Virgo-Mara.org

CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf

Qui et Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome conciliaire
(en fait la «ré-conciliarisation» de la FSSPX) ?

Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ?

Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968?

A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ?

Serait-ce donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on veuille désormais faire dire la messe du
VRAI rite par de FAUX prêtres ?

Serait-ce que l’on veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec un clergé aussi INVALIDE que le
FAUX CLERGE ANGLICAN ?


Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

dimanche 23 août 2009

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

L’épouvantable corruption de la Curie romaine
moderniste et maçonnique (« mafia incroyable » selon Mgr Lefebvre) :

les réseaux Sodano

Sodano & Ratzinger

La gestion occulte de 300 millions d’euros sur 17 comptes cachés par son Excellence Révérendissime Monseigneur Donato De Bonis[1], Chapelain Grand Croix Conventuel ‘ad honorem’, Prélat de l’Ordre de Malte, et second de la banque du Vatican. Révélations du journaliste Gianluigi Nuzzi dans son livre « Vatican SpA », à partir des archives gardées secrètes de Monsignor Renato Dardozzi. Le frère de Sodano a fait de la prison, puis s’est enrichi dans la revente des biens de l’Église aux États-Unis.

Benoît XVI ? « C’est une personne intègre »[2] selon Mgr Fellay le 31 juillet 2009. Quelle imposture !

Les fidèles vont découvrir dans ce premier dossier sur les affaires maçonnico-financières du Vatican moderniste un véritable réseau de corruption à l’œuvre autour du chef de l’église Conciliaire, dont il n’est pas possible qu’il ne soit pas solidaire. Nous exposons ici les réseaux qui entourent le « cardinal » Sodano qui fut pendant deux ans le Secrétaire d’État de Ratzinger-Benoît XVI.

 "Et derrière tout cela, des histoires financières véreuses, n'est-ce pas, véreuses... C'est ce que me disait un cardinal à Rome. Je lui disais : "Mais enfin, quel est un peu le leitmotiv qui tient tout ce monde-là, tout ce monde qui travaille, ici, à Rome ?" Il m'a dit : "Ça, Mgr, ça..." Il m'a fait le geste : ça, l'argent. Ils travaillent pour l'argent. Derrière tout cela, on peut imaginer tout ce qui peut se passer. Je vous cite ce cas ; j'ai eu l'occasion de le dire à ceux qui ont des hésitations encore sur Rome. Je dis : "Je suis intimement persuadé que nous ne savons pas la moitié de ce qui se passe à Rome et  si nous sommes déjà scandalisés par la moitié que nous savons, eh bien, pensons qu'il y a encore la moitié de plus. Si nous savions tout, nous serions épouvantés, épouvantés". Nous avons affaire vraiment à une mafia incroyable, invraisemblable, liée à la maçonnerie certainement, n'est-ce pas. (...) Oh, c'est abominable !" Mgr Lefebvre, 4 septembre 1987 à Écône[3]

À mesure que l’échéance du début des pseudo-« discussions » doctrinales À HUIS CLOS approche, il devient de plus en plus évident que Mgr Fellay trahit Mgr Lefebvre son consécrateur en masquant de façon très malhonnête la corruption de la Curie romaine, pire en cherchant à blanchir l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI qui vit dans ce milieu depuis 27 ans.

Un blog Conciliaire dénonce les scandales romains à la différence de Dici.org devenu le petit caniche médiatique de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI pour le compte de la FSSPX.

Dici.org s’est transformé depuis des années, sous la houlette du très ralliériste abbé Lorans, en un pâle clône de l’Osservatore Romano, tuant tout travail d’investigation journalistique (il eût fallu pour cela que l’abbé Lorans y mît de la sueur…) et de critique catholique selon l’esprit de Mgr Lefebvre.

Cette politique philo-maçonnique de ralliement à la Rome mondialiste maçonnique et gnostique, promue, et imposée par la force et la terreur par Mgr Fellay à toute la FSSPX, a conduit à ce paradoxe que les fidèles catholiques de la FSSPX en apprennent aujourd’hui plus sur les scandales du Vatican moderniste maçonnique et son fonctionnement interne en allant lire des sites Conciliaires qu’en consultant Dici placé sous hypnose Ratzinguérienne, et pratiquant une politique romaine en collusion avec celle de la Grande3 points Loge3 points de France3 points qui vise à la « réconciliation » de l’œuvre sacerdotale de préservation du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide de Mgr Lefebvre avec la Rome apostate mondialiste, maçonnique et gnostique.

Parmi ces sites qui font un travail de journalisme moins marqué idéologiquement et moins hypocrite que le site de l’abbé Lorans, signalons que depuis quelques mois est apparu sur la toile, un blog Conciliaire rendant compte de l’actualité de la Curie romaine, l’Osservatore Vaticano, dont les objectifs sont les suivants :

« Le blog « Osservatore Vaticano » répond à deux logiques.

Tout d’abord, depuis plusieurs années, j’étais frappé, comme journaliste et observateur de la vie politique et médiatique française, de l’absence de « vaticanistes » dans notre pays. La quasi totalité des autres pays développés comptent un ou plusieurs journalistes spécialisés sur la vie du Vatican et de l’Église universelle. En France, il existe dans plusieurs quotidiens des « services religion ».

Mais il est évident que la plupart de ces services retranscrivent des informations disponibles sur les agences de presse, sans proposer d’analyse des événements.

Or, je suis persuadé qu’à l’heure d’internet, le journaliste ne doit pas principalement proposer de l’information brute – cette information brute étant disponible très largement – mais des analyses de l’information. Voilà donc le premier objectif d’Osservatore Vaticano : suivre l’actualité du Vatican en aidant les lecteurs à comprendre les enjeux théologiques et politiques.

Par ailleurs, au moins en France, les catholiques ont été confrontés depuis le début de l’année 2009 à trois ou quatre vagues successives d’attaques médiatiques parfaitement irrationnelles, mais auxquelles il était bien difficile de répondre. Et d’autant plus difficile que la ligne de front ne passait pas seulement entre catholiques et presse anticléricale, mais aussi, au sein même de la Curie romaine, entre prélats désireux de faire avancer la ligne pacificatrice – «restaurationniste», comme disent les sociologues des religions – de Benoît XVI et prélats pariant sur une fin prochaine du pontificat et un prochain «changement de ligne».

C’est à la suite de plusieurs contacts inattendus avec certains des tenants de la première « option » que je me suis décidé à lancer ce blog. Ces collaborateurs, petits et grands, de Benoît XVI considéraient en effet, à tort ou à raison, qu’il ne leur était pas possible de diffuser leur point de vue en France.

Voilà donc la deuxième raison d’être de ce blog : comme la plupart des informateurs réguliers qui alimenteront ce blog, je suis un catholique désireux de comprendre ce que veut faire Benoît XVI.

Et je crois que cet effort sera partagé assez largement par les catholiques français, lassés des querelles idéologiques des années 1970. Nous sommes en 2009. La France et l’Europe se déchristianisent à vue d’œil. Le grand jeu du « tir au pape » me semble légèrement anachronique !

Paris, le 21 mai 2009

Fête de l'Ascension du Seigneur

Guillaume de Thieulloy »[4]

Évidemment ce blog représente un des organes du mouvement dit « restaurationiste » de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, mais qui n’est rien d’autre qu’une poursuite, un Thermidor et un achèvement (phase du Coagula maçonnique) de la révolution conciliaire, sous une forme soi-disant « conservatrice », à l’image de ce que fut la High Church dans l’Anglicanisme ainsi que le mouvement d’Oxford, en Angleterre au XIXème siècle.

