CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf

Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

vendredi 9 janvier 2009

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

Exemple prémonitoire pour la FSSPX :
La scission des Rédemptoristes Transalpins,
et leur naufrage lamentable

 

Une image en accéléré du terminus de la politique suicidaire imposée par la « camarilla des infiltrés » à la FSSPX depuis 2000 : quelques mois après leur première « reconnaissance » par la Rome des « Antichrists » en juin dernier, les Rédemptoristes Transalpins de l’agent Michael Sim[1] (soutenu en son temps par le ‘cardinal’ Gagnon) se divisent en deux communauté et les moines ralliés à l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI font main basse sur leurs biens et moyens matériels - dons des fidèles de la Tradition - et se les accaparent et en expulsant dans un garage ceux qui n’ont pas voulu rallier (Père Nicholas Mary).

Le « schéma de Campos » vient de se reproduire en Écosse pour les Rédemptoristes Transalpins.

A peine quelques mois en effet après avoir engagé un « processus » d’accord, et demandé une reconnaissance officielle à la Rome apostate, la communauté des Rédemptoristes Transalpins vient à présent de basculer officiellement dans l’église conciliaire.

VM a publié un dossier important[2] sur le sujet en dénonçant dès cette époque ce qui allait logiquement se produire¹.

Malheureusement VM n’avait que trop raison – et ne pouvait qu’avoir raison - en anticipant les conséquences logiques des FAITS déjà établis¹, et la duplicité cléricale du Père Michael Sim, comme les artifices de sa « réconciliation » avec Rome n’ont malheureusement en effet pu manquer de produire les fruits pourris que tout mauvais arbre finit très vite par produire :

• Le site internet qui présentait les raisons de leur combat a été sabordé :

• Le lien de leur site renvoie directement sur leur blog.
• Disparues les pages où ces moines présentait le combat de la Tradition en Ukraine, et la persécution dont souffrent les catholiques qui entourent le Père Kovpak,
• disparue leur dénonciation du pacte « œcuméniste » de l’église conciliaire avec les hérétiques et schismatiques orthodoxes à Balamand en 1993.
• Il n’y a plus rien et les catholiques fidèles à la Tradition à l’Est sont désormais abandonnés[3] par les Rédemptoristes ralliés qui ont préféré renier leur Foi pour la troquer contre une reconnaissance confortable et respectable au sein de l’église antichriste de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.

C’est le terminus programmé auquel l’agent Sim espérait sans doute mener les clercs et les fidèles de la Tradition qu’il s’était donné comme mission de conquérir avec la bénédiction du ‘cardinal’ Gagnon en 1988. Cela lui aura pris 20 ans pour accomplir sa mission d’agent romain.

Les fidèles catholiques ont donc, à nouveau sous les yeux, le spectacle désormais répétitif de l’immense tromperie accomplie par des clercs infiltrés auxquels ils ont accordé leur confiance pendant des décennies et qui ont vécu et qui ont vécu, ont grandi et se sont enrichis à leurs dépens.

C’est toute l’histoire de l’Église au moment de Vatican II, qui se répète inlassablement sur les communautés cléricales qui naissent en réaction à l’apostasie, sans que les fidèles et surtout les clercs – volontairement sourds et aveugles - qui la subissent ne paraissent devoir finir par en tirer les conclusions qui s’imposent.

Cette communauté des Rédemptoristes a été bercée par les sirènes de la Rome des « antichrists », relayées complaisamment par l’agent Michael Sim, en même temps que par Mgr Fellay qui, au lieu de les mettre sévèrement en garde – coomme cela eût été son premier devoir - leur a susurré à eux aussi la fable absurde et criminelle du « bon Pape Benoît XVI » et de l’« ami très précieux Castrillon Hoyos » qui veulent « restaurer la Tradition catholique dans l’Église » et qui – en butte à « la méchanceté des mauvais évêques » - implorent dans ce but « l’aide des vrais catholiques de la Tradition », à Flavigny en décembre 2007, à peine un mois avant de leur rendre visite à PapaStomsay et que ne s’amorce leur chute finale inexorable dans l’apostasie conciliaire.

