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CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf


Qui et Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome conciliaire
(en fait la «ré-conciliarisation» de la FSSPX) ?

Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints O rdres ?

Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968?

A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ?

Serait-ce donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on veuille désormais faire dire la messe du VRAI rite par de FAUX prêtres ?

Serait-ce que l’on veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec un clergé aussi INVALIDE que le FAUX CLERGE ANGLICAN ?


Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

mardi 8 avril 2008

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

(suite) Mgr Williamson[1] :

La lumière sur 14 ans du jeu d’un politicien mitré contre Mgr Fellay[2]

Partie n°5 – La rose de la Round Table et le blason épiscopal de Mgr Williamson

A gauche la rose de la société secrète de la Round Table et au centre la rose du blason de Mgr Williamson

Vous pouvez télécharger depuis le site www.virgo-maria.org, une brève histoire de la Round Table (Short History of the Round Table). Elle est en anglais.

Le 15 octobre 2008, le site VM a révélé la similitude entre la symbolique Rose+Croix et le blason épiscopal de Mgr Williamson, ce constat devenant encore plus troublant dans la deuxième version de son blason, publiée en décembre 1990 dans la revue Fideliter.

Les investigations se poursuivant sur l’ex-anglican, nous découvrons aujourd’hui une très grande ressemblance entre la rose emblème de la société secrète en forme de pentagone inversé de la Round Table britannique d’Oxford[3] (‘Table Ronde’) et la rose placée par l’ex(?)-Anglican de Cambridge de la FSSPX au centre de son blason épiscopal, au milieu d’une Croix blanche.

Voici les éléments :

Nous avons déjà commenté[4] la symbolique Rose+Croix qui est similaire à celle du blason de Mgr Williamson.

Le lecteur devra noter la très grande similitude de style des caractères gothiques utilisés dans la symbolique de la Round Table, dont raffolent ce genre de sociétés secrètes britanniques, cela leur conférant à bon compte un caractère médiéval et traditionnel de pacotilles qu’elles affectionnent tout particulièrement, avec les caractères gothiques choisis par Mgr Williamson, dans la seconde version plus explicite de la publication de son blason de type R+C dans la revue Fideliter, quelques semaines seulement avant la disparition brutale et inopinée du Fondateur de la FSSPX, pour libeller la devise épiscopale3 qu’il s’est curieusement assignée : « Fidelis Inveniatur », c'est-à-dire « Qu’il soit trouvé Fidèle ! », mais « Qu’il soit trouvé Fidèle » à QUOI ? Fidèle à QUI ?

Blason en couleur de la Round Table

La Round Table fut formellement fondée en 1891 par Cecil Rhodes, le richissime et puissant Magnat de l’Or et des diamants de l’Afrique du Sud[5] placée alors sous la férule de la reine Victoria[6], au sein de l’Empire britannique alors au sommet de sa puissance, secondé par Lord Alfred Milner, ami personnel très proche de Lord Rothschild.

Voici quelques informations sur la Round Table8 :

« Objet

Le Groupe fut conçu pour propager l’idée de la formation d’un Gouvernement Mondial Fédéral, basé à partir de la réunification des Etats-Unis d’Amérique à l’Empire Britannique. Dans quel mesure ils ont pu réussir à atteindre leur but reste matière à débat. Ils obtinrent certainement un grand succès en créant la Banque centrale des Etats-Unis qui accroissait l’influence britannique sur les affaires économiques des Etats-Unis en raison des connexions étroites entre la Banque d’Angleterre et les banques privées de Wall Street. On peut même soutenir que cette organisation a servi de modèle pour de futures organisations telles le Royal Institute of International Affairs (Chatham House), le Council on Foreign Relations, les Nations Unies, la Commission Trilatérale, et le Groupe de Bilderberg .

