CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf

Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

jeudi 29 mai 2008

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

Ingérence de Mgr Williamson contre Cacqueray

pour sauver l’abbé Celier, auteur de la « Cartouche »

Après la « Cartouche » de l’abbé Celier ridiculisant Mgr Fellay, la bouffonnerie continue,

c’est « Alice au pays des merveilles » par Mgr Williamson, le protecteur de l’abbé Celier

La « Cartouche » a touchÉ l’abbÉ Celier : l’arroseur arrosÉ…

Le tissu d’âneries enfantines du texte de la « Cartouche »[1] a mis l’abbé Celier-Cartouche en première ligne. Sur le fond, il est apparu qu’il travaille dans l’ombre à faire réussir une manœuvre de ralliement. Depuis le 10 avril, il distribue de façon ciblée une étude qui tente vainement, et par un usage chaotique de citations hors contexte de Mgr Lefebvre, de faire croire que Mgr Lefebvre était favorable au ralliement et que Mgr Fellay devait signer rapidement un accord avec Rome. Il diffusait ce texte anonyme « de la part de Mgr Fellay » et « au niveau du District de France », ce qui laisse entendre qu’il n’avait pas vraiment le soutien de l’abbé de Cacqueray, car sinon, il se serait réclamé de son autorité directe, et non pas de l’autorité lointaine du supérieur général. Ce travail de fond dans la pénombre, parmi les clercs de la FSSPX, était destiné à faire lever les réticences d’abbés hésitants afin qu’ils soient psychologiquement mûrs pour un effet d’annonce dans le court terme. Il est raisonnable de penser que cet effet d’annonce était programmé pour coïncider avec la visite de Mgr Fellay à Paris pour le 1^er juin, visite préparée par l’entourage infiltré de Menzingen.

Un plan en trois phases pour un effet d’annonce À court terme et dont l’abbÉ Celier est l’agent

Là-dessus sortait le 17 mai le texte de la « Cartouche » préparé par l’abbé Celier-Cartouche, et pour lequel une signature de l’abbé de Cacqueray était rapidement extorquée. Cette parabole du « chasseur » était destinée à donner la réponse positive et enthousiaste de la France au texte anonyme pro-ralliement et distribué « à la demande de Mgr Fellay » qui devenait le « chasseur » choisi pour « tirer la dernière cartouche », c’est-à-dire l’accord avec Rome. Résumons :

1. L’abbé Celier orchestrait depuis le 10 avril une campagne occulte « à la demande de Mgr Fellay » pour le ralliement en se réclamant de l’autorité du fondateur, Mgr Lefebvre
2. Paraissait le 17 mai le deuxième texte de l’abbé Celier-Cartouche, celui du « chasseur », sous la signature extorquée à l’abbé de Cacqueray, par laquelle le District de France, par la voix de son supérieur, déclarait comme un seul homme remettre son sort au « champion » Mgr Fellay pour « tirer la dernière cartouche », c’est-à-dire métaphoriquement signer l’accord avec Rome
3. Arrivait le 1er juin à Paris, le « champion » Mgr Fellay qui, en réponse à l’appel enthousiaste de la France pour le ralliement et la dépossession de son libre arbitre, procédait à une annonce. Laquelle ? La convocation d’un chapitre général extraordinaire destinée à lui remettre « la dernière cartouche », c’est-dire les pleins pouvoirs ? La levée du décret des excommunications reçue de Rome ?

Le problème pour l’abbé Celier-Anonyme est que Max Barret a éventé son action de propagande occulte de son texte « anonyme » (mais en réalité signé informatiquement) et que son action « à la demande de Mgr Fellay » et visiblement dans le dos de son supérieur immédiat, l’abbé de Cacqueray, a été dévoilée. Ensuite les sophismes irrespectueux de l’abbé Celier, dénaturant la pensée de Mgr Lefebvre, et venant de façon outrecuidante, ravir à Mgr Tissier de Mallerais, son rôle légitime d’interprète de la pensée du fondateur de la FSSPX, ont éclaté au grand jour, une fois le document secret rendu public. Quelques jours plus tard, la lettre manuscrite de l’abbé Pivert[2] est venue rétablir la vérité sur la pensée intime de Mgr Lefebvre qui doutait de la légitimité des ‘papes conciliaires’.

