CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX
http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf
Qui et
Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à
la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome
conciliaire |
Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ? |
Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968? |
A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ? |
Serait-ce
donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on
veuille désormais faire dire la messe du |
Serait-ce que l’on
veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec
un clergé aussi INVALIDE que le |
Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)
vendredi 4 décembre 2009
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Invalidité des Sacres Conciliaires : le
Père Pierre-Marie (Avrillé) s’obstine dans son erreur grossière de texte sacramentel.
Déterminé à soutenir fallacieusement l’impossible « validité »
de la nouvelle « consécration » épiscopale,
il continue opiniâtrement à tromper les clercs et les fidèles
Le CIRS (Comité International Rore Sanctifica) vient de confondre de façon cinglante[1] l’opiniâtreté du Père Pierre-Marie (Geoffroy de Kergorlay) dans son erreur grossière de textes liturgiques face aux FAITS et aux textes liturgiques authentiques aujourd’hui publics : prétendant une nouvelle fois dans le n°70 du Sel de la Terre[2] justifier son erreur grossière (qui ne peut être désormais que volontaire) de texte sacramentel dans le rite d’intronisation du Patriarche Maronite, il prétend, envers et contre tout, trouver dans un document fourni par le Vatican mondialiste et maçonnique une confirmation de sa soi-disant « démonstration » de la validité du nouveau rite de consécration épiscopale (Pontificalis Romani, 1968)
Nous invitons nos lecteurs à lire attentivement le diaporama[3] qui déroule la démonstration du CIRS face à l’exhibition fallacieuse par Avrillé d’un prétendu « scoop », sorti des archives du Vatican moderniste « antichrist » maçonnique, pour venir au secours de la pseudo-« démonstration » de Dom Botte, pleinement assumée – sans l’avouer – par le Père Pierre-Marie depuis le n°54 du Sel de la Terre de novembre 2005.
Il s’avère que les dominicains s’obstinent toujours, contre toute évidence, à vouloir faire passer pour sacramentelle une prière ‘C’ d’INTRONISATION JURIDIQUE du Patriarche maronite qui n’est – selon les plus hautes autorités religieuses dont le Pape Pie XII[4] lui-même –, et n’a jamais été, que purement JURIDICTIONNELLE et NON-SACRAMENTELLE, en passant sous silence la prière ‘A’ qui la précède, incorporée dans ce même « rite du Patriarche » maronite, et qui doit n’être prononcée QUE si l’élu n’est pas déjà évêque, car elle se trouve – elle - être une prière pleinement SACRAMENTELLE et consécratoire, conférant bien à l’élu la plénitude du Sacerdoce (Potestas Ordinis épiscopale), AVANT de l’introniser JURIDIQUEMENT et NON-SACRAMENTELLEMENT Patriarche par cette fameuse prière ‘C’ non-sacramentelle, dite « de Clément ».
La prière SACRAMENTELLE et consécratoire ‘A’ de ce « Rite du Patriarche » maronite est du reste bien identique à celle du rite sacramentel de la consécration épiscopale dans les pontificaux maronites, et elle répond bien – elle - aux critères de validité de la forme sacramentelle essentielle exigés infailliblement à peine d’invalidité sacramentelle par le Pape Pie XII dans sa Constitution Apostolique Sacramentum Ordinis de 1947, à savoir exprimer de manière UNIVOQUE d’une part la plénitude du Sacerdoce (Potestas Ordinis épiscopale), et d’autre part la Grâce sacramentelle épiscopale (Gratia Ordinis épiscopale).
C’est bien en effet ce qu’avait déjà compris le défunt ( 19 juillet 2006) et savant théologien catholique, le Dr Coomaraswamy, lequel, dans son livre de 1983, « Le drame Anglican du Clergé catholique post-conciliaire », avait basé sa démonstration sur la comparaison entre les formes sacramentelles essentielles[5], d’une part du nouveau rite de consécration épiscopale imposé le 18 juin 1968 par Montini-Paul VI, et d’autre part du rite de consécration épiscopale du Pontifical maronite (Prière ‘A’), qui n’ont de fait rien en commun.
Dans leur article du n°54 du Sel de la Terre de novembre 2005, le Père Pierre-Marie de Kergorlay et, à sa suite, les dominicains d’Avrillé s’étaient alors publiquement crus très malins en moquant sottement ce qu’ils prétendaient être la « bévue » de ce savant théologien, alors déjà très malade et qui allait décéder quelques mois plus tard le 19 juillet 2006.
