constitue l’église conciliaire, à savoir l’expérimentation liturgique, rencontre, à des degrés divers, un soutien parmi des prêtres de la Société Saint Pie X, comme parmi quelques "prêtres" au sein de la Fraternité sacerdotale Saint Pierre, laquelle incorpore dans ses rangs en France le "lot" additionnel de "prêtres" qui vont célébrer le service Protestant et Judéo-Maçonique que constitue le Novus Ordo Missae à la requête de l’évêque local conciliaire (cf. de Griff Ruby LA RESURRECTION DE L’EGLISE CATHOLIQUE ROMAINE, une excellente recension de toute l’histoire du mouvement Traditionnel, "honnête et balancée" ainsi qu’un certain réseau de propagande sous obédience Maçonnique en fait lui-même la promotion).

ANNEXE 5

Extracts froms news about Urrutigoity and Williamson

http://www.dailycatholic.org/issue/04May/may28ttt.htm

While he was a tiller of souls as the gardener of the harvest, he also found the necessity to weed out those who would weaken the soil. Such was the situation in 1997 when he expelled Father Carlos Urrutigoity and two seminarians from St. Thomas Aquinas Seminary. They subsequently took up refuge in the troubled diocese of Scranton, welcomed by the undiscerning Bishop Timlin who ignored the warnings of Bishops Williamson and Fellay. Now Timlin's successor in Scranton is reaping the bitter fruits of sexual abuse lawsuits by priests of the Society of Saint John which the rebellious Urrutigoity formed when he could not pass muster under Williamson's watchful, careful scrutiny. Thank God the Bishop was a good gardener and one of the signs of the SSPX to guard carefully not only the Sacred Deposit of the Faith, but the virtues of chastity and modesty.

http://www.sspxseminary.org/whoweare/winona.shtml

In the fall of 1993, the Seminary received two new professors: Fr. Juan Iscara and Fr. Carlos Urrutigoity. Fr. Iscara assumed duties teaching Moral Theology and Church History. Fr. Urrutigoity became professor of Dogma, Latin and Sacred Music. Through Fr. Urrutigoity’s influence, the Seminary would soon begin to focus heavily on perfecting the Gregorian chant of the seminarians.

(…)

The 1996-97 academic year began smoothly, but as the second semester approached, there was a certain restlessness at the Seminary. Cliques had formed, and an ever-widening rift became perceptible, dividing seminarians in everything from the Liturgy to Gregorian Chant to recreational activities. The initial signs of the problem seemed insignificant, but underlying the minor differences in taste was an unhealthy “Medievalism” – the desire to “restore” the tried and true curriculum according to a romanticized “medieval model,” leaving behind what were termed the excesses and deviations brought about by the Counter-Reformation. Five months later, it was discovered that a break-away society was secretly being planned. The Society of St. John was to establish a religious life without the despised “deviations” (which were in fact the glories of the Church).

This return to an imagined Golden Age was, in fact, the construction of something completely new; the Middle Ages are past and its return is impossible. In trying to execute such a project in today’s world, it would be necessary to introduce novelties that never existed in the history of the Church, much less in the Middle Ages. This is precisely what the Modernists did at Vatican II. Every innovation was justified by the call of a return to the pristine purity of the ancient Church, while alongside there was the never avowed intention of avoiding the burdens that life according to the Church’s doctrine and laws, and our own statutes, impose upon us.

After a long build-up, Bishop Williamson dismissed from the Seminary the “talented but proud young Argentinian priest” (to quote the Bishop) who had spearheaded the plans for the new society. He had seen this happen before: a recently-ordained, intellectually brilliant priest using his skills in an effort to reshape the SSPX in his own image and finally, when frustrated in his plans, resorting to subversion and disobedience – taking others with him in his fall. Such as these would have to go their own ways, while the Seminary continued to hand on what it received from Archbishop Lefebvre.