Dans la même semaine, le ridicule du texte de la « Cartouche » éclatait, rejaillissant sur Mgr Fellay, faisant rire toute la Tradition en France, l’évêque suisse devenant, par la plume de l’abbé Celier, le « Tartarin de Menzingen ». Le véritable auteur de cette pantalonnade était rapidement identifié par les lecteurs. Qui d’autre que l’abbé Celier-Cartouche, pouvait avoir écrit de telles âneries ? De quelle imagination autre que celle de Paul Sernine, amateur des éditions du Zébu, pouvait être sortis de tels enfantillages de potache sur les « deux apologues » ? On peut dire que l’abbé Celier, par une imagination de potache et un goût de la farce a réussi à ridiculiser Mgr Fellay comme personne auparavant n’avait osé ni réussi à le faire. Le ridicule du supérieur de la FSSPX a même franchi les frontières de la FSSPX, certains clercs s’en délectent dans les couloirs de la Curie romaine ou à l’archevêché de Paris…

Dans quelle institution religieuse aujourd’hui un supérieur fait-il l’objet d’un texte aussi enfantin et débile que cette ‘parabole’ du « chasseur » ? Parmi les emails qui nous arrivent, figure celui-ci adressé par un fidèle à la Porte latine sous le titre « Hahaha !!! » :

« De quel infiltré est le texte "Apologues de la dernière cartouche" ? Sernine ? Beaumont ? Grichat ? Ce doit bien être l'un de ces trois masques, étant donné l'insondable niaiserie de ce conte et la manipulation grossière dont il relève manifestement. Quand donc cesserez-vous de prendre les fidèles de la Fraternité Saint Pie X pour des débiles profonds ?... Vos "rallions-nous" répétés et subliminaux sont en train de faire effet contraire un peu partout. Vous le savez, ça ? » signé par un fidèle et adressé à La Porte Latine.

Les clercs et les fidèles perçoivent désormais très clairement le petit jeu que pratique l’abbé Celier dans l’ombre. Déjà la prochaine visite de Mgr Fellay à Paris le 1^er juin 2008, et l’annonce qu’il doit y faire, si bien préparés par l’abbé Celier-Cartouche, sont placés sous le signe du ridicule par les fidèles qui nous contactent.

Certains s’interrogent sur le discours emphatique que leur servira Mgr Fellay, lors de cette visite tant préparée par l’abbé Celier depuis des semaines. L’évêque suisse est connu pour la lenteur de son élocution… les mots de son auguste annonce tomberont-ils de sa bouche avec parcimonie et dans un silence qu’il sait si bien étaler ? Nous avons appris qu’après sa conférence fleuve de 3 heures à Saint Nicolas du Chardonnet, le 10 décembre 2005, lors de la préparation du CD audio qui s’en était suivie, l’abbé Bernard Lorber[3] avait dû couper 45 minutes de blanc (sic) de Mgr Fellay sur un total de trois heures afin de tenter de redonner un peu de rythme à une conférence qui allait sinon endormir l’auditeur. Le « chasseur » manquerait-il de vivacité ?…

Surprise, l’ex-anglican Mgr Williamson entre dans l’affaire de la « cartouche »

Après un silence de quelques jours, il s’est passé un évènement inhabituel et tout à fait remarquable. Mgr Williamson, supérieur du séminaire hispanisant de La Reja en Argentine, à publié le 24 mai 2008, sur son blog à destination des anglophones, un texte en anglais où il reprend et met en cause l’abbé de Cacqueray pour son texte ridicule en français sur la « Cartouche » (voir l’annexe 1 de ce VM).

