Virgo-Mara.org

CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf

Qui et Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome conciliaire
(en fait la «ré-conciliarisation» de la FSSPX) ?

Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ?

Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968?

A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ?

Serait-ce donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on veuille désormais faire dire la messe du
VRAI rite par de FAUX prêtres ?

Serait-ce que l’on veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec un clergé aussi INVALIDE que le
FAUX CLERGE ANGLICAN ?


Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

mardi 14 juillet 2009

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

Mgr Tissier (FSSPX) pose publiquement

la question de la validité des ordinations conciliaires,

mais passe honteusement sous silence

celle de la validité de la nouvelle consécration épiscopale conciliaire

« l’on pourra montrer la déficience

du nouveau rite des ordinations sacerdotales, par exemple» Mgr Tissier, 29 juin 2009

Bernard Tissier de Mallerais

« Jamais nous ne signerons de compromis. Les discussions n’avanceront que si Rome réforme sa manière de voir et reconnaît les erreurs dans lesquelles le Concile a mené l’Église. » Mgr Tissier, 29 juin 2009

« Nous ne changerons pas nos positions, mais nous avons l’intention de convertir Rome, c’est-à-dire d’amener le Vatican vers nos positions » Mgr Tissier, 1er février 2009 (en annexe)

 
La question de la validité des Ordres Conciliaires, premier sujet des prétendues ‘discussions’ doctrinales entre la FSSPX et la Rome moderniste apostate ?
 

Mgr Tissier de Mallerais qui avait déjà exprimé ses doutes sur la validité du nouveau rite de consécration épiscopale, en 1998, dans une lettre au Père Pierre-Marie de Kergorlay (dominicain d’Avrillé), vient de déclarer à La Vie (revue conciliaire), que les rites liturgiques seraient les premiers sujets des ‘discussions’ prévues à l’automne :

« Il faut commencer par la liturgie ; ce serait le plus simple, car l’on pourra montrer la déficience du nouveau rite des ordinations sacerdotales, par exemple. Déficience qui, en revanche, lorsqu’on parle de la nouvelle messe, tient plutôt de la contradiction pure et simple; car c'est une nouvelle théologie qui s'y exprime, donc une autre religion. » Mgr Tissier, 29 juin 2009

Il s’agit là du cœur du problème : la question de la validité des Ordres Conciliaires, car c’est bien ce que les ennemis de l’Église ont voulu détruire par une attaque mortelle, et d’abord pour annihiler l’Épiscopat catholique de rite latin, dissimulée dans les brumes de la révolution conciliaire.

Il est proprement ahurissant que Mgr Tissier ne mette pas en avant la question du nouveau rite de consécration épiscopale conciliaire qui a répudié à 100% le rite traditionnel : il ne s’agit plus là de simples « déficiences » !

En effet :

Rappelons, pour ceux qui ne connaîtraient pas encore (?) la question (cf. www.rore-sanctifica.org ), que la consécration épiscopale de rite latin EST LE PREMIER SACREMENT AUQUEL LE CONSILIUM LITURGIQUE S’EST D’ABORD ATTAQUÉ (DomBotte-Lécuyer-Bugnini3 points), ET QUE C’EST LE SEUL SACREMENT DONT LE TEXTE TRADITIONNEL (ne varietur depuis avant l’an 300 dans la forme essentielle latine du sacrement) A ÉTÉ ENTIÈREMENT REJETÉ ET REMPLACÉ !

Et comment cette question cruciale ne pourrait-elle pas être mise en avant de prime abord, alors même que Ratzinger nie la nature et la fonction des sacrements :

« La conception des sacrements comme instruments de grâce que je reçois à titre de remèdes surnaturels afin, pour ainsi dire, d’assurer uniquement ma santé éternelle personnelle, constitue la méprise par excellence en matière sacramentelle » Joseph Ratzinger, Les principes de la théologie catholique, Paris, Téqui, 2005, p. 51

Cette citation est reprise par l’abbé Gaudron (FSSPX) dans son livre : « Catéchisme catholique de la crise dans l’Église » (éditions Le Sel) en page 237.

 
Mgr Tissier s’oppose à la veulerie de Mgr Fellay devant Benoît XVI :
 

« Jamais nous ne signerons de compromis »

Dans le droit fil de son interview du 1er février 2009 à La Stampa (repris en annexe), Mgr Tissier rejette tout compromis avec Benoît XVI et prétend vouloir lui faire renoncer à Vatican II :

« Jamais nous ne signerons de compromis. Les discussions n’avanceront que si Rome réforme sa manière de voir et reconnaît les erreurs dans lesquelles le Concile a mené l’Église. »

Mgr Tissier vient de rejeter implicitement les propos de reddition de Mgr Fellay tenus à Zenit, qui déclarait le 29 juin 2009 à Écône :

« La condition sine qua non pour que l’on s’interroge sur le statut à donner à la Fraternité Saint Pie X, c’est la résolution de nos dissensions. En attendant, nous conserverons le statut qui est le nôtre actuellement ; il n’y a aucune urgence à le faire évoluer, et nous ne changerons rien à notre apostolat » Mgr Tissier de Mallerais, La Vie, interview du 29 juin 2009

En effet, se contredisant une fois de plus, Mgr Fellay avait dit être « prêt à envisager un statut provisoire », comme ne le cesse de le susurrer l’abbé Barthe, organisateur du G.R.EC. (représenté par l’abbé Lorans au sein de la FSSPX), cet ancien infiltré, ami de Ratzinger :

« Si le supérieur général d’origine suisse préfère régler ces questions doctrinales avant d’accepter le statut canonique dans l’Église, il insiste néanmoins sur son ouverture à un compromis provisoire avec le Vatican.

