CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX
http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf
Qui et
Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à
la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome
conciliaire |
Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ? |
Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968? |
A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ? |
Serait-ce
donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on
veuille désormais faire dire la messe du |
Serait-ce que l’on
veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec
un clergé aussi INVALIDE que le |
Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)
jeudi 15 avril 2010
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Le futur Benoît XVI, s’est opposé à la sanction d’un ‘prêtre’ pédophile
L’Associated Press publie la lettre qu’il a signée en 1985
SCOOP – Traduction en français
de l’article de l’Associated Press qui a fait le tour de la presse mondiale.
Mgr Lefebvre déclarait en 1987 : « Nous avons affaire vraiment à une mafia incroyable (…) nous ne savons pas la moitié de ce qui se passe à Rome (...) Si nous savions tout, nous serions épouvantés, épouvantés" » Mgr Lefebvre avait vu juste. Mgr Fellay raffole de cette mafia conciliaire, elle le met visiblement en appétit.
Le futur Benoît XVI, l’abbé apostat Ratzinger s’est opposé à la sanction d’un pseudo-‘prêtre’ conciliaire pédophile. L’Associated Press publie la lettre qu’il a signée en 1985 : Avec le pseudo-« cardinal », l’abbé apostat Castrillon Hoyos[1], l’« ami très précieux[2] » (sic) de Mgr Fellay, le « bon Pape Benoît XVI » de ce dernier, ce prétendu « homme intègre » qui serait « si désireux de restaurer la Tradition catholique » s’avère donc lui-aussi être un protecteur[3] systématique et opiniâtre de pseudo- « prêtres » conciliaire pédophiles
Les révélations qui ont apporté la preuve du mensonge des autorités Vaticanes
et de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI et la preuve de la participation active et de ce dernier à la protection systématique, forcenée et solidaire des clercs conciliaires pédophiles.
S’agit-il
de réseaux de clercs pédophiles
systématiquement
soutenus par Ratzinger ?
La lettre qui accuse l’abbé apostat Ratzinger fait la une de la presse italienne, et elle est reprise dans la presse londonienne et aux quatre coins du globe. Embarrassé, le Vatican vient de reconnaître qu’il s’agit bien de la signature de Ratzinger. Le scandale est immense et ne cesse de s’amplifier : désormais la démission de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI est ouvertement réclamée par certaines voix. Le journal Le Monde vient de publier un article de Levillain qui sonne comme le bilan d’un « pontificat » qui s’acheverait.
À l’ONU, un représentant demande que l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI soit arrêté et jugé pour répondre des crimes de pédophilie commis sous son autorité et sous sa protection par des milliers de pseudo-‘prêtres’ conciliaires sur des milliers d’enfants innocents.
Mgr Fellay éclaboussé en boomerang
par le scandale de la protection des pédophiles par Ratzinger et Castrillón Hoyos
Mgr Fellay ravi et illuminé d’un sourire extatique devant le protecteur de pédophiles
Mgr Fellay s’est ridiculisé à la tête de la FSSPX, et il a déconsidéré sa fonction de Supérieur général de la FSSPX en osant propager parmi les fidèles l’image trompeuse d’un Ratzinger-Benoît XVI qui serait « un homme intègre ».
Il vient de s’enfoncer encore un peu plus à Pâques à Écône en appelant les fidèles à soutenir et prier « avec ferveur », pour le « bon Pape » Ratzinger-Benoît XVI « qui souffre tant », marquant ainsi sa pleine solidarité avec le protecteur systématique de clercs pédophiles et son immense mépris pour les jeunes enfants victimes de ces agissements criminels et dont la vie reste brisée par les sévices qu’ils ont subis.
Pour Mgr Fellay, tout ce dossier des crimes contre des enfants innocents ne pèse apparemment pour rien, pas plus que les travaux admirables de Mme Randy Engel, pourvu qu’il obtienne pour lui une situation dorée au sein de l’église Conciliaire, ainsi que son chapeau de pseudo-‘cardinal’ conciliaire.
Mgr Fellay : l’ami des protecteurs de pédophiles que l’évêque suisse qualifie
d’ « hommes intègres » et d’ « amis très précieux »
Mgr Lefebvre : « Nous avons affaire vraiment à une mafia incroyable (…) nous ne savons pas la moitié de ce qui se passe à Rome (...) Si nous savions tout, nous serions épouvantés, épouvantés" »
Mgr Lefebvre pressentait avec horreur toute la pourriture du Vatican moderniste et le cloaque de l’église Conciliaire. Il confiait aux séminaristes : « nous ne savons pas la moitié de ce qui se passe à Rome (...) Si nous savions tout, nous serions épouvantés, épouvantés" »
« C'est cela, une gloire purement humaine, purement humaine, abominable même, parce que c'est la vérité avec l'erreur, la vertu avec le vice, les amis de Notre-Seigneur avec les ennemis de Notre-Seigneur ; c'est une abomination, une abomination. C'est cela qui est à Rome maintenant. Ils ne pensent qu'à cela. Ils ne vivent que de cela.
