CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX
http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf
Qui et
Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à
la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome
conciliaire |
Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ? |
Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968? |
A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ? |
Serait-ce
donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on
veuille désormais faire dire la messe du |
Serait-ce que l’on
veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec
un clergé aussi INVALIDE que le |
Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)
vendredi 5 mars 2010
Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.
Milgram-Fellay : les abbés de la FSSPX intimés d’obéir à des supérieurs qui appliquent la politique de ralliement à Ratzinger-Benoît XVI, préconisée[1] par la Grande Loge de France
L’expérience de Milgram (Université Yale)
Mise en scène méticuleusement dans le film « I comme Icare » avec la participation d’Yves Montand
« J’obéis
à une autorité lorsque je respecte cette autorité et que je l’accepte. C’est
tout » Témoignage d’un cobaye volontaire qui vient d’administrer
gratuitement 450 volts à un de ses congénères,
« au nom de l’obéissance », dans le cadre de
l’expérience de Milgram.
Décryptage
de l’instrumentalisation de l’obéissance servile par Mgr Fellay
et l’abbé de Cacqueray,
pour servir la politique de ralliement dictée par la Loge1.
« Obéissez ! » :
c’est par cet ordre que l’abbé de Cacqueray impose aux abbés de la FSSPX une soumission servile (servilité que la Sainte Église a toujours, avec le Grand Saint Thomas lui-même - stigmatisée pour être peccamineuse et abominable) à Mgr Fellay qui applique lui-même la politique de ralliement à l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI recommandée et soutenue1 par la Grande Loge de France.
Comment fonctionne l’obéissance à une autorité ?
Jusqu’où peut aller l’obéissance à des ordres imbéciles et iniques, voire criminels ?
Il s’agit désormais du problème principal auquel sont confrontés 500 abbés de la FSSPX, sans même parler des frères, des sœurs de la FSSPX, et des clercs des communautés amies.
Une petite camarilla de clercs infiltrés à pris, depuis la mort inopinée le 25 mars 1991 de Mgr Lefebvre, son fondateur, le contrôle total de la Direction de la FSSPX, de ses médias, de son patrimoine immobilier, et, par un jeu méthodique de duplicité et de subversion cléricale subtile, mène l’œuvre de Mgr Lefebvre là où elle ne voudrait pas, là où elle ne devrait pas, aller : sous le contrôle de l’église Conciliaire « œcuménique » maçonnique et de la Rome apostate de l’abbé Ratzinger-Benoît XVI.
Les nombreux dossiers factuels et documentés publiés d’abord par le site CSI, puis par Virgo-Maria, et par Résistance catholique, et d’autres publications encore, ont désormais publié les points de repère factuels et bien quadrillé publiquement de l’histoire de cette dérive mortelle pour l’œuvre de Mgr Lefebvre, en explicitant les méthodes et en démasquant les hommes de cette infiltration de la FSSPX.
Les faits sont désormais largement connus.
La dernière étude de grande portée a été fournie par le dossier VM sur Avrillé et le Père Pierre-Marie o.p. (Geoffroy) de Kergorlay. Le couvent d’Avrillé est tout autant verrouillé par le binôme infernal Innocent-Marie/Pierre-Marie que la tête de la FSSPX à Menzingen et à Suresnes.
Il reste maintenant à comprendre comment 500 clercs, fidèles à Mgr Lefebvre, qui ont choisi de recevoir le Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide au sein de la FSSPX et au séminaire d’Écône, ont pu devenir si rapidement les sujets dociles et muets de toutes les étapes du « processus de tromperie », imaginé par le Vatican moderniste maçonnisé et opiniâtrement mis en œuvre depuis 2005 par Mgr Fellay, jusqu’à finir par se livrer, sous les applaudissements1 de la Grande Loge de France, à de grotesques soi-disant « négociations doctrinales » avec les apostats « œcuméniques » romains, collaborateurs maçonnisés de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.
Comment une telle situation a-t-elle pu s’établir ?
Comment 500 abbés ont-ils pu accepter de se faire les relais de la farce sacrilège, insultante pour la très Sainte Vierge Marie, de la prétendue « 3° croisade du Rosaire », aux « effets miraculeux » pré-programmés par les R+C du Vatican, qui pré-positionne Mgr Fellay comme le Saint Jean Baptiste du « bon pape » Benoît XVI qui va prétendument « consacrer » enfin la Russie au Cœur Immaculé de Marie à Fatima[2] le 13 mai 2010, pour mieux tromper les rares clercs et fidèles qui osent encore résister ouvertement à son imposture et à ses apostasies formelles, publiques et répétées[3] ?
Comment ces centaines d’abbés ont-ils pu se préparer à adhérer à l’imposture d’un Fellay-Maîtreya que de proches évènements géopolitiques pourraient monter en épingle, et permettre de mystifier ainsi les fidèles de la FSSPX :
Quoiqu’il en soit, nous sommes à la veille d’une accélération des évènements et des mystifications de masse, plannifiées par les loges anglicano-Rose+Croix.
Et la FSSPX, trahie par Mgr Fellay, sera l’une des cibles centrales et l’un des enjeux religieux de ces manipulations.