L’Osservatore Vaticano a produit un dossier sur les réseaux du « cardinal » Sodano (voir annexe du VM)

Sodano et Condoleezza Rice

Le « cardinal » Sodano et Condoleezza Rice, la représentante de la politique néo-conservatrice de l’administration Bush, l’organisatrice de la très meurtrière guerre en Irak (plus d’un million de morts) motivée par le faux prétexte des prétendues ‘armes de destruction massives’.
Son ex-collègue, Henri Kissinger, inspirateur de cette politique anglo-saxonne criminelle belliciste, mondialiste et maçonnique, du Gotha mondialiste de la Trilatérale, du CFR et du Bilderberg, est désormais le conseiller diplomatique personnel de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI

L’abbé apostat Ratzinger qui a été le préfet de la congrégation pour la « doctrine de la foi » sous le gouvernement d’Angelo Sodano pendant plus d’une décennie, sous le règne de l’évêque apostat Karol Wojtyla-Jean-Paul II, l’a confirmé dans son poste de Secrétaire d’État, à peine élu le 19 avril 2005.

« Un des premiers actes du pape Benoît XVI a été de confier à Angelo Sodano de nouveau le poste du cardinal secrétaire d'État, le confirmant dans cette fonction qu'il assumera pendant presque quinze ans, ce qui en fait une des plus longues périodes dans l'histoire de ce poste.

Par la suite, il a été élu doyen du Collège des cardinaux par les cardinaux-évêques, cette élection a été confirmée par le pape Benoît XVI le 30 avril 2005. Le doyen est toujours évêque titulaire d'Ostie, titre qu'il détient en supplément de son diocèse titulaire d'Albano.

En 2007, il a démissionné de ses fonctions mais il est demeuré au Vatican de façon inattendue.1 »[5]

Ce n’est que plus tard, que l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI a eu recours à son complice Tarcisio Bertone comme Secrétaire d’État après la démission de Sodano.

Le dossier de l’Osservatore Vaticano décrit le réseau qui soutient Sodano et les ramifications financières et de réputation maçonnique qui l’irriguent.

Tout d’abord apparaît le cardinal’ Francesco Marchisano, dont le nom figure sur les listes de prélats franc-maçons, dont celle publiée le 2 septembre 1978 par le journaliste Mino Pecorelli[6], et qui après avoir étouffé les scandales de pédophilie à la tête de la Congrégation pour l’éducation catholique a pris la tête du Patrimoine de l’église Conciliaire.

« Un des pivots de la clientèle de Sodano est le cardinal Francesco Marchisano. Prêtre de Turin, il a été pendant près de 20 ans sous-secrétaire de la Congrégation pour l’éducation catholique (où semblent avoir été étouffés tous les avertissements concernant les affaires de pédophilie; parfois même, murmure-t-on, avec des sanctions pour les informateurs...).

Il s’est occupé du Patrimoine culturel de l’Église, de la Commission pour l’Archéologie sacrée[7], de la Commission pour l’Héritage culturel de l’Église, a dirigé la Fabrique de St-Pierre, pour enfin présider depuis 2005 le Bureau du travail du Siège apostolique.

Cet un homme du « patrimoine » de l’Église qui, à tort ou à raison, a toujours été sur les listes de franc-maçonnerie qui circulent régulièrement à la Curie. » Osservatore Vaticano

À propos du Patrimoine Culturel de l’Église et de la Commission pour l’Archéologie sacrée, il est à noter :

Que l’évêque apostat Montini-Paul VI a pris soin d’y placer d’emblée à leur tête des clercs francs-maçons, qui se trouvent chronologiquement parmi les premiers inscrits sur le registre clérical maçonnique publié en 1978 par le journaliste Mino Pecorelli[8] :

Ce prêtre apostat de Pavie a été « sacré » invalidement pseudo « évêque » Conciliaire le 06 mars 1982 selon le nouveau rite épiscopal Conciliaire invalide du 18 juin 1968, par l’évêque apostat Karol Wojtyla-Jean-Paul II, prétendu Pape, et son pseudo « cardinal », le pseudo-« évêque » Conciliaire apostat Eduardo Martinez Somalo, avec l’évêque apostat Antonio Guiseppe Angioni (source : Catholic Hierarchy).

Ce prêtre apostat de Turin a été « sacré » invalidement pseudo « évêque » Conciliaire le 06 janvier 1989 selon le nouveau rite épiscopal Conciliaire invalide du 18 juin 1968, par l’évêque apostat Karol Wojtyla-Jean-Paul II, prétendu Pape, et ses pseudo « cardinaux », le pseudo-« évêque » Conciliaire apostat Idris Cassidy, avec l’évêque apostat Thomas Sanchez (source : Catholic Hierarchy).

Mgr. Crispino Valenziano, prélat de Curie, collaborateur zélé de ces personnages, leur a succédé de dans leurs charges au sein du Patrimoine Culturel de l’Église et de la Commission pour l’Archéologie sacrée.

C’est sous la responsabilité de ce dernier personnage et de ses mandants pontificaux, qu’après l’érection du nouveau sanctuaire Conciliaire blasphématoire de Fatima[9], a été conçue et récemment érigée une nouvelle « cathédrale » Conciliaire, outrageusement maçonnique et luciférienne, prétendument dédiée à la mémoire du Padre Pio à San Giovani del Rotondo, et qui serait destinée à servir de « modèle » pour les futures constructions des nouveaus édifices religieux Conciliaires.

Comme VM[10] l’écrivait à cette occasion le 4 octobre 2008 :

Mgr. Valenziano avait pour supérieur direct à la Commission Pontificale, le Card. Virgilio Noè et ensuite, le Card. Francesco Marchisano qui faisaient tous deux partie de la ‘’Liste Pecorelli’’ de 1978, une liste[5] de 121 Prélats de la Sainte Église Romaine appartenant à la Franc-Maçonnerie.

Commencée le 19 janvier 1996, la ‘‘nouvelle église’’ dédiée à Padre Pio a été projetée par l’architecte génois, Renzo Piano, 62 ans, considéré comme le plus important parmi les Italiens et décoré en 1998 du prix Pritzker (le Nobel de l’architecture).

Mgr. Crispino Valenziano, membre de la Commission Pontificale pour les Biens Culturels, quant à lui, a suivi sur les plans liturgique et théologique cet imposant travail, et parle avec enthousiasme de cette expérience qui, selon lui, offre l’occasion de « nous insérer comme Église, dans le contexte de l’art moderne, tout en récupérant cette rigueur thématique caractéristique d’autres époques. Époques où la symbiose entre l’art et le monde religieux était presque totale et totalisante, comme au Moyen-Âge ».

Mgr. Crispino Valenziano nous est présenté comme le conseiller liturgique dont les indications poussèrent l’architecte Piano à revisiter le projet initial pour en faire « un modèle pour toutes les églises qui seront projetées d’ici cinquante ans ».

Cela prouve combien l'avenir, chez les conciliaires, est la religion universelle, qui est non pas "catholique", mais franchement maçonnique et pire : de plus en plus ouvertement luciférienne.

Il s’agit bien de ce « Mystère d’Iniquité » dont parle Saint Paul, de cette « Bête qui monte de la Terre », surgie de la foule des clercs et hommes d’église dévoyés et pervertis, telle que prophétisée par Saint Jean dans le chapitre XIII de son Apocalypse, et commentée si précisément et de manière si inspirée par le grand Saint Beato de Liebana au VIIIème siècle.

Et c’est donc dans le sein de ce pandemonium dit « église Conciliaire », où les fidèles sont sensés prier dans ses temples érigés à la gloire de la Maçonnerie ivre de son triomphe, que les clercs infiltrés au sein de la FSSPX rêvent aujourd’hui ardemment de plonger l’œuvre de préservation du Sacerdoce sacrificiel catholique fondée par Mgr Lefebvre, en cherchant à tout prix et par tous les moyens à réaliser son ralliement à l’abbé apostat Joseph Ratzinger-Benoît XVI, le « Pape » actuel de cette église universelle de l’Antéchrist maçonnique à venir. (VM 4 octobre 2008)

Cet état de fait insupportable avait été courageusement dénoncé dès le 20 mai 2006 par Don Luigi Villa et son collaborateur l’ingénieur Franco Adessa, qui avaient, bien entendu en vain, tenté d’alerter très officiellement le nouveau « Pape », l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, que Mgr Fellay veut faire mensongèrement et ignominieusement passer auprès des fidèles pour « un homme intègre », et pour « le restaurateur de la tradition[11] dans l’Église » à propos de cet abominable et insupportable blasphème permanent, et VM précisait alors :

La distribution de ce Numéro Spécial de Chiesa Viva 381 a commencé dès le 20 février 2006, alors même que les clercs modernistes infiltrés dans la FSSPX (abbés Lorans et Celier) se préparaient à prendre l’initiative de leur sacrilège « bouquet spirituel » pour abuser les fidèles en leur faisant croire qu’ils allaient obtenir par la prière la « grâce » du « miracle » Motu Proprio (déjà programmé depuis le printemps 2006 !) qui puisse ouvrir la voie au ralliement de la Fraternité Saint Pie X à l’église Conciliaire maçonnique de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.