« Et derrière tout cela, des histoires financières véreuses, n'est-ce pas, véreuses... C'est ce que me disait un cardinal à Rome. Je lui disais : "Mais enfin, quel est un peu le leitmotiv qui tient tout ce monde-là, tout ce monde qui travaille, ici, à Rome ?" Il m'a dit : "Ça, Mgr, ça..." Il m'a fait le geste : ça, l'argent. Ils travaillent pour l'argent. Derrière tout cela, on peut imaginer tout ce qui peut se passer. Je vous cite ce cas ; j'ai eu l'occasion de le dire à ceux qui ont des hésitations encore sur Rome. Je dis : "Je suis intimement persuadé que nous ne savons pas la moitié de ce qui se passe à Rome et si nous sommes déjà scandalisés par la moitié que nous savons, eh bien, pensons qu'il y a encore la moitié de plus. Si nous savions tout, nous serions épouvantés, épouvantés". » [4]Mgr Lefebvre, 4 septembre 1987, Écône
Ratzinger-Benoît XVI se moque des victimes, les enfants. Il a pour seule préoccupation la protection des pédophiles qu’il appelle « le bien de l’Église ».
« Irwin Zalkin, avocat de certaines victimes de Kiesle, a déclaré qu’il connaissait bien toute cette correspondance, mais qu’il ne fournirait aucun document à l’Associated Press. « Le cardinal Ratzinger tenait davantage à éviter un scandale qu’à protéger des enfants », a-t-il déclaré lors d’une interview téléphonique. « C’était au cœur de ses préoccupations ». » Associated Press
Continuons le bon combat
La Rédaction de Virgo-Maria
© 2010 virgo-maria.org
Début de
la traduction de l’article de l’Associated Press du 9 avril 2010
Quand le cardinal Josef Ratzinger (futur pape Benoît XVI)
bloquait l’enquête dans une affaire de prêtre pédophile : quelques lettres.
(Traduction en français de la source américaine[5].
Que le traducteur soit ici vivement remercié)
THE ASSOCIATED PRESS[6]
Vendredi 9 avril 2010, 16h19
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Le futur pape Benoît XVI a écarté des demandes tendant à ce que soit ramené à l’état laïc un prêtre de Californie connu pour agresser sexuellement des enfants ; il a invoqué pour cela des préoccupations parmi lesquelles « le bien de l’Église universelle », comme en témoigne une lettre de 1985 portant sa signature.
Cette lettre, que s’est procurée l’Associated Press, vient opposer le plus fort démenti aux allégations répétées du Vatican selon lequelles Benoît XVI n’aurait contribué en rien à bloquer la destitution de prêtres pédophiles durant les années où il dirigeait le service constituant le principal chien de garde doctrinaire de l’Église catholique
L’ « évêque » d’Oakland : John Cummins
qui sollicita en vain de Ratzinger l’expulsion du « prêtre » pédophile KiesleDactylographiée en latin et signée par celui qui était alors le cardinal Josef Ratzinger, elle fait partir de la correspondance entretenue pendant des années par le diocèse d’Oakland et le Vatican sur le projet de ramener le père Stephen Kiesle à l’état laïc.
Le Vatican a refusé vendredi d’en commenter la teneur, mais un porte-parole a confirmé qu’elle était signée de Ratzinger.
« Le service de presse ne juge pas nécessaire de réagir à un document sorti du contexte d’une situation juridique donnée », a déclaré le père Federico Lombardi. « Il n’y a rien d’étonnant à ce que tel ou tel document porte la signature du cardinal Ratzinger ».
Le diocèse avait recommandé que Kiesle soit ramené à l’état laïc ; c’était en 1981, année où Ratzinger fut nommé chef du service du Vatican partageant la responsabilité de sanctionner les prêtres ayant commis des abus sexuels.
Avant que Ratzinger finisse par écrire à John Cummins, évêque d’Oakland, l’affaire traîna au Vatican pendant quatre ans, et deux autres années passèrent avant que l’intéressé soit ramené à l’état laïc.
