CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX
http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf
Qui et
Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à
la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome
conciliaire |
Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ? |
Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968? |
A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ? |
Serait-ce
donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on
veuille désormais faire dire la messe du |
Serait-ce que l’on
veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec
un clergé aussi INVALIDE que le |
Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)
lundi 29 décembre 2008
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Deux mois avant sa mort inopinée, Mgr Lefebvre institue
une autorité de suppléance au « défaut de Rome »
La lettre du 15 janvier 1991 de Mgr Lefebvre qui demande la
création de la Commission canonique
Saint Charles Borromée pour juger
des cas difficiles dans la Tradition catholique,
en particulier les cas de « nullité de mariage », d’« excommunication »,
d’« exorcismes » et « consultations ».
La politique menée par Mgr Fellay des « deux préalables » et du « processus de réconciliation » avec la Rome moderniste, désavouée par l’une des dernières lettres du fondateur de la FSSPX. Fac-similé des formulaires concernant les mariages.
La revue Sodalitium (n°51 – décembre 2000) a révélé en l’an 2000 la lettre par laquelle Mgr Lefebvre demandait au supérieur de l’époque, l’abbé Schmidberger, de procéder à la mise en place d’une « première expérience » par la création d’une commission canonique Saint Charles Borromée, présidée par un évêque, et destinée à juger des « cas difficiles » dans la Tradition.
Cette commission, créée en 1991, est présidée par Mgr Tissier de Mallerais (ancien secrétaire particulier de Mgr Lefebvre) qui est aidé des abbés Laroche et Pivert.
La demande de Mgr Lefebvre a donc été partiellement réalisée, car plusieurs demandes du fondateur n’ont pas été exécutées et ont été bafouées d’abord par l’abbé Schmidberger puis par Mgr Fellay, tous deux successeurs de Mgr Lefebvre à la tête de la FSSPX :
Pour l’exigence n°1 de Mgr Lefebvre, l’abbé Schoonbroodt, qui fait partie de la Tradition et qui est demeuré rigoureusement catholique, attend toujours la lettre qui lui annoncera la création de cette commission. Cette lettre n’a visiblement jamais été envoyée. Ni l’abbé Schmidberger, ni Mgr Fellay n’ont donc communiqué largement « à tous les prêtres de la Tradition », comme exigé par Mgr Lefebvre.
Pour l’exigence n°2 de Mgr Lefebvre, c’est tout le contraire qui est fait. Les fidèles sont toujours tenus dans l’ignorance de cette commission. Elle est dissimulée.
Pourquoi les volontés du fondateur, Mgr Lefebvre, n’ont-elles pas été suivies par les autorités de la FSSPX ?
Pour deux raisons semble-t-il :
Ces deux raisons procèdent d’une trahison du combat de Mgr Lefebvre, sinon de la personne elle-même du fondateur.
Signalons qu’en demandant que l’existence de cette commission soit communiquée à tout prêtre resté catholique, y compris en dehors de la FSSPX, Mgr Lefebvre a légitimé tout recours d’un prêtre, extérieur à la FSSPX, à cette commission.
Examen de la première raison : l’occultation du virage pris par Mgr Lefebvre après les sacres d’Écône du 30 juin 1988.
Tout d’abord la lettre de Mgr Lefebvre témoigne d’une évolution de l’archevêque dans les trois dernières années de sa vie, dans le sens d’une rupture définitive avec la Rome moderniste apostate.
Comme VM l’a déjà exposé, le cheminement de Mgr Lefebvre a suivi trois étapes. Dans sa dernière étape (après Assise en 1986), il a été très tourmenté, oscillant entre un rejet et la poursuite de « négociations » avec Rome. Le point de rupture est intervenu quand en mai 1988, il a signé, puis, le lendemain, après une nuit de tourments, s’est ressaisi et a repris sa signature. Dès lors, il n’a plus manifesté de faiblesses envers Rome. Il a sacré contre la volonté de la Rome des antichrists en juin 1988, et fut « excommunié » par les « antichrists » romains pour désobéissance et opposition à la volonté du « Pape ». Mgr Lefebvre s’est ensuite glorifié de son « excommunication » de la part ce ces « antichrists » apostats :
« Nous n’avons jamais voulu appartenir à ce système qui se qualifie lui-même d’Église conciliaire (…) Nous n’avons aucune part avec le panthéon des religions d’Assise ; notre propre excommunication par un décret de votre Éminence n’en serait qu’une preuve irréfutable. Nous ne demandons pas mieux que d’être déclarés « ex-communione » de l’esprit adultère qui souffle dans l’Église depuis 25 ans ; exclus de la communion impie avec les infidèles. » (Mgr Lefebvre, Fideliter n° 64 – p.11-12)
Après 1988, Mgr Lefebvre désormais coupé de tout contact dissolvant avec Rome, va mûrir sur la situation et faire des déclarations qui évoluent de plus en plus dans le sens de la remise en cause de la légitimité des occupants apostats du siège romain. Sa dernière lettre à l’abbé Tam, publiée, en fait explicitement état, en début 1991.