Nous pouvons constater que, bien qu’informé par ses relais italiens de la parution de cette étude, l’abbé Lorans s’est abstenu de la porter à la connaissance des fidèles sur Dici.org, de même le duo des abbés de Cacqueray-Celier étouffait l’affaire auprès des fidèles en France : ni Fideliter et ni La Porte Latine n’en ont soufflé un mot.

Présentation par CHIESA VIVA :

L’essence de cette étude détaillée, méticuleuse et complète sur la « nouvelle église » dédiée à Padre Pio, à San Giovanni Rotondo, est la suivante :

Cette ‘’NOUVELLE ÉGLISE” n’est pas une ÉGLISE CATHOLIQUE mais un ‘’TEMPLE MAÇONNIQUE”, ou mieux, un ‘’TEMPLE SATANIQUE” qui GLORIFIE LA FRANC-MAÇONNERIE et son ‘’DIEU”, LUCIFER, et où la symbolique maçonnique célèbre les horribles impiétés suivantes :

-          La substitution de la Très Sainte Trinité par la BLASPHÉMATOIRE, SATANIQUE, MAÇONNIQUE ‘‘TRIPLE TRINITÉ”,

-          La substitution de Jésus-Christ Par Lucifer comme ‘‘RÉDEMPTEUR DE L’HOMME”, la destruction de l’Église catholique :

-          L’‘‘ŒCUMÉNISME  MAÇONNIQUE” de la réunion de toutes les religions.

En dépit du fait que le Vatican n’a pas réussi jusqu’à présent, à réfuter les conclusions de cette étude méticuleuse, détaillée et complète,

-          On continue à célébrer la messe dans ce ‘‘TEMPLE SATANIQUE” !

Par conséquent, ‘‘Chiesa Viva” demande d’interdire l’usage religieux de ce ‘‘Temple Satanique” et, s’adressant à la Hiérarchie catholique, elle dit :

-          CE SONT DES MESSES SACRILÈGES !

-          C’EST UNE HORRIBLE INSULTE AU CHRIST !

-          C’EST UN DÉFI À LA TRÈS SAINTE TRINITÉ !

Et elle demande à la Hiérarchie :

Jusqu’à quand permettrez-vous à la FRANC-MAÇONNERIE d’insulter Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST et la Très Sainte Trinité ?

Quand les Conciliaires construisent de nouveaux édifices de prestige, ils s'adressent à leurs amis.

Leurs amis ne sont pas des architectes catholiques mais des ésotéristes et des occultistes (cf. Évry, Assise, Fatima et aujourd'hui ce temple maçonnique conciliaire). .(VM 04 octobre 2008)

Cette brochure spéciale de la revue italienne CHIESA VIVA traduite en français (voir ci-dessous le lien[12] au fichier adobe pdf) est en réalité tellement impressionante que sa publication électronique en France, par les soins de Virgo Maria avait décidé M. l’abbé Beauvais lui-même, le Curé de Saint Nicolas du Chardonnet, d’en  commander de nombreux exemplaires[13] brochés auprès des Éditions Saint Rémi[14] (ESR) pour la diffuser auprès des fidèles à la fin 2008.

Mgr Tissier de Mallerais a très malhonnêtement nié à Paris le 13 mars 2009, dans sa conférence dans le chœur de l’église Saint Nicolas du Chardonnet, en présence du Très Saint Sacrement, que la liste Pecorelli du 2 septembre 1978 des prélats franc-maçons soit authentique, alors que le journaliste italien a payé de sa vie ces révélations six mois après, et que plus de 30 ans plus tard, les faits démontrent les carrières incroyables de ces prélats franc-maçons et leur liens très étroits avec la corruption financière de l’église Conciliaire.

Dans le même temps, le très compétent Professeur Agnoli a publié cette liste présentée comme authentique, aux Éditions du Courrier de Rome, dépendant de la FSSPX.

De quelle compétence se recommande Mgr Tissier pour nier ainsi les avis les plus autorisés et aller contre les faits ?

La collusion de la famille Sodano avec le Follieri Group qui s’est enrichi dans le commerce du patrimoine de l’Église aux États-Unis mis en vente par l’église Conciliaire

À propos du « Cardinal » Sodano, le site Osservatore Vaticano précise encore que le frère du ‘cardinal’ Sodano a fait de la prison en 1994 : l’ « ingénieur » Alessando Sodano.

Quant aux neveux du ‘cardinal’, Andrea et Guido Sodano, ils

« sont devenus des hommes d’affaire américains, travaillant avec le Follieri Group, fondé aux États-Unis par Raffaello Follieri et son père, Pasquale Follieri, » Osservatore Vaticano

Nous notons qu’Angelo Sodano est ‘évêque’ du diocèse d’Albano où la FSSPX a son prieuré romain, ce qui laisse augurer de liens qui ont du s’établir entre cet homme de réseau et d’argent avec la FSSPX.

Albano est en effet la plaque tournante de la Fraternité pour le suivi de ses relations avec la Rome moderniste et maçonnique.

Présenté comme un Secrétaire d’État disgracié par Benoît XVI, Sodano a néanmoins conservé ses bureaux en se réinstallant au cœur des jardins du Vatican au dernier étage du collège éthiopique.

En 2008, Mgr Fellay avait présenté cette situation comme une sorte de dissidence qui gardait pignon sur rue à la barbe de Benoît XVI, le « bon Benoît » qui ne parvenait pas à se faire obéir.

Une telle version des faits prête à rire et en dit long sur la naïveté du « bon Mgr Fellay » ou plutôt sur sa capacité à mépriser ses auditeurs et à les prendre, dans son arrogance caricaturale, pour de pauvres crétins sans esprit critique.

Il va de soi que dans une « mafia » comme celle du Vatican (terme de Mgr Lefebvre), le maintien de Sodano dans une position stratégique au sein du Vatican ne peut qu’avoir reçu l’accord (sinon le soutien) du maître des lieux, l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.

Le reste n’est qu’un conte de fées ridicule tout juste bon à être servi au Supérieur de la FSSPX, ce qui doit bien faire rire dans les bureaux dorés de la Curie.

Autre curiosité, les argentins sont très présents dans le réseau de Sodano : Juan Esteban Caselli, Francisco Javier Trusso et le cardinal Leonardo Sandri, qui fut l’un des hommes forts de la fin du règne de Wojtyla-Jean-Paul II (substitut pour les affaires générales de la Secrétairerie d’État).

Y figure aussi Mgr Pioppo, le nouveau Directeur de l’Institut pour les Œuvres de religion (banque du Vatican), ayant succédé à Mgr Marcinkus qui fut mêlé au scandale du krach de la Banco Ambrosiano,

Vidéo de Nuzzi

Vidéo de Nuzzi[15]

L’auteur du blog signale un ouvrage récent, « Vaticano SpA »[16] (La société par actions du Vatican) de Gianluigi Nuzzi :

« se basant sur les archives gardées secrètes de Monsignor Renato Dardozzi, met en lumière les étranges affaires financières de l’IOR, l’Institut des Œuvres de Religion, la banque du Vatican, dans la période qui va de 1974 à la fin des années 90. » Osservatore Vaticano

Et encore :

« Ce livre, écrit par un journaliste, Gianluigi Nuzzi, se base sur les archives gardées secrètes de Monseigneur Renato Dardozzi, soit environ 4 000 documents collectés sur un quart de siècle, tous plus confidentiels les uns que les autres (relevés de compte, fiches d'ouverture de comptes chiffrés avec les signatures autorisées, correspondance réservée avec le pape Jean-Paul II et les plus hauts dignitaires de l'époque, de 1974 à la fin des années 90), qu'il a voulu rendre publics après sa mort, "pour que tout le monde puisse savoir ce qui s'est passé", selon ses dispositions testamentaires.