Dans sa lettre de novembre 1985, Ratzinger écrit que les arguments favorables à la destitution de Kiesle sont d’une « grave importance », mais ajoute qu’une telle mesure exige un examen très minutieux et que cela prendra encore du temps. Il presse en outre l’évêque de prodiguer à Kiesle « autant d’attentions paternelles que possible » en attendant une décision, ainsi qu’il ressort d’une traduction effectuée pour le compte de l’Associated Press par le professeur Thomas Habinek, président de la Faculté de lettres classiques de l’Université de Californie du Sud.
Mais le futur pape y notait aussi que toute décision de ramener Kiesle à l’état laïc devrait prendre en compte le « bien de l’Église universelle » et le « tort que l’octroi de la dispense pourrait provoquer dans la communauté des fidèles du Christ, eu égard notamment au jeune âge de l’intéressé ».
Kiesle avait alors trente-huit ans.
Il avait été condamné en 1978 à trois ans de mise à l’épreuve après s’être abstenu de contester des accusations d’attentat à la pudeur pour avoir attaché et agressé sexuellement deux jeunes garçons dans une paroisse de la baie de San Francisco. À la fin de sa période de probation, en 1981, Kiesle a demandé à être dispensé de la prêtrise, et le diocèse a soumis à Rome des documents tendant à ce qu’il puisse défroquer.
Dans sa lettre précédente à Ratzinger, Cummins prévenait celui-ci que le retour de Kiesley au sacerdoce causerait plus de scandale que le fait de le dépouiller de ses pouvoirs sacerdotaux.
L’ « évêque » d’Oakland : John Cummins
qui sollicita en vain de Ratzinger l’expulsion du « prêtre » pédophile Kiesle« J’ai la conviction qu’il n’y aurait pas de scandale si l’on donnait suite à cette demande et qu’étant donné la nature de l’affaire, il risquerait même d’y avoir un plus grand scandale pour la communauté si l’on autorisait le père Kiesle à reprendre son sacerdoce », écrivait Cummins en 1982.
Bien que parmi les documents communiqués à l’Associated Press figure une seule lettre signée de Ratzinger, la correspondance et des notes internes du diocèse d’Oakland renvoient à une lettre du 17 novembre 1981 envoyée à l’évêque par celui qui n’était encore que cardinal. Ratzinger allait être nommé une semaine après chef de la Congrégation du Vatican pour la doctrine de la foi.
Des ecclésiastiques de Californie ont écrit au moins trois fois à Ratzinger pour se renseigner sur l’état d’avancement de l’affaire Kiesle. Un fonctionnaire du Vatican écrivit un jour pour dire que le dossier avait peut-être été égaré et pour suggérer l’envoi d’une nouvelle documentation.
Le « prêtre » pédophile Kiesle, protégé par l’action de Ratzinger
Le diocèse envisagea d’écrire derechef à Ratzinger après avoir reçu sa réponse de 1985 pour bien lui faire comprendre qu’en maintenant Kiesle dans le sacerdoce, on nuirait à l’Église. George Mockel écrivit ainsi, dans une note adressée à l’évêque d’Oakland :
« Si je comprends bien la signification de cette lettre, ils vont traîner les pieds jusqu’à ce que Steve devienne vieux […] En dépit de son jeune âge, les circonstances particulières et même uniques de cette affaire font que le scandale serait plus grand s’il n’était pas réduit à l’état laïc. »
Irwin Zalkin, avocat de certaines victimes de Kiesle, a déclaré qu’il connaissait bien toute cette correspondance, mais qu’il ne fournirait aucun document à l’Associated Press. « Le cardinal Ratzinger tenait davantage à éviter un scandale qu’à protéger des enfants », a-t-il déclaré lors d’une interview téléphonique. « C’était au cœur de ses préoccupations ».
Alors que son sort était en balance à Rome, Kiesle se porta volontaire pour retourner dans la banlieue de Pinole et y travailler auprès des jeunes à l’église Saint-Joseph, où il avait été vicaire de 1972 à 1975.
Il fut finalement dépouillé de ses pouvoirs sacerdotaux en 1987, bien qu’aucun document n’indique quand, comment et pourquoi, non plus que le rôle éventuel de Ratzinger dans cette décision.
Kiesle resta volontaire pour s’occuper d’enfants, selon Maurine Behrend, qui travaillait durant les années quatre-vingts dans le service du diocèse d’Oakland chargé de la pastorale des jeunes. Après s’être informée au sujet de l’intéressé, Behrend se plaignit à des ecclésiastiques. Ayant constaté que rien n’était fait, elle écrivit une lettre, qu’elle a montrée à l’Associated Press.