« Si Rome nous donne des garanties suffisantes de survie, en quelque sorte, je pense que nous prendrons certainement en considération la question », a-t-il déclaré. » Zenit, 16 juin 2009[1]

 
Mgr Fellay ment en niant une opposition théologique entre Mgr Lefebvre et Ratzinger : « le problème n'est pas théologique, mais philosophique »
 

Mgr Fellay commence depuis un mois à répandre partout le sophisme selon lequel l’opposition entre le combat de Mgr Lefebvre et celui de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît serait philosophique et non pas théologique, ce qui revient à dire que l’opposition de la FSSPX à l’égard de l’église Conciliaire ne porterait pas sur la Foi :

« le problème n'est pas théologique, mais philosophique » Mgr Fellay, 29 juin 2009, cité par La Vie 

Évidemment, Mgr Fellay en arrive ensuite à la conclusion de l’abandon du combat de Mgr Lefebvre, en déclarant que l’église Conciliaire et la FSSPX « parlent de la même chose » :

« Le pape, marqué par la philosophie moderne, insiste sur le sujet; nous, héritiers de la philosophie scolastique, insistons sur l'objet. Mais si ça se trouve, nous parlons de la même chose! » Mgr Fellay, 29 juin 2009, cité par La Vie 

Cette déclaration constitue une véritable insulte aux fidèles et aux clercs traditionnalistes : à l’évidence, Mgr Fellay prend les clercs et les fidèles traditionalistes pour des ignorants absolument incultes, et pour des handicapés mentaux pathologiques profonds.

Serait-ce en vérité sa fameuse « cartouche » dont l’abbé de Cacqueray (Celier ?), Supérieur du District de France de la FSSPX, nous bassinait naguère[2], en mai 2008 au moment où Mgr Fellay, avec son âme damnée l’abbé Celier, avait entrepris ses manœuvres dans le projet de convoquer un chapitre général extraordinaire de la Fraternité afin d’entériner ses choix stratégiques, et dont curieusement on n’entend plus du tout parler aujourd’hui, que ce soit de cette grotesque « cartouche » , ou que ce soit de la convocation de ce chapitre « extraordinaire »..

De telles déclarations, qui tirent un trait de plume odieux sur tout le combat de Mgr Lefebvre et plus de 45 ans d’opposition et de sacrifices des clercs et des fidèles pendant deux générations pour tenter de sauver la Foi et les sacrements après la révolution conciliaire, sont proprement scandaleuses et nauséabondes dans la bouche de celui qui a succédé à l’« archevêque de fer » qui l’a sacré en 1988.

Si Mgr Fellay ne voit plus que des « différences d’ordre philosophiques » entre lui-même et l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI et qu’il est persuadé qu’il n’existe plus que l’épaisseur d’un « malentendu » entre le chef de l’église Conciliaire apostate et lui, qu’il soit cohérent avec ses propos, qu’il démissionne de la FSSPX, cède sa place de Supérieur général à un clerc qui aura au moins l’honnêteté et la loyauté de poursuivre le combat de Mgr Lefebvre et non pas de le trahir malhonnêtement et sournoisement, tel un prévaricateur, et un mercenaire à la poursuite de son salaire.

 
L’heure n’est-elle pas venue pour que Mgr Tissier devienne Supérieur général de la FSSPX et que Mgr Fellay démissionne de sa fonction qu’il a déshonorée ?
 

Et pourquoi l’heure ne serait-elle pas venue que Mgr Tissier prenne la direction de la FSSPX et mette un coup d’arrêt à cette mentalité insupportable de « collabo » à la Direction de la FSSPX, faisant fi de toute question de fond et de VÉRITÉ, que Mgr Fellay ne prend désormais même plus la peine de dissimuler ?

Pourquoi Mgr Fellay ne gratte-t-il pas l’onction de son sacre de sa tête, en maudissant Mgr Lefebvre toujours « excommunié » par les apostats romains avec lesquels il est aujourd’hui au mieux, en demandant pardon de l’avoir suivi pendant des décennies, et pourquoi ne va-t-il pas tout de suite chercher une place confortable au sein de la structure conciliaire ? Il ne ferait que suivre Mgr Rifan ou les abbés Barthe, Laguérie, Héry, Forestier, Aulagnier, Thuillier qui l’ont précédé de quelques années… et rejoindre l’église Conciliaire apostate qui l’a formé pendant toute sa jeunesse, comme il vient complaisamment de le reconnaître dans un interview[3] télévisé à un faux prêtre conciliaire canadien.