Beaucoup d’abbés commencent seulement maintenant à le comprendre en commençant enfin à ouvrir les yeux.
C’est devant cette prise de conscience que l’abbé de Cacqueray et Mgr Fellay cherchent – dans une volonté crispée d’exiger des clercs et fidèles de la FSSPX une obéissance de plus en plus servile à leurs ordres et félonies – une planche de salut, pour préserver leur place et leur politique de trahison, en tentant d’étouffer une contestation interne croissante, qui pourrait bientôt devenir irrésistible, susceptible de déboucher rapidement sur leur éviction salutaire et finale de la FSSPX.
Nous présentons ici les résultats d’une analyse scientifique sur les mécanismes psychologiques de l’obéissance servile à une autorité apparente.
Il s’agit en l’occurrence de la célèbre « expérience de Milgram[4] ».sur les mécanismes de l’« obéissance » en psychologie sociale.
Elle a été parfaitement mise en scène dans le film « I comme Icare »[5], avec la participation d’Yves Montand, en étonnant les spectateurs qui s’en souviennent encore.
Nous vous invitons à regarder cette vidéo de la scène qui reconstitue l’expérience. Elle est remarquablement bien jouée et s’avère très pédagogique :
http://www.dailymotion.com/video/x5ekn1_experience-de-milgram_tech
Vidéo à voir attentivement, tant elle est précise dans sa mise en scène de l’expérience de Milgram
Elle montre que 62,5 % des participants de cette expérience vont jusqu’au bout de l’application d’ordres imbéciles, au nom du respect de l’autorité. Un tel résultat d’expérience appliqué à la FSSPX (en dehors de tout sursaut d’insoumission d’ordre surnaturel), cela signifie que 312 abbés (sur 500) seraient disposés à apostasier, au nom de l’obéissance servile à Mgr Fellay.
L’obéissance servile, imbécile et anti-chrétienne exigée désormais par l’abbé de Cacqueray de la part des clercs, participe à cette soumission mécanique et criminelle que documente scientifiquement cette célèbre expérience de Milgram.
Nous avons appris qu’après ses questions cinglants à Mgr Fellay pour le forcer à sortir de l’ambiguïté, le Père Jean, mis au cachot à Morgon, a été tenu au téléphone pendant plus de trois heures par un abbé de Cacqueray tenaillé par la peur et exigeant, depuis Suresnes, l’obéissance aveugle du Père Jean, au nom de Dieu, et de ses vœux d’obéissance. Alors que c’est bien au nom de Dieu que cette abominable camarilla de clercs infiltrés devrait être chassée ignominieusement de la FSSPX.
L’obéissance servile à l’autorité criminelle que met en évidence l’expérience de Milgram, est renforcée dans le milieu clérical, par l’instrumentalisation à son profit de la vertu d’obéissance et des solennels vœux religieux d’« obéissance » qu’invoque impudemment l’autorité qui prévarique à l’appui de ses propres infâmies.
C’est bien ainsi qu’agissent Mgr Fellay et l’abbé de Cacqueray depuis qu’ils travaillent opiniâtrement à ruiner l’œuvre sacerdotale de préservation du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide fondée par Mgr Lefebvre, sous les applaudissements1 de la Grande Loge de France.
L’archétype de cette fausse invocation de l’« obéissance » a été donnée dans les Saintes Écritures, par le Sanhédrin de Jérusalem qui, tout en étant initialement légitime, a épouvantablement prévariqué en faisant d’abord mourir le Messie par le bras séculier romain, puis en persécutant cruellement les disciples du Fils de Dieu, « Lumière pour éclairer les Nations et gloire d’Israël Son peuple ».
L’archétype de la réponse à ce détournement diabolique de la vertu d’obéissance a été apporté par les Actes des Apôtres, où Saint Pierre, face aux dignitaires de la synagogue acharnés à sa condamnation et à sa perte, leur jette : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes »
Ac 5:27- Les ayant donc amenés, ils les firent comparaître devant le Sanhédrin. Le grand prêtre les interrogea :
Ac 5:28- " Nous vous avions formellement interdit d'enseigner en ce nom-là. Or voici que vous avez rempli Jérusalem de votre doctrine ! Vous voulez ainsi faire retomber sur nous le sang de cet homme-là ! "
Ac 5:29- Pierre répondit alors, avec les apôtres : " Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes.
Ac 5:30- Le Dieu de nos pères a ressuscité ce Jésus que vous, vous aviez fait mourir en le suspendant au gibet.
Ac 5:31- C'est lui que Dieu a exalté par sa droite, le faisant Chef et Sauveur, afin d'accorder par lui à Israël la repentance et la rémission des péchés.
Ac 5:32- Nous sommes témoins de ces choses, nous et l'Esprit Saint que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent. "
Ac 5:33- En entendant cela, ils frémissaient de rage et projetaient de les faire mourir.