C’est Rhodes qui le premier a formalisé son projet en compagnie de William T. Stead, le rédacteur de la Pall Mall Gazette, quand ils se sont mis ensemble d’accord sur la structure de la société secrète. Comme les Illuminatis de Weishaupt, cette société secrète ainsi envisagée était dotée d’une structure hiérarchique élaborée, inspirée de celle des Jésuites, laquelle comprenait: à son sommet, le poste de "Général de la Société"—un poste modelé sur celui du Général des Jésuites—réservé à Rhodes, accompagné de Stead et de Lord Rothschild en tant que ses successeurs désignés ; un Comité exécutif appelé la "Junte des Trois", comprenant Stead, Milner and Reginald Baliol Brett (Lord Esher) ; puis un "Cercle d’Initiés", constitués d’un certain nombre de notables dont le Cardinal Manning[7], Lord Arthur Balfour, Lord Albert Grey and Sir Harry Johnston ; enfin un Cercle externe de tout cela était constitué par l’"Association des Soutiens", représentant la grande masse de la Société ”.[8]

« Il est nécessaire de souligner que la célèbre Déclaration Balfour de 1917 fut en réalité rédigée par Lord Alfred Milner, et il s’agissait en fait d’une lettre adressée à Lord Rothschild au nom de Lord Balfour, qui a constitué ce que l’on appelle la Déclaration Balfour : cette opération était ainsi en réalité le fruit de la coopération entre deux personnalités très étroitement liées aux groupes de la Round Table, dont le but visait à instaurer un Gouvernement Mondial. » (Wikipedia8)

Le livre « Le côté caché de l’histoire : maçonneries et sectes secrètes » Epiphanius, publié en 2005 (deuxième édition) par les éditions du Courrier de Rome, qui dépendent de la FSSPX, fournit en outre un descriptif utile de la mise en place des sociétés secrètes mondialistes en Angleterre dans la seconde moitié du XIX° siècle.

La ‘Round Table’ en fait partie :

La «Societas Rosicruciana in Anglia» (S.R.I.A.)

L'importance capitale du Palladisme et sa grande influence à travers les Conseils Suprêmes des 33 n'empêcha donc pas l'apparition en Europe, dans la seconde moitié du XIXè siècle, de très ésotériques et très virulentes sociétés secrètes. Il n'est pas possible d'en ignorer l'existence sous peine de rendre incompréhensibles les mouvements mondialistes qui se sont affirmés en Europe surtout au lendemain de la Première Guerre mondiale.

En 1865 on vit la naissance à Londres de la «Societas Rosicruciana in Anglia» à l'initiative du dignitaire de la maçonnerie écossaise Robert Wentworth Little entouré de Hargrave Jennings (1817-1890) et de Kenneth R.H. Mac Kenzie. Elle était réservée exclusivement à des membres de la maçonnerie qui possédaient au moins le grade de maître et se limitait à 144 membres[9]. La S.R.I.A. était articulée en neuf degrés initiatiques empruntés à la Rose-Croix d'Or allemande du XVIIIè siècle et se fixait pour objectif d'encourager et de faire avancer la recherche et les études ésotéro-occultistes. En réalité, comme le fait noter Vannoni[10], «leur "bible" était "The Rosicrucians, their Rites and Mysteries" de Hargrave Jennings, œuvre dans laquelle on soutenait, en attribuant une signification féminine à la rose et phallique à la croix, que le secret des Rose-Croix était de nature sexuelle»[11].

En 1871 la S.R.I.A. eut comme «Imperator» Edward Robert Lytton (1803-1873), plus connu sous le nom de Lord Bulwer-Lytton, membre éminent du Parlement britannique, ministre des Colonies durant la Seconde Guerre de l'opium, et auteur de romans à succès comme «Les derniers jours de Pompéi»,