Le pire est sans doute que le Père Pierre-Marie de Kergorlay o.p., du couvent des Dominicains d’Avrillé — en dépit de sa profonde incomptétence, tant en théologie qu’en liturgie catholique, qu’il aura largement démontrée et étalée publiquement depuis quatre ans — semble toujours continuer pourtant à passer pour une autorité et une référence dans ces deux domaines essentiels auprès de trop de clercs de la Fraternité Saint Pie X (ce qui en dit long hélas sur le niveau réel de leur formation depuis la mort de Mgr Lefebvre), réputation si usurpée soit-elle qu’elle lui aura permis de bloquer néanmoins depuis 2005 la prise de conscience de trop de clercs et des fidèles catholiques à propos de l’invalidité sacramentelle tragique, mais absolument certaine, du pseudo-« clergé » post-conciliaire actuel, qui, à l’instar de leur « confrères » anglicans, est désormais, après quarante ans, entièrement démuni de tout Sacerdoce sacrificiel et sacramentel catholique, tandis que l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI s’évertue aujourd’hui à intégrer en corps le pseudo-« clergé » Anglican (de la TAC Traditional Anglican Communion) au pandemonium de son église Conciliaire apostate « antichrist », moderniste, mondialiste maçonnique, en même temps que les autorités félonnes de la Fraternité, s’évertuent aujourd’hui à faire intégrer l’œuvre Sacerdotale de Mgr Lefebvre au sein de ce pandemonium romain post-conciliaire antichrist.
L’inquiétude légitime est d’autant plus vive et justifiée parmi les clercs et les fidèles que, parmi les membres de la Commission préparatoire de la Fraternité chargée de mettre en place les actuelles soi-disant « discussions doctrinales » avec le Vatican moderniste antichrist mondialiste, figure le prêtre argentin Alvaro Calderon, bras droit de la taupe n°1 de la Fraternité, l’ex(?)-anglican britannique, Mgr Williamson, l’évêque à la Rose de la Fraternité, aux côtés de l’abbé Celier. Depuis , il n’apparaît pas dans la commission ‘visible’ présentée comme menant les discussions avec Rome, mais cette commission est une vitrine et la Direction de la FSSPX n’ayant pas changé, il est plus que probable que les membres de la commission préparatoire continuent à agir dans l’ombre de la Commission ‘visible’.
Rappelons à cet égard que cet abbé Calderon, en octobre 2006 dans le n°58 du Sel de la Terre, avait tenté d’apporter un ultime secours au Père Pierre-Marie de Kergorlay, alors en perdition publique, ses supercheries et ses sophismes à propos de sa prétendue « démonstration » de l’impossible validité sacramenetelle des sacres conciliaires venant d’être démasqués publiquement en détail par le CIRS et par l’abbé Cekada, et que son article de secours avait sans tarder été, à son tour, publiquement réfuté de fond en comble par le CIRS[6] et l’abbé Cekada[7], montrant les insuffisances de ce prêtre argentin, adjoint de Mgr Williamson, en matière de théologie comme de liturgie.
Désormais, le Père Pierre-Marie, quant à lui, sort totalement discrédité par cette manipulation opiniâtre.
Il apparaît comme un religieux qui a voulu se racheter une réputation de clerc érudit et rigoureux, alors qu’il se fourvoie (et fourvoie les clercs) magistralement depuis plus de quatre ans, en épousant sans vergogne la pseudo-« démonstration » de validité préparée par le liturgiste moderniste Dom Botte (et son compère le Père Lécuyer, ennemi personnel de Mgr Lefebvre), par laquelle ils avaient déjà trompé leurs collègues membres du Consilium liturgique Conciliaire, instauré sous l’autorité du lazariste franc-maçon Annibale Bugniniù par l’évêque apostat Montini-Paul VI.
Après avoir voulu induire Mgr Tissier de Mallerais en erreur[8], en répandant partout les erreurs et montages des réformateurs liturgistes modernistes du Consilium (sous les directives de l’abbé Schmidberger qui l’a fait éditer aux États-Unis en 2006, dans The Angelus), le Père Geoffroy de Kergorlay vient d’être démasqué dans sa pertinacité à propager des textes tronqués, des sophismes et de faux arguments qui montrent son incompétence, ou désormais sa volonté de tromper, dans l’usage des rites orientaux.
Ce faisant, le Père Pierre-Marie a révélé qu’il agit de cheville avec des amis du Vatican moderniste mondialiste et maçonnique, qui ont su lui extraire des archives un texte d’Assemanus de 1733, dont il a fait un usage fallacieux et contraire au texte.
Avrillé se dévoile ainsi, aux yeux des observateurs attentifs, comme un relai discret mais convaincu des autorités ecclésiastique du Vatican moderniste, mondialiste maçonnique qui cherchent par tous les moyens à étouffer l’affaire de l’invalidité certaine et radicale des sacres Conciliaires (et donc aujourdhui du clergé post-conciliaire) mise à nue depuis l’été 2005 par le CIRS et par les deux premiers tomes publiés de Rore-Sanctifica (cf. www.rore-sanctifica.org ).
En agissant ainsi de façon aussi grossière pour embarquer nombre de clercs peu travailleurs dans le mur de la soi-disant « validité » des sacres Conciliaires, les dominicains d’Avrillé restent déterminés, en se camouflant derrière un paravent de critiques convenues de Ratzinger-Benoît XVI, à préserver les conditions d’un ralliement-trahison de Mgr Fellay à l’église Conciliaire.
Découvrons ensemble les FAITS rendus désormais publics par cet exposé très clair du CIRS[9].