Or, face au tandem Fellay-Cacqueray des prévaricateurs actuels de la Fraternité Saint-Pie X, c’est justement une juste conception catholique de l’obéissance à Dieu, qui devrait non seulement libérer les abbés de leur soumission à ces fausses autorités, mais même leur intimer le devoir de chasser ces prévaricateurs et de rétablir une autorité soumise à Dieu plutôt qu’aux Logesù et aux séides de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.
Continuons le bon combat
La Rédaction de Virgo-Maria
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Pour les expériences de Milgram sur le « petit monde », voir Expériences menées par Milgram
L'expérience de Milgram est une expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram. Cette expérience cherchait à évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité; notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.
Les résultats ont suscité beaucoup de commentaires dans l’opinion publique, mais la méthode utilisée a fait naître critiques et controverses chez les psychologues et les philosophes des sciences.
Sommaire
· 1 Déroulement de l'expérience o 4.1 Rôle de l’obéissance dans la société o 4.2 Processus de l'obéissance chez l’individu o 6.2 L’expérience de Milgram comme topos |
Fac-similé de l'annonce
L'objectif réel de l'expérience est de mesurer le niveau d'obéissance à un ordre même contraire à la morale de celui qui l'exécute. Des sujets acceptent de participer, sous l'autorité d'une personne supposée compétente, à une expérience d'apprentissage où il leur sera demandé d'appliquer des traitements cruels (décharges électriques) à des tiers sans autre raison que de « vérifier les capacités d'apprentissage ».
L'université Yale à New Haven faisait paraître des annonces dans un journal local pour recruter les sujets d'une expérience sur l'apprentissage. La participation devait durer une heure et était rémunérée 4 dollars américains, plus 0,5 $ pour les frais de déplacement, ce qui représentait à l'époque une bonne affaire (le revenu hebdomadaire moyen en 1960 étant de25 $)[réf. nécessaire]. L'expérience était présentée comme l'étude scientifique de l'efficacité de la punition (ici, par des décharges électriques) sur la mémorisation.
La majorité des variantes de l'expérience ont eu lieu dans les locaux de l'université Yale. Les participants étaient des hommes de 20 à 50 ans de tous milieux et de différents niveaux d'éducation.
La majorité des variantes comporte trois personnages :
§ l’élève (learner), qui devra s'efforcer de mémoriser des listes de mots et recevra une décharge électrique, de plus en plus forte, en cas d'erreur ;
§ l'enseignant (teacher), qui dicte les mots à l'élève et vérifie les réponses. En cas d'erreur, il enverra une décharge électrique destinée à faire souffrir l'élève ;
§ l’expérimentateur (experimenter), représentant officiel de l'autorité, vêtu de la blouse grise du technicien, de maintien ferme et sûr de lui a 1.
L'expérimentateur et l'élève sont en réalité des comédiens, et les chocs électriques fictifs.
Dans le cadre de l'expérience simulée (apprentissage par la punition), apprenant et enseignant sont tous deux désignés comme « sujet » (subject). Dans le cadre de l'expérience réelle (niveau d'obéissance, soumission à l'autorité), seul l'enseignant sera désigné comme sujet.
Au début de l'expérience simulée le futur enseignant est présenté à l'expérimentateur et au futur apprenant, on lui décrit les conditions de cette expérience, on l'informe qu'après tirage au sort il sera l'apprenant ou l'enseignant, puis on le soumet à un léger choc électrique (réel celui-là) de45 volts pour lui montrer un échantillon de ce qu'il va infliger à son élève et pour renforcer sa confiance sur la véracité de l'expérience. Une fois qu'il a accepté le protocole un tirage au sort truqué est fait, qui le désigne systématiquement comme enseignant.
L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. La majorité des participants continuent à infliger les chocs jusqu'au maximum prévu (450V) en dépit des plaintes de l'acteur.
L'apprenant est ensuite placé dans une pièce distincte, séparée par une fine cloison, et attaché sur une chaise électrique. Le sujet cherche à lui faire mémoriser des listes de mots et l'interroge sur celles-ci. Il est installé devant un pupitre où une rangée de manettes est censée envoyer des décharges électriques à l'apprenant. En cas d'erreur, le sujet enclenche une nouvelle manette et croit qu'ainsi l'apprenant reçoit un choc électrique de puissance croissante (15 volts supplémentaires à chaque décharge). Le sujet est prié d'annoncer la tension correspondante avant de l'appliquer.
Les réactions aux chocs sont simulées par l'apprenant. Sa souffrance apparente évolue au cours de la séance : à partir de 75 V il gémit, à 120 V il se plaint à l'expérimentateur qu'il souffre, à135 V il hurle, à 150 V il supplie qu'on le libère, à 270 V il lance un cri violent, à 300 V il annonce qu'il ne répondra plus. Lorsque l'apprenant ne répond plus, l'expérimentateur indique qu'une absence de réponse est considérée comme une erreur. Au stade de 150 volts, la majorité des sujets manifestent des doutes et interrogent l'expérimentateur qui est à leur côté. Celui-ci est chargé de les rassurer en leur affirmant qu'ils ne seront pas tenus pour responsables des conséquences. Si un sujet hésite, l'expérimentateur lui demande d'agir. Si un sujet exprime le désir d'arrêter l'expérience, l'expérimentateur lui adresse, dans l'ordre, ces réponses a 2:
1. « Veuillez continuer s'il vous plaît. »
2. « L'expérience exige que vous continuiez. »
3. « Il est absolument indispensable que vous continuiez. »
4. « Vous n'avez pas le choix, vous devez continuer. »
Si le sujet souhaite toujours s'arrêter après ces quatre interventions, l'expérience est interrompue. Sinon, elle prend fin quand le sujet a administré trois décharges maximales (450 volts) à l'aide des manettes intitulées XXX situées après celles faisant mention deAttention, choc dangereux.