D’un point de vue strictement objectif, en quoi ce texte de la « cartouche », un tissu d’âneries, comme nous l’avions souligné, peut-il émouvoir l’ex-anglican et le faire sortir de sa réserve au point de se livrer à une véritable ingérence dans la direction du District de France de la FSSPX, en mettant directement en cause son supérieur l’abbé de Cacqueray ?

Mgr Williamson réagit auprès d’un public traditionnel anglophone qui n’a même pas connaissance du texte français de la « Cartouche » publié par la Porte latine en français. Son intervention est donc hors de propos et révèle une intention cachée, une volonté d’ingérence que rien dans les responsabilités officielles de l’évêque à la Rose ne saurait justifier. Voudrait-il « protéger » ses séminaristes hispanisants des effets d’un mauvais texte français, en se livrant à une réfutation en anglais ? Tout cela n’a pas de fondement.

Pas de fondement, sauf si les intérêts cachés de Mgr Williamson sont directement en jeu. Pour y voir clair, posons-nous les questions : qui vise Mgr Williamson par son intervention ? Quel est l’effet que produit son intervention et donc quels sont les intentions véritables qui peuvent s’en déduirent ?

Quels intérêts occultes sont menacés et peuvent donc faire sortir Mgr Williamson du bois ? Examinons son comportement.  S’ingérant directement dans les affaires du District de France, l’ex-anglican à la Rose rejette l’entière responsabilité de la parution de ce texte sur l’abbé de Cacqueray et tente de placer les projecteurs sur le supérieur de Suresnes en tentant ainsi de l’accabler publiquement :

« Un collègue prêtre de la Fraternité Saint-Pie X vient juste d’écrire (ou peut-être a fait sienne) une parabole » Mgr Williamson

Dans ce texte de Mgr Williamson, l’élément le plus important est cette expression entre parenthèse : « (ou peut-être a fait sienne) ». Mgr Williamson rajoute ces termes pour exprimer vis-à-vis de Mgr Fellay que l’abbé de Cacqueray est l’unique responsable de ce scandale public, car il a signé, qu’importe le rédacteur, c’est-à-dire l’abbé Celier. Il tente ainsi de faire jouer à plein le principe d’autorité, ce qui montre qu’il tente de couvrir l’abbé Celier qui est mis en cause pour la rédaction des « deux apologues ».

IngÉrence de l’ex-anglican Mgr Williamson dans la direction du District de France, ce qui contredit le principe d’autoritÉ et de responsabilitÉ de l’abbÉ de Cacqueray

En agissant ainsi, Mgr Williamson se contredit lui-même, car il viole, par son initiative, le principe de responsabilité et d’autorité qu’il fait par ailleurs valoir hypocritement dans son texte en amalgamant rédaction et appropriation du texte. Si les supérieurs de District sont totalement responsables, il ne peut être question qu’un clerc, même un évêque vienne prendre position contre leur autorité. C’est pourtant ce que vient de faire Mgr Williamson.

D’ailleurs, l’évêque français, Mgr Tissier de Mallerais, qui, s’il devait y avoir une ingérence dans le District de France, serait la personne la plus idoine pour se manifester, a gardé le silence. En cela Mgr Tissier reste fidèle à son principe, qui lui est bien connu, de respect de l’autorité hiérarchique et aussi à une certaine dignité qui procède chez lui d’un autre sens de son épiscopat catholique et de l’idéal qui doit l’animer, que chez l’ex-anglican qui « joue à l’évêque », comme s’il incarnait un personnage qui ne lui sied point mais qu’il a adopté par convenance et au service d’objectifs qui n’ont rien de catholiques.

Cette volonté d’ingérence de la part de Mgr Williamson est d’autant plus patente que sur son blog, Mgr Williamson ne s’écarte que rarement de ses commentaires habituels sur Kafka, sur les expositions londoniennes de peinture, sur la crise économique et financière, ou autres sujets qui, chacun l’aura remarqué, conviennent mieux à un anglican mal converti et jouant un rôle de déstabilisation au sein de la FSSPX, qu’à un véritable évêque catholique ayant le souci du salut des âmes.