C'est ainsi que l'on découvre, de chapitre en chapitre, les innombrables méfaits de son Excellence Révérendissime Monseigneur Donato De Bonis, Chapelain Grand Croix Conventuel ‘ad honorem’, Prélat de l’Ordre de Malte, décédé le 23 avril 2001, qui a fait ce qu'il a voulu au sein de la Banque du Vatican, l’IOR (l’Institut des Œuvres de Religion), en réussissant pratiquement à créer un IOR parallèle, une banque dans la banque, grâce à laquelle il a pu "gérer", de 1989 à 1993, 17 comptes principaux sur lesquels ont transité presque 300 millions d'euros...

Où l'on comprend que les enseignements de Marcinkus, dont il était le second, n'ont pas été vains, puisqu'il a pu ainsi créer un véritable "paradis fiscal", c'est le cas de dire ! »[17]

VATICANO SpA

Angelo Sodano y est présenté comme le véritable donneur d’ordre pour la banque du Vatican, ce qui en fait un personnage incontournable dans la structure maçonnico-maffieuse du Vatican post-conciliaire.

Vingt ans plus tard, les jugements de Mgr Lefebvre sur la haute direction de l’église Conciliaire :

« Nous avons affaire vraiment à une mafia incroyable, invraisemblable, liée à la maçonnerie certainement, n'est-ce pas. (...) Oh, c'est abominable !" »

se vérifient sous l’accumulation des faits et des scandales, et il est d’autant plus malhonnête de la part de Mgr Fellay de venir présenter aux clercs et aux fidèles de la Fraternité Saint Pie X l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, membre de cette élite dirigeante et patron de cette organisation conciliaire, comme « une personne intègre » !

Arnaud Upinsly a révélé que le changement d’attitude de Mgr Fellay à l’égard de la Rome moderniste et maçonnique a fait suite à l’encaissement par la FSSPX de l’énorme somme des dons et des legs en attente, à l’automne 2000.

La politique maçonnique G3 pointsL3 pointsF3 points[18] poursuivie et imposée depuis l’an 2000 par Mgr Fellay résulte donc d’une véritable simonie, et aucun démenti de Menzingen n’est du reste venu réfuter depuis des mois les révélations d’A.Upinsky.

Il faudrait désormais un Gianluigi Nuzzi pour enquêter sur Menzigen et Mgr Fellay, l’ancien économe, et mettre au jour la gestion financière de la FSSPX de l’avant et de l’après début du « processus » de « réconciliation » de l’œuvre sacerdotale de Mgr Lefebvre avec la Rome apostate, mondialiste, maçonnique et gnostique, amorcé en 2000, et imposée depuis lors avec opiniâtreté par Mgr Fellay à tous les clercs et fidèles de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X.

Il est à craindre que cette équipe de clercs infiltrés prévaricateurs qui a pris le contrôle de la FSSPX ait tout à redouter de la transparenceen particulier sur ce point – qu’elle semble fuir avec horreur et crainte, comme le montre sa manie du secret et du HUIS CLOS, dont elle entoure par exemple ses pseudo- « discussions » doctrinales avec la Rome de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.

À en croire un vieux proverbe fançais « Qui se ressemble s’assemble ! »

Serait-ce là le moteur de ces clercs dévoyés et perdus qui semblent aujourd’hui si pressés de plonger l’œuvre de sauvegarde du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide fondée voici 39 ans par Mgr Lefebvre, la Fraternité sacerdotale Saint Pie X, ainsi que ses œuvres et son florissant patrimoine immobilier, au sein de cet actuel égout mafieux et maçonnique des affairistes apostats qui constituent le Vatican d’aujourd’hui ?

Qu’en pense Mgr Fellay, l’ancien économe de la FSSPX devenu son Supérieur Général ?

Nous conseillons fermement à tous les fidèles catholiques et leurs familles, et à tous les généreux donateurs envers la FSSPX, d’examiner très sérieusement la question avant de prolonger leurs libéralités.

Mais avant de terminer ce VM portant sur le « Cardinal » Sodano et ses réseaux de corruption, il convient de rappeler aux lecteurs, du troisième le rôle éminent joué en l’an 2000, par ce personnage avec ses deux abominables complices, les pseudo-« cardinaux » Ratzinger et Bertone, dans la falsifification du Troisième Secret de Fatima, confié à la Sœur Lucie dos Santos, aujourd’hui disparue depuis février 2005, par la Très sainte Vierge Maris, Secret qui selon les instructions mêmes de la Très Sainte Mère de Dieu, devait être révélé au monde « au plus tard en 1960 ».

À cette fin, le lecteur se reportera avec profit sur ce sujet aux liens qui figurent en note de bas de page[19]

L’on comprend mieux qu’avec ce genre de personnages, aujourd’hui devenus les « précieux amis » de Mgr Fellay, tout est également devenu possible !

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

© 2009 virgo-maria.org


 
ANNEXE A - Série d’articles de l’Osservatore Vaticano[20] parus du 25 mai au 3 août 2009
Les réseaux de Sodano
 

Lundi 25 mai 2009

Les réseaux du cardinal Sodano (1)

Les brèves qui vont suivre n’apprendront rien à des lecteurs italiens, qui ont pu suivre dans le détail les affaires que nous allons relater dans les journaux de la Péninsule. Mais les Français ignorent souvent ces détails. Pourtant, ces derniers éclairent la période qui a précédé l’actuel pontificat... et qui l’handicapent par ses séquelles!

Le cardinal Angelo Sodano, de 1988 à 2005, sous le pontificat de Jean-Paul II, comme Substitut du Secrétaire d’État, puis comme Secrétaire d’État, a été un des hommes les plus puissants de l’Église romaine. Cet homme politique d’envergure, peu regardant sur les moyens, souvent comparé à Mazarin, a accompagné la fin de la guerre froide, avec la fin de l’empire soviétique, et aussi la fin de la Démocratie chrétienne italienne qui vivait de cette guerre froide.

À la différence du cardinal Casaroli, homme de l’Ostpolitik, piloté par le cardinal Silvestrini, Sodano a toujours été politiquement en phase avec le pape Wojtyla : adversaire en Amérique latine de la théologie de la libération, où il a fait une grande partie de sa carrière.

Son alliance actuelle avec le camp Silvestrini, Kasper, etc., est semblable à l’alliance stratégique du cardinal Re, lui aussi homme de droite, avec ce même camp.

Un des pivots de la clientèle de Sodano est le cardinal Francesco Marchisano. Prêtre de Turin, il a été pendant près de 20 ans sous-secrétaire de la Congrégation pour l’éducation catholique (où semblent avoir été étouffés tous les avertissements concernant les affaires de pédophilie; parfois même, murmure-t-on, avec des sanctions pour les informateurs...).

Il s’est occupé du Patrimoine culturel de l’Église, de la Commission pour l’Archéologie sacrée, de la Commission pour l’Héritage culturel de l’Église, a dirigé la Fabrique de St-Pierre, pour enfin présider depuis 2005 le Bureau du travail du Siège apostolique.

Cet un homme du « patrimoine » de l’Église qui, à tort ou à raison, a toujours été sur les listes de franc-maçonnerie qui circulent régulièrement à la Curie.

