CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX
http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf
Qui et
Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à
la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome
conciliaire |
Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ? |
Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968? |
A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ? |
Serait-ce
donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on
veuille désormais faire dire la messe du |
Serait-ce que l’on
veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec
un clergé aussi INVALIDE que le |
Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)
lundi 10 mai 2010
Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.
L’abbé Turco (FSSPX) accuse Mgr Fellay
de « trahison envers Mgr Lefebvre » et révèle l’ignoble terreur
que l’illuminé[1] Mgr Fellay et ses sbires infiltrés
font régner dans la Fraternité.
Publication en français de ses deux lettres de départ de la FSSPX,
adressées pour l’une aux fidèles et pour l’autre à Mgr Fellay.
« Si Satan a fait un coup de maître en imposant le modernisme à l’Église par le biais de l’obéissance, il en fait un plus grand encore en amenant la Fraternité à laisser passer les erreurs modernistes, cette fois aussi par le biais de l’obéissance. » Abbé Juan Carlos Turco
L’abbé Turco (FSSPX) révèle que Mgr Fellay a interdit à tout prêtre de la FSSPX de révéler aux fidèles le modernisme de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI sous peine d’interdiction d’entendre les confessions et d’apostolat. Mgr Fellay tente désormais d’imposer des traitements psychiatriques aux prêtres qui dénoncent le modernisme de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI. « Les supérieurs de la Fraternité sont devenus pires que les communistes, qui envoyaient dans une clinique psychiatrique – afin de les détruire – ceux qui s’opposaient à eux. » révèle l’abbé Turco. Menzingen fait régner une terreur soviétoïde sur les clercs de la FSSPX, pour propager l’illusion d’une « restauration de l’Église » qu’opérerait le théologien apostat de Tübingen. Cette méthode de destruction des prêtres réfractaires par des soins psychiatriques a été employée après Vatican II au sein de l’église [secte] Conciliaire par les modernistes pour les briser.
La trahison de Mgr Fellay envers son consécrateur Mgr Lefebvre et la Foi catholique devient de plus en plus patente.
Après :
- l’expulsion de l’abbé Basilio Méramo[2] par Mgr Fellay en mars 2009, en raison de la fidélité du prêtre d’origine syrienne au combat de Mgr Lefebvre,
- puis la mise au cachot du Père capucin Jean[3] à Morgon pour avoir oser demander publiquement à l’évêque suisse s’il allait se rallier, oui ou non,
- puis le départ forcé de l’abbé Juan Carlos Cériani[4], coupable aux yeux du supérieur de la FSSPX, de n’avoir pas applaudi à la reconnaissance par Mgr Fellay de la validité de l’excommunication de Mgr Lefebvre le 21 janvier 2009,
- puis encore la marginalisation poussée jusqu’à son départ, de l’abbé Soliman[5], pour avoir considéré l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI comme un « ennemi »,
le 5 avril 2010 l’abbé José Turco est le quatrième prêtre de la Fraternité Saint Pie X à la quitter à son tour (temporairement en ce qui le concerne), en raison de la trahison du combat de Mgr Lefebvre par Mgr Fellay.
Virgo-Maria est le premier média français à publier la traduction de ses lettres en espagnol à ses fidèles au Supérieur de la FSSPX[6].
Dans ses lettres, l’abbé Turco expose non seulement les motifs de son accusation de félonie envers Mgr Fellay, mais il révèle aussi les premiers éléments de la véritable ambiance totalitaire que fait régner l’évêque suisse au sein du clergé de la FSSPX et qui s’apparente de plus en plus aux méthodes soviétiques.
Tout d’abord l’abbé Turco révèle que les prêtres de la FSSPX qui persistent à vouloir exposer et dénoncer le modernisme de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI sont considérés par Menzingen comme relevant d’un traitement psychiatrique ! (sic) C’est pourquoi Mgr Fellay et sa camarilla a cherché à empêcher la diffusion de la conférence de Mgr Tissier de Mallerais à Paris le 11 novembre 2007, où l’évêque français faisait le constat accablant de Ratzinger-Benoît XVI. Depuis quelques mois, l’ancien secrétaire particulier de Mgr Lefebvre est réduit au silence « au nom de l’obéissance »… Ses propos déplaisent au gourou Fellay !
L’abbé Turco a du résister pour échapper à un traitement psychiatrique que voulait lui imposer Mgr Fellay pour faire taire toute critique contre l’ami si cher de ce dernier (qui est aussi l’ami personnel de son mentor, la taupe n°2 infiltrée dans la FSSPX), l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, ce protecteur de clercs pédophiles[7] qu’il a qualifié[8] d’« homme intègre » alors que Mgr Lefebvre le surnommait « le serpent ».