La rÉpÉtition de l’action de 2004 pour les mutins, contre l’abbÉ de Cacqueray

Cette situation possède un précédent fameux, elle rappelle l’ingérence de Mgr Williamson le 17 octobre 2004 à Paris, contre l’abbé de Cacqueray pour protéger les abbés mutins Laguérie et de Tanoüarn. A l’époque, l’abbé Laguérie venait d’être exclu de la FSSPX et l’abbé de Tanoüarn était sur la sellette. Lors de son sermon à Saint Nicolas du Chardonnet, l’ex-anglican relança l’affaire et l’on vit tout de suite apparaître l’association Sensus Fidei, dirigée par Yves Amiot. Furieux le clergé de Saint Nicolas fit savoir à l’évêque à la Rose qu’il était désormais persona non grata et l’abbé de Cacqueray interdit à Mgr Williamson toute prédication publique dans le District de France. Cette interdiction a duré jusqu’à aujourd’hui, avec une exception en janvier 2008 pour les prises de soutane à Flavigny.

Quatre ans plus tard, en mai 2008, le mobile de l’intervention de l’évêque à la Rose est identique, mais il s’applique cette fois-ci à un autre de ses protégés : non plus l’abbé de Tanoüarn, mais l’abbé Celier, auteur du texte puéril digne de potache intitulé « Deux apologues », et qui se trouve désormais directement mis en cause.

Déjà en 1995, Mgr Williamson était intervenu auprès des dominicains d’Avrillé afin de protéger l’abbé Celier qui faisait l’objet de très vives mises en cause pour son livre anathème « le dieu mortel ».

Mgr Williamson orchestre sa propre intervention publique avec le lancement d’une campagne anti-abbÉ de Cacqueray sur le Forum catholique

Depuis la parution du brûlot de Mgr Williamson en langue anglaise, le 24 mai 2008, une polémique est savamment entretenue par sous des pseudonymes ou par le britannique John Daly sur le Forum catholique pour soutenir Mgr Williamson et faire assumer à l’abbé de Cacqueray la rédaction du texte grotesque, en développant une polémique autour de sa personne et de la paternité du texte.

Nous découvrons désormais que John Daly, un « sédévacantiste » britannique, et installé auprès de l’abbé Belmont à Bordeaux, abbé proche de Verrua et de l’abbé Ricossa, fait partie du réseau de Mgr Williamson. En effet, bien que particulièrement bien placé par sa langue maternelle anglaise et ses origines religieuses pour connaître ce que représente Mgr Williamson et son passé, John Daly monte désormais au créneau, comme si de rien n’était, pour crédibiliser l’ex-anglican Mgr Williamson.

A peine Mgr Williamson a-t-il publié son poulet contre l’abbé de Cacqueray sur son blog, que commence immédiatement cette polémique sur le Forum catholique, suscitée par un certain Bouffareou, dont le style pastiche beaucoup le monde littéraire de Tolkien[4] tant vanté par Mgr Williamson. Ce terme de ‘Bouffareou’ est emprunté à une présentation de la Porte Latine[5] sur un spectacle de Noël (celui d’un ange à figure bouffie[6]). Serait-ce donc un abbé de Suresnes qui se cache derrière ce pseudo ? S’agirait-il de l’abbé Celier ? L’action a pour thème principal de mettre en cause l’abbé de Cacqueray en lui faisant porter la paternité du texte qu’il a signé.