Mgr Fellay n’aura donc absolument rien anticipé !

Il n’aura donc absolument rien tenté pour empêcher la perte de cette communauté, de ces clercs, ainsi que des fidèles et de leurs familles qui les soutenaient !

Bravo ! Quel glorieux bilan !

Et surtout…surtout…Mgr Fellay, gardez-vous bien d’en tirer quelque leçon que ce soit sur les remarquables conseillés de la camarilla qui rôde autour de vous ! N’est-ce pas ?

Bien plus encore, lorsque l’abbé Scott, supérieur du Séminaire de la Fraternité de la Sainte-Croix, aura voulu tenter de sauver leur séminaristes en formation en Australie, il n’a nullement été soutenu, et s’est même retrouvé muté de son poste en août 2008 par décision finale de Mgr Fellay, sur les injonctions de la « camarilla des infiltrés » qui semble décidément toute puissante sur Menzingen.

Et mieux encore, avec une inconséquence invraisemblable, Mgr Fellay n’aura pas craint d’aller tout de go à Villepreux en octobre 2008, se lamenter devant les fidèles de la Tradition sur la « dérive » des Rédemptoristes, comme s’il observait cet évènement en simple spectateur depuis sa fenêtre, alors qu’à l’évidence il porte une responsabilité publique de premier ordre absolument écrasante dans leur lamentable naufrage programmé.

Car cette chute des Rédemptoristes n’aurait pas eu lieu si la Direction de la FSSPX n’avait piétiné les volontés de son fondateur et tourné le dos à la mission qu’il lui a assignée, en amorçant dès l’an 2000 ces suicidaires « discussions » avec la Rome conciliaire des « antichrists », et en faisant approuver par le Chapitre général de 2006, un mortel prétendu « processus de réconciliation » avec l’abbé apostat Ratzinger-benoît XVI, assorti du leurre pervers des « deux préalables » sussuré par la Rome « antichriste » et son réseau infiltré au sein de la Fraternité Saint Pie X.

C’est précisément cette politique suicidaire de pseudo-« négociations » avec les ennemis de la Sainte Église, si chère à « la camarilla des infiltrés », qui véhicule en réalité tous les jours la ruine de la Foi et la division au sein de la Fraternité Saint Pie X, en semant les germes de la scission au sein des clercs et des fidèles de la Tradition qui veulent rester fidèles à la Foi de leur Baptême.

Et ce qui s’est produit au sein de la petite communauté des Rédemptoristes Transalpins, produit déjà les mêmes effets délétères et mortels au sein de la FSSPX.

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

© 2009 virgo-maria.org

Exclusif : des moines des îles Orcades[4] en sont réduits à célébrer leur culte dans un garage après l’éclatement de leur communauté.

6 décembre 2008 – dailyrecord.co.uk

Sur un îlot, des moines célèbrent leur culte dans un garage après l’éclatement de leur communauté.

Les Rédemptoristes transalpins de Papa Stronsay (une des Orcades) se sont divisés à l’issue d’une querelle en matière d’orientation religieuse.

Une partie de la communauté, conduite par le Père Michael Mary, Vicaire général, est restée au monastère du Golgotha, situé sur l’île de Papa Stronsay.

La faction rivale, menée par le Père Nicholas Mary, s’est installée sur l’îlot voisin de Stronsay, où elle célèbre son culte en différents lieux, dont un garage.

L’éclatement s’est produit après qu’au début de l’année, cet ordre catholique eut fait la paix avec le Vatican au terme d’une suspension de vingt ans.

Les moines des Orcades célèbrent la Messe tridentine traditionnelle, qu’on appelle aussi parfois Messe en latin ou ancienne Messe. Celle-ci était interdite par l’Église jusqu’à ce que, l’an dernier, le pape Benoît XVI fut revenu sur cette interdiction.