Malgré sa pusillanimité, ses timidités et son manque d’audace à tirer les conclusions de ses propres analyses, ou encore de ses compositions avec le clan du ralliement qui a infiltré la FSSPX, Mgr Tissier aurait au moins pour lui de présenter la légitimité de celui qui a maintenu le combat pour la doctrine du Christ-Roi, et pour la sauvegarde du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellemnet valide, dans la fidélité à ses consécrateurs.

Ainsi que Virgo-Maria.org l’avait anticipé depuis plus de deux ans, la figure de Mgr Tissier de Mallerais se détache de plus en plus comme celle du théologien de référence pour les membres de la FSSPX et les observateurs extérieurs.

La Vie le reconnaît aujourd’hui en déclarant qu’il fait figure « d’ « intellectuel » du groupe, et apparaît comme le tenant d'une ligne dure assumée ».

Empêtré dans ses méthodes Assimil, pour l’apprentissage laborieux et besogneux des langues vivantes (anglais, allemand, espagnol) qui occupent une grande partie de son temps d’évêque, et dans ses incohérences et sa duplicité répétées, Mgr Fellay perd tout crédit devant les journalistes, l’expression de sa pensée théologique étant inexistante, la rigueur de pensée exigée l’ayant apparemment dissuadé de s’y consacrer davantage :

« l'élocution onctueuse et le sourire toujours aux lèvres, usant et abusant des métaphores, il cultive le flou de ses déclarations ». La Vie, 30 juin 2009

 
Mgr Tissier produit un travail théologique et est pris à partie par le site conciliaire Catholicae Disputationes
 

Au contraire, depuis plusieurs mois, Mgr Tissier accumule les études de fond sur la pensée de Ratzinger-Benoît XVI, dont il ne cesse de compulser et d’analyser les écrits :

Le site Catholicae Disputationes engage une critique de l’article de Mgr Tissier paru en janvier 2009, et prend la défense de Ratzinger, par des arguments qui relativisent saint Thomas d’Aquin et la doctrine catholique.

« la doctrine de l’Église, si elle doit beaucoup aux analyses du Docteur angélique, n’en est pas prisonnière … ce n’est pas la théologie de saint Thomas d’Aquin, aussi puissante soit-elle, qui permet de juger le Magistère, mais au contraire, c’est le Magistère qui peut seul se faire juge de la doctrine des théologiens.

Maintenant, sur le fond, et ayant bien compris l’argumentation de Mgr Tissier de Mallerais, il nous semble que l’argumentation du théologien Joseph Ratzinger ne saurait être balayée d’un revers de la main au nom d’une tradition comprise par un autre théologien ; car enfin, il faut se souvenir que l’Église n’enseigne pas que la seule finalité de l’inhumanisation de la parole de Dieu soit le Sacrifice, mais que son but est l’achèvement de la Création. Les Écritures insistent tout particulièrement sur le fait que le Christ est la cause finale de la Création : il est le premier en intention et donc le dernier en exécution. À ne pas le voir, à ne pas le comprendre, on décapite le christianisme de sa métaphysique et donc de sa véritable signification : le paleos anthropos ne saurait par la seule actuation de ses potentialités devenir divin, ainsi que cela a été annoncé par les prophètes : entre l’humanité première, adamique, et l’humanité du Christ, second adam, il y a un fossé ontologique que personne ne peut franchir par ses seules vertus, seule une nouvelle création, une nouvelle naissance à un ordre supérieur peut le faire.


Pour être plus clair, il convient de rappeler que l’univers matériel n’a pas en lui ce qui est nécessaire à l’émergence de la vie, que le règne animal n’a pas en lui ce qui est nécessaire à l’émergence de la vie intellectuelle, réfléchie et libre ; de même l’homme, doué de raison et de liberté, n’a pas en lui ce qui est nécessaire à l’émergence de la vie divine en lui et c’est bien ce qui fait que les vertus théologales ne sauraient être réduites à des faits psychologiques, puisqu’elles sont d’un autre ordre, d’un ordre supérieur.

Donc, Jésus est le parachèvement de la création de l’univers (summum opus Dei), la réalisation parfaite et adorable de la volonté aimante de Dieu : une humanité épousée par Lui. Voilà la véritable finalité de l’incarnation en bonne théologie catholique. Il ne s’agit pas de restaurer un état antérieur, à moins de penser que le temps n’est qu’un simulacre, une image mobile de l’éternité pour parler comme Platon. Il s’agit d’une nouvelle et ultime étape dans l’histoire de la création. » Catholicae Disputationes[5]

Cette réponse qui a tout l’air d’être celle de cuistres ne fait rien d’autre que de prêter à Mgr Tissier l’idée de la négation des effets multiples de l’Incarnation, en la réduisant dans sa pensée au seul effet du Sacrifice de la Croix, alors même que l’évêque mettait en cause chez Ratzinger l’absence de cette finalité qui est le Sacrifice expiatoire remis par Notre Seigneur Jésus-Christ à Son Père pour racheter les âmes. Ces auteurs conciliaires font comme si l’Incarnation de NSJC ne pouvait pas avoir plusieurs finalités ou effets, et comme si Benoît XVI n’avait pas nié l’un d’eux qui est capital.