« Manifestement, rien n’a été fait après HUIT mois de notifications répétées », y soulignait-elle.
« Comment pourrions-nous avoir confiance dans le système alors que rien n’est fait ? Un simple appel téléphonique de l’évêque au curé, et tout serait dit. »
Maurine Behrend, responsable de la pastorale des jeunes, dont les appels à neutraliser le
pédophile Kiesle restèrent sans suite devant la protection que Ratzinger accordait au pédophile.Elle eut ensuite directement affaire à Cummins lors d’une confirmation, et Kiesle s’en alla peu de temps après. Kiesle fut arrêté en 2002 et accusé d’avoir agressé sexuellement des enfants à treize reprises depuis les années soixante-dix. Mais l’accusation fut abandonnée dans toutes ces affaires, sauf deux, la Cour suprême des États-Unis ayant déclaré inconstitutionnelle une loi californienne portant extension du délai de forclusion.
En 2004, Kiesle ne contesta pas avoir commis le délit ayant consisté à agresser sexuellement une petite fille chez lui, à Truckee, en 1995, et il fut condamné à six ans d’emprisonnement dans une prison d’État.
Kiesle, âgé aujourd’hui de soixante-trois ans et enregistré comme délinquant sexuel, vit dans une communauté fermée de Walnut Creek, ainsi que l’indique son adresse figurant dans le registre des délinquants sexuels établi en vertu de la loi Megan.
Un reporter de l’Associated Press a essayé de le joindre pour l’interviewer, mais sans succès.
William Gagen, l’avocat qui représentait Kiesle en 2002, n’a pas répondu, lui non plus, à une demande d’interview.
Plus d’une demi-douzaine de victimes sont parvenues en 2005 à un règlement avec le diocèse d’Oakland en soutenant que Kiesle les avait agressées sexuellement durant leur enfance.
« Il a reconnu avoir agressé sexuellement de nombreux enfants ; il s’est même vanté d’avoir été pour eux, en quelque sorte, le joueur de flûte de Hamelin, et il a déclaré qu’il tentait de s’en prendre ainsi à tout enfant venant s’asseoir sur ses genoux », a souligné Lewis VanBlois, avocat de six victimes de Kiesle qui avait interrogé l’ancien prêtre en prison.
« Comme on lui demandait combien d’enfants il avait agressés sexuellement tout au long des années, il répondit : « des tas » ».
L’évêque Cummins, aujourd’hui en retraite et âgé de quatre-vingt-deux ans, a déclaré à l’Associated Press, lors d’une interview réalisée chez lui, à Oakland, qu’il n’avait « pas vraiment d’amitié » pour Kiesle, mais qu’il ne se souvenait pas avoir écrit à Ratzinger au sujet de ces affaires.
« Je voudrais avoir écrit au cardinal Ratzinger. Je ne pense pas avoir été très malin », a-t-il ajouté.
Les documents que l’Associated Press s’est procurés la semaine dernière révèlent que le Vatican a traîné également les pieds dans des affaires impliquant deux prêtres de l’Arizona.
Dans l’une de ces affaires, le futur pape s’est saisi du cas d’agressions sexuelles commises par le père Michael Teta, de Tucson (Arizona), puis l’a laissé traîner au Vatican des années durant, bien que l’évêque concerné eut réclamé à plusieurs reprises que l’intéressé soit ramené à l’état laïc.
Dans l’autre affaire, l’évêque a écrit à Ratzinger en parlant de « grave facteur de risque » à propos de l’individu incriminé, un certain Mgr Robert Trupia.
Rien dans ce dossier n’indique que Ratzinger ait répondu. Le Vatican a qualifié les accusations de « dénuées de tout fondement » et déclaré que les faits avaient été présentés de façon erronée.
Cela se produit au moment même où le Vatican envisage une nouveauté consistant à mettre en ligne sur l’Internet un guide expliquant aux laïcs comment il traite les accusations d’agression sexuelle portées contre des prêtres.
Ce « guide pour les laïcs », que l’Associated Press s’est procuré vendredi, expose les procédures canoniques que les évêques suivent lorsqu’ils ont reçu des accusations de cette nature.
Il ne contient aucune information qui ne soit déjà accessible au public dans une bibliothèque spécialisée ou une librairie du Vatican. Mais il réunit différentes sources de procédures canoniques d’une manière concise, facile à lire, sans citations encombrantes de droit canon ni passages en latin.
Le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican, a déclaré que l’Église avait un « besoin urgent » de transparence. Il a défendu Benoît XVI comme étant un pasteur digne de respect et de soutien face à des allégations « infondées ».