L’une des interventions les plus significatives est celle-ci : « Mgr Williamson, Oui, c'est bien M. l'abbé de Cacqueray qui a écrit sa parabole ». Et Bouffareou se lance dans une exégèse du texte attribué à l’abbé de Cacqueray pour tenter de démonstration d’identité de style entre le supérieur du District de France et le style de la « cartouche » :

« le texte des cartouches est très probablement de la plume même de M. l’abbé de Cacqueray : On y reconnaît son style : un style imprégné des auteurs des vieux manuels publics de lecture. Et le texte des « apologues de la dernière cartouche » fleure assurément la bonne dictée mali-délicieusement dure aux cancres :

« il n’en était pas un qui ne pleurait quelque membre de sa famille emporté dans la gueule du monstre »

« C’est un style qui s’aide aussi un peu trop du dictionnaire, avec donc parfois un brin d’artificialité mais aussi de mal-à-propos : par exemple, « courir sus à la bête » est contestable. Si on peut courir sus à des personnes et par extension à des objets renvoyant aux personnes, on court une bête, transitivement. Et si on pouvait admettre d’étendre là l’expression, certes pour une bête qui n’en est pas vraiment une, il faudrait au moins avoir quelque dessus sur elle, car courir sus, c’est courir sur. Et si courir sur le haricot, c’est facile, surtout pour M. l’abbé de Cacqueray, il me semble que courir sus à l’hydre par lui décrite, c’est plus difficile ; c’est d’ailleurs cela qui lui rend si précieuse la dernière cartouche. »

Ces délires pseudo-érudits tentent de masquer le fait que l’abbé Celier et l’équipe qui se cache derrière lui et derrière ses écrits, sont suffisamment calculateurs pour pasticher le véritable style de l’abbé de Cacqueray, sa forme d’expression, et son choix de vocabulaire. Tous ces faux arguments de l’agitateur Bouffareou ne démontrent rien.

L’orientation de la campagne anti-Cacqueray du Forum catholique est confirmÉe par un email reÇu par Virgo-Maria le 22 mai

Cette intervention répétée dans le Forum catholique, contre l’abbé de Cacqueray afin de tenter de dédouaner l’auteur supposé du texte, l’abbé Celier, nous rappelle un email reçu sur Virgo-Maria, le lendemain de la parution de notre commentaire sur la « Cartouche ». Cet email signé d’un pseudonyme féminin, contestait notre attribution de la paternité du texte à l’abbé Celier :

« Surprenant ce texte de la dernière cartouche et pourtant je doute qu'il ne soit pas de l'Abbé de Cacqueray ou alors l'Abbé Celier depuis le debut soit aout 2002,lui écrit textes et sermons. Je me souviens de l'homélie prononcée lors du pélé de Chartres Montmartre en 2003. Il me semble que j'entends les meme accents de Contes de ma Mère l'Oye. Je m'était laissée prendre au jeu de ses histoires que l'on conte aux enfants le soir pour les endormirs. Regardez la méditation " Premiers pas" parue sur Donec Ponam un peu avant la fermeture du site. Et d'autres encore que j'oublie..." La Matricide" a St Nicolas le 8 dec 2005. Retrouvez les textes lisez les et vous verrez...Se sont parfois de petits faits qui font comprendre la grande histoire. Mélange de militaire de maitre d'école et de petit très petit garçon.Sur ce il est possible que je me trompe et que l'Abbé Celier en soit l'auteur. En tout cas encore merci pour toutes vos analyses qui nous éclairent . Et restons en sentinelles  UDP  G de M » Email à VM le 22 mai 2008.

(nous avons conservé les fautes d’orthographes)

C’est le même pseudonyme qui harcela VM de ses messages au sujet de la Directrice de l’ex-site Donec Ponam, accusant cette dernière et tentant de jeter de l’huile sur le feu, alors même que cette femme tentait un procès contre l’abbé Marchiset. Derrière ce pseudonyme nous avons reconnu un clan d’ennemis de VM. Ce mail est typique des mails d’influence et de manipulation qui nous sont adressés.

L’indication qu’il nous donne sur ses commanditaires est précieuse, car on devine maintenant clairement que dès la parution de la critique de VM sur « Tartarin de Menzingen », mettant en cause l’abbé Celier comme auteur du texte, le camp qui protège cet abbé a tenté immédiatement une diversion en voulant faire porter totalement le chapeau à l’abbé de Cacqueray et en voulant nous influencer dans le mauvais sens.