Pour avoir dénoncé ce qui est absent, et même nié, chez Ratzinger, à savoir la valeur expiatoire et rédemptrice du Sacrifice de la Croix, Mgr Tissier se voit ainsi caricaturé par ce site conciliaire, qui suggère qu’il serait à son tour le négateur prétendu (et sans la moindre preuve) de l’élévation de la nature humaine (des rachetés par leur volonté d’union personnelle à la Personne de Jésus Christ) procurée par l’Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ : « il faut se souvenir que l’Église n’enseigne pas que la seule finalité de l’inhumanisation de la parole de Dieu soit le Sacrifice, mais que son but est l’achèvement de la Création » susurre Catholicae Disputationes, déformant ainsi la critique que fait Mgr Tissier de Benoît XVI.

Le procès d’intention intenté par le site Catholicae Disputationes à l’égard de Mgr Tissier est bien à l’image des théologiens conciliaires modernistes qui fuient systématiquement les débats clairs qui les gênent, lorsque leur idole Ratzinger-Benoît XVI est mis en cause, et tentent des attaques ad hominem en prêtant à leurs contradicteurs des propos qu’ils n’ont jamais tenus.

Cela témoigne de l’impact que peuvent avoir les études de Mgr Tissier au sein de cercles de réflexions théologiques, et du dérangement qu’elles causent.

 
Les aberrations intellectuelles et théologiques distillées par Mgr Fellay dans les médias
 

Mgr Fellay et ses déclarations puériles et ridicules sur « Vatican II, c’est du plastique » (sic) ou sur les « Mercedes » ou autre propos sur les « oiseaux cardinaux »[6] en est à l’évidence totalement hors jeux : Des déclarations aussi grotesques de ce genre de la part de Mgr Fellay ne sauraient bien évidemment en effet nullement être prises au sérieux par des gens sérieux qui ont le sens des responsabilités.

Alors que bientôt vont commencer les prétendues ‘discussions doctrinales’ À HUIS CLOS de la FSSPX avec la Rome apostate, Mgr Tissier va de plus en plus ressortir au sein de la FSSPX comme la véritable autorité théologique, bien plus que Mgr Fellay qui n’a cessé d’étaler son ignorance de la science théologique catholique et son goût sans cesse croissant des manœuvres florentines ecclésiastiques combiné à un illuminisme de pacotille (3 croisades mondiales inventées en 3 ans, affaire « Mme Cornaz[7] » dont le ridicule fut vite étouffé par Menzingen quand le pot aux roses fut découvert), à tel point que les abbés de la FSSPX ont dû intervenir par moment pour rectifier les énormités théologiques et les nullités intellectuelles que dispensait le Supérieur de la FSSPX.

C’est ainsi qu’en novembre 2007, l’abbé Scott avait dû réaffirmer la doctrine catholique du tutiorisme[8] en matière sacramentelle dans les colonnes de The Angelus, après les propos aberrants de Mgr Fellay[9], tenus à sa psychanaliste favorite, Mme S.I.[10], directrice du site Donec Ponam, le 25 mars 2007 au sujet du « sacerdoce probable » et des « prêtres a priori valides », en parlant des clercs conciliaires.

Cet assainissement théologique ne fut semble-t-il pas du goût de l’arrogant autant qu’inculte Mgr Fellay, car l’été suivant, en août 2008, l’abbé Scott fut débarqué par Menzingen de ses fonctions de Supérieur du séminaire de la FSSPX en Australie, pour être remplacé par un exécutant docile qui n’avait pas sa culture théologique, un adepte lui aussi des méthodes Assimil qui paraissent avoir remplacé le travail théologique dans la FSSPX ?

Autre théologien sanctionné avec une iniquité révoltante et honteuse par Mgr Fellay, l’abbé Basilio Méramo, naguère tant loué par Mgr Tissier de Mallerais pour sa critique détaillée et sans complaisance de la gnose de Jean Borella (maître de l’abbé Celier), et dont les connaissances en métaphysique clouent littéralement sur le sol les vagues notions de Mgr Fellay qui ne parvient même pas à maîtriser la logique dans ses discours, se louant par exemple de la levée des ‘excommunications’, après nous avoir expliqué complaisamment pendant des mois que seul leur ‘retrait’ aurait signification et vaudrait « préalable » pour la FSSPX.

L’actuel Supérieur de la FSSPX n’a rien trouvé de mieux au printemps dernier que d’expulser férocement pour « indiscipline » le théologien mexicain, car ce dernier mettait publiquement à nu la duplicité de ses positions successives.

Jusqu’à quand allons-nous assister aux promotions des abbés ‘Lissenko’ soutenues par Menzingen ?