Fin de la traduction de l’article de l’Associated Press du 9 avril 2010
L’Associated Press a également recueilli le témoignage de Wielfried Fesselmann, abusé par un prêtre allemand qui fut couvert par Ratzinger.
ANNEXE A
– Texte original de l’Associated Press en anglais
Future Pope Benedict XVI, then-Cardinal Joseph Ratzinger, stalled priest abuse probe: letters
THE ASSOCIATED PRESS[7]
Friday, April 9th 2010, 4:19 PM
(Page 1 of 3)
The future Pope Benedict XVI resisted pleas to defrock a California priest with a record of sexually molesting children, citing concerns including "the good of the universal church," according to a 1985 letter bearing his signature.
The correspondence, obtained by The Associated Press, is the strongest challenge yet to the Vatican's insistence that Benedict played no role in blocking the removal of pedophile priests during his years as head of the Catholic Church's doctrinal watchdog office.
The letter, signed by then-Cardinal Joseph Ratzinger, was typed in Latin and is part of years of correspondence between the Diocese of Oakland and the Vatican about the proposed defrocking of the Rev. Stephen Kiesle.
The Vatican refused to comment on the contents of the letter Friday, but a spokesman confirmed it bore Ratzinger's signature.
"The press office doesn't believe it is necessary to respond to every single document taken out of context regarding particular legal situations," the Rev. Federico Lombardi said. "It is not strange that there are single documents which have Cardinal Ratzinger's signature."
The diocese recommended removing Kiesle from the priesthood in 1981, the year Ratzinger was appointed to head the Vatican office which shared responsibility for disciplining abusive priests.
The case then languished for four years at the Vatican before Ratzinger finally wrote to Oakland Bishop John Cummins. It was two more years before Kiesle was removed.
In the November 1985 letter, Ratzinger says the arguments for removing Kiesle are of "grave significance" but added that such actions required very careful review and more time. He also urged the bishop to provide Kiesle with "as much paternal care as possible" while awaiting the decision, according to a translation for AP by Professor Thomas Habinek, chairman of the University of Southern California Classics Department.
But the future pope also noted that any decision to defrock Kiesle must take into account the "good of the universal church" and the "detriment that granting the dispensation can provoke within the community of Christ's faithful, particularly considering the young age."
Kiesle was 38 at the time.
Kiesle had been sentenced in 1978 to three years' probation after pleading no contest to misdemeanor charges of lewd conduct for tying up and molesting two young boys in a San Francisco Bay area church rectory. As his probation ended in 1981, Kiesle asked to leave the priesthood and the diocese submitted papers to Rome to defrock him.
(Page 2 of 3)In his earliest letter to Ratzinger, Cummins warned that returning Kiesle to ministry would cause more of a scandal than stripping him of his priestly powers.
"It is my conviction that there would be no scandal if this petition were granted and that as a matter of fact, given the nature of the case, there might be greater scandal to the community if Father Kiesle were allowed to return to the active ministry," Cummins wrote in 1982.
While papers obtained by the AP include only one letter with Ratzinger's signature, correspondence and internal memos from the diocese refer to a letter dated Nov. 17, 1981, from the then-cardinal to the bishop. Ratzinger was appointed to head the Vatican's Congregation for the Doctrine of the Faith a week later.
California church officials wrote to Ratzinger at least three times to check on the status of Kiesle's case. At one point, a Vatican official wrote to say the file may have been lost and suggested resubmitting materials.
Diocese officials considered writing Ratzinger again after they received his 1985 response to impress upon him that leaving Kiesle in the ministry would harm the church,Rev. George Mockel wrote in a memo to the Oakland bishop.
"My own reading of this letter is that basically they are going to sit on it until Steve gets quite a bit older," the memo said. "Despite his young age, the particular and unique circumstances of this case would seem to make it a greater scandal if he were not laicized."
Irwin Zalkin, an attorney representing some of the victims, said he was familiar with the correspondence but wouldn't provide documents to AP. "Cardinal Ratzinger was more concerned about the avoidance of scandal than he was about protecting children," Zalkin said in a phone interview. "That was a central theme."
As Kiesle's fate was being weighed in Rome, the priest returned to suburban Pinole to volunteer as a youth minister at St. Joseph Church, where he had served as associate pastor from 1972 to 1975.
Kiesle was ultimately stripped of his priestly powers in 1987, though the documents do not indicate when, how or why. They also don't indicate what role - if any - Ratzinger had in the decision.