À l'issue de chaque expérience, un questionnaire et un entretien avec le sujet permettaient de recueillir ses sentiments et d'écouter les explications qu'il donnait de son comportement. Cet entretien visait aussi à le réconforter en lui affirmant qu'aucune décharge électrique n'avait été appliquée, en le réconciliant avec l'apprenant et en lui disant que son comportement n'avait rien de sadique et était tout à fait normal a 3.
Un an après l'expérience, il recevait un nouveau questionnaire sur son impression au sujet de l'expérience, ainsi qu'un compte rendu détaillé des résultats de cette expérience a 4.
Article détaillé : Variantes de l'expérience de Milgram.
Au total, dix-neuf variantes a 5 de l'expérience avec 636 sujets furent réalisées, permettant ainsi en modifiant la situation, de définir les véritables éléments poussant une personne à obéir à une autorité qu'elle respecte et à maintenir cette obéissance.
Ces variantes modifient des paramètres comme la distance séparant le sujet de l'élève, celle entre le sujet et l'expérimentateur, la cohérence de la hiérarchie ou la présence de deux expérimentateurs donnant des ordres contradictoires ou encore l'intégration du sujet au sein d'un groupe qui refuse d'obéir à l'expérimentateur.
La plupart des variantes permettent de constater un pourcentage d'obéissance maximum proche de 65%. À noter qu'il peut exister des conditions extrêmes. Ainsi nous pouvons voir apparaître un comportement de soumission à l'autorité de près de 92% (chocs administrés par un tiers), ou au contraire basse (proximité du compère recevant les chocs), ou encore une soumission nulle (décrédibilité de l'autorité).
Voici un tableau synthétique de ces variantes classées par types, et leurs résultats :
Variante |
Sujets |
Choc maximal |
Choc maximal (450 V) |
||
Type |
Variation |
Sujets |
Pourcentage |
||
Proximité de l'élève a 6 |
Rétroaction à distance (variante de base) |
40 |
450 V |
26 |
65 % |
Rétroaction vocale |
40 |
367,95 V |
25 |
62,5 % |
|
Proximité |
40 |
312 V |
16 |
40 % |
|
Contact |
40 |
268,2 V |
12 |
30 % |
|
Importance |
Nouvel environnement |
40 |
368,25 V |
26 |
65 % |
Changement de personnel |
40 |
333 V |
20 |
50 % |
|
Absence de l'expérimentateur |
40 |
272,25 V |
8 |
20 % |
|
Immeuble de bureaux à Bridgeport |
40 |
314,25 V |
19 |
47,5 % |
|
Sujets féminins a 8 |
Rétroaction à distance |
40 |
370,95 V |
26 |
65 % |
Rôle du groupe a 9 |
Deux pairs se rebellent |
40 |
370,95 V |
4 |
10 % |
Un pair administre les chocs |
40 |
399,75 V |
37 |
92,5 % |
|
Limitations
de l'élève |
Conditions préalables à la participation |
40 |
321 V |
16 |
40 % |
Le sujet choisit le niveau de choc |
40 |
82,5 V |
1 |
2,5 %1 |
|
Changement de statut a 11 |
L'élève demande à recevoir les chocs |
20 |
150 V |
0 |
0 % |
Un individu ordinaire donne les ordres |
20 |
243,75 V |
4 |
20 % |
|
Le sujet est spectateur |
16 |
373,5 V |
112 |
68,75 %2 |
|
L'autorité dans le rôle de la victime |
20 |
150 V |
0 |
0 % |
|
Troubles
au sein |
Deux autorités, ordres contradictoires |
20 |
150 V |
0 |
0 % |
Deux autorités, une dans le rôle de la victime |
20 |
352.5 V |
13 |
65 % |
|
1. Le
pourcentage de sujet administrant le choc maximal ne doit pas être interprété
comme une mesure de l'obéissance puisque le sujet est libre de fixer le
niveau de choc. |
Lors des premières expériences menées par Stanley Milgram, 62,5% (25 sur 40) des sujets menèrent l'expérience à terme en infligeant à trois reprises les électrochocs de 450 volts. Tous les participants acceptèrent le principe annoncé et, éventuellement après encouragement, atteignirent les 135 volts. La moyenne des chocs maximaux (niveaux auxquels s'arrêtèrent les sujets) fut de 360 volts. Toutefois, chaque participant s'était à un moment ou à un autre interrompu pour questionner le professeur. Beaucoup présentaient des signes patents de nervosité extrême et de réticence lors des derniers stades (protestations verbales, rires nerveux, etc.).