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une vulgarisation du culte d'Isis[12] adopté comme support idéologique du trafic d'opium[13], «Rienzi» et le fameux «Vril, le pouvoir de la race future» écrit en 1873[14]. Bulwer-Lytton influença par son racisme le sociologue John Ruskin qui, en 1870, créa à Oxford un courant initiatique imbu de pananglisme raciste dont la finalité était d'imposer au monde la suprématie anglo-saxonne à travers une application de fer des principes socialistes aux nations. Sous l'impulsion de semblables doctrines naquit peu après la Fabian Society dont le but était d'étendre le socialisme aux institutions et aux cadres dirigeants de l'époque dans le courant d'une tradition qui, à travers Sir Alfred Milner et Cecil Rhodes, conduirait aux agglomérats financiers et du pouvoir de la Round Table et de là, en 1919, au Royal lnstitute of International Affairs (R.I.A.A.) plus connu sous le nom de Chatham House.

Un membre important de la S.R.I.A. fut Rudyard Kipling, fervent maçon[15], et Eliphas Levy Zahed (1810-1875), pseudonyme judaïsant qu'acquit en 1854 Alphonse-Louis Constant, un prêtre apostat qui est habituellement considéré comme l'innovateur et le divulgateur de l'occultisme des temps modernes[16] ; il écrivit des brochures ardentes contre l'Église, l'État et

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l'ordre social et fut l'auteur d'un épais ouvrage en deux volumes : «Dogme et Rituel de Haute Magie», terminé en 1856, l'année même où «il se serait livré avec Bulwer-Lytton à des expériences théurgiques qui donnèrent lieu à l'apparition de deux entités : un certain Joannès et Appollonius de Tyana[17] dont ils reçurent un enseignement»[18]. Eliphas Levy, en 1871, écrivit «La Clé des Grands Mystères», son œuvre la plus cabalistique, dans une tentative de «désocculter l'occulte» à travers des révélations tirées des diverses «Claviculae Salomonis» de Sepher Jezirah et Zohar. Au lendemain de son second séjour en Angleterre il semble digne de foi que la S.R.I.A. lui ait conféré le titre de «Grand Empereur». Il faut rappeler que le même Eliphas Levi fut l'initiateur à l'occultisme cabalistique «chrétien» du mage noir martiniste Stanislas de Guaita et qu'on lui doit la déclaration selon laquelle : «les rites religieux de tous les illuminés, Jacob Boehme, Swedenborg, Saint-Martin, sont tirés de la cabale et toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles»[19]. (Affirmation reprise par le palladiste Pike in «Morals and Dogma», œuvre qui d'après Guénon dérive directement de la pensée de Eliphas Levi).

Mais le Grand Maître le plus illustre de la S.R.I.A. fut incontestablement le Dr William Wynn Westcott (1849-1919), secrétaire du Rite maçonnique de Swedenborg, mage noir auteur de nombreuses œuvres cabalistiques et hermétiques et d'une «Historv of the Society rosicruciana in Anglia» (Londres, 1900), cofondateur avec trois autres membres de la S.R.I.A., S.L. Mathers, Woodman et A.F.A. Woodford, d'un cénacle plus restreint, une organisation communément connue sous le nom de Golden Dawn ou Aube d'Or.[20] » Epiphanius

Nous rappelons que le mentor de Mgr Williamson qui a décidé de son entrée dans le catholicisme, l’écrivain britannique Anglican, bruyamment et tardivement « converti » au catholicisme Malcom Muggeridge, ancien de Cambridge comme lui, était très intimement lié par sa femme et par son père, aux époux Webb et à la Fabian Society[21].

Cette accumulation de faits relatifs aux sociétés secrètes mondialistes et anglo-saxonnes autour de Mgr Williamson, l’ex étudiant de Cambridge, commence à devenir de plus en plus inquiétante.

Qui est véritablement Richard Williamson, l’un des quatre évêques sacrés par Mgr Lefebvre en juin 1988 ?

A quoi joue-t-il au sein de la FSSPX ?

Nous invitons les clercs et les fidèles qui possèdent des documents sur Mgr Williamson (conférences ou autres) à nous les adresser sur l’email du site VM.