La connexion Williamson-Celier livre dÉsormais une combat dialectique sans pitiÉ contre l’abbÉ de Cacqueray

Ce qui veut dire que, conscient d’être allé trop loin par son plan en trois phase, la « cartouche » a fait long feu, et d’avoir couvert le supérieur de la FSSPX de ridicule, le clan des infiltrés a voulu faire marche arrière et protéger son agent de Suresnes, l’abbé Celier.

Car l’abbé de Cacqueray n’a guère apprécié de se voir ainsi manipulé et instrumentalisé pour une manœuvre destinée sur le fond à manifester le ralliement de la France et qui plus est, sur la forme, par un texte proprement ridicule.

Paniqué à l’idée de voir son contrôle distant sur la France lui échapper, il s’agit là du véritable intérêt occulte qui le motive, Mgr Williamson vole au secours de son protégé l’abbé Celier, son agent, qui est désormais démasqué et mis en cause. Il s’agit là du premier bénéfice que Mgr Williamson espère tirer de son ingérence. Il en attend aussi vraisemblablement un bénéfice : Mgr Williamson adopte une posture de respectabilité destinée à l’accréditer comme le futur chef de la ‘voiture-balai’ du ralliement lors d’un prochain « chapitre générale extraordinaire » appelé des ses vœux (anonymes mais signés informatiquement) par l’abbé Celier.

Ce serait donc pour cela que Mgr Williamson aurait dû sortir du bois et monter au créneau pour protéger l’abbé Celier désormais démasqué dans son petit jeu de l’ombre de déstabilisateur puéril de la FSSPX et, sur le fond, d’activiste occulte du ralliement.

La manœuvre rappelle l’ingérence historique de Mgr Williamson le 17 octobre 2004 contre l’abbé de Cacqueray pour protéger les mutins. A l’époque, Mgr Fellay avait eu toutes les peines du monde à obtenir le silence de Mgr Williamson. Il lui avait fallu se déplacer en Argentine en janvier 2005, uniquement pour cela. En mai 2008, l’évêque à la Rose tente désormais de protéger l’abbé Celier, auteur du texte puéril digne d’un potache intitulé « Deux apologues ». Mgr Fellay ne comprend toujours pas de quels infiltrés  il s’est entourés et qu’il n’est qu’un jouet entre leurs mains ?

L’agitateur Bouffareou évoque le sermon des rats de l’abbé de Jorna à Reims en 1996, qui mit un terme prématuré à sa responsabilité de supérieur du District de France. Le renvoi de son poste est visiblement ce que le duo Williamson-Celier tente d’obtenir désormais pour l’abbé de Cacqueray en 2008 en retournant désormais le texte de la « Cartouche » :

« En puisant dans son affectionnée littérature anglo-saxonnes, Mgr Williamson s’évita bien de ses maladresses où la comparaison révèle plus son auteur que le comparé. Comme dans le sermon où M. l’abbé de Jorna à Reims en 1996 compara les modernistes à des rats, ou maintenant comme dans l’éditorial de la cartouche où le combat de la foi devient une histoire de flingage : Deux erreurs de communication dans l’histoire de district de France de la Fraternité Saint-Pie X. » Bouffareou

Faire partir l’abbé de Cacqueray, pour protéger l’abbé Celier, voilà ce que le tandem Celier-Williamson et les autres infiltrés essaient désormais d’obtenir par toute cette agitation savamment entretenue sur internet.

Le duo Mgr Williamson-Celier apparaÎt dÉsormais comme un rÉseau infiltrÉ dans la FSSPX

La connexion « Mgr Williamson – abbé Celier » est désormais visible en 2008, comme la connexion « Mgr Williamson – abbé de Tanoüarn » fut évidente en 2004.

Cette affaire de la « Cartouche » vient de faire une première victime : le réseau de l’abbé Celier et de l’évêque à la Rose, dont les membres se trouvent désormais à découvert dans leurs manœuvres de contrôle de Suresnes et du District de France par une dialectique savamment entretenue et une répartition occulte des rôles.