 (à suivre)

Mercredi 3 juin 2009

Les réseaux du cardinal Sodano (2)

Le cardinal Angelo Sodano a été l’un des plus importants personnages du pontificat de Jean-Paul II. Il correspondait en tout (antimarxisme, une certaine bienveillance pour un retour liturgique, appui aux mouvements de « nouvelle évangélisation ») aux visées du ce dernier.

Il a été surtout un homme de pouvoir. De pouvoir à l’italienne, avec tout ce qui va avec: argent, famille, clientèle, entreprises florissantes, transposant dans l’Église une espèce de berlusconisme avant la lettre.

Deuxième des 6 enfants d’une famille très chrétienne et très démo-chrétienne de la région d’Asti (comme moi), Angelo fait ses études ecclésiastiques à Rome. Il les achève en faisant l’« École des Nonces », car ce brillant jeune homme se destine à la diplomatie. Ses postes sont en Amérique latine, où cette Excellence qui sait séduire fait merveille : Équateur, Uruguay, nonce au Chili.

En 1989, quelques mois avant la chute du Mur, le plus coté, le plus entouré, le plus wojtylien des nonces revient à Rome avec les siens. Jean-Paul II le place comme bras droit du Cardinal secrétaire d’État Agostino Casaroli, comme Substitut pour les Relations avec les États (c'est-à-dire comme ministre des Affaires étrangères de l’Église), au moment où l’Ostpolitik, dont Casaroli avait été l’artisan, brille de ses derniers feux.

En 1991, il devient le numéro 2 de l’Église : Cardinal Secrétaire d’État. Durant 53 voyages on va le voir à la droite de Jean-Paul II.

Et comme la maladie du Pape s’aggrave, il assume des charges de plus en plus nombreuses.

Il aurait même été prêt à en prendre de plus lourdes encore : lors du Conclave du mois d’avril 2005, il estimait être un "papabile" tout à fait présentable. Il était sans doute le seul.

Car, pour sa tristesse d’abord, pour son plus grand profit ensuite, mais vraiment pas pour sa réputation, Sodano avait un frère. C’était un politicien de la Démocratie chrétienne, l’« ingénieur » (en Italie, on est intitulé docteur, professeur, ou ingénieur) Alessandro Sodano. Or, Alessandro s’était retrouvé en prison en 1994...

(à suivre)

Lundi 15 juin 2009

Les réseaux du cardinal Sodano (3): qui est le cardinal-doyen?

Angelo Sodano reste un des plus puissants hommes de l’Église romaine. Sa clientèle est très vaste. Pour donner un exemple : Mgr Lorenzo Baldisseri, 69 ans, nonce au Brésil, promis à un avenir important, lui est lié étroitement.

Le Vicariat de Rome tousse quand le cardinal Sodano se mouche.

Un des premiers actes du pape Benoît XVI, qui ne l’aimait pas pour bien des raisons, a été de le proroger tout de même provisoirement dans son poste du cardinal secrétaire d’État, le confirmant dans cette fonction qu’il aura assumée pendant presque quinze ans, ce qui en fait une des plus longues périodes dans l’histoire de ce poste. Jusqu’à la nomination du cardinal Bertone à la Secrétairerie d’État, ce fut une véritable période de « cohabitation » d’Église.

À vrai dire, elle dure encore. Par la suite, le cardinal Sodano a été élu doyen du Collège des cardinaux par les cardinaux-évêques, selon l’usage. Le doyen est toujours un cardinal-évêque, qui est la plus haute catégorie dans le collège des cardinaux (elle en comprend trois : les cardinaux-évêques des six diocèses qui entourent Rome, les cardinaux-prêtres c'est-à-dire titulaires d’église romaines « sacerdotales », les cardinaux-diacres, titulaires à Rome de « diaconies »).

Le cardinal doyen du Sacré Collège – qui est appelé à être, avec à ses côtés le Camerlingue, le principal personnage de l’Église en cas de vacance du Siège, comme en France le Président du Sénat en cas de mort ou démission du Président de la République –, a le titre d’évêque titulaire d’Ostie, titre qu’il détient, selon l’usage, en supplément de son précédent diocèse titulaire (celui d’Albano dans le cas d'Angelo Sodano).

Mais si, en 2007, il a démissionné de ses fonctions de Secrétaire d’État, après avoir beaucoup traîné pour quitter les fabuleux appartements de la Secrétairerie d’État, auxquels s’attachent tous les Secrétaires d’État, le cardinal Sodano s’est octroyé le privilège jamais vu de s’installer au cœur des jardins du Vatican, au dernier étage du collège éthiopique (ce collège avait été fondé par Pie XI en cet endroit de rêve pour montrer l’intérêt du Saint-Siège pour les Missions, notamment vers ce pays convoité par l’Italie du Duce).

Et il ne faut pas oublier que l'ancien Secrétaire d'État reste encore membre de la Congrégation de la doctrine de la foi, de la Congrégation des Églises orientales, de ce lieu-clé des nominations qu’est la Congrégation des évêques - sans parler de ces postes de vigilance financières que sont la Commission papale pour l’État du Vatican et la Commission papale cardinale de vigilance de l’Institut des opérations religieuses...

Les finances du Vatican… Tout le monde s’accorde à dire que Mgr Paul Marcinkus, dirigeant de l’Institut des Œuvres de Religion, la banque vaticane (on l’appelle aujourd’hui la Banque Sodano), qui a basculé en 1987 avec le krach du Banco Ambrosiano, deux ans avant le retour à Rome de Sodano, n’était qu’un enfant de chœur auprès de ce personnage de grande envergure qu’est Angelo Sodano.

(à suivre)

Mardi 23 juin 2009

Les réseaux du cardinal Sodano (4): au coeur de la toile

Un livre qui vient de sortir, "Vaticano SpA" (La société par actions du Vatican) de Gianluigi Nuzzi, se basant sur les archives gardées secrètes de Monsignor Renato Dardozzi, met en lumière les étranges affaires financières de l’IOR, l’Institut des Œuvres de Religion, la banque du Vatican, dans la période qui va de 1974 à la fin des années 90.

Tout le monde sait que le pape Benoît XVI veut "assainir" la Curie. Mais justement, on peut se demander si certains ne s’emploient pas aujourd’hui à remuer une vieille poussière pour occulter ce qui s’est passé après cette date. Ce qui s’est passé après cette date, c’est l’installation d’une autre SpA, celle du cardinal Angelo Sodano. Ce sera le sujet de mes prochains articles.

D’abord, pour bien comprendre, comment au cœur du Vatican, à la dernière loggia du collège éthiopique, s’est installée la coupole de cet empire, qui a perdu son consulteur financier et bienfaiteur très libéral, le P. Maciel, il faut connaître l’organisation de la toile Sodano :

1/ Deux anciens secrétaires : Mgr Thimoty Broglio, devenu évêque aux Armées des États-Unis, et Mgr Piero Pioppo, aujourd’hui conseiller diplomatique à la première section de la Secrétairerie d’État (cette section de la Secrétairerie d’État correspond en gros à la Présidence du Conseil en Italie, ou aux services du Premier Ministre en France). Mais Mgr Pioppo est surtout Prélat (c'est-à-dire directeur) de l’Institut pour les Œuvres de Religion : c’est le directeur de la banque du Saint-Siège, le nouveau Marcinkus.

2/ Deux banquiers argentins, qui étaient diplomates auprès du Saint-Siège à l’époque de Menem : Juan Esteban Caselli, qui apparaît dans l’Annuario comme « gentilhomme de Sa Sainteté » et comme membre du conseil d’administration de la Fondation San Matteo, aux buts indéfinis (œuvres humanitaires dans les pays pauvres), et Francisco Javier Trusso.

3/ Le cardinal argentin Leonardo Sandri, grand ami de Caselli et Trusso. Le cardinal Sandri a été un des personnages les plus importants de la Curie dans les dernières années du pape Jean-Paul II. Né le 18 novembre 1943 à Buenos Aires. Chargé de nonciature à Madagascar et à l’île Maurice en 1974, avant de retourner à Rome comme secrétaire des substituts successifs à la Secrétairerie d’État.