As a consequence of this affair, the Seminary lost two priests and over 12 seminarians. Following these painful events, the Seminary was solemnly consecrated to the Sacred Heart of Jesus on June 6th, to give glory to His name and reaffirm that the Seminary is His domain.

http://www.christorchaos.com/MarchtoOblivion.htm

Nevertheless, however, there are more than a handful of priests in the Society of Saint Pius X and in the Priestly Fraternity of Saint Peter who look fondly upon the Ordo Missae of 1965, which was in place for just five years before being replaced by the Novus Ordo Missae itself (which was a period precisely three years longer than the modernized 1961 Missal of John XXIII had been in place). There are still some priests in the Society of Saint Pius X, for example, who remain supportive, albeit privately, of the liturgical views of Father Carlos Urrutigoity, the founder of the corrupt Society of Saint John, which has now taken refuge under the protection, believe it or not, of the conciliar bishop of Ciudad del Este in Paraguay, Rogelio Livieres Plano (who issued a letter in support of the Society of Saint John on September 8, 2006), a little fact that should prove that perversion is no impediment to being welcomed in the official quarters of the conciliar church.

Urrutigoity's belief, expressed to me personally in an interview I conducted with him in Shohola, Pennsylvania, in November of 1999, is that "we should see where the liturgy would have gone" had there not been the "polemics" of the 1960s. In other words, "we" should be open to liturgical change so as not to "cement" the Mass according to any one Missal, which is why Urrutigoity, who had the full support of Pontifical Commission Ecclesia Dei, said that he would sometimes use the Missal of 1910 or the Missal of 1955 or the Missal of 1962 or the Missal of 1965, but never the Missal of 1969, he emphasized. Urrutigoity thus was in favor of  some degree of  "approved" liturgical experimentation, a view that he professed during his days as a teacher at Saint Thomas Aquinas Seminary in Winona, Minnesota, before his expulsion from the Society of Saint Pius X circa 1998.

There were some seminarians in Winona who supported Urrutigoity's liturgical approach but who did not want to denounce the late Archbishop Lefebvre by following him, Urrutigoity, out of the Society of Saint Pius X. There is at least some sympathy for Urrutigoity's view of the liturgy in some circles with the Society of Saint Pius X. Thus the very thing that has so devastated souls in the counterfeit church of conciliarism, liturgical experimentation, has varying degrees of support among some priests in the Society of Saint Pius X and among a few "priests" in the Priestly Fraternity of Saint Peter, which has the additional "baggage" of "priests" within its ranks in France who will celebrate the Protestant and Judeo-Masonic service that is the Novus Ordo Missae at the behest of the local conciliar bishop (see Griff Ruby's THE RESURRECTION OF THE ROMAN CATHOLIC CHURCH, an excellent review of the entire history of the Traditional movement, "fair and balanced" as a certain Masonically-owned cable propaganda network advertises itself).

http://www.angelqueen.org/forum/viewtopic.php?t=5849

Photocopiez et diffusez

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[1] Cf. messages VM des 17 septembre et 02 octobre 2007 :

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-02-C-00-Societes_secretes_europeennes.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-A-00-Mgr_Williamson_Muggeridge.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-B-00-Mgr_Williamson_Actions_US.pdf

[2] Cf. message VM des 15 et 18 octobre 2007 :

http://sww.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-15-A-00-Blason_Williamson_Cunctator.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-18-A-00-Coat-of-arms_Williamson_Cunctator.pdf

[3] http://www.virgo-maria.org/D-Mgr-Williamson-leurre/index_mgr_williamson_leurre.htm

[4] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-A-00-Mgr_Williamson_Muggeridge.pdf

[5] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-15-A-00-Blason_Williamson_Cunctator.pdf

[6] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-B-00-Mgr_Williamson_Actions_US.pdf

[7] TOUT le dossier de l’affaire Urrutigoiti dans le diocèse de Scranton, (lettres, jugements, témoignages, articles...) se trouve sur cette page internet et dans ses 9 renvois :

http://www.saintjustinmartyr.org/news/notices.html

[8] http://www.riteofsodomy.com/index.php?act=viewDoc&docId=5

[9] http://www.bishop-accountability.org/news/2006_07_09_TimesLeader_CrimesAnd.htm