Les clercs modernistes et dialecticiens que sont l’abbé Celier et Mgr Williamson sont démasqués et leurs les manœuvres sophistiquées de manipulation ne trompent plus personne.

Dans le même temps, l’ex-anglican Mgr Williamson poursuit son action de pourrissement de la FSSPX par ses voyages et ses conférences.

Mgr Williamson va consacrer une confÉrence À Londres au pasteur anglican pÉdophile Lewis Carroll, auteur de « Alice au pays des merveilles »

C’est ainsi que Mgr Williamson va prochainement donner une conférence sur « Alice au pays des merveilles » le 13 juin 2008 à Londres, après avoir commenté Wagner à Stockhlom.

L’évêque à la Rose de la FSSPX, supposément catholique, va donc consacrer une conférence au pasteur anglican pédophile Lewis Caroll. Cet écrivain britannique célibataire était connu pour son goût prononcé pour les photographies de nus de petites filles qu’il faisait venir chez lui.

“Dodgson's friendships with young girls, together with his perceived lack of interest in romantic attachments to adult women, and psychological readings of his work — especially his photographs of nude or semi-nude girls^[29] — have all led to speculation that he was, in modern parlance, a paedophile. This possibility has underpinned numerous modern interpretations of his life and work, particularly Dennis Potter's play Alice and his screenplay for the motion picture, Dreamchild, and a number of recent biographies, including Michael Bakewell's Lewis Carroll: A Biography (1996), Donald Thomas's Lewis Carroll: A Portrait with Background (1996) and Morton N. Cohen's Lewis Carroll: A Biography (1995). All of these works more or less unequivocally assume that Dodgson was a paedophile, albeit a repressed and celibate one.”[7]

Le sataniste britannique Alister Crawley, membre de la Golden Dawn, et de la Fabian Society (tout comme le Mentor de Mgr Williamson, l’écrivain britannique Malcolm Muggeridge le fut par ses liens familiaux) recommande la lecture de Lewis Carroll :

“Crowley also had a peculiar sense of humour, which he often utilised as a teaching instrument. He wrote a polemic arguing against George Bernard Shaw's interpretation of the Gospels in his preface to Androcles and the Lion, which was edited by Francis King and published as Crowley on Christ. In his Magick, Book 4 he includes a chapter purporting to illuminate the Qabalistic significance of Mother Goose nursery rhymes. In re Humpty Dumpty, for instance, he recommends the occult authority "Ludovicus Carolus" -- better known as Lewis Carroll.”[8]

Les extravagances de Lewis Carroll apparaissent dans sa biographie :

Lewis Carroll

http://en.wikipedia.org/wiki/Lewis_Carroll

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lewis_Carroll

Et son goût prononcé pour les petites filles se manifeste à travers les photographies de semi-nus dont raffolait l’auteur d’ « Alice au pays des merveilles » :

http://people.virginia.edu/~ds8s/carroll/dodgson.html

La lecture d’ “Alice au pays des merveilles” fait partie (ainsi que les autres ouvrages de l’anglican Lewis Carroll), des lectures recommandées par l’OTO (Ordo Templi Orientis), secte satanique Rose+Croix à laquelle appartenait le cardinal Rampolla del Tindaro, secrétaire d’Etat de Léon XIII.

http://oto93.com/booklist.html

Les goûts de lecture de Mgr Williamson, l’évêque à l’héraldique épiscopale similaire à celle des Rose+Croix, partage donc les mêmes préférences littéraires que l’OTO rosicrucienne, voilà qui est très curieux.

Mgr Williamson soutient d’un côté l’abbé Celier qui est désormais sur la sellette après que l’abbé de Cacqueray ait compris qu’il s’est fait jouer par un conte puéril.

Dans le même temps l’évêque à la Rose fait des conférences sur un auteur très suspect de livres apparemment enfantins et n’ayant rien à voir avec sa mission d’évêque.