La vérité de l’invalidité certaine et radicale des consécrations épiscopales Conciliaires depuis 40 ans, ne cesse de se répandre et va finir par éclater de façon générale dans le milieu de la Tradition catholique.
Depuis quatre ans, en dépit de la censure féroce et affolée des petits maîtres cléricaux infiltrés qui ont pris impudemment le contrôle de la Fraternité Saint Pie X depuis la mort le 25 mars 1991 de son fondateur Mgr Lefebvre, beaucoup de clercs et de laïcs très formés ont déjà eu le temps de peser les arguments et les FAITS publics révélés par le CIRS, et ils ont pu en mesurer toute la pertinence, alors que dans la même période, le Père Pierre-Marie de Kergorlay et les dominicains d’Avrillé, de mèche avec cette même petite équipe pro-ralliement qui a pris le contrôle de l’œuvre de Mgr Lefebvre, multiplient les déclarations solennelles et les contre-vérités pour défendre l’argumentaire trompeur insoutenable de Dom Botte et des liturgistes modernistes du Consilium liturgique Conciliaire, à la solde du lazariste franc-maçon Annibale Bugniniù.
Quel est le milieu qui gravite autour du Père Pierre-Marie (Geoffroy de Kergorlay) et qui a tout à gagner à ce que ce religieux dominicain continue à vouloir bloquer au sein de la FSSPX toute étude impartiale sur la question VITALE de l’invalidité radicale et certaine des sacres Conciliaires depuis le 18 juin 1968 ?
Nous allons le découvrir dans un prochain message de VM, et nos lecteurs auront bien des surprises
Continuons le bon combat
La Rédaction de Virgo-Maria
© 2009 virgo-maria.org
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Rite d’intronisation du
patriarche maronite : |
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Réponse au Sel de la Terre
n°70 (octobre 2009) |
Réponse à
l’articulet de 2 pages « Informations sur la validité des sacres
épiscopaux dans le nouveau rite »
du Père Pierre-Marie (Geoffroy de Kergorlay) dans le Sel de la terre
n°70, pp 209-210,
en date du début octobre 2009
Ce communiqué inclut en pièce jointe un diaporama qui déroule une réfutation complète sur 40 diapos des erreurs distillées opiniâtrement et impudemment par le Père Pierre-Marie.
Télécharger le diaporama :
Télécharger la Notitia III De Patriarchæ, qui a déjà répondu en juin 2006,
à ce dernier articulet du Père Pierre-Marie :
Depuis le mois d’août 2005, le CIRS a fait paraître aux éditions Saint-Rémi et sur son site internet deux tomes, ainsi que nombre d’importantes études (Notitiæ) et communiqués qui ont administré la démonstration factuelle de l’invalidité sacramentelle INTRINSÈQUE radicale du nouveau rite de consécration épiscopale promulgué le 18 juin 1968 par Montini-Paul VI (Pontificalis Romani). L’invalidité per se de ce nouveau rite, appliqué depuis 1969 dans l’église Conciliaire (dite ‘Église catholique’) a pour conséquence la perte progressive et désormais presque définitive de la succession apostolique en son sein, et ruine entièrement, en même temps que sa validité, la légitimité de ce faux épiscopat conciliaire à se prétendre catholique et à administrer validement le sacrement des Saints Ordres catholiques.
Dès novembre 2005, le Père Pierre-Marie de Kergorlay et les dominicains d’Avrillé se sont déterminés à endosser l’argumentaire fallacieux des « réformateurs » modernistes conciliaires (en particulier Dom Botte et le Père Lécuyer) du Consilium liturgique de 1968, sur la base de leurs sophismes, dont le principal est la prétendue justification du nouveau rite par le recours à une « forme vivante » prétendue analogue et qui serait sacramentelle dans le rite de l’intronisation du patriarche maronite, qu’il nomme « rite d’ordination du Patriarche ».
C’est tout particulièrement pour réfuter de fond en comble cet artifice principal que le CIRS a publié dès le mois de juin 2006 une étude approfondie, théologique et historique (Notitia III – De Patriarchæ)[10].
En octobre 2009, en dépit de l’énorme appareil critique déployé par le CIRS depuis 4 ans, le Père Pierre-Marie, dans la revue « Le Sel de la terre » des dominicains d’Avrillé, a exhumé des archives du Vatican un texte d’Assemanus de 1733, en prétendant y voir la preuve de la justesse de sa démonstration.
Cette ultime parade est réfutée ici dans ce communiqué du CIRS.
Notre-Dame du Liban
Voici la table des matières du diaporama de réponse au Père Pierre-Marie :
Ce nouvel articulet de deux pages du Père Pierre-Marie de Kergorlay n’apporte – bien au contraire – aucune démonstration réelle à l’appui de son affirmation catégorique basée sur une citation tronquée de Joseph Assemanus, tirée d’un document daté de 1733 fourni par le Vatican moderniste.
Le Père Pierre-Marie de Kergorlay ouvre en effet ainsi son articulet :
« Nous portons à la connaissance de nos lecteurs un document qui corrobore la valeur de notre étude sur les sacres épiscopaux dans le nouveau rite… ».