En 1989, il est envoyé aux États-Unis comme conseiller à la nonciature apostolique. En 1991, il est nommé régent de la Préfecture de la Maison Pontificale puis en 1992, assesseur de la section pour les Affaires générales de la Secrétairerie d’État. En 1997, il est nommé nonce apostolique au Venezuela.

En 2000, il est pendant six mois nonce apostolique au Mexique, avant de revenir à Rome, auprès de Sodano, comme substitut pour les Affaires générales de la Secrétairerie d’État, autrement dit pour prendre en charge l’équivalent de la Présidence du Conseil du Saint-Siège en fin de règne.

C’est ainsi qu’il a été un des maîtres du jeu de la fin du dernier pontificat.

Advient le pape Benoît XVI, qui le crée cardinal lors du consistoire du 24 novembre 2007, et lui confie pour l’écarter un peu, le poste de préfet de la Congrégation pour les Églises orientales. Le Préfet de l’Orientale, qui dirige toutes les affaires des Églises d’Orient, est dit le « pape rouge ».

4/ Enfin, aux sources des dollars, les "nepoti", les neveux du Cardinal : Andrea et Guido Sodano, qui sont devenus des hommes d’affaire américains, travaillant avec le Follieri Group, fondé aux Etats-Unis par Raffaello Follieri et son père, Pasquale Follieri, dont je reparlerai dans un prochain volet : « Les finances du Vatican après Marcinkus ».

(à suivre)

Lundi 3 août 2009

Le déclin doré du cardinal Sodano (1) : en attendant Golias…

Me voici arrivé au dernier volet de mon feuilleton consacré à ce fascinant porporato (rouge et or, dirons les malicieux) qu’aura été le cardinal Angelo Sodano. J’annonçais dans mon dernier article sur ce sujet qu’il me fallait brosser quelques uns de portraits de ses « grands barons », des porporati (dorés sur tranche, eux aussi) de la droite ecclésiastique wojtylienne d’après la chute du mur.

J’ai déjà parlé du cardinal Francesco Marchisano, près de 20 ans Sous-Secrétaire de la Congrégation pour l’Éducation catholique, devenu l’homme du « patrimoine » de l’Église, du Patrimoine culturel (Commission pour l’Archéologie sacrée, Commission pour l’Héritage culturel de l’Église) et puis du Patrimoine sonnant et trébuchant (Fabrique de Saint-Pierre, pour enfin présider depuis 2005 le Bureau du travail du Siège apostolique). Un homme, disais-je, qui a toujours été sur les listes de franc-maçonnerie (la franc-maçonnerie qui croit au Grand Architecte, bien entendu, pas la franc-maçonnerie athée !) qui circulent régulièrement à la Curie, listes fantaisistes, mais dans lesquelles on n’aurait jamais eu l’idée de mettre des prélats notoirement anti-humanistes…

Il faut évoquer aussi le cardinal Agostino Vallini, plus montinien de sensibilité que Sodano, mais un fidèle. Le cardinal Sodano, cardinal-évêque au titre de l’Église suburbicaire d’Albano depuis 1994, l’avait fait nommer en 1999 archevêque d’Albano, puis en 2004 Préfet du Tribunal suprême de la Signature apostolique. Il a ensuite réussi le coup de maître de le faire nommer Cardinal-Vicaire de Rome (le cardinal qui administre le diocèse de Rome pour le compte du Pape), en remplacement du cardinal Ruini (qui était aussi président de la Conférence épiscopale italienne), au terme d’une de ces intrigues de Curie tellement compliquées et si enchevêtrées que tout le monde y perd son latin (mais pas son italien).

Je raconte ce que je sais : on était après l’élection de Benoît XVI, et la tactique des adversaires de tous bords du Pape était à cette époque-là de faire de la provocation. Alors qu’Angelo Sodano occupait encore le poste de Secrétaire d’État – pour peu de temps, tout le monde le savait – et que le troisième quinquennat du cardinal Ruini, comme président de la Conférence épiscopale italienne (nommé par le Pape) arrivait à échéance, Mgr Paolo Romeo, alors nonce en Italie, d’accord avec Sodano, s’était permis, contre le Pape, le « coup tordu » suivant : sans en parler au Pape, au début de 2006, il avait envoyé une lettre aux 226 évêques italiens pour leur demander, sous le sceau du secret pontifical, d’indiquer qui ils souhaiteraient comme successeur à la tête de la CEI. Et, pour faire bonne mesure, une « fuite » avait permis à la presse de divulguer le contenu de cette lettre inouïe. Le Pape n’avait pu qu’immédiatement décider de confirmer le cardinal Ruini dans sa charge « jusqu’à qu’il en soit disposé autrement », ce qui concrètement retardait la nomination à la tête de la CEI du cardinal Angelo Scola, ami de Benoît XVI et patriarche de Venise, que tout le monde s’attendait à voir nommer. Romeo, à l’abri sous le parapluie de Sodano, sera « puni » en étant nommé en décembre 2006 archevêque de Palerme, où il pourra devenir cardinal en des jours meilleurs. S’ensuivit un nœud inextricable de pressions et contre-pressions où intervinrent Ruini, Bertone, nouveau Secrétaire d’État, et les affidés de Sodano (tel le cardinal Severino Poletto, archevêque de Turin), qui aboutirent à l’élimination définitive de Scola pour la présidence de la CEI, laquelle échut finalement (en mars 2007) à l’un des fils du cardinal Siri, le timide mais sûr Angelo Bagnasco, qui avait remplacé Bertone à Gênes en 2006, et devint cardinal dans la foulée (novembre 2007). Du coup la nomination au Vicariat devenait moins importante, surtout si on le donnait à quelqu’un qui était déjà cardinal. Il se trouvait qu’il fallait libérer la Signature apostolique pour la donner à l’Américain Mgr Burke, qui deviendrait ainsi cardinal. Vallini qui l’occupait était déjà cardinal : sa nomination au Vicariat devenait un moindre mal. D’où sa prise de possession « miraculeuse » du Palais du Latran (où sont installés les offices du Vicariat), en juin 2008. Champagne au Collège éthiopique (où réside Sodano) Alka-Seltzer chez les « intégristes » de la Curie !

(À suivre)

À suivre, non seulement dans L’Osservatore Vaticano, mais aussi dans… Golias, où Romano Libero annonce une « série de l’été » consacré au cardinal Sodano (« La disgrâce de Sodano a sonné », 23 juillet 2009 ; « Sodano, un homme qui aime le pouvoir, 30 juillet 2009) ! « Le pauvre homme », dirait Orgon, est ainsi le personnage de feuilletons de tous bords ! Dans un premier article, Romano Libero faisait une analyse globale qui rejoint celle que je répète comme un refrain depuis le début de mon propre feuilleton: « Avant la mort de Jean-Paul II, Sodano et ses affidés dominaient le jeu curial. Don Angelo a accompagné la fin de la guerre froide, l’effondrement de l’empire soviétique, et aussi la fin de la Démocratie chrétienne italienne qui vivait de cette guerre froide. À la différence du cardinal Casaroli, homme de l’Ostpolitik, esprit fin et délié, conservateur de sensibilité mais libéral de penchant [c’est vrai], qui, à l’instar de son dauphin [et inspirateur, « tireur des ficelles » de Casaroli, disaient ses adversaires] le cardinal Silvestrini, menait une politique de centre gauche, Sodano a toujours été politiquement en phase avec le pape Wojtyla, et a voulu une politique de centre droit ».

 
ANNEXE B – Présentation[21] du livre « Vatican SpA » de Nuzzi sur la corruption au sein de la banque du Vatican
 

En Italie vient d'être publié un livre intitulé Vaticano SpA, où SpA signifie Società per Azioni, qui est la forme statutaire équivalente de la SA, la Société anonyme en France.