Pour Mgr Fellay : la vénération de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI ou … le traitement psychiatrique !
« Car on en est arrivé à ceci : pour essayer de faire taire quelqu’un qui émettait des doutes au sujet des discussions avec Rome, on a essayé de lui faire suivre un traitement psychiatrique. » abbé Turco
Nous avons relevé quelques citations de l’abbé Turco qui illustrent bien la complète trahison de l’œuvre de Mgr Lefebvre que Mgr Fellay est en train d’opérer, et pour laquelle il invoque (comme, par analogie, le font tous les francs-maçons infiltrés dans l’Église) une soumission religieuse totale à la « vertu d’obéissance » à sa politique maçonnique, recommandée[9] par la Grande Loge de France.
« Je ne puis être d’accord, par exemple, avec l’interdiction qui m’a été faite de parler du modernisme de Benoît XVI. Il est incroyable qu’une telle interdiction ait pu être formulée au sein de la fraternité Saint-Pie X. »
« Face au Décret du 21 janvier 2009, nous nous sommes réjouis d’un document qui reconnaît la validité des excommunications. »
« Comment peut-on présenter Benoît XVI comme favorable à la Tradition, alors qu’on le sait profondément moderniste ? »
« comment vous pouvez présenter une fausse image de Benoît XVI, censé être favorable à la Tradition (En quoi lui serait-il favorable ? En disant que la Messe traditionnelle est subordonnée à la nouvelle messe ou en cherchant à les fondre l’une dans l’autre ? En levant les excommunications comme si elles avaient jamais été valides ? En disant que nous sommes hors de l’Église et que nous devons accepter le Concile ? En utilisant l’image du Curé d’Ars pour promouvoir « la participation active des laïcs » ou conférer au modernisme un vernis de « sainteté » et de « piété » à seule fin de sauver la liturgie moderniste ?) »
Mgr Fellay est devenu un artisan acharné de la pseudo-restauration de Ratzinger-Benoît XVI
« On attribue à l’intercession de la Vierge la publication de documents qui ne visent qu’à sauver le modernisme et qui contiennent des erreurs doctrinales ou même des mensonges. »
« Lorsqu’on voit, lorsqu’on soupèse une telle quantité d’erreurs, de même que leurs conséquences doctrinales, on se demande comment tout cela a pu être dit officiellement par la Fraternité Saint-Pie X, par les continuateurs de l’œuvre de Monseigneur Lefebvre. »
« On met sous le boisseau les textes de Monseigneur Lefebvre ; on insinue que jusqu’au protocole de mai 1988, Monseigneur Lefebvre recherchait plutôt un accord pratique et que c’est seulement après qu’il a exigé un accord doctrinal, ce qui – de la part du Supérieur général et des autres autorités de la Fraternité – n’est autre qu’une canaillerie. » Abbé Turco
Le rideau de fer qu’a dressé Mgr Fellay pour imposer sa fausse façade d’une FSSPX unie et enthousiaste derrière les fallacieuses croisades fabriquées et sacrilèges du Rosaire et pour le soutien du « bon Benoît XVI, artisan de la Tradition », cet « homme intègre », se lézarde de plus en plus profondément, au fil des démissions fracassantes d’abbés.
Comme pour l’Union soviétique, des dissidents s’échappent, franchissent ce rideau de fer et révèlent l’incroyable iniquité de Mgr Fellay, ses mensonges, ses calomnies, son flicage et l’intolérable persécution intérieure que pratique sa police cléricale pour imposer sa « Pravda » du soutien exigé à l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, dans son œuvre conciliaire « œcuménique » mondialiste de tromperie maçonnique antichrist. En Amérique Latine, l’exécuteur des basses œuvres de ce goulag ecclésial au sein de la FSSPX est l’abbé Bouchacourt dont le nom est prononcé avec jubilation au sein du Vatican, les maçons conciliaires en soutane regrettant son départ de l’église Saint Nicolas du Chardonnet en 2003 (source très fiable recueillie auprès d’un observateur romain très bien renseigné et transmise par un correspondant).
Comme Soljénitsyne qui révéla l’enfer du totalitarisme soviétique, ce sont désormais des abbés Méramo, Cériani, Turco qui viennent témoigner du régime de fer, du régime anti-catholique, imposé par Mgr Fellay à la Fraternité Saint Pie X pour détourner les abbés de la fidélité au fondateur de la FSSPX et leur faire rallier à marche forcée le « bon Benoît XVI », les motu proprio sacrilèges mais réputés « miraculeux » et les fameuses pseudo-‟négociations doctrinales”.