En effet, ainsi que le CIRS l’a déjà exposé et démontré dans le détail, à propos de ce rite dit « du Patriarche », dans la Notitia III De Ordinatione Patriarchæ[11] mise en ligne sur le site de Rore Sanctifica depuis le 13 juin 2006, et que le Père Pierre-Marie de Kergorlay ne saurait en aucun cas ignorer aujourd’hui, plus de trois années plus tard, le texte de l’« ordination du patriarche » maronite comprend une double structure :
Le Père Pierre-Marie ne fait nullement référence à cette double structure interne au texte (bien qu’Assemanus y fasse référence à la fin du texte de la citation du Sel de la terre invoquée par Avrillé) et conclut hâtivement et de façon péremptoire — sans aucun exposé de son raisonnement par rapport à la structure du texte du rite du patriarche — au caractère consécratoire de C (dite de Clément), comme si la prière d’ordination épiscopale A n’existait pas dans ce rituel.
Le Père Pierre-Marie conclut catégoriquement en deuxième page de son articulet par cette affirmation logiquement choquante, qui joue sur l’ambigüité de son expression sémantique « prière d’ordination », en confondant subrepticement sous cette expression – ce qui ne peut-être désormais qu’à dessein de tromper le lecteur inattentif – la véritable prière consécratoire du rite du Patriarche retranscrit par Assemanus qui confère bien la plénitude épiscopale de la Postestas Ordinis à l’impétrant qui ne serait que simple prêtre, avec la prière dite « de Clément » que le Père Pierre-Marie dénomme « prière d’ordination du Patriarche », et qui figure aussi dans ce rite retranscrit par Assemanus, cette prière dite de Clément qui confère à l’impétrant non pas un Pouvoir d’Ordre (Potestas Ordinis), mais bien simplement le Pouvoir de Juridiction (Potestas Juridictionis) NON SACRAMENTEL qui est celui du Patriarche, ainsi que Rore l’a exposé et démontré[12] invinciblement en détail publiquement depuis plus de trois ans.
« Ainsi lorsqu’un prêtre est ordonnée directement Patriarche, il reçoit la prière d’ordination que nous avons appelée « ordination du Patriarche » et non pas celle d’ordination d’un évêque. Cela montre que la prière d’ordination du Patriarche a une valeur consécratoire. » Père Pierre-Marie, octobre 2009
La parcimonie de ses citations et la brièveté elliptique et presque énigmatique de son commentaire – qui ne peuvent aujourd’hui n’être que calculées – ne sauraient à l’évidence être à la hauteur de l’invincible conclusion qu’il prétend tirer devant ses lecteurs de cette confusion volontaire.
Version complétée par rapport aux Notitiæ ex tomo III publiées en fin janvier 2006.
Le fallacieux recours au rite du Patriarche Maronite afin de justifier artificiellement le nouveau rite épiscopal (Pontificalis Romani, 1968) La thèse de Dom Botte avalisée par Avrillé (« Sel de la terre » n° 54 et 56) disqualifiée
§ La valeur non sacramentelle de la prière dite de Clément dans le rite d’intronisation du Patriarche Maronite ou Syriaque catholique
§ La prière dite de Clément ne peut servir à justifier la validité de la prétendue Tradition apostolique faussement attribuée à Hippolyte de Rome
§ En novembre 2005 à Rome, le Patriarcat des Syriaques catholiques dément les affirmations d’Avrillé
§ L’exégèse du Pontifical de Charfet par Mgr Khouri-Sarkis (l’Orient Syrien -1963) dément la thèse d’Avrillé
§ Les textes de Denzinger (1864) et des auteurs cités (Assemanus - 1758, Renaudot - 1708) contredisent la thèse d’Avrillé
§ La thèse de doctorat du Vicaire Général de l'Archidiocèse maronite de Beyrouth (Joseph Merhej - 1975) disqualifie les articles du Père Pierre-Marie d’Avrillé
§ L’examen théologique (Cardinal Franzelin, 1875) condamne la méthode d’Avrillé et de Dom Botte, qui consiste à comparer sans distinction une forme essentielle latine et un extrait d’une forme intégrale orientale
§ La thèse fallacieuse du « Sel de la terre » (n°54 et 56) impliquerait la réitération des sacrements, sacrilège condamnée par Benoît XIV (1743)
§ L’incompétence historique et théologique d’Avrillé au secours d’un leurre historico-liturgique : la prétendue sacramentalité de la prière extraite du rite du Patriarche maronite
La Notitia III (De ordinatione Patriarchæ) de Rore Sanctifica a documenté (Dom de Smet[13], etc) que :
· si l’impétrant est évêque, la partie C remplace la partie A qui n’est pas dite.
· Ce qui veut dire que si l’impétrant est prêtre, la partie A est dite.