Ce livre, écrit par un journaliste, Gianluigi Nuzzi, se base sur les archives gardées secrètes de Monseigneur Renato Dardozzi, soit environ 4 000 documents collectés sur un quart de siècle, tous plus confidentiels les uns que les autres (relevés de compte, fiches d'ouverture de comptes chiffrés avec les signatures autorisées, correspondance réservée avec le pape Jean-Paul II et les plus hauts dignitaires de l'époque, de 1974 à la fin des années 90), qu'il a voulu rendre publics après sa mort, "pour que tout le monde puisse savoir ce qui s'est passé", selon ses dispositions testamentaires.


C'est ainsi que l'on découvre, de chapitre en chapitre, les innombrables méfaits de son Excellence Révérendissime Monseigneur Donato De Bonis, Chapelain Grand Croix Conventuel ‘ad honorem’, Prélat de l’Ordre de Malte, décédé le 23 avril 2001, qui a fait ce qu'il a voulu au sein de la Banque du Vatican, l’IOR (l’Institut des Œuvres de Religion), en réussissant pratiquement à créer un IOR parallèle, une banque dans la banque, grâce à laquelle il a pu "gérer", de 1989 à 1993, 17 comptes principaux sur lesquels ont transité presque 300 millions d'euros...


Où l'on comprend que les enseignements de Marcinkus, dont il était le second, n'ont pas été vains, puisqu'il a pu ainsi créer un véritable "paradis fiscal", c'est le cas de dire !


Je peux pas vous raconter dans le détail toutes les opérations (il faudrait traduire le livre dans son intégralité), mais juste vous donner une idée...


La principale activité de De Bonis a constitué à mettre en place un réseau de comptes clandestins, la plupart au nom de fondations charitables inexistantes, dont la principale, intitulée à une soit-disant Fondation Cardinal Francis Spellman, n'était qu'un compte chiffré (n° 001-3-14774-C) avec deux signatures autorisées : celle de De Bonis et celle de Giulio Andreotti. Non formellement déposée, au cas où, puis effacée dans un deuxième temps.... 




Ce qui n'a pas empêché De Bonis d'indiquer dès l'ouverture du compte, dans des dispositions testamentaires, qu'à sa mort le solde devait être mis à la disposition de Giulio Andreotti... "pour des œuvres de charité et de bienfaisance, à sa discrétion", il va de soi.



C'est ainsi que sur ce compte et d'autres, établis par Carlo Sama, Sergio Cusani et Luigi Bisignani, a transité la presque totalité du plus gros pot-de-vin de tous les temps, la "maxitangente Enimont", surnommée la "madre di tutte le tangenti", ou "mère de toutes les malversations", soit un peu plus de 90 milliards de lires sur un total de 130, près de 0,5 milliard de FF de l'époque...


Dont la plupart ont fini leur course dans les poches de Bettino Craxi, Claudio Martelli, Arnaldo Forlani, Paolo Cirino Pomicino, etc.


Entre parenthèses, à noter que ce dernier, qui fête ses 70 ans cette année, est encore en vogue puisque, après avoir subi une condamnation définitive, il est présent sur les listes européennes de Berlusconi pour le vote de la semaine prochaine, aux cotés de Mastella ! Autant dire entre gens de bonne compagnie...


Et comme quoi en Italie on ne recycle pas que l'argent des pots-de-vin et de la mafia :-) 


Le récit de la réaction des autorités ecclésiales aux commissions rogatoires italiennes vaut également son pesant d'or. On comprend mieux ces mots d'Antonio Di Pietro, juge symbole de l'opération mains propres, qui a déclaré il y a quelques jours que toute l'opération s'était arrêtée lorsqu'il avait commencé à frapper aux portes du Vatican, en concluant ainsi :

Si j'avais eu ces documents dans les années 1990, aujourd'hui nous aurions une autre République...


Se avessi avuto questi carteggi negli anni '90 oggi ci sarebbe un'altra Repubblica.

Je vous passe le détail des différents mouvements, mais j'ai été intrigué par les deux seules opérations que mentionne le livre où les terminaux sont des banques françaises :

  1. un demi milliard de lires arrivent le 19 novembre 1990 de la banque Indosuez, référence "cop.ns.tlx dir. dd 6.11.91 Ad Meliora"
  2. un virement d'un million de FF destiné à Eva Sereny, sur le compte n° 751032-C ouvert par l'IOR dans une agence parisienne du Crédit Lyonnais (rue du 4 septembre)

En précisant que sur le document correspondant, Monseigneur Dardozzi avait indiqué "P. Giulio", qui correspond au nom de baptême d'Andreotti.



N'ayant jamais entendu parler d'Eva Sereny avant aujourd'hui, j'ai fait quelques recherches sur Internet : photographe britannique très connue dès les années 70, ayant vécu à Rome, où elle a photographié Romy Schneider, notamment, elle a porté à l'écran un roman de Philippe Labro, L'étudiant étranger, adaptation cinématographique distribuée par Pathé et coproduite en 1994 par Silvio Berlusconi, Tarak Ben Ammar et Peter Hoffman.


Je n'ai pas d'autres renseignements. Mystère, mystère.


Le livre se termine sur un chapitre dédié au recyclage de l'argent de la mafia, quelques pages qui feraient une excellente introduction à une histoire ... encore à écrire ! 

 
ANNEXE C – Extrait[22] du livre « Vatican SpA » de Nuzzi sur la corruption au sein de la banque du Vatican
 

It’s only possible to understand post-war Italy via the intrigues between the Mafia, the Freemasons, the Vatican and parts of the State that have gone astray. Four worlds that are criss-crossed in the most obscure affairs of our Republic. The book, "Vaticano S.p.A." {Vatican company Limited} thanks to access that was almost casual to a boundless archive of official documents, explains the role of the Institute for Works of Religion {abbreviated to IOR in Italian) in the first and the second Republic. 
Freely translated chunks from the book "
Vaticano S.p.A.":

 
”...Paul VI entrusted the transfer abroad of shares to a priest and a lay person… already known to Montini when he was Archbishop of Milan. His name is 
Michele Sindona. He took the capital of the mafias. The priest who can handle finance and is a friend of the USA is called Paul Marcinkus… It’s Sindona himself who presents the banker Roberto Calvi to Marcinkus… The three of them end up manipulating the ups and downs of the Milan Stock Exchange with the Vatican companies that end up with Calvi via Sindona… The Patriarch of Venice, Albino Luciani, is elected Pope. He’s a man of very high moral rigour… the journalist Mino Pecorelli publishes the 121 names of Vatican leaders who are thought to be affiliated to the Freemasons…

Luciani intends to do a clean sweep in IOR and transfer everyone: Marcinkus, de Bonis, Mennini, de Strobel. He confides in the Secretary of State, Jean Villot on the evening of 28 September 1978. The following morning, the lifeless body of John Paul I is discovered in his bed… Karol Wojtyla picks up the policies of Paul VI and assures Marcinkus of continuity regarding the financial policies. Calvi’s Ambrosiano bank risks a collapse… it is discovered that the credits of the Ambrosiano relate to the foreign companies connected to the IOR… The Minister of the Treasury, Andreatta organises the liquidation of the Ambrosiano Bank… Marcinkus enjoys the unconditional protection of John Paul II… due above all to the funds for more than 100 million dollars that the Vatican sent to the Polish trades union, Solidarnosc... A triple arrest warrant, issued 20 February 1987 by the Milan magistracy against Marcinkus and the directors of the IOR Luigi Mennini and Pellegrino de Strobel..."

”Is it possible to live in this world without worrying about money? It’s not possible to run the Church with ‘Avemarias’.” 
(Monsignor Paul Marcinkus, president of IOR)


“You cannot serve God and Mammon at the same time.” 

(Jesus, Gospels of Matthew 6,24 and Luke 16,13) 

____________

Pour vous abonner ou vous désabonner de la lettre d’information Virgo-Maria, veuillez remplir le formulaire disponible sur notre site http://www.virgo-maria.org/

Pour nous transmettre une information ou une nouvelle : la.redaction@virgo-maria.org

© 2009 virgo-maria.org



[1] Décédé en 2001, le nom de ce pseudo-« évêque » Conciliaire apostat figurait déjà sur la liste « Pecorelli » de 1978 des prélats de Curie alors Francs-Maçons, avec leurs dates précises d’inscription, leurs matricules et noms de code.