Kiesle continued to volunteer with children, according to Maurine Behrend, who worked in the Oakland diocese's youth ministry office in the 1980s. After learning of his history, Behrend complained to church officials. When nothing was done she wrote a letter, which she showed to the AP.
"Obviously nothing has been done after EIGHT months of repeated notifications," she wrote.
(Page 3 of 3)
"How are we supposed to have confidence in the system when nothing is done? A simple phone call to the pastor from the bishop is all it would take."
She eventually confronted Cummins at a confirmation and Kiesle was gone a short time later, Behrend said. Kiesle was arrested and charged in 2002 with 13 counts of child molestation from the 1970s. All but two were thrown out after the U.S. Supreme Court struck down as unconstitutional a California law extending the statute of limitations.
He pleaded no contest in 2004 to a felony for molesting a young girl in his Truckee home in 1995 and was sentenced to six years in state prison.
Kiesle, now 63 and a registered sex offender, lives in a Walnut Creek gated community, according to his address listed on the Megan's Law sex registry.
An AP reporter was turned away when attempting to reach him for comment.
William Gagen, an attorney who represented Kiesle in 2002, did not return a call for comment.
More than a half-dozen victims reached a settlement in 2005 with the Oakland diocese alleging Kiesle had molested them as young children.
"He admitted molesting many children and bragged that he was the Pied Piper and said he tried to molest every child that sat on his lap," said Lewis VanBlois, an attorney for six Kiesle victims who interviewed the former priest in prison.
"When asked how many children he had molested over the years, he said 'tons.'"
Cummins, the now-retired bishop, told the AP during an interview at his Oakland home that he "didn't really care for" Kiesle, but he didn't recall writing to Ratzinger concerning the case.
"I wish I did write to Cardinal Ratzinger. I don't think I was that smart," Cummins, now 82, told AP.
Documents obtained by the AP last week revealed similar instances of Vatican stalling in cases involving two Arizona clergy.
In one case, the future pope took over the abuse case of the Rev. Michael Teta of Tucson, Ariz., then let it languish at the Vatican for years despite repeated pleas from the bishop for the man to be removed from the priesthood.
In the second, the bishop called Msgr. Robert Trupia a "major risk factor" in a letter to Ratzinger.
There is no indication in those files that Ratzinger responded. The Vatican has called the accusations "absolutely groundless" and said the facts were being misrepresented.
This comes at the same time as the Vatican's new plan to post a guide for lay people on the Web to explain how it deals with abuse accusations against priests.
The "lay guide," obtained Friday by the AP, outlines the canonical procedures that bishops follow when they receive accusations of abuse.
The guide doesn't contain any information that isn't available to the public through a trip to a specialized religious library or a Vatican bookstore. But it puts various sources of canonical procedures together in a concise, easy-to-read fashion, without cumbersome canon law citations and Latin phrases.
The Vatican spokesman, Rev. Federico Lombardi, said transparency is an "urgent requirement" of the church. He defended Benedict as a pastor worthy of respect and support in the face of the "unfounded" allegations.
ANNEXE B[8]
Le
commentaire de Golias, porte-parole officieux
d’une
fraction très importante du corps ‘épiscopal’ conciliaire en France
Ainsi, le père Stephen Kiesle du diocèse d’Oakland avait-il abusé sexuellement en 1978 de six adolescents âgés de 11 à 13 ans. Des faits reconnus d’ailleurs par l’intéressé devant les tribunaux américains. Il est à signaler aussi que de sa propre initiative le père Kiesle avait demandé à être relevé de sa charge ecclésiastique. Une requête qui sera d’ailleurs relayée par son évêque, Mgr John Cummins, en 1981.
En retour, les services du Vatican répondirent à ce dernier qu’ils désiraient avoir plus d’informations sur l’affaire Kiesle. Mgr Cummins s’exécuta et envoya un dossier complet en février 1982 au cardinal Ratzinger en charge de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi.
L’évêque américain écrivait alors dans son courrier accompagnant son dossier complémentaire qu’il était « convaincu » que « décharger de ses obligations ecclésiastiques le père Kiesle ne serait pas source de scandale ». Et même de poursuivre plus loin que « ce serait un scandale plus grand encore pour la communauté chrétienne si le père Kiesle retrouvait son ministère presbytéral ».
Le Vatican fit longtemps la sourde oreille à cette correspondance au point que Mgr Cummins dut s’y prendre à plusieurs reprises pour relancer la congrégation pour la Doctrine de la Foi. Il obtint enfin des nouvelles en... novembre 1985, soit trois ans et demis plus tard !