 

Mais l’abbé Celier étant l’auteur de la rédaction du texte, qui est l’inspirateur de la métaphore du « chasseur » qui en constitue la trame ? Serait-ce l’amateur d’images et de scénarios enfantins… Mgr Williamson ?

Serait-ce l’ex-anglican qui l’aurait suggéré à l’abbé Celier-Cartouche ?

Il est vrai que lorsque l’on reprend les sermons et les conférences de Mgr Williamson, ils fourmillent de ce genre de petites histoires puériles « à deux balles ». L’évêque à la Rose de la FSSPX n’a-t-il pas cité Astérix dans son sermon des ordinations à Ecône le 29 juin 2008 ?

Nous ne sommes pas au bout de nos découvertes sur le fonctionnement des infiltrations au sein de la FSSPX…

A suivre…

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

© 2008 virgo-maria.org

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ANNEXE 1

Traduction du texte[9] de Mgr Williamson du 24 mai 2008

Dernière cartouche

Eleison comments XLVII

Un collègue prêtre de la Fraternité Saint-Pie X vient juste d’écrire (ou peut-être a fait sienne) une parabole par laquelle la Fraternité serait la dernière cartouche d’un chasseur qui doit tirer pour tuer le monstre du néo-modernisme qui s’est incrusté dans les structures mêmes de l’Eglise catholique. Puisque c’est la dernière cartouche, le chasseur ne peut pas se permettre de manquer son coup ! Bref, le « chasseur » serait accablé, mais laissez-moi tenter de l’assurer qu’il n’est pas si accablé que ça.

Premièrement et avant tout, l’Eglise catholique dépend de Dieu tout-puissant qui possède d’innombrables moyens pour lui venir en aide, que les hommes ne peuvent même pas imaginer. « Ma main est-elle trop courte parce que vous autres hommes êtes malicieux ? » (Isaïe 50,2). Imaginer que le Seigneur Dieu dépendrait de la Fraternité Saint-Pie X pour s’occuper du monstre du néo-modernisme, c’est gravement sous-estimer Ses pouvoirs !

Deuxièmement, le néo-modernisme est certainement incrusté trop profondément chez les Catholiques (ou ex-Catholiques) pour qu’une petite congrégation de quelque 450 prêtres puisse être capable de le déloger ! De même que le crime de l’avortement est devenu de plus en plus normal et accepté depuis les 40 dernières années, aussi l’hérésie du néo-modernisme s’est elle installée elle-même de plus en plus dans les cœurs et les esprits de la grande masse des catholiques (ou autrefois catholiques) dans la même période. Par la grâce de Dieu, la Fraternité Saint-Pie X peut toujours posséder la Vérité, mais quel levier pourrait encore être la Vérité pour des esprits diaboliquement désorientés, à commencer pour ceux des hommes d’Eglise qui la gouvernent aujourd’hui ?

Troisièmement, quel autre pouvoir la Fraternité Saint-Pie peut-elle avoir à part celui de la Vérité aujourd’hui impuissante ? Sinon la Foi, la Fraternité Saint-Pie X n’a ni de grandes masses avec elle, ni de grands théologiens, ni de grands écrivains. Elle se maintient dans le monde entier, ce qui est déjà un miracle, mais elle est fragile, et en termes temporels, elle n’avance pas plus vite que pas à pas, tandis que la Révolution mondiale avance en faisant des sauts et des bonds.

Non, cher collègue. L’humble mission de la Fraternité Saint-Pie X n’est certainement pas d’éliminer complètement la tempête (ce que Dieu seul peut faire), mais de s’en préserver. Non pas d’engloutir les mensonges, mais de soutenir la Vérité. Non pas de conquérir, mais de témoigner. Non pas d’être pressé, mais d’attendre l’heure de Dieu. C’est Son Eglise, et Il lui porte certainement attention avant toutes autres choses, soutenant jusqu’à présent la Fraternité Saint-Pie X. Mais il n’est jamais à court de cartouches !

Kyrie eleison

La Reja, Argentina

+ Richard Williamson

 

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