Milgram a qualifié à l'époque ces résultats « d’inattendus et inquiétants ». Des enquêtes préalables menées auprès de 39 médecins-psychiatres avaient établi une prévision d'un taux de sujets envoyant 450 volts de l'ordre de 1 pour 1000 avec une tendance maximale avoisinant les150 volts1
En plus des nombreuses variantes expérimentales qui permettent de mettre en valeur des facteurs de la soumission, Stanley Milgram propose dans son livre paru en 1974 une analyse détaillée du phénomène. Il se place dans un cadre évolutionniste et conjecture que l'obéissance est un comportement inhérent à la vie en société et que l'intégration d'un individu dans une hiérarchie implique que son propre fonctionnement en soit modifié : l'être humain passe alors du mode autonome au mode systématique où il devient l'agent de l'autorité. À partir de ce modèle, il recherche les facteurs intervenant à chacun des trois stades :
1. Les conditions préalables de l'obéissance : elles vont de la famille (l'éducation repose sur une autorité dans la famille) à l'idéologie dominante (la conviction que la cause est juste, c'est-à-dire ici la légitimité de l'expérimentation scientifique).
2. L'état d'obéissance (ou état agentique) : les manifestations les plus importantes sont la syntonisation (réceptivité augmentée face à l'autorité et diminuée pour toute manifestation extérieure) et la perte du sens de la responsabilité. Il constate aussi une redéfinition de la situation en ce sens que l'individu soumis « est enclin à accepter les définitions de l'action fournies par l'autorité légitime ».
3. Les causes maintenant en obéissance : le phénomène le plus intéressant parmi ceux relevés est l'anxiété, qui joue le rôle de soupape de sécurité ; elle permet à l'individu de se prouver à lui-même par des manifestations émotionnelles qu'il est en désaccord avec l'ordre exécuté.
A contrario, Stanley Milgram s'oppose fortement aux interprétations qui voudraient expliquer les résultats expérimentaux par l'agressivité interne des sujets. Une variante met d'ailleurs en évidence cela, où le sujet était libre de définir le niveau d'intensité. Ici, seule une personne sur les quarante a utilisé le niveau maximal.
Il propose également une série d'arguments factuels pour réfuter les trois critiques qui lui sont le plus souvent adressées : la non-représentativité de ses sujets, leur conviction en ce protocole expérimental, et l'impossibilité de généraliser l'expérience à des situations réelles.
L'obéissance à une autorité et l'intégration de l'individu au sein d'une hiérarchie est l'un des fondements de toute société. Cette obéissance à des règles, et par voie de conséquence à une autorité, permet aux individus de vivre ensemble et empêche que leurs besoins et désirs entrent en conflit et mettent à mal la structure de la société.
Partant de cela, Stanley Milgram ne considère pas l'obéissance comme un mal. Là où l'obéissance devient dangereuse, c'est lorsqu'elle entre en conflit avec la conscience de l'individu. Pour résumer, ce qui est dangereux, c'est l'obéissance aveugle.
Un autre moteur de l'obéissance est le conformisme. Lorsque l'individu obéit à une autorité, il est conscient de réaliser les désirs de l'autorité. Avec le conformisme, l'individu est persuadé que ses motivations lui sont propres et qu'il n'imite pas le comportement du groupe. Ce mimétisme est une façon pour l'individu de ne pas se démarquer du groupe.
Le conformisme a été mis en évidence par le psychosociologue Solomon Asch dans une expérience qu'il réalisa dans les années 1950.
Les variantes avec plusieurs pairs ont montré que si l'obéissance entre en conflit avec la conscience de l'individu et que le conformisme « impose » à l'individu de ne pas obéir, il se range souvent du côté du groupe. Ainsi, si l'on veut s'assurer de l'obéissance aveugle d'un groupe, il faut faire en sorte que la majorité de ses membres adhère aux buts de l'autorité.
L'Homme est un être social, mais cela ne l'empêche pas d'avoir une certaine autonomie. Lorsqu'il est autonome, l'Homme obéit à ses propres besoins, désirs et à sa conscience.
Lorsque l'individu obéit, il délègue sa responsabilité à l'autorité et passe dans l'état que Stanley Milgram appelle agentique. L'individu n'est plus autonome, c'est un « agent exécutif d'une volonté étrangère » a 13.
Milgram expliquera aussi par la suite que le comportement de la plupart des Allemands (et collaborateurs) sous l'Allemagne nazie étaient assimilables à ceux de cette expérience. En effet, ils suivaient les ordres d'une autorité qu'ils respectaient et étaient un des multiples « maillons » de la chaîne de la déportation des juifs. Un conducteur de train était ainsi « déresponsabilisé » de son travail, tout comme le gardien du camp, etc. et pouvait ainsi attribuer la responsabilité de ses actes à une autorité supérieure.
Le maintien de l'individu dans un état agentique dure aussi longtemps que s'exerce le pouvoir de l'autorité et qu'elle n'entre pas en conflit avec le comportement du groupe (le conformisme) et un certain niveau de tension ou anxiété.