Cette liste maçonnique, dont la publication le 02 septembre 1978 a coûté six mois plus tard la vie au journaliste italien Mino Pecorelli, assassiné sous les balles des tueurs le 20 mars 1979 en plein jour et en pleine rue à Rome, indique que le pseudo- « évêque » Conciliaire « Mgr » Donato de Bonis (prêtre apostat « sacré » invalidement pseudo « évêque » Conciliaire le 25 avril 1993 selon le nouveau rite épiscopal Conciliaire invalide du 18 juin 1968, par les pseudo « évêques » Conciliaires, le « cardinal » Corrado Ursi, et les pseudo-« archevêques » Pasquale Macchi - inscrit  lui-même le mercredi 23 avril 1958 sur la liste Pécorelli sous les matricules et noms de code Matricule 5362/2-MAPA – et Michele Scandiffio), décédé en 2001, mais alors Monsignor et Premier Prélat de l’Instituto Delle opere di Religioni (IOR), la Banque du Vatican, alors présidée et dirigée par le pseudo-« évêque » Conciliaire « Mgr » Paulo Marcinkus (« sacré » invalidement pseudo « évêque » Conciliaire le 6 janvier 1969 selon le nouveau rite épiscopal Conciliaire invalide du 18 juin 1968, par les évêques apostats Montini-Paul VI, et ses « cardinaux » Sergio Pignedoli et Ernesto Civardi), décédé en 2006 (qui figure lui-même sur cette liste sous le matricule et nom de code Matricule 43/649 – MARPA, à la date d’inscription du lundi 21 août 1967), est inscrit sur cette liste maçonnique à la date du lundi 24 juin 1968 sous le matricule et nom de code : Matricule 321/02 - DONDEBO

(les précisions concernant les pseudo-« sacres » de ces personnages sont tirées des informations publiées par le site Catholic Hierarchy : http://www.catholic-hierarchy.org/)

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-08-11-C-00-Liste-Pecorelli.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/ListeAGNOLI_Pecorelli_version_1_3reduit.xls

[2] http://www.laportelatine.org/accueil/entret/2009/Fellay0907/Fellay090731.php

[3] http://www.virgo-maria.org/Documents/mgr-lefebvre/1987_09_04_%20nos_relations_avec_ROME.htm

[4] http://www.osservatore-vaticano.org/pages/Pourquoi_ce_blog_-1422696.html

[5] http://fr.wikipedia.org/wiki/Angelo_Sodano

[6] Son nom figure sur cette liste Pecorelli (cf. note précédente 1).

Ce pseudo-« évêque » Conciliaire apostat y est inscrit à la date du samedi 04 février 1961 sous le Matricule et nom de code Matricule 4536/3-FRAMA. Au moment de la publication de cette liste le 02 septembre 1978, il occupait à Rome selon cette liste la fonction de Sous-secrétaire de la Sacrée Congrégation des Études pour les Séminaires et les Universités, et de Prélat d'Honneur du Pape (Montini-Paul VI)

Ce prêtre apostat de Turin a été « sacré » invalidement pseudo « évêque » Conciliaire le 06 janvier 1989 selon le nouveau rite épiscopal Conciliaire invalide du 18 juin 1968, par l’évêque apostat Karol Wojtyla-Jean-Paul II et ses pseudo « cardinaux », le pseudo-« évêque » Conciliaire apostat Idris Cassidy, avec l’évêque apostat Thomas Sanchez (source : Catholic Hierarchy).

[7] http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-10-04-C-00-Temple_Satanique_pour_Padre_Pio.pdf

http://www.virgo-maria.org/Documents/eglise-conciliaire/2006-03-chiesaviva-templesatanique-padrepio.pdf  

[8] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-08-11-C-00-Liste-Pecorelli.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2007/ListeAGNOLI_Pecorelli_version_1_3reduit.xls

[9] http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-06-07-B-00-Fatima_sacrilege.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-06-07-B-00-Fatima_sacrilege-Silence_FSSPX.pdf

[10] http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-10-04-C-00-Temple_Satanique_pour_Padre_Pio.pdf

http://www.virgo-maria.org/Documents/eglise-conciliaire/2006-03-chiesaviva-templesatanique-padrepio.pdf  

[11] A moins qu’il ne s’agise de la « Tradition » maçonnique, gnostique et luciférienne !

[12] http://www.virgo-maria.org/Documents/eglise-conciliaire/2006-03-chiesaviva-templesatanique-padrepio.pdf 

[13] http://www.saint-remi.fr/recherche.php?Liste1=1&Liste2=&Liste3=&mot=adessa&aut=&rechercher.x=0&rechercher.y=0&rechercher=rechercher

[14] http://www.saint-remi.fr/

[15] Consultable en italien sur :

http://www.virgo-maria.org/Fichier_Video/Le-interviste-del-blog-beppegrillo.it_Gianluigi_Nuzzi.flv

[16] « Vaticano Spa - Informazioni sul prodotto

Spericolate operazioni finanziarie mascherate da opere di carità e fondazioni di beneficenza. La storia raccontata in questo libro parte da un archivio custodito in Svizzera e da oggi accessibile a tutti. Circa quattromila documenti riservati della Santa Sede. Lettere, relazioni, bilanci, verbali, bonifici. Tutto grazie all'archivio di monsignor Renato Dardozzi (1922-2003), tra le figure più importanti nella gestione dello Ior fino alla fine degli anni Novanta. Sembrava una storia conclusa con gli scandali degli anni Ottanta: Marcinkus, Sindona e Calvi. Invece tutto ritorna. Dopo la fuoriuscita di Marcinkus dalla Banca del Papa, parte un nuovo e sofisticatissimo sistema di conti cifrati nei quali transitano centinaia di miliardi di lire. L'artefice è monsignor Donato de Bonis. Conti intestati a banchieri, imprenditori, immobiliaristi, politici tuttora di primo piano, compreso Omissis, nome in codice che sta per Giulio Andreotti. Titoli di Stato scambiati per riciclare denaro sporco. I soldi di Tangentopoli (la maxitangente Enimont) sono passati dalla Banca vaticana, ma anche il denaro lasciato dai fedeli per le messe è stato trasferito in conti personali. Lo Ior ha funzionato come una banca nella banca. Una vera e propria "lavanderia" nel centro di Roma, utilizzata anche dalla mafia e per spregiudicate avventure politiche. Un paradiso fiscale che non risponde ad alcuna legislazione diversa da quella dello Stato Vaticano. Tutto in nome di dio. »

http://book.webchising.it/societa-politica-e-comunicazione/problemi-e-servizi-sociali/vaticano-spa/dettaglio/id-2218068/

Et aussi

http://librinews.wordpress.com/2009/05/15/libri-vaticano-spa-di-gianluigi-nuzzi-chiarelettere/

[17] http://adscriptum.blogspot.com/2009/05/vatican-sa.html

[18]http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-03-12-A-01-Jean-Luc_Maxence_et_Celier_2.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-07-27-A-00-Abbe_Celier_edite_par_FM.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-07-30-A-00-Jean_Luc_Maxence-Celier.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-08-05-A-00-Suresnes-Loge_et_divan.pdf

[19] http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-08-04-C-00-Fatima_Bertone_Socci.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-03-08-A-00-Fatima_Faux_graphologique.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-04-06-B-00-Malediction_Faussaire.pdf

http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-01-14-A-00-Fatima_30_Jours.pdf 

http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-01-14-B-00-Pere_Gruner_deposition_Benoit_XVI.pdf

[20] http://www.osservatore-vaticano.org/

[21] http://adscriptum.blogspot.com/2009/05/vatican-sa.html

[22] http://www.beppegrillo.it/en/2009/06/vaticano_spa.html