Il est à redouter que cela se prolongera ce que durera la terreur clérico-stalienne qui impose le silence-dévotion obligatoire dans la FSSPX devant l’intrus l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, désormais chantre proclamé du mondialisme dans sa toute dernière ‘encyclique’.

Jusqu’à quand les clercs de la Fraternité vont-ils continuer à assister dans un silence apeuré aux abus de pouvoir caractérisés et deshonorants de Mgr Fellay, nouveau Père Ubu à la tête de la Fraternité.

De quel prix la FSSPX et ses fidèles vont-t-ils payer les carences théologiques sans précédent de son Supérieur général ?

L’affaire de la fausse démonstration[11] de prétendue validité du nouveau rite de consécration épiscopale par le Père Pierre-Marie, laisse redouter le pire…

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

© 2009 virgo-maria.org

 
Interview de Mgr Tissier de Mallerais (FSSPX) dans La Vie[12] le 30 juin 2009
 

Interview exclusive de Mgr Tissier de Mallerais

« Jamais nous ne signerons de compromis »

par Joséphine Bataille

Parmi les quatre évêques de la Fraternité Saint Pie X, Bernard Tissier de Mallerais, biographe du maître, Mgr Lefèbvre, est considéré comme  « l’intellectuel » du groupe, et apparaît comme le tenant d'une ligne dure assumée. Sans équivoque dans sa condamnation du Concile Vatican II, il n'hésite pas à afficher le fond de sa pensée en des termes qui ne font pas de place à la concession. Et avec ce qu'il qualifie de « nouvelle religion » — le catholicisme depuis Vatican II —, il maintient qu'il refusera tout compromis.

A côté, le supérieur général, Bernard Fellay, artisan du rapprochement de la FSSPX avec Rome, cherche très clairement — et c'est son rôle — à ménager la chèvre et le chou, en assurant les fidèles de sa fermeté, et Rome de son esprit de conciliation. L'élocution onctueuse et le sourire toujours aux lèvres, usant et abusant des métaphores, il cultive le flou de ses déclarations comme pour ne fermer aucune porte. Confiant en « l'intervention de la Providence » dans la résolution des conflits même apparemment insolubles, et globalement très politique, l'évêque d'origine suisse ne se départ jamais d'un optimisme — réel ou de façade. D'ailleurs il se dit sûr de la bonne volonté de Benoît XVI, et de la proximité potentielle de leurs pensées respectives. « En fait, le problème n'est pas théologique, mais philosophique », déclarait-il le 29 juin. « Le pape, marqué par la philosophie moderne, insiste sur le sujet; nous, héritiers de la philosophie scolastique, insistons sur l'objet. Mais si ça se trouve, nous parlons de la même chose! »

Rien de semblable chez Mgr Tissier de Mallerais, qui n'envisage nullement les différends sous l'angle de la clarification des interprétations. En 2008, pour la revue américaine de la Fraternité, The Angelus, il disait déjà clairement le fond de sa pensée, désignant à travers les communautés Ecclesia Dei (qui sont en pleine communion avec Rome), la voie à ne pas suivre. « Ils ont dû accepter de ne jamais critiquer le second Concile du Vatican ni la Nouvelle Messe. Ils ont été bâillonnés, et ils ont accepté de demeurer silencieux. C’était là le prix de leur “réconciliation.”», tançait-il.

Depuis la levée des excommunications intervenue le 21 janvier, l'évêque d'origine française n'a pas changé de position, et n'hésite pas à le dire, quand ses deux acolytes — Alfonso de Galarretta, toujours sur la réserve, et Richard Williamson, nettement plus incisif mais clairement mis sur la touche depuis ses déclarations négationnistes — ne font guère entendre leur voix.

Bernard Tissier de Mallerais suivra donc de près les débats théologiques qui sont supposés s'ouvrir avec le Vatican, dès que Benoît XVI aura formalisé le rattachement de la Commission « Ecclesia Dei » — chargée du rapprochement avec les communautés traditionalistes — à la Congrégation pour la Doctrine de la foi. Lundi 29 juin, à l'occasion des ordinations, à Ecône, il livrait à La Vie ses priorités. 

Comment la Fraternité Saint Pie X se prépare-t-elle en vue des discussions théologiques qui doivent avoir lieu avec le Vatican?

« Le supérieur général de la communauté a nommé tout récemment une commission composée d’une dizaine de prêtres qui sont spécialistes de la doctrine. Ils ont fait leur théologie à Ecône ou sont professeurs de séminaires ; ils seront capables d’exposer nos reproches au Concile et de répondre aux objections qui nous seraient faites. Les quatre évêques de la Fraternité sont également impliqués ; ils ont une fonction de supervision. »

Ces discussions devraient donc pouvoir s’ouvrir dès que Rome en aura fixé le cadre ?

« Non, car il faudra d’abord que nous ayons déterminé l’ordre dans lequel nous aborderons les différents sujets ; il faut aller dans un ordre croissant de difficulté, et résoudre un point après l’autre. Nous allons émettre nos souhaits. »

Quels sont-ils?