La tension que ressent l'individu qui obéit est le signe de sa désapprobation à un ordre de l'autorité. L'individu fait tout pour baisser ce niveau de tension, le plus radical serait la désobéissance, mais le fait qu'il ait accepté de se soumettre l'oblige à continuer à obéir. Il fait donc tout pour faire baisser cette tension, sans désobéir. Dans l'expérience de Milgram, des sujets émettent des ricanements, désapprouvent à haute voix les ordres de l'expérimentateur, évitent de regarder l'élève, l'aident en insistant sur la bonne réponse ou encore lorsque l'expérimentateur n'est pas là ils ne donnent pas la décharge convenable exigée. Toutes ces actions visent à faire baisser le niveau de tension. Mais lorsqu'il n'est plus possible de la faire diminuer avec ces subterfuges, le sujet désobéit purement et simplement.
Dans son livre, Stanley Milgram ne cherche pas à couper sa démarche scientifique de la société contemporaine. Sans pour autant mélanger les genres, il fait fréquemment référence tant aux situations d'obéissance de la vie quotidienne qu'aux grands événements. La Seconde Guerre mondiale et en particulier la Shoah ont ainsi joué un grand rôle dans le choix de Stanley Milgram de s'intéresser à l'obéissance. Il mentionne souvent le procès d'Adolf Eichmann. Il soutient la journaliste et philosophe Hannah Arendt qui, dans des reportages controversés, vit en ce criminel de guerre plus un bureaucrate qu'un cruel antisémite. L'épilogue de son livre Soumission à l'autorité est pour une bonne part consacré à la guerre du Vietnam et au massacre de My Lai.
Il insiste sur le fait que les situations d'autorité des régimes fascistes ne sont pas absentes de nos sociétés occidentales :
« Les exigences de l'autorité promue par la voie démocratique peuvent elles aussi entrer en conflit avec la conscience. L'immigration et l'esclavage de millions de Noirs, l'extermination des Indiens d'Amérique, l'internement des citoyens américains d'origine japonaise, l'utilisation du napalm contre les populations civiles du Viêt Nam représentent autant de politiques impitoyables qui ont été conçues par les autorités d'un pays démocratique et exécutées par l'ensemble de la nation avec la soumission escomptée. »
Il finit d'ailleurs son livre en faisant sienne une citation de Harold Laski :
« … la civilisation est caractérisée, avant tout, par la volonté de ne pas faire souffrir gratuitement nos semblables. Selon les termes de cette définition, ceux d'entre nous qui se soumettent aveuglément aux exigences de l'autorité ne peuvent prétendre au statut d'hommes civilisés. »
Des reproductions de l'expérience à travers le monde (en Italie, Jordanie, Allemagne de l'Ouest, Afrique du Sud, Autriche, Espagne et Australie) et à différentes époques (de 1967 à 1985) ont validé les résultats obtenus par Milgram 2.
Plus récemment, en 2006 ABC News a reproduit l'expérience de Milgram et obtient des résultats similaires (65% des hommes et 73% des femmes ont suivi les instructions jusqu'au bout) 3,4.
En 2008 Jerry Burger de l'Université de Santa Clara aux États-Unis a reproduit l'expérience en obtenant un taux de 70 % d'obéissance et ces personnes étaient prêtes à aller au-delà de la limite de 150 V si l'expérimentateur le désirait 5.
France Télévisions produit en 2009 le documentaire Zone Xtrême mettant en scène un faux jeu télévisé reproduisant l'expérience de Milgram. La différence notable est que l'autorité scientifique représentée par le technicien en blouse grise est remplacée par une présentatrice de télévision,Tania Young. L'autorité n'est plus la science, mais la télévision. Bien que les participants étaient informés qu'aucune somme d'argent n'était à gagner, l'autorité du contexte télévisuel et de l'animatrice amène les participants à se soumettre. Selon les premières estimations le taux d'obéissance est de 80 %, supérieur au 62,5 % en rétroaction vocale de l'expérience originale. Le producteur de l'émission 6, Christophe Nick, présente son documentaire comme une critique de la télé réalité. Pour sa part la directrice des magazines et documentaires de France 2, Patricia Boutinard-Rouelle déclare que la chaîne a « toujours refusé la télé-réalité, mais là, c’est intéressant de tester les limites d’un genre, de jouer avec cet outil » 7. Jean-Léon Beauvois a assuré la direction scientifique de l'émission et vient de publier un article sur cette expérience de téléréalite8 qui en analyse les résultats et les replace dans le contexte social.
La différence du taux d'obéissance à une autorité légitime entre les hommes et les femmes a également été étudiée et il n'a pas été remarqué de différence significative 2. Par contre lors d'une expérience en 1974 en Australie où l'élève était une femme et l'enseignant un homme, le taux d'obéissance est descendu à 28 % 5.
Milgram le disait lui-même, la première critique de son expérience concernait la validité de ses résultats et leur portabilité à des situations réelles ; la reproduction de l'expérience dans d'autres pays avec des résultats très proches et la production d'expériences du même ordre, comme l'expérience de Stanford, qui montraient la facilité avec laquelle une majorité de personnes assume la fonction de « tortionnaire légal » (et légitime), invalidèrent cette première critique.