Fac-simile de l’article de Dom de Smet dans la revue du CNRS (1963) : voir le 2° : « A la place .. »
Cet usage d’un rituel à double fonction ne constitue aucunement une démonstration du caractère consécratoire de C, comme voudrait le faire croire le Père Pierre-Marie, mais bien au contraire, il montre bien que cette partie C est non-consécratoire car elle est utilisée, si l’impétrant est évêque, en lieu et place de A afin d’éviter la réitération du sacrement (ce qui serait un sacrilège).
Passant sous silence la double structure du texte d’« ordination », dont la prière A est commune à l’évêque métropolitain et au patriarche, le Père Pierre-Marie tire argument de l’usage sacramentel de l’ensemble du rituel, pour affirmer péremptoirement la valeur consécratoire de la partie C, alors même que Dom de Smet a bien expliqué que l’une « chasse l’autre » pour ne pas réitérer le sacrement sur un impétrant déjà évêque.
Par ce tour de passe-passe, le Père Pierre-Marie de Kergorlay écrit – consciemment, car il ne saurait plus l’ignorer aujourd’hui – comme s’il n’y avait qu’une seule partie (C) dans le « rite du Patriarche », retranscrit par Assemanus.
Cette dernière pseudo-« démonstration » superficielle et non argumentée du Père Pierre-Marie, qui ne peut être aujourd’hui que destinée à tromper ses lecteurs — constitue d’ailleurs une contradiction logique interne à Avrillé, car dans un précédent article, acculé devant les objections, il avait écrit que l’ordination du Patriarche « avait été consécratoire » dans le passé, ce qui est une aberration, car, ou bien une prière d’un Ordo est consécratoire, ou bien elle ne l’est pas, mais elle ne peut l’avoir été, et ne plus l’être le texte restant inchangé.
En outre le Pape Pie XII – ainsi que le CIRS l’a mis en ligne sur le site www.rore-sanctifica.org il y a déjà deux ans et demi[14], ce que le Père Pierre-Marie de Kergorlay ne saurait ignorer aujourd’hui – par son Motu proprio du 2 juin 1957 Cleri Sanctitati, a providentiellement promulgué, onze années et un jour avant la promulgation du nouveau rite conciliaire de consécration épiscopale par la CA Pontificalis Romani triplement mensongère de l’évêque apostat Montini-Paul VI, le Canon 235 du Droit Canon des Églises Orientales relatif au rite d’intronisation du Patriarche maronite, lequel Canon 235 déclare explicitement et infailliblement qu’au cas où l’impétrant patriarche ne serait pas évêque, il devrait être sacré évêque, AVANT que ne lui soit appliqué le rite d’intronisation du Patriarche maronite, rite que le Père Pierre-Marie de Kergorlay appelle « le rite d’ordination du Patriarche », en jouant sur le double sens du terme ‘ordination’, tantôt sacramentel, tantôt purement juridictionnel.
Citons ici la présentation le 07 mai 2007de ce texte par le CIRS :
« A contrario d’Avrillé (Sel de la terre, n°60), le fait objectif de l’énorme mensonge de Montini-Paul VI — Le Canon 235 promulgué par le Pape Pie XII en 1957 prouve que l’intronisation du Patriarche Maronite est non sacramentelle et contredit Avrillé .
Dans notre communiqué du 31 mars 2007, nous avons révélé que le canon 235 promulgué le 02 juin 1957 par la lettre apostolique Motu proprio Cleri Sanctitati du Pape Pie XII démontre que l’intronisation d’un Patriarche est purement juridictionnelle et nullement sacramentelle, puisque ce canon déclare qu’un élu au Patriarcat doit être au préalable sacré évêque. Par la suite, ce canon a été repris et confirmé sous le numéro 75 dans le droit canon promulgué par Wojtyla-Jean-Paul II.
Avec l’exhumation de ce texte peu connu du Pape Pie XII dans le monde latin, c’est toute la démonstration bâtie par les dominicains d’Avrillé en vue de soutenir la prétendue validité du nouveau rite de consécration épiscopale qui s’effondre.
En conclusion, le fait que la nouvelle forme épiscopale dont des bribes apparaissent (sans pour autant y comporter nulle hérésie onctionniste du fait de son absence de transitivité) dans le rite purement juridictionnel et nullement sacramentel d’intronisation du Patriarche Maronite contredit que cette forme soit en usage sacramentel en 1968 chez les Syriens occidentaux.
Le fait du mensonge de 1968 est désormais établi. Ce Mensonge est un fait objectif, désormais constatable par quiconque. Ce mensonge intervient 11 ans après la promulgation du canon 235 par le Pape Pie XII. Le mensonge est formel et précis. Il est incontestable, public et permanent. » CIRS, 07 mai 2007[15]
Bien entendu, depuis deux années et demi, ni le Père Pierre-Marie de Kergorlay, ni aucun autre Dominicain d’Avrillé, n’a répondu au texte infaillible de Pie XII (Lettre Apostolique Cleri Sanctitati du 02 juin 1957), ni ne l’a même simplement mentionné pour le faire connaître aux lecteurs de leur revue Le Sel de la Terre, ce qui est une éclatante démonstration de la prétendue « bonne foi » de ces clercs dévoyés, le texte du Canon 235 des Églises Orientales réduisant en effet infailliblement à néant l’échafaudage de leurs manipulations, omissions et sophismes si dangereux pour le salut éternel des fidèles.