La réponse est faite en latin par le cardinal Ratzinger (voir document ci-dessous PDF).[9]
La réponse de Josef Ratzinger
Dans cette lettre, le préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi reconnaît « la gravité de la situation » mais montre son hésitation voire sa réticence à prendre une décision immédiate par le souci exprimé des conséquences qu’elles pourraient avoir « sur le bien de l’Église Universelle ». D’où pour Josef Ratzinger : ce dossier doit « faire l’objet d’une attention particulière, ce qui nécessite de prendre beaucoup de temps ».
D’après nos informations, et sur l’insistance à nouveau de Mgr Cummins, le père Kiesle sera finalement destitué de ses charges ecclésiastiques en 1987.
Face à ces révélations qui atteignent à nouveau la personne même du pape en raison de ses responsabilités passées à la Congrégation pour la Doctrine de la foi, le Vatican, de plus en plus embarrassé dans sa ligne de défense de Benoît XVI, a déclaré que : « L’alors cardinal Josef Ratzinger n’a pas couvert le cas, comme il est clairement compréhensible en lisant la lettre (sic !), mais il a fait état de la nécessité d’étudier le cas avec une attention majeure, en ayant présent à l’esprit le bien de toutes les personnes impliquées ».
Bref, le Vatican reconnaît (« comme il est clairement compréhensible en lisant la lettre ») sans vraiment reconnaître (pour « le bien de toutes les personnes impliquées ») que l’alors cardinal Josef Ratzinger a bel et bien couvert l’affaireKiesle.
Josef Ratzinger prenait moins de précautions pour instruire les procès en inquisition des théologiens jugés par lui déviants au niveau de la doctrine officielle de l’Église. Ainsi plus de 1 000 d’entre eux seront condamnés et suspendus. Plus de 150 par lui directement, prés d’un millier d’autres, sur ses ordres, par les ses préfets sur le terrain pastoral, à savoir les évêques.
Deux poids, deux mesures ! Avec Josef Ratzinger, pape actuel, on le voit, il était finalement plus grave d’être « catholiquement incorrect » ou « déviant » au plan de l’intelligence de la foi que d’être un prêtre déviant sexuel.
Pour sauver « le bien de L’église Universelle » !
Qu’il ne s’étonne pas aujourd’hui, et avec lui ses thuriféraires, d’avoir des comptes à rendre suite à une telle imposture.
Pour le véritable honneur de l’Église ! Tout simplement !
ANNEXE C
– Rappel de Virgo-Maria
RAPPEL INDISPENSABLE
Virgo-Maria n’aura pas ménagé ses efforts – en publiant nombre de dossiers FACTUELS et soigneusement documentés sur la colonisation de la hiérarchie conciliaire par des réseaux de clercs homosexuels et pédophiles et sur leurs méthodes – pour avertir à temps les autorités félonnes de la Fraternité Saint Pie X de l’état moral épouvantable des clercs apostats qui dirigent le Vatican depuis le pseudo « Concile » Vatican II, auxquels ces autorités félonnes veulent résolument livrer l’œuvre sacerdotale de Mgr Lefebvre, fondée pour la préservation du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide.
Pour s’en convaincre il suffit de relire aujourd’hui les dossiers suivants :
http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-06-17-A-00-Manteau_de_Noe.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-03-23-A-00-Annonce_Dossier_Mme_Engel.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-12-29-B-00-Benoit_XVI_Homosexualite.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-01-20-A-00-Homosexualite_de_Paul_VI.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-02-16-A-00-Mgr_de_Galarreta_compromis.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-20-A-00-Vatican-Homosexuel.pdf
CES AVERTISSEMENTS SALVATEURS n’auront eu d’autres effets que de déclencher des bordées d’injures et une tempête de calomnies contre VM de la part de la tourbe des mauvais clercs incrustés dans la Tradition catholique ! ! !
COMMENT QUALIFIER – SINON DE SATANIQUE – CETTE ABOMINABLE RÉACTION
DE CES ÉPOUVANTABLES CLERCS ?
Ce sont ces mêmes mauvais clercs (sans doute manipulés par des Rose-Croix[11]) qui exigent toujours aujourd’hui – comble de l’hypocrisie, de l’absurdité et de l’impiété ! – que les clercs et les fidèles catholiques continuent obstinément à reconnaître comme soi-disant « Papes légitimes », « Vicaires sur Terre de Jésus-Christ SEUL et UNIQUE MESSIE de DIEU » (simplement Materialiter ou non), des intrus imposteurs conciliaires antichrists R+C qui ne cessent, en cette soi-disant qualité de « Vicaires de Jésus-Christ, MESSIE » qui leur est ainsi continuellement et obstinément reconnue, d’apostasier publiquement et formellement dans les Synagogues, la MESSIANITÉ[12] MÊME DE NOTRE-SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST EN NE CESSANT DE PROCLAMER PUBLIQUEMENT QUE L’ANCIENNE ALLIANCE de la PROMESSE du MESSIE PERDURERAIT AUJOURD’HUI ENCORE POUR LES JUIFS !