Le 15 janvier 1991, Mgr Lefebvre commence « un premier pas » pour « instituer des autorités de suppléance, gardant fidèlement les principes catholiques de la Tradition catholique et du droit catholique. » Pourquoi ?
Car, selon Mgr Lefebvre,
« C’est le seul moyen de demeurer fidèle à Notre Seigneur Jésus-Christ, aux Apôtres et au dépôt de la foi transmis à leurs successeurs demeurés fidèles jusqu’à Vatican II. ».
Sodalitium (abbé Ricossa) se livre à une critique de cette commission, en faisant valoir que la FSSPX – qui prétend exiger de tous la reconnaissance de la légitimité des Papes conciliaires - ne saurait s’arroger une juridiction qui n’appartient qu’au Pape et aux instances qu’il a mises en place, en se basant sur la thèse dite de Cassiciacum, du pape materialiter (possédant encore la juridiction) mais non formaliter (prêchant l’hérésie, et donc étant déchu de son Magistère).
Or cette thèse est aujourd’hui avérée caduque, elle n’a plus de base logique, car désormais le prétendu « pape materialiter » l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI n’est pas sacré validement évêque catholique (ce que reconnaît dans le même temps l’abbé Ricossa). Ratzinger-Benoît XVI ne possédant pas la plénitude du Sacerdoce (potestas ordinis épiscopale) de Melchisedech, n’est pas ontologiquement évêque catholique. Il ne peut donc être reconnu pape ni materialiter, ni formaliter.
En effet, un élu à la papauté (fut-il un simple laïc) doit, après avoir accepté publiquement son élection, accepter par là même de recevoir la plénitude des Ordres sacrés dans la semaine qui suit son élection. Si cela n’a pas été effectué de par sa propre carence, son acceptation publique de son élection – qui le constitue Pape – doit être réputée nulle et non avenue et avoir été insincère, et par conséquent il doit être tenu pour tout catholique pour n’avoir jamais été Pape sous quelque rapport que ce soit.
Ratzinger-Benoît XVI ne peut donc être reconnu comme « pape materialiter », car cela reviendrait à lui reconnaissance une puissance (la juridiction comme ‘pape materialiter’) sans l’être. Ce qui serait une aberration philosophique de premier ordre. Qu’un thomiste affiché comme l’abbé Ricossa puisse soutenir une telle aberration a de quoi surprendre…
La thèse materialiter/formaliter étant aujourd’hui définitivement caduque depuis l’avènement de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, cela signifie, qu’il n’y a plus en ce moment de juridiction pontificale d’un pape régnant sur terre. Et les ‘cardinaux’ créés du temps du Pape Pie XII sont morts.
Il reste que le Magistère infaillible de la Sainte Église et de ses Pontifes dans l’Histoire demeure par elle-même une source de légitimité de « juridictions de suppléance »
En outre ne reste aujourd’hui donc plus que l’épiscopat sacramentellement valide comme unique source des sacrements valides (ce qui montre aussi que les Portes de l’Enfer n’ont pas prévalus (c’est-à-dire ‘eu le dernier mot’) contre l’Église), le clergé conciliaire de rite latin étant désormais – après quarante années révolues d’interruption de la transmission sacramentellement valide du Sacerdoce sacrificiel catholique – à présent dans sa quasi-totalité démuni de toute Potestas ordinis et donc de tout pouvoir sacrificiel et sacramentel à l’instar du pseudo-« clergé » anglican.
En conséquence, face à une situation qui conduisait déjà à un résultat aussi désastreux, il est compréhensible que Mgr Lefebvre ait commencé à mettre en place en début 1991 des institutions, dérivées de sa seule propre juridiction épiscopale, afin de résoudre les « cas difficiles » rencontrés par les clercs et les fidèles, et afin de préserver la transmission du Sacerdoce et de la Foi catholiques, ainsi que l’application des principes du droit catholique.