De surcroît, et de manière tout à fait superfétatoire, si l’on admettait – ce qui est impossible – que le Père Pierre-Marie avait pu vraiment « démontrer » le caractère consécratoire de cette bénédiction C non sacramentelle mais qui confère seulement à l’impétrant le Pouvoir Juridictionnel NON SACRAMENTEL du Patriarche, il resterait encore au Père Pierre-Marie à répondre à toutes les autres objections, car le texte du nouveau rite Conciliaire n’est nullement[16] celui de la prière C, et le prétendu caractère consécratoire, selon le Père Pierre-Marie, de la prière C ne pourrait aucunement être transitivement reporté sur la construction intellectuelle de Dom Botte, qui procède en réalité d’un agrégat arbitraire de textes de sources et de langues multiples qu’il a unifiés dans une composition littéraire unique de 1963, et qu’il a fallacieusement présenté comme la prétendue « Tradition apostolique[17] » fallacieusement attribuée à Hippolyte de Rome.
Dom Bernard Botte, osb, le père du nouveau rite, dont le recours fallacieux et mensonger à la prière ‘C’ de l’intronisation du patriarche maronite est défendue mordicus par le Père Pierre-Marie depuis 4 ans
Le Père Pierre-Marie s’est totalement et définitivement discrédité depuis novembre 2005 en accusant à tort le Dr Coomaraswamy (ancien Professeur au séminaire de la FSSPX aux États-unis, mort le 19 juillet 2006) d’avoir commis une erreur grossière en confondant deux textes liturgiques maronites.
Il n’en est rien, et bien au contraire, c’est le dominicain d’Avrillé qui s’obstine à confondre (désormais volontairement pour tromper ses lecteurs) ces deux prières des rites maronites.
Le Dr Rama Coomaraswamy, toujours méticuleux, avait en effet entièrement raison dans l’exposé de son ouvrage « Le drame anglican du clergé conciliaire » :
Cette négation par le Père Pierre-Marie de l’évidence constatée par le Dr Coomaraswamy avait visiblement pour but de fourvoyer Mgr Tissier de Mallerais qui avait vu juste en 1998, ainsi qu’il l’écrivait lui-même au Père Pierre-Marie après avoir pris connaissance de l’étude publiée par le Dr Rama Coomaraswamy :
La source de toute évidence vaticane de ce petit fac-simile du texte d’Assemanus apparu en octobre 2009 dans l’article du n°70 du Sel de la Terre, précisément juste au moment où les « discussions doctrinales » de la FSSPX avec la Rome sans clergé valide allaient officiellement commencer (26 octobre), montre bien que les dominicains d’Avrillé ont été cornaqués dans cette affaire par des autorités modernistes « antichristes » vaticanes, ou par leur agents infiltrés au sein du couvent ou de la FSSPX.
Le préfet des archives secrètes du Vatican, ‘Mgr’ Sergio Pagano
Le Père Pierre-Marie (Avrillé) a visiblement été directement alimenté par un fac-similé des archives du Vatican moderniste pour produire son articulet sur ce soi-disant « scoop » d’Assemanus
L’effondrement intellectuel et moral des Dominicains d’Avrillé est consternant et révélateur de l’incompétence et de la mauvaise foi de ces clercs qui depuis 4 ans que dure l’exposé public de cette affaire, n’auront réussi qu’à devenir les caisses de résonance d’une bribe de codex manipulé par le Vatican moderniste.
Ces clercs — qui ne sauraient depuis plus trois ans ignorer ni la documentation mise en ligne, ni les réfutations et demonstrations théologiques publiques du CIRS du caractère erroné et sophistique de leurs écrits sur le sujet de la prétendue validité du nouveau rite Conciliaire de consécration épiscopale, mises en lignes sur le site www.rore-sanctifica.org — persistent de toute évidence dans leur volonté excécrable de contituer à tromper leurs fidèles et leurs lecteurs trop confiants, dans le but de mieux les jeter dans les bras de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI et de son faux clergé, désormais après plus de 40 années démuni — en particulier pour tous les pseudo-« évêques » conciliaires actuels, de la Potestas Ordinis ontologique du véritable Sacerdoce catholique — et donc aujourd’hui démuni de tout pouvoir Sacrificiel et Sacramentel catholiques, à l’instar du faux clergé Anglican
Ce nouvel articulet trompeur de deux pages du Père Pierre-Marie de Kergorlay dans cette dernière livraison n°70, automne 2009, du Sel de la Terre, n’en est en réalité que la dernière démonstration.
Ces clercs dévoyés portent désormais devant DIEU le poids terrifiant des âmes dont ils auront ainsi contribué – par leurs omissions, erreurs et sophismes véritablement volontaires, opiniâtres[18], et diaboliques sur ce sujet si vital – à la perte éternelle.