Dans la Partie n°6,  nous dévoilerons un curieux aspect de l’action de l’évêque à la Rose de la FSSPX

A suivre…

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

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[1] http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-03-15-Diaporama_Williamson_2_anneaux.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-02-C-00-Societes_secretes_europeennes.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-A-00-Mgr_Williamson_Muggeridge.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-B-00-Mgr_Williamson_Actions_US.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-11-13-A-00-Bond_Williamson.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-11-10-D-00-Schmidberger-Urrutigoity.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-11-01-A-00-Williamson-Urrutigoity.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-20-A-00-Vatican-Homosexuel.pdf

[2] Suite d’une série d’articles sur l’action véritable et occulte de l’ex-anglican au sein de la FSSPX pour livrer la Tradition catholique aux mains de l’église conciliaire de Ratzinger. A l’issue de la publication de la série d’articles, un dossier sera constitué en compilant l’ensemble des textes dans un même document qui constituera un dossier de référence sur l’évêque à la Rose de la FSSPX. Ces publications viennent concrétiser un travail de recherche, de recoupement et de réflexion sur l’action particulièrement redoutable de l’ancien anglican au sein de l’œuvre de Mgr Lefebvre. La partie 1 de cette série a été publiée : http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-03-05-B-00-Mgr_Williamson-contre-Mgr_Fellay.pdf

[3] Cf. http://sww.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-15-A-00-Blason_Williamson_Cunctator.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-18-A-00-Coat-of-arms_Williamson_Cunctator.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-11-03-B-00-Anglicans_Rose_Croix-FM.pdf

[4] http://www.virgo-maria.org/D-Mgr-Williamson-leurre/biographie_williamson.htm

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-15-A-00-Blason_Williamson_Cunctator.pdf

[5] Visionnaire qui voulait unifier le continent Africain sous le contrôle de l’Empire britannique en créant une ligne de voie ferrée continentale Nord-Sud reliant Le Caire à la ville du Cap. Il donnera même son nom à l’ancienne Rhodésie, aujourd’hui Tanzanie.

[6] Dix ans plus tard en 1901, celle-ci réprimera avec Lord Kitchener avec la férocité que l’on sait la révolte des Boers néerlandais qui cherchaient alors à s’émanciper de sa férule en Afrique du Sud..

[7] Le futur Cardinal Manning, fut en 1870 avec le futur Cardinal Newman, l’une des figures de proue du « Mouvement d’Oxford » de ralliement des Anglicans à l’Eglise Catholique Romaine.

C’est le cardinal Manning qui amorça la question de la reconnaissance de la validité des ordinations éthiopiennes. Les anglicans prétendaient que si une telle reconnaissance intervenait, il faudrait que Rome déclare valides les ordinations anglicanes. Le Cardinal Manning opéra sous la forme d’une question posée au Saint-Office. La Providence a voulu que cette opération échoue par l’intervention de l’éminent théologien de Pie IX et de Léon XIII, le Cardinal Franzelin qui démontra en 1875 l’invalidité de ces ordinations. Son intervention eût des répercussions inattendues, car vingt ans plus tard, ses travaux furent repris à son compte par le Pape Léon XIII, qui rédigea sa célèbre bulle Apostolicae Curae, qui déclara infailliblement « absolument nulles et entièrement vaines », les ordinations anglicanes. Bulle que l’on peut regarder comme le Lépante du Sacerdoce sacrificiel catholique. La base de la démonstration de Léon XIII est empruntée à la méthode du Cardinal Franzelin. (cf. http://www.rore-sanctifica.org)

[8] http://en.wikipedia.org/wiki/Rhodes-Milner_Round_Table_Groups

[9] Note d’Epiphanius : (339) René Guénon, «Il Teosofismo», vol. I, p. 39.

[10] Note d’Epiphanius : (340) Gianni Vannoni, «Le società segrete», Sansoni, 1985, p. 20.