Cela entraîna une réconciliation entre le Vatican et les moines des Orcades.

Mais le Père Nicholas et trois autres frères n’approuvèrent pas cette réconciliation et furent invités à partir.

Le Père Nicholas est maintenant à la tête d’un ancien garage sur l’île de Papa Stronsay (d’une superficie de 350 hectares), en attendant de trouver un siège permanent à sa congrégation.

Il déclare :

« Mon statut n’a pas changé, puisque je me borne à faire ce que nous avons fait au cours des vingt dernières années. Je reste membre des Rédemptoristes transalpins, et non pas de la nouvelle communauté que le Père Michael a en projet. »

Selon lui, une séparation était inévitable.

Il ajoute :

« Bien que tous les catholiques de Stronsay assistent avec tristesse à cette séparation, tous comprennent et respectent les diverses positions adoptées en conscience par les uns et les autres, et l’esprit de fraternité demeure inchangé. »

Les moines, venus de France, sont venus s’installer en 1999 sur l’île inhabitée de Papa Stronsay.

Plus tard, ils ont acheté à un agriculteur, pour la somme de 250.000 livres sterling, l’îlot de 20 hectares, sur lequelle ils ont construit leur monastère.

Ils ont aussi construit sur Papa Stronsay, sous forme de chalets, des « cellules » où vingt-cinq moines venus du monde entier se lèvent chaque matin à quatre heures pour faire leur adoration et travailler à la ferme.

Le Père Michael a reconnu que l’éclatement de l’ordre avait provoqué des tensions au sein de la communauté catholique de Stronsay.

Il a cependant ajouté :

« Nous resterons en contact les uns avec les autres, mais la paix entre nous est mieux préservée dans ces conditions, où les relations sont simplifiées. »

---

English Source

Exclusive : Orkney monks forced to worship in garage after religious split Dec 6 2008 - dailyrecord.co.uk

AN ORDER of monks on a tiny island are worshipping in a garage after a split.

The Transalpine Redemptorists on Papa Stronsay in Orkney divided in a row over religious direction.

One side, led by the traditional order's vicar general Father Michael Mary, have remained at the Golgotha Monastery on the island.

The rival faction, led by Father Nicholas Mary, have set up on neighbouring St ronsay, where they have been worshipping at various venues, including a garage.

The division came after the Catholic order made their peace earlier this year with the Vatican following a 20-year suspension.

The Orkney monks say the traditional Tridentine Mass, sometimes referred to as the Latin Mass or Old Mass. It was outlawed by the Church until a reversal by Pope Benedict last year.

That led to the reconciliation between the Vatican and the Orkney monks.

But Father Nicholas and three other brothers did not back the move and were asked to leave.

Father Nicholas is now operating out of a former garage workshop on 8000-acre Stronsay until a permanent place can be found for his congregation.

He said: "My status has not changed since I have simply remained doing what we have done for the last 20 years. I remain part of the Transalpine Redemptorists, rather than part of Father Michael's projected new community."

Father Nicholas said a separation was inevitable.

He added: "Whilst all the Catholics on Stronsay are sad to see a parting of the ways, there is general understanding and respect of the different positions all have taken in conscience and the spirit of friendship continues as before."

The monks moved to uninhabited Papa Stronsay from France in 1999.

Later, they bought the 250-acre island for £250,000 from a farmer and built the monastery.

They have also built chalet-style "cells" on Papa Stronsay, where around 25 monks from all over the world get up at 4am each day to worship and work on a farm.

Father Michael admitted the split had caused tensions among the Catholic community on Stronsay.

But he added: "We will continue to be in contact with one another but peace is better preserved under these conditions when relationships are simplified."

____________

Pour vous abonner ou vous désabonner de la lettre d’information Virgo-Maria, veuillez remplir le formulaire disponible sur notre site http://www.virgo-maria.org/