[1] cette prière consécratoire A, répond bien quant à elle aux deux critères de validité identifiés, et infailliblement exigés à peine d’invalidité du sacrement, par le Pape Pie XII (Constitution Apostolique Sacramentum Ordinis – 1947) : elle comporte bien en effet l’expression univoque de la potestas ordinis (episcopale) et l’expression univoque de la gratia ordinis (épiscopale).
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Le Père Pierre-Marie s’est ainsi placé de lui-même dans la situation de l’arroseur arrosé.
En réalité, comme le démontre notre analyse dans le support de présentation en diaporama que nous joignons à ce texte, la nouvelle pièce d’Assemanus, exhibée par le Sel de la terre, démontre que le rite d’« ordination » du patriarche maronite doit être interprété à l’inverse de ce qu’affirme le Père Pierre-Marie qui a basé sa, très courte et énigmatique, dernière prétendue « démonstration » de validité, sur l’ignorance qu’il suppose chez les lecteurs du Sel de la terre de la double structure interne du rituel de consécration des évêques et des patriarches chez les Syriens occidentaux.
Mais le Père Pierre-Marie et son supérieur, le Père Innocent-Marie, ignorent sans doute que nombre de clercs et de fidèles ont déjà pris connaissance depuis plus de trois ans de la Notitia III de Rore Sanctifica qui leur donne toute l’information nécessaire pour déjouer cette manipulation cléricale délétère à laquelle s’adonnent encore avec une opiniâtreté vraiment diabolique les deux dominicains d’Avrillé en octobre 2009.
Au sein de notre Comité, il est devenu évident que cette publication apporte la confirmation définitive que le Père Pierre-Marie et son supérieur qui le cautionne, se comportent comme si tout le travail de mise à plat de cette question réalisé par les nombreuses Notitiæ, l’ensemble des démonstrations logiques, des sources publiées, des recherches sur les rites orientaux, sur leur histoire, leur structure, les enseignements pontificaux sur le sujet, des articles des clercs érudits, des innombrables références accumulées n’existaient pas, ni non plus tous les FAITS constatables publiquement exposés depuis longtemps sur le site www.rore-sanctifica.org .
Ces deux dominicains continuent avec une obstination véritablement diabolique à publier et à vendre sur la question des sacres Conciliaires leur plaquette et leurs articles eronnés et mensongers, déjà factuellement amplement et publiquement réfutés, lesquels fourmillent d’erreurs, de sophismes et de manipulations, et ils s’obtinent même à diffuser encore sur le sujet des articulets sommaires et elliptiques, d’un amateurisme sidérant, espérant sans doute que leurs lecteurs soient les paresseux qu’ils espérent, toujours en attente d’affirmations péremptoires et simplistes, sans plus même désireux d’entrer dans la matière du sujet.
Le Père Pierre-Marie (Geoffroy de Kergorlay), et son confrère, le Père Innocent-Marie (Chassagne), se comportent ainsi comme des ignorants assumés qui voudraient apporter leur voix dans un débat universitaire dans lequel leur incompétence presque revendiquée, et leurs raisonnements biaisés et sophistiques, devenus à présent presque risibles, stigmatisent leur opiniâtreté dans l’erreur, et les discréditent désormais totalement.
Serait-ce bêtise ou mauvaise foi de la part du Père Pierre-Marie ?
La bêtise serait encore une excuse.
Mais, en réalité, ce religieux dominicain, le Pères Pierre Marie de Kergorlay, manifeste désormais avec évidence sa volonté obstinée de continuer à tromper les lecteurs et les fidèles, quitte à se coller la réputation d’une faiblesse intellectuelle certaine.
C’est là sans doute le prix qu’il s’estime prêt à devoir payer, pour s’obstiner à servir la cause perdue de l’impossible pseudo-« validité » sacramentelle du pseudo-clergé Conciliaire, qu’il s’obstine avec détermination et opiniâtreté à vouloir défendre servilement face aux clercs et fidèles de la FSSPX, précisément à l’occasion des soi-disant « discussions doctrinales » actuelles qui viennent de s’ouvrir entre la FSSPX et les autorités vaticanes modernistes, mondialistes antichrists.
Sous les ordres de qui ?
Comité international Rore Sanctifica
Références
bibliographiques sur le site du CIRS
www.rore-sanctifica.org
Notitia I : De Traditio Apostolica
Notitia II : De Analogia
Rore Sanctifica : Canon 235 des Églises Orientales (Catholiques)
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-05-07_Canon_235.pdf
Rore Sanctifica : Faits publics et constatables de l’invalidité du nouveau rite
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-10-01_Faits_Nouveaux.pdf
Rore Sanctifica : L’intention anti-catholique de Bugnini pour la ‘confection’ du nouveau rite de consécration épiscopale (1968)
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-05-03_Intention-Bugnini.pdf
Rore Sanctifica : L'énorme mensonge de Montini-Paul VI dans sa "Constitution Apostolique" mensongère Pontificalis Romani du 18 juin 1968.