L’approche de Mgr Lefebvre est celle du missionnaire catholique, tirant les leçons de l’expérience bi-millénaire de l’Église. Il procède prudemment par étapes, et son projet transperce : l’instauration de la commission Saint Charles Borromée n’est – ainsi qu’il l’écrit lui-même - qu’un « premier pas », son vocabulaire l’indique :
« il faudrait commencer très modestement », « Pour l’instant », « une première Commission », « Ce serait un premier pas », et « l’expérience montrerait ce qu’il est opportun de faire dans l’avenir ».
Mgr Lefebvre est d’abord un praticien, un homme pragmatique, il apprend sur le terrain, il avance après avoir mesuré les fruits, avec prudence, il n’a rien d’un théoricien vivant dans des principes, c’est typiquement l’ancien missionnaire d’Afrique qui parle.
Et cette première étape est conçue par Mgr Lefebvre en fonction d’une suite qu’il a déjà en tête, et dont il donne un aperçu :
« il faudra instituer des autorités de suppléance » pour pallier la « défection des Congrégations romaines dirigées par des prélats imbus des principes révolutionnaires du Concile ».
En début 1991, Mgr Lefebvre avait donc amorcé un virage considérable pour la FSSPX en commençant à la doter d’institutions durables « de juridiction » pour faire face à la situation sans précédent de l’Église, caractérisée par la prise de contrôle progressive de toutes les maisons et institutions catholiques, à commencer par le Vatican, par un faux clergé ou un clergé apostat, inféodé aux loges maçonniques, et au sommet, aux sociétés Rose+Croix.
La disparition inopinée de Mgr Lefebvre, le 25 mars 1991, à peine deux mois plus tard (son état de santé se détériore très soudainement en début mars) est venue interrompre très brutalement ce virage et avorter la croissance de ces institutions restées inachevées que préparait l’archevêque.
Pour Rome et les ennemis de l’Église, comme pour la camarilla des infiltrés déjà présente dans la Fraternité Saint Pie X, la mort rapide et très inattendue de Mgr Lefebvre a été, en quelque sorte, inespérée : « une divine surprise » qui préservait leurs plans pour un futur ralliement aux apostats conciliaires romains, que ces dernières initiatives de Mgr Lefebvre menaçaient de ruine définitive.
Cette rapide disparition aura en effet permis de geler aussitôt ces nouvelles dispositions du Fondateur de la Fraternité, et c’est ce gel et cette occultation au cours des 17 années qui ont suivi, qui ont permis - avec la collaboration active de la camarilla d’infiltrés qui s’était développée au sein de son Œuvre (camarilla dirigée par le binôme Williamson-Schmidberger) - de lancer officiellement l’opération des « discussions » annoncées au sein du « processus de réconciliation » conçu à partir de l’an 2000 dans l’objectif d’aboutir au ralliement public et formel de l’œuvre de préservation du Sacerdoce sacrificiel Catholique de Mgr Lefebvre à l’église conciliaire apostate, actuellement dirigée par l’abbé apostat Ratzinger-Benoît-XVI.
Examen de la deuxième raison : préserver les « discussions » avec la Rome apostate depuis 2000.
En effet, la deuxième raison et qui donne la finalité de la première, est bien la protection des « discussions » avec la Rome des « antichrists » depuis 2000.
Afin de préserver l’objectif final du « ralliement » qui refuse de dire son nom, l’existence d’une « juridiction de suppléance » a été - à l’encontre de la volonté formelle de Mgr Lefebvre - soigneusement dissimulée aux fidèles.
Mais Rome est bien entendu parfaitement au courant du fonctionnement de cette commission Saint Charles Borromée ayant « juridiction de suppléance » et présidée par Mgr Tissier de Mallerais.
Et Rome dans son plan d’accords à la signature de Mgr Fellay a certainement songé à neutraliser cette commission pour en reprendre le contrôle et pour soumettre dès lors les fidèles et les clercs de la Tradition aux « principes révolutionnaires du Concile », selon les termes mêmes de Mgr Lefebvre.