« Il faut commencer par la liturgie ; ce serait le plus simple, car l’on pourra montrer la déficience du nouveau rite des ordinations sacerdotales, par exemple. Déficience qui, en revanche, lorsqu’on parle de la nouvelle messe, tient plutôt de la contradiction pure et simple; car c'est une nouvelle théologie qui s'y exprime, donc une autre religion. Ensuite doivent venir l’œcuménisme et de la liberté religieuse ; des thèmes qui sont beaucoup plus graves, parce qu’ils engagent la foi. La question de la collégialité des évêques ne peut venir qu’à la fin car c’est la plus difficile ».

Quand vous parlez de régler les dissensions, est-ce que vous envisagez la voie du compromis, qui permettrait que coexistent vos positions et celles de Rome ?

« Jamais nous ne signerons de compromis ; les discussions n’avanceront que si Rome réforme sa manière de voir et reconnaît les erreurs dans lesquelles le Concile a mené l’Eglise. »

En attendant la résolution des conflits, êtes-vous ouvert, comme Mgr Fellay dit l’être, à l’adoption d’un statut intermédiaire pour la Fraternité ?

La condition sine qua non pour que l’on s’interroge sur le statut à donner à la Fraternité Saint Pie X, c’est la résolution de nos dissensions. En attendant, nous conserverons le statut qui est le nôtre actuellement ; il n’y a aucune urgence à le faire évoluer, et nous ne changerons rien à notre apostolat. Par conséquent, les discussions pourront et devront prendre le temps qu’il faudra.»

Propos recueillis à Ecône par Joséphine Bataille

 
Interview de Mgr Tissier de Mallerais (FSSPX) dans La Stampa[13] le 1er février 2009
 

Mgr Tissier de Mallerais : ‘‘Nous convertirons Rome’’

Publié le 05 février 2009 par Isabelle Des Charbinières

Bernard

Mgr Tissier de Mallerais, recteur du Séminaire d’Ecône de la Fraternité St Pie X, vient de déclarer avec fermeté le 1er février 2009,

au quotidien italien La Stampa :

« Nous ne changerons pas nos positions,

mais nous avons l’intention de convertir Rome,

c’est-à-dire d’amener le Vatican vers nos positions ».

Ainsi milieu du véritable tohu-bohu provoqué par la levée de l’excommunication qui frappait les évêques de la Fraternité Sacerdotale St Pie X sacrés par Mgr Lefebvre en 1988, et alors même, comme le signale le journal La Croix qu’une note de la Secrétairerie d’État vient, emportée par une fièvre consécutive aux réactions des fervents admirateurs modernistes et progressistes de Vatican II, de stipuler que les intégristes devront reconnaître pour entrer en communion avec l’Eglise non seulement le Concile, mais aussi le Magistère des papes qui l’ont interprété, notamment Paul VI et Jean-Paul II, cette heureuse prise de position de Mgr Bernard Tissier de Mallerais est de nature à poser clairement l'intention des défenseurs de la Tradition.

Il est en effet tout à fait évident que demander d’adhérer explicitement au Concile et d’admettre le Magistère des papes Paul VI et Jean-Paul II, sachant les positions profondément inacceptables sur le plan doctrinal et dogmatique soutenues par les deux pontifes c’est, pour les héritiers de Mgr Lefebvre, une impossibilité dans les termes puisque tout le combat de la Foi catholique, engagé et organisé avec courage depuis des années, porte précisément sur un refus catégorique d’avaliser le Décret sur l’œcuménisme, la Déclaration sur la liberté religieuse, Nostra Aetate,Lumen Gentium, Gaudium et Spes, et Dei Verbum, ces textes, étant tous traversés par le venin de l’hérésie moderniste et se trouvant en contradiction formelle avec l’ensemble de la Tradition de l’Eglise.

Marcel

"100 ans après Pascendi, en 2007 ce ne sont plus seulement les protestants, ce ne sont plus seulement de simples théologiens, ce sont les plus hauts degrés de la hiérarchie qui confessent lemodernisme à la lumière des noms célèbres de la philosophie moderne..."

A ce titre, il est bon de constater, à la lecture de cet article du journal transalpin La Stampa, que Mgr Bernard Tissier de Mallernais, qui a signé une récente et très documentée biographie de Mgr Lefebvre, « Marcel Lefebvre : une vie, Éditions Clovis, 2002 », et qui dirige la Commission canonique Saint Charles Borromée, regarde la sanction d’excommunication qui avait été prononcée par Jean-Paul II commeinvalide et sans objet puisque l’évêque dit clairement : « L’excommunication a duré vingt ans mais nous ne la considérons pas valide parce que Mgr Lefebvre nous avait sacrés pour un cas de nécessité, et le cas de nécessité est reconnue valide selon le Droit commun ».