Notitia III - De Ordinotione Patriarchæ
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-06-13-FR_Rore_Sanctifica_III-Notitiae_3-Sacramentalite_des_rites_orientaux.pdf
Notitia IV - De Spiritu principali
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-08-05-FR_Rore_Sanctifica_III_Notitia_4_Les_Significations_heterodoxes_de_la_Forme_de_Montini_PaulVI_A.pdf
Notitia V - De Occultatione
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-05-11-FR_III-Notitiae_5-Histoire_Pontificalis_Romani_dans_la_FSSPX.pdf
Notitia VI - De Erratis
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-07-15-FR_Rore_Sanctifica_III_Notitia_6_Refutation_brochure_Pierre_Marie_A.pdf
Rore Sanctifica : De Ritu Coptorum
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-04-26-FR-De_Ritus_Coptorum.pdf
Notitia VII - De Ecclesiis Orientalibus
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-03-05-FR-Notitia_De_Ecclesiis_orientalibus.pdf
Abbé Anthony Cekada : « Absolument nul et entièrement vain » (25 mars 2006)
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-04-26-FR-Cekada-Absolument_nul_et_entierement_vain.pdf
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-06-06-FR-Cekada-resume-officiel_2_pages.pdf
Abbé Anthony Cekada : « Toujours nul et toujours vain », réponses aux objections
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE-2007-01-27-FR_AbbeCEKADAToujoursNul-ReponsesAuxObjectionsJanv2007FRANCAIS1.pdf
Abbé Anthony Cekada : « Réfutation de l'article de l’abbé Célier (FSSPX) paru dans «Fideliter», n°177»
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-05-01_Abbe_Cekada_replique_a_Celier.pdf
Rore Sanctifica : Réfutation de l'«implicitisme» sacramentel, sophisme inventé par Ansgar Santogrossi, o.s.b.
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-08-20-FR_Rore_Sanctifica_Refutation_de_Santogrossi.pdf
Rore Sanctifica : Réfutation de l'article de l’abbé Calderon (FSSPX) paru dans le Sel de la terre, n°58
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE-2007-04-24-FR_Refutation_de_l_abbe_Calderon.pdf
Rore Sanctifica : Réplique à l'abbé Celier (FSSPX) suite à son articulet de Fideliter (n°177 - mai-juin 2007)
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-05-02_Replique_a_Abbe_Celier.pdf
Rore Sanctifica : Réponse au Sel de la terre n°60 (fin avril 2007) - Un appel catholique du CIRS aux Dominicains d’Avrillé
http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-05-17_SdT_60.pdf
Fin du communiqué du 21 novembre 2009 du Comité international Rore Sanctifica
Ce communiqué peut être téléchargé depuis le site http://www.rore-sanctifica.org
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[3] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2009/RORE_Communique-2009-11-21_Refutation_SdT_n70_DIAPORAMA.pdf
[4] Lettre Apostolique Motu proprio Cleri Sanctitati du 02 juin 1957, promulguant le Canon 235 du Code de
Droit Canon des Églises Orientales (rattachées à Rome), cf RORE-SANCTIFICA
31 mars 2007 : http://www.rore-sanctifica.org/bibilotheque_rore_sanctifica/01-publications_de_rore_sanctifica/rore_sanctifica-communiques/communique_(2007-04)-avril/RORE_Communique-2007-03-31-Le_Canon_75_des_Orientaux_2.pdf
Et le 07 mai 2007 : http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-05-07_Canon_235.pdf
[5] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2009/RORE_Communique-2009-11-21_Refutation_SdT_n70_DIAPORAMA.pdf
[7] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-01-27_Abbe_Cekada_refute_Calderon.pdf
[8] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2009/RORE_Communique-2009-11-21_Refutation_SdT_n70_DIAPORAMA.pdf
[10] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-06-13-FR_Rore_Sanctifica_III-Notitiae_3-Sacramentalite_des_rites_orientaux.pdf
[11] Cf. http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-06-13-FR_Rore_Sanctifica_III-Notitiae_3-Sacramentalite_des_rites_orientaux.pdf
[12] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2006/RORE-2006-06-13-FR_Rore_Sanctifica_III-Notitiae_3-Sacramentalite_des_rites_orientaux.pdf
[13] http://www.rore-sanctifica.org/bibilotheque_rore_sanctifica/10-eglises_et_rites_orientaux_et_sources/eglise_syriaque_catholique/1963-dom_de_smet-rituel_pontifical_syriaque_catholique/ORIENTSYRIEN1963SACREdesEvequesetPatriarche(2-2)deSMET-a.pdf
[14] 31 mars 2007 : http://www.rore-sanctifica.org/bibilotheque_rore_sanctifica/01-publications_de_rore_sanctifica/rore_sanctifica-communiques/communique_(2007-04)-avril/RORE_Communique-2007-03-31-Le_Canon_75_des_Orientaux_2.pdf
Et le 07 mai 2007 : http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE_Communique-2007-05-07_Canon_235.pdf
[16] http://www.rore-sanctifica.org/etudes/2007/RORE-2007-05-10-FR_Rore_Sanctifica_III_Notitia_2_Montage_Avrille.pdf