Mais la principale critique de l'expérience, qui vient pour l'essentiel des milieux universitaires d'Amérique du Nord (États-Unis et Canada), est beaucoup plus consistante : celle de l'acceptabilité à la fois morale et scientifique du protocole mis en place. Dans les deux cas, la critique est d'ordre déontologique et éthique.
L'expérience de Milgram participe de questions que l'on se pose beaucoup dans cette région du monde, et beaucoup moins en Europe par exemple, sinon en Allemagne pour des raisons historiques, sur la validité des protocoles (point de vue scientifique) et sur leur qualité (point de vue moral). La question est : une expérience reposant sur la tromperie (en anglais, deception, traduit dans le texte cité par « duperie ») est-elle scientifiquement valide et moralement acceptable ? Daphne Maurer, professeur de psychologie à l'université McMaster expose ainsi les points problématiques les plus discutés9 :
« On avait donc trompé les sujets sur les points suivants :
§ la « victime » ne recevait pas en réalité des chocs ;
§ la « victime » était en réalité un complice ;
§ les sujets pouvaient en réalité cesser en tout temps (ce qui n'était pas véritablement le cas étant donné que la personne chargée de l'expérience donnait des consignes précises de poursuivre malgré l’hésitation des sujets et, par conséquent, ne laissait pas aux sujets la possibilité d'arrêter).
Il ne fait pas l'ombre d'un doute que ce genre de méthode soulève d'importantes questions d'éthique tel le respect des personnes et de leur droit de faire des choix volontaires lorsqu'ils participent à des expériences. Quand un choix se fonde sur des allégations mensongères, on ne peut pas dire qu'il est volontaire. Un autre aspect de l’éthique que soulève le recours à la duperie est la rupture du lien de confiance entre le chercheur et le sujet. »
Le corollaire de ces interrogations est la validité scientifique des résultats d'une expérience de ce type, sujet qui donne lieu à une abondante littérature académique en langue anglaise, pour l'essentiel d'origine nord-américaine.
Pour Jean-Léon Beauvois10, cette polémique éthique viserait en fait à contraindre la recherche en psychologie à rester dans le politiquement correct. Il y aurait également une extension internationale de cette pensée, par la mise en place d'une réglementation stricte. « Sous le couvert moral de protéger le public contre les risques psychologiques encourus lors de manipulations expérimentales, certaines expériences sont interdites puisque soumises à la nécessité du consentement éclairé du sujet participant à l'expérience. »11
D'autres critiques portent plus spécifiquement sur certains effets pouvant influencer le déroulement de l'expérience. En effet, les sujets pouvant être conscients de participer à un test influenceraient leur comportement comme décrit par Elton Mayo qui théorisa l'effet Hawthorne. L'effet Pygmalion est également à prendre en considération étant très proche des conditions décrites par Milgram.
Cette expérience est devenue un topos dans les discours sur l'obéissance et la soumission volontaire à l'autorité, et dans des discussions plus abstraites, sur les limites de la notion de libre arbitre.
Dans des domaines académiques, elle sert souvent de modèle ou d'exemple en sociologie, en psychologie expérimentale et en psychologie sociale, ainsi qu'en philosophie, notamment en philosophie du droit. En psychologie sociale particulièrement, l'expérience de Milgram est souvent utilisée pour discuter ou présenter certains concepts dégagés par ce domaine, tels que le conformisme, l'influence normative, et bien sûr la soumission à l’autorité et l'état agentique, deux notions au cœur du travail de Milgram dans cette expérience.
Cette expérience demeure une référence. D'après une étude réalisée en 200212, Milgram est le 12ème psychologue le plus cité dans l'introduction des livres de psychologie du xxe siècle. Cette recherche de Milgram est d'ailleurs une référence dans des domaines aussi différents que celui de la psychologie du travail13, la finance comportementale14, ou en sociologie politique15 par exemple.
De ce fait l'expérience a été adaptée pour être reproduite. Ainsi Mel Slater a reproduit l'expérience pour s'intéresser au statut de la réalité virtuelle16. Il a constitué deux groupes : des participants punissaient un soi-disant élève, qu'ils ne voyaient pas, tandis que d'autres punissaient un personnage virtuel. Le groupe qui faisait face à un personnage virtuel a cessé beaucoup plus tôt de punir cet « élève ».
§ Cette expérience a été mise en scène dans le film I comme Icare d'Henri Verneuil, fiction inspirée de l'assassinat de John F. Kennedy, où l'acteur Roger Planchon joue le professeur David Naggara (par ailleurs, professeur dans le film à l'université de Layé, anagramme de Yale), version fictive de Stanley Milgram, qui présente son expérience au personnage principal joué par Yves Montand.
§ Dans son album de 1986 So, le musicien Peter Gabriel a écrit une chanson, We do what we're told (Milgram's 37) (Nous faisons ce qu'on nous dit (les 37 de Milgram)), faisant référence à la variante de l'expérience de Milgram où 37 personnes sur 40 participent par leur inaction à l'administration des décharges électriques maximales.