Comment pourrait-il en être autrement d'ailleurs, chez celui qui déclarait avec justesse et pertinence le 11 novembre 2007 en conclusion du colloque officiel de la FSSPX sur Pascendi qu'il présidait à Paris, soulignant que Le Dieu de Kant est le Dieu de Ratzinger :

- « le concile Vatican II avait un double but […] il fallait purifier la foi de tous ces artefacts des siècles […] et l’enrichir de nos propres expériences actuelles. […] Jean XXIII voulait cela, c’était le but du concile : purifier la Foi et l’adapter. […] 100 ans après Pascendi, en 2007 ce ne sont plus seulement les protestants, ce ne sont plus seulement de simples théologiens, ce sont les plus hauts degrés de la hiérarchie qui confessent ce modernisme à la lumière des noms célèbres de la philosophie moderne : Hegel, Dilthey, Husserl, Heidegger aussi, Gabriel Marcel et Emmanuel Mounier et même Jacques Maritain. Qu’est-ce qu’ils ont fait ? ces supers modernistes actuels enrichis de toute la philosophie du XIXe siècle, ils ont désincarné Jésus Christ. Et Verbum caro factum est. Le Dieu s’est fait chair : Non, non … pas besoin de çà ! Que Dieu s’est fait chair ! non, non, l’homme se dépasse, l’homme s’est dépassé parfaitement. Ils ont désincarné Jésus Christ, ils ont décrucifié Jésus Christ, l’amour pur, à l’extrême, et enfin, ils ont découronné Jésus Christ avec plus de brio que Loisy ; mais leur Foi subjective aux prises avec les flots du doute dont parle Joseph Ratzinger dans son ouvrage : « La foi chrétienne », cette foi subjective, aux prises du doute où Joseph Ratzinger dit que le croyant comme l’incroyant sont toujours dans le doute de leur position (le croyant comme l’incroyant sont toujours dans le doute de leur position !) un tel croyant ne peut plus proposer au monde sans Dieu, un monde sans Dieu en péril de se perdre, comme moyen de salut, qu’un Dieu idéel et hypothétique : le Dieu d’Emmanuel Kant. »

 
Article de Golias

(Non daté mais apparu avant le 4 juillet 2009)
 

http://www.golias-editions.fr/spip.php?article2937

Lefebvristes : expédiant canonique pour marché de dupes

Avant la rédaction d’un Motu proprio sur les Lefebvristes, les service du Vatican sont en train d’imaginer une solution intermédiaire en vue de la réintégration définitive des intégristes.

Selon nos informations, ou nos informateurs, Rome souhaiterait, suite à la polémique autour des ordinations célébrées récemment au sein de la Fraternité Saint-Pie X , trouver une solution transitoire de compromis, avant même l’aboutissement des démarches proprement théologiques.

Cela permettrait de dégager le terrain et d’engager plus rapidement les choses. Il est assez probable que la Curie avait prévu, par les bons soins de Mgr Mario Marini, secrétaire de la Commission Ecclesia Dei, aujourd’hui décédé, un formulaire accordant outre la levée de l’excommunication des quatre évêques sacrés par Mgr Lefebvre, une levée de la suspense a divinis imposée aux prêtres et clercs de la fraternité. Mgr Bernard Fellay, le supérieur de la Fraternité Saint-Pie X, fit preuve de réticences (car ce formulaire était aussi un engagement à respecter l’autorité locale des évêques) de sorte que Rome renonça alors à un semblable projet de régularisation canonique transitoire. Pour aujourd’hui l’exhumer de l’oubli.

L’idée est évidemment astucieuse, même si d’un point de vue canonique et surtout théologique, elle n’est pas sans poser de redoutables problèmes. En effet, elle met d’une certaine façon, fût-ce de façon précaire, la charrue devant les bœufs en supposant résolue - au moins pour un temps - ce qui ne l’est pas.

Dans l’esprit et de Benoît 16 et du cardinal Dario Castrillon Hoyos, pour très peu de temps encore en charge du dossier, il s’agit bien de tenir compte des oppositions multiples à une telle reconnaissance qui deviendraient moins faciles si la Fraternité était juridiquement en règle (fût-ce pour un temps) et non pas, selon l’expression de l’abbé Claude Barthe, en état d’ « apesanteur canonique ».Cette initiative romaine permettrait d’établir la légitimité (et l’indéniable validité dans le cas de la pénitence et du mariage) des sacrements célébrés par les prêtres de la Fraternité.

En outre, il s’agirait d’un encouragement évident à cette dernière ainsi que d’un pied de nez aux évêques rétifs, comme ceux d ’Allemagne . Cette hypothèse pourrait susciter à Rome même de très vives oppositions, par exemple descardinaux Levada (congrégation pour la doctrine de la foi) et Re (évêques), ainsi que de Mgr Francesco Coccopalmerio, le président du conseil pour l’interprétation des textes législatifs en raison de la violation du droit et de son esprit qu’elle implique, puisqu’elle n’engagerait finalement personne à rien (la Fraternité pouvant camper sur ses positions) et ne serait qu’un expédient, qu’un artifice, qu’une solution transitoire et bancale ad hoc. Son seul avantage serait au bénéfice de Saint-Pie X car ce serait une façon d’appuyer la Fraternité.

Si le pape devait adopter une telle solution, ce qui est possible, cela pourrait susciter un tollé tant cela serait faire preuve d’une incroyable complaisance.