Du reste, il faut voir une marque caractéristique de collusion tacite entre les autorités de Menzingen (cornaquées par la camarilla des infiltrés) et la Rome de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI dans le fait que les autorités conciliaires, à commencer par l’abbé apostat Castrillon-Hoyos, se gardent bien d’incriminer publiquement, l’existence de la « Juridiction de suppléance » Saint Charles Borromée que la Fraternité Saint Pie X à mise en place depuis 1991 et son fonctionnement auprès des fidèles de la Tradition sur la question des déclarations de « nullité » des mariages catholiques, en suppléance du Tribunal romain de la Sainte Rote, et pas seulement, le domaine d’intervention de la commission ayant été fixé à un périmètre très large par Mgr Lefebvre.
C’est du reste en se replaçant lui-même dans la perspective même qui était celle que Mgr Lefebvre avait explicitée au début de l’année 1991, que Mgr Tissier de Mallerais, dans son important interview de juillet 2008 à The Angelus[1], n’a pas craint de préconiser très clairement de procéder à de nouveaux sacres épiscopaux :
« Dans la Fraternité, le sacre de nouveaux évêques, si cela apparaît nécessaire. Je vieillis ».
puis d’envisager le développement futur de la FSSPX, en s’installant dans la perspective d’un combat très long et très dur :
« Des gens qui sont fatigués par le long, long combat de la Foi: “Quarante ans, ça suffit !” Mais ce combat durera trente ans encore. Par conséquent, ne baissez pas les armes, ne recherchez pas de “réconciliation,” mais continuez le combat ! »
« Avant tout, notre persistance à refuser les erreur du Second Concile du Vatican. Deuxièmement, notre résolution à refuser toute “réconciliation” avec la Rome occupée [!]. Troisièmement, notre croissance en matière d’écoles, académies et collèges en sorte de promouvoir l’éducation catholique et l’aide aux familles. Quatrièmement, résister à toute persécution de la part des autorités civiles et proclamer que la Chrétienté est la seule source de civilisation. »
Dans la perspective de l’avènement de l’Antéchrist ?
Il n’a pas abordé la question, il a simplement fait une allusion à la prophétie des Papes de Saint Malachie, mais une telle perspective a déjà été évoquée par les Papes, en particulier Saint Pie X.
Quand donc des voix s’élèveront-elles publiquement au sein de la FSSPX pour exiger l’arrêt de ces « discussions » suicidaires avec la Rome des « antichrists » apostats modernistes conciliaires, et poser enfin publiquement la question vitale de l’application de la doctrine tutioriste en matière de sacrements, et d’abord en matière du sacrement de la plénitude des Saint Ordres ?
Dans le contexte qui est celui que nous décrivons aujourd’hui, nous invitons Mgr Tissier de Mallerais à rester très vigilant sur sa santé, et nous ne manquerions pas de faire connaître toute alerte dans ce domaine.
Leader en pleine affirmation de la vaste majorité des clercs tutioristes en matière sacramentelle au sein de la FSSPX, de l’opposition à la Rome moderniste apostate et de la fidélité à la mission de sauvegarde du Sacerdoce sacrificiel catholique transmise par Mgr Lefebvre, Mgr Tissier est devenu le poil à gratter des « antichrists » apostats de la Rome conciliaire, et ces derniers ne pourraient que se réjouir de tout affaiblissement de l’évêque français.
Continuons le bon combat
La Rédaction de Virgo-Maria
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Document publié par Sodalitium n°51 de décembre 2000.
Notre jurisprudence, qui s'inspire de la jurisprudence traditionnelle de la Rote romaine et recueille ce qui peut être bon d'une jurisprudence récente, s'élabore au fur et à mesure de l'exercice de notre pouvoir supplétoire, selon la prudence.
Les autres cas prévus par Mgr Lefebvre se répartissent de la manière suivante:
* Dispense des vœux de religion: l'évêque chargé des religieux, actuellement Mgr de Galarreta (après Mgr Fellay) (ordonnances de 1997, p. 46).
* Autorisations d'exorcisme: Les supérieurs de districts, séminaires et maisons autonomes (ordonnance de 1997, p. 33, faculté 46).
* Consultations: Le président ou les membres de la Commission canonique (actuellement Mgr Tissier de Mallerais, président, M. l'abbé Laroche et M. l'abbé Pivert, membres).
Les confrères pourront constater notre fidélité à la ligne que traçait Mgr Lefebvre dans la lettre dont voici l'extrait choisi.
« Écône, 15 janvier 1991
Cher abbé Schmidberger,
CENSURÉ
ANNEXES
Formulaires utilisés par la Commission Saint Charles Borromée
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