§ Les Simpson se sont également prêtés au test.
§ Dans l'épisode 5 de la saison 5 de la série télévisée Malcolm in the middle, l'expérience est pratiquée sur Malcolm.
Stanley Milgram, La Soumission à l'autorité, Calmann-Lévy, 1994 (2e éd.), 270 p. (ISBN 2702104576)
1. ↑ page 35
2. ↑ page 39
3. ↑ pages 42 et 43
4. ↑ pages 42 et 43
5. ↑ page 269
6. ↑ page 55
7. ↑ pages 80 et 81
8. ↑ page 81
9. ↑ page 149
10. ↑ page 81
11. ↑ pages 122 et 123
12. ↑ page 123
13. ↑ page 167
Autres références
1. ↑ Moscovi S. (2005) "Psychologie Sociale", Paris, PUF, collection Quadrige, p.41
2. (en) Thomas Blass, « The Milgram paradigm after 35 years: Some things we now know about obedience to authority [archive] » surStanleyMilgram.com, 1999, Journal of Applied Social Psychology. Consulté le 16 décembre 2008
3. ↑ (en) Basic Instincts: The Science of Evil [archive], ABC. Consulté le5 juin 2008
4. ↑ Vidéo du reportage d'ABC News [archive]
5. (fr) Jean Etienne, « 70% de la population accepterait de torturer autrui... [archive] », 23 décembre 2008, Futura-Sciences. Mis en ligne le 23 décembre 2008, consulté le 23 décembre 2008
6. ↑ (fr) Isabelle Roberts et Raphaël Garrigos, « Téléctrochoc [archive] »,25 avril 2009, Libération (journal). Mis en ligne le 25 avril 2009, consulté le 25 avril 2009
7. ↑ (fr) Isabelle Roberts et Raphaël Garrigos, « Aux frontières du télé-réel [archive] », 25 avril 2009, Libération (journal). Mis en ligne le 25 avril 2009, consulté le 25 avril 2009
8. ↑ (fr) Jean-Léon Beauvois, « Jeu télévisé : Faire obéir les "participants" avec Milgram [archive] », 15 février 2010, Maniprop.com (site web). Mis en ligne le 15 février 2010, consulté le 22 février 2010
9. ↑ (fr) Compte rendu de la retraite du CNERH de mars 1998 [archive] et la version anglaise [archive]
10. ↑ Beauvois J.-L. (1994). Traité de la servitude libérale. Analyse de la soumission. Paris: Dunod;
11. ↑ François Pierre-henri, Le conseil psychologique en milieu organisationnel: éthiques et référents scientifique, dans Psychologie du travail et des organisations, 2002, vol.8, n°2. p.42 ;
12. ↑ Steven J. Haggbloom & col. (2002). The 100 Most Eminent Psychologists of the 20th Century, Review of General Psychology, Vol. 6, No. 2, p.142. [lire en ligne [archive]] [pdf];
13. ↑ Margarita SANCHEZ-MAZAS, POUVOIR, DEPENDANCE ET VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL, 2002 - mer.equipement.gouv.fr. [lire en ligne [archive]] ;
14. ↑ Anne Lavigne et Florence Legros, Finance comportementale et fonds de pension, mars 2006. [lire en ligne [archive]] [pdf];
15. ↑ Philippe Braud, La violence politique : repères et problèmes, Cultures & Conflits n°9-10 (1993) pp. 13-42. [lire en ligne [archive]]
16. ↑ (en) A Virtual Reprise of the Stanley Milgram Obedience Experiments [archive], de Mel Slater, Angus Antley, Adam Davison, David Swapp, Christoph Guger, Chris Barker, Nancy Pistrang, Maria V. Sanchez-Vives
§ (en) A. G. Miller, The obedience experiments : A case study of controversy in social science, New York, Westport, Preaeger, 1986.
§ Variantes de l'expérience de Milgram
§ Expérience de Stanford, dite aussi expérience de Zimbardo ou « effet Lucifer ».
§ Abraham (archétype de soumission à l'autorité)
§ (fr) L'Expérience de Milgram et le Panoptique de Bentham sur Caute@LautreNet
§ (fr) Synthèse : Soumission à l'autorité de Stanley Milgram
§ (fr) Expériences de psychologie sociale
§ [vidéo] (en) Reconstitution en caméra cachée.
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[1] http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-11-11-A-00-Question-about-Bishop-Fellay.pdf
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[2] http://www.virgo-maria.org/articles/2010/VM-2010-02-18-A-00-1000_rabbins_soutiennent_Mgr_Fellay.pdf
[3]http://www.virgo-maria.org/articles/2010/VM-2010-02-18-A-00-1000_rabbins_soutiennent_Mgr_Fellay.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-10-04-A-00-Benoit_XVI-et_les_Juifs.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-06-19-A-00-Declarations_B16_en_Israel.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-06-17-A-00-Benoit_XVI_renonce_convertir_juifs.pdf
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http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-05-10-A-00-Ratzinger_US_Abbe_Scott.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-10-04-A-00-Benoit_XVI-et_les_Juifs.pdf