Golias

 
Traduction en anglais de l’interview de Mgr Tissier de Mallerais (FSSPX) dans La Vie[14] du 30 juin 2009
 

Tissier de Mallerais speaks
The details of the doctrinal talks

Bernard Tissier de Mallerais

Bernard Tissier de Mallerais, one of the four Bishops of the Priestly Fraternity of Saint Pius X (FSSPX / SSPX), granted an interview to French weekly La Vie in Écône, Switzerland. The following excerpt includes the full interview:

[La Vie:] How does the Fraternity of Saint Pius X prepares itself in view of the theological discussions which should take place with the Vatican?

[Bishop Tissier de Mallerais:] «The Superior General of the community has recently named a commission composed of ten priests who are experts in doctrine. They have studied theology in Écône or are professors in seminaries; they will be able to present our criticisms of the [Second Vatican] Council and to answer the objections that will be made to them. The four Bishops of the Fraternity are likewise involved; they have a function of supervision.»

Will it be possible to begin these discussions as soon as Rome establishes the framework?

«No, because it will first be necessary that we determine the order in which we will approach the different issues; it is necessary to advance in a growing level of difficulty, and to solve one point after the other. We will put our wishes forward.»

What are they?

«It is necessary to begin by the liturgy; that would be the simplest [issue], because it will be possible to point out the deficiency of the new rite of priestly ordinations, for example. A deficiency which, on the other hand, when we speak of the new mass, includes much contradiction, pure and simple; because it is a new theology which is expressed, hence a new religion. Afterwards, there should come ecumenism and religious liberty; issues that are much graver, because they are linked to faith. The question of the collegiality of the bishops cannot come but in the end, because it is the most difficult one.»

When you speak of settling the arguments, do you foresee the way of compromise, which would allow your positions and Rome's to coexist?

«We will never sign compromises; the discussions will not advance unless Rome reforms its viewpoint and recognizes the errors to which the Council has brought the Church.»

While you expect the resolution of conflicts, are you open, as Bishop Fellay [the Superior General] claims to be, to the adoption of an intermediate statute for the Fraternity?

«The sine qua non condition which we consider on the status to be given to the Fraternity of Saint Pius X is the resolution of our arguments. While we expect [that], we will preserve the statute which is our current one; there is no urgency which demands it to evolve, and we will change nothing in our apostolate. Consequently, the discussions should and must take the time that is needed.»

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[1] http://virgo-maria.info/wordpress/?p=431

[2] http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-05-22-A-00-2_Apologues_Celier.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-05-29-A-01-Mgr_Williamson-cartouche_Celier.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-06-06-A-00-Chapitre_general_de_la_cartouche.pdf

[3] http://www.laportelatine.org/international/communic/presse/amernor/2009/CanadaFellay0906/SelEtLunmiere0906.php

[4] La Porte Latine l’ayant ensuite reprise pour la faire disparaître ensuite, puis la rétablir provisoirement, après que VM ait dénoncé cette censure auprès de Mgr Tissier qui exigeait lui-même au Curé Schoonbroodt le retrait de sa conférence du site VM !

[5] http://oeil.typepad.fr/catholicaedisputationes/2009/06/le-mystère-de-la-rédemption-selon-joseph-ratzinger.html

[6] En février 2009, Mgr Fellay, selon les enregistrements dont nous disposons, s’était payé la tête de son auditoire de la FSSPX à Paris, en prenant son stylo d’un air savant et en dissertant sur le fait que pour un moderniste, il puisse être un « cardinal » (oiseau) tout en dissertant sur le sujet et l’objet... Cette anecdote croustillante donne une idée du haut niveau de réflexion théologique auquel le Supérieur de la FSSPX sait se placer ! Et aussi de l’imbécilité qu’il prête à son auditoire…

[7] http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-06-14-A-00-Mgr_Fellay_affaire_Rossiniere.pdf

[8] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2008/RORE_Communique-2008-09-25_Abbe_Scott-reordinations.pdf

[9] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-06-03_Probabilisme_Mgr_Fellay.pdf

[10] La même personne qui sous le pseudo de Docteur Anne Garance est devenue la coqueluche de l’abbé Beauvais qui n’a pas hésité à lui consacrer un sermon à Pie XII pour épauler le colloque consacré à ce Pape, et qui se manquait pas de lui accorder son après-midi pour assister à ce colloque très ‘tendance Benoît XVI’ alors même que le même curé de Saint Nicolas du Chardonnet brille, parait-il, par son absence aux conférences qui sont organisées dans sa propre église.

[11] Une vulgarisation 40 ans plus tard de l’imposture de Dom Botte et du Père Lécuyer pour faire passer le nouveau rite auprès du Consilium.

[12] http://www.lavie.fr/l-hebdo/une/article/1356-la-fraternite-saint-pie-x-prete-pour-discuter-a-lautomne/retour/11/hash/784db8eafc.html

[13] http://www.paperblog.fr/1558305/mgr-tissier-de-mallerais-nous-convertirons-rome-/

[14] http://rorate-caeli.blogspot.com/