[11] Note d’Epiphanius : (341) Selon l'ouvrage, déjà cité, hors commerce, imprimé en 1945 à Florence, «La Maçonnerie» : «A l'équinoxe de printemps... les Rose-Croix célèbrent leurs agapes habituelles, ils immolent l'agneau, en rappelant la formule : "Voici l'agneau de Dieu", c'est-à-dire la Nature immaculée qui "enlève les péchés du monde"... La rose, le plus délicat et le plus aimable des emblèmes maçonniques, fleur parfumée du printemps, signifie la grâce, la vénusté, la jeunesse... La rose fut aussi l'emblème de la femme ; de même que la croix symbolisait aussi la vertu génératrice du Soleil, l'accouplement des deux symboles, la croix et la rose, exprime de façon discrète et gentille, sous une figuration discrète et mystérieuse, l'incessante reproduction des êtres» (p. 62). Cf. aussi F. Giantulli, op. cit., pp. 71 sq.

[12] Note d’Epiphanius : (342) Le culte égyptien d'Isis, pratiqué depuis la Troisième Dynastie de l'Ancien Royaume (environ 2280 avant J.-C.), «formalise les éléments à utiliser comme instruments pour le contrôle social, pour l'exploitation et la destruction de la capacité créative des populations soumises. Ces éléments comprennent :

- L'utilisation de diverses drogues pour créer la schizophrénie.

- L'usage de sons hétéronomes et répétitifs pour intégrer les effets des drogues psychotropes et pour créer un climat qui encourage l'usage des drogues.

- La création de sectes mystiques fondées sur le mythe réactionnaire d'Isis, mais, en même temps, adaptées au profil psychologique de la population que la caste des prêtres a décidé de subvertir.

- L'imposition d'un modèle politique et économique... qui contraigne les populations soumises à des travaux forcés manuels et non créatifs (par ex. la construction des pyramides)», cit. de «Droga S.p.A.», cit., p. 273.

[13] Note d’Epiphanius : (343) Cf. «Droga S.p.A.», cit., pp. 226-7.

[14] Note d’Epiphanius : (344) «Bulwer Lytton, génial érudit, célèbre pour son roman "Les derniers jours de Pompéi", ne prévoyait sans doute pas que, des dizaines d'années plus tard, un de ses romans inspirerait en Allemagne un groupe mystique prénazi. Toutefois, dans des œuvres comme "La Race qui nous supplantera, ou encore les Zanons", il entendait mettre l'accent sur la réalité du monde spirituel et spécialement du monde infernal. Il se considérait comme un initié. A travers la transfiguration romanesque, il exprimait la certitude qu'il existe des êtres dotés de pouvoirs surhumains. Ces êtres nous supplanteront et conduiront les élus de la race humaine à une formidable mutation. Il faut faire attention à cette idée d'une mutation de la race. Nous la retrouverons chez Hitler et elle n'a pas encore aujourd'hui disparu» (Louis Pauwells et Jacques Bergier, op. cit., pp. 290-1).

[15] Note d’Epiphanius : (345) Yann Moncomble, «Les professionnels de l'antiracisme», Paris, 1987, p. 287.

[16] Note d’Epiphanius : (346) On attribue à Éliphas Levy (Robert : 1893) l'introduction du terme «occultisme», terme d'acception étendue puisque il inclut les regroupements initiatiques, les théories et les pratiques ésotériques, magiques et celles qui ont un rapport avec le spiritisme, etc.

[17] Note d’Epiphanius : (347) Philosophe néopythagoricien et mage du 1er siècle ap. J.-C.

[18] Note d’Epiphanius : (348) Cf. M.F. James, «Les précurseurs de l'Ère du Verseau», éd. Paulines, Montréal, 1985, pp. 26-7.

[19] Note d’Epiphanius : (349) E. Delassus, op. cit., p. 477.

[20] Epiphanius, pages 162 à 164

[21] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-02-C-00-Societes_secretes_europeennes.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-09-17-A-00-Mgr_Williamson_Muggeridge.pdf