C’est précisément l’opiniâtreté même du MAINTIEN – contre les FAITS publics – de cette position aussi absurde qu’impie de ces mauvais clercs, qui permet la MANIFESTATION en pleine lumière et en pleine rage destructrice satanique du « MYSTÈRE d’INIQUITÉ », ce MYSTÈRE CLÉRICAL enseigné par Saint Paul, dont la MANIFESTATION contemporaine actuelle réalise sous nos yeux, ce que Saint Jean a prophétisé depuis bientôt 2000 ans au XIIIème chapitre de son Apocalypse, à savoir l’ascension de la « BÊTE de la TERRE », cette BÊTE RELIGIEUSE conciliaire qui surgit des dépouilles APPARENTES de la Sainte Église aujourd’hui éclipsée, cette « BÊTE de la TERRE », selon Saint Jean, « aux deux cornes de l’Agneau et à la voix du Dragon » « qui fait adorer à tous les habitants de la Terre », la « BÊTE de la MER », c’est-à-dire la « BÊTE » actuelle du Mondialisme anglais et américain, protestant, maçonnique et antichrist, qui disloque et détruit aujourd’hui les nations chrétiennes.
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[1] http://www.virgo-maria.org/articles/2010/VM-2010-03-31-A-00-Hoyos_protege_pedophile.pdf
L’abbé Dario Castrillón Hoyos n’est qu’un simple prêtre catholique dévoyé, validement ordonné prêtre le 26 octobre 1952, mais invalidement soi-disant « consacré » « évêque » le 18 juillet 1971 selon la nouvelle pseudo-« consécration » épiscopale conciliaire « œcuménique » mondialiste du 18 juin 1968, totalement et radicalement invalide (et quelle que puisse être l’intention de l’évêque consécrateur), car en particulier hérétique et totalement inventée par les liturgistes conciliaires modernistes apostats Dom Botte et Lécuyer, placé sous l’autorité du Franc-Maçon Lazariste Annibale Bugnini∴ (nom de code maçonnique BUAN) par l’évêque apostat homosexuel Montini-Paul VI ( cf www.rore-sanctifica.org )
http://www.catholic-hierarchy.org/bishop/bcashoy.html
http://www.virgo-maria.org/articles/2007/VM-2007-10-16-A-00-Hoyos_liberte_religieuse_Colombie.pdf
[5] http://www.nydailynews.com/news/world/2010/04/09/2010-04-09_pope_chose_not_to_defrock_california_pedophile_priest_bombshell_letters.html?page=0
[6] http://www.nydailynews.com/news/world/2010/04/09/2010-04-09_pope_chose_not_to_defrock_california_pedophile_priest_bombshell_letters.html?page=0
[7] http://www.nydailynews.com/news/world/2010/04/09/2010-04-09_pope_chose_not_to_defrock_california_pedophile_priest_bombshell_letters.html?page=0
[10]http://www.golias.fr/spip.php?action=acceder_document&arg=301&cle=d452857e1cbe9647ca4b34d0d46015ea&file=pdf%2Fsacra.pdf
[11] Rappelons que l’introduction de sectaires homosexuels dans le clergé catholique est une constante historique des méthodes des loges britanniques illuminées satanistes Rose+Croix, celles-ci ayant même constitué des rituels satanistes secrets infâmes de magie sexuelle de pédérastie et de pédophilie (S.R.I.A., Golden Dawn, O.T.O, etc.) qui leur inspirent leurs initiatives démoniaques.
[12] http://www.virgo-maria.org/articles/2010/VM-2010-03-09-A-00-Mgr_Lefebvre_apres_synagogue_v2.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2010/VM-2010-03-07-A-00-Benoit_XVI_a_la_synagogue.pdf
http://www.nostra-aetate.org/La-lettre-Serviam/SERVIAM_025.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2010/VM-2010-02-18-A-00-1000_rabbins_soutiennent_Mgr_Fellay.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2008/VM-2008-10-04-A-00-Benoit_XVI-et_les_Juifs.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-06-19-A-00-Declarations_B16_en_Israel.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-06-17-A-00-Benoit_XVI_renonce_convertir_juifs.pdf