[10] [Note de VM] http://en.wikipedia.org/wiki/Charles_Webster_Leadbeater :

Charles Webster Leadbeater, 1854-1934, ordonné « prêtre » anglican en 1879, théosophe membre de la Société de Théosophie d’Helena Petrovna Blavatsky, proche collaborateur dès 1895 de la Théosophe fabienne Annie Besant (33ème degré du rite écossais), accusé de pédérastie dès 1906 : Mary Lutyens in "Krishnamurti: The Years of Awakening" writes:

[11] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-A-00-Mgr_Williamson_Muggeridge.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-02-C-00-Societes_secretes_europeennes.pdf

[12] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-16-A-00-Hoyos_liberte_religieuse_Colombie.pdf

[13] http://www.christorchaos.com/MarchtoOblivion.htm

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-B-00-Mgr_Williamson_Actions_US.pdf

[14] http://www.amdg.asso.fr/archives/situation_fssp.htm

[15] http://www.bishop-accountability.org/news/2006_07_09_TimesLeader_CrimesAnd.htm

[16] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-16-B-00-Commission-theologique.pdf

[17] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-B-00-Mgr_Williamson_Actions_US.pdf

[18] http://www.dailycatholic.org/issue/04May/may28ttt.htm. Texte original en anglais : While he was a tiller of souls as the gardener of the harvest, he also found the necessity to weed out those who would weaken the soil. Such was the situation in 1997 when he expelled Father Carlos Urrutigoity and two seminarians from St. Thomas Aquinas Seminary. They subsequently took up refuge in the troubled diocese of Scranton, welcomed by the undiscerning Bishop Timlin who ignored the warnings of Bishops Williamson and Fellay. Now Timlin's successor in Scranton is reaping the bitter fruits of sexual abuse lawsuits by priests of the Society of Saint John which the rebellious Urrutigoity formed when he could not pass muster under Williamson's watchful, careful scrutiny. Thank God the Bishop was a good gardener and one of the signs of the SSPX to guard carefully not only the Sacred Deposit of the Faith, but the virtues of chastity and modesty.”

[19] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-B-00-Mgr_Williamson_Actions_US.pdf

[20] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-16-A-00-Hoyos_liberte_religieuse_Colombie.pdf

[21] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-20-A-00-Vatican-Homosexuel.pdf

[22] http://bible.catholique.org/epitre-de-saint-paul-apotre-aux-romains/3345-chapitre-1

[23] http://fr.wikipedia.org/wiki/Dar%C3%ADo_Castrill%C3%B3n_Hoyos

[24] Voir http://www.saintjustinmartyr.org/news/Carlos/UrrutigoityinLaReja.htm. L’abbé Morello a été recteur du séminaire de La Reja de 1981 à 1988. Il est actuellement recteur d’un groupe appelé « Campania de Jesus y de Maria », situé dans les Andes .

[25] Ibid.

[26] Ibid.

[27] Ibid.

[28] Ibid.

[29] Terrie Morgan-Sesecker, « Accuser to get reports in priests », 24 mars 2004, Times leader.

[30] Ibid.

[31] Déposition de Matthew Selinger lors du procès civil n° 02-0444, Pittsburgh, Pensylvanie, le 24 octobre 2003.

[32] [Note de VM] http://en.wikipedia.org/wiki/Charles_Webster_Leadbeater :

Charles Webster Leadbeater, 1854-1934, ordonné « prêtre » anglican en 1879, théosophe membre de la Société de Théosophie d’Helena Petrovna Blavatsky, proche collaborateur dès 1895 de la Théosophe fabienne Annie Besant (33ème degré du rite écossais), accusé de pédérastie dès 1906 : Mary Lutyens in "Krishnamurti: The Years of Awakening" writes:

[33] Ibid.

[34] Voir Tiltett, The Eider Brother (le Frère édredon) – NdT : jeu de mot entre eider, édredon, et elder, aîné.

[35] C'est-à-dire près de 2 ans et demi après la mort de Mgr Lefebvre.