À cela s’ajoute un culte de la personnalité illuminé et insensé de Mgr Fellay, le nouveau prophète de Fatima, le Saint Jean Baptiste de la consécration de la Russie par Ratzinger-Benoît XVI, ce délire mystico-dingo dans lequel verse désormais l’évêque suisse illuminé[10] depuis octobre 2008, persuadé d’avoir reçu une mission divine du Ciel et de multiplier les « miracles » mariaux par ses appels à la croisade du Rosaire.
· En 1999 Mgr Fellay dénonçait[11] la « super-religion » que les autorités de l’église [secte] Conciliaire voulaient instaurer et les quatre loges maçonniques cléricales en activité au sein du Vatican.
· En 2010, Mgr Fellay applique la politique maçonnique supportée par la Grande Loge de France et veut faire croire cette ineptie : « Une rénovation de l’Église a commencé. Elle est très difficile, mais authentique. » ou encore : « Il y a des personnes qui veulent le bien de l’Église, au Vatican également. Si quelqu’un, comme vous-même ou un abbé Ceriani, prétend que ce sont tous des modernistes, il se trompe. Vous n’êtes plus dans la réalité et la vérité ». Et l’abbé Turco s’interroge : « Comment se peut-il que le Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X ait une vision des choses aussi erronée ? »
En 11 ans, alors que le plan maçonnique mondial n’a cessé de progresser, et que les Anglicans commencent à rejoindre la super-structure de Corporate-Reunion, la « super-religion » maçonnique antichriste se serait métamorphosée en « rénovation authentique de l’Église » selon Mgr Fellay !
En 11 ans, il s’agit surtout de la métamorphose « authentique » de Mgr Fellay en ouvrier trompeur et illuminé de la « super-religion » maçonnique antichriste.
Comment une situation aussi grandguignolesque a-t-elle pu s’installer à la tête de la FSSPX ? Et comment Mgr Fellay a-t-il pu s’égarer ainsi dans une posture aussi grotesque que ridicule, si elle n’était pas d’abord si odieuse et abominable ?...
Les langues se délient et nous ne tarderons pas à connaître les ignobles combines et chantages sur base de scandales qui doivent expliquer cet effondrement actuel si piteux et si lamentable, auquel Mgr Lefebvre n’eût jamais osé penser, même dans ses pires cauchemars.
Imagine-t-on un seul instant Mgr Lefebvre interdisant aux prêtres d’exposer le modernisme de Ratzinger et de Wojtyla-Jean-Paul II et plus encore les menaçant de traitement psychiatrique ?
Après la découverte des infiltrations d’Avrillé[12] et de Suresnes (abbé Celier) et la mise à jour du jeu de subversion très ‟fabien” au sein de la FSSPX de Mgr Williamson, l’évêque à la Rose de la Fraternité (cf. les très nombreux dossiers VM factuels et documentés au sujet de cet ex(?)-Anglican britannique la taupe n°1 infiltrée dès 1972 auprès de Mgr Lefebvre), l’heure a sonné pour préparer activement la déposition de Mgr Fellay, l’évêque illuminé1 félon, et de sa camarilla de clercs déchus infiltrés.
Le bon combat de la Foi passe désormais par la mise hors d’état de nuire au nom de l’obéissance à Dieu de l’actuelle direction déchue de la FSSPX pilotée par la GLF.
Continuons le bon combat
La Rédaction de Virgo-Maria
© 2010 virgo-maria.org
Lettre de l’abbé José Turco aux fidèles
concernant son départ de la FSSPX
Mardi 27 avril 2010
par Radio Cristiandad
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Étant donné que certaines personnes ont déjà eu vent de mon départ de la Fraternité, je voudrais éclaircir quelque peu les motifs qui m’ont amené à prendre cette décision.
I. Ce qui m’a conduit à quitter la Fraternité, c’est que je perçois des erreurs doctrinales dans nos tractations actuelles avec Rome.
II. J’ai commencé par essayer de justifier les erreurs en question, mais lorsque j’en entrepris de les éclaircir avec Monseigneur Fellay, je n’ai reçu aucune réponse satisfaisante (au contraire).
III. Je me suis donc vu obligé de constater la gravité de ce que fait aujourd’hui officiellement la Fraternité, dont les tractations actuelles avec Rome vont à l’encontre de ce que nous avons toujours affirmé. C’est pourquoi je dis qu’elles constituent une trahison de l’œuvre de Monseigneur Lefebvre.
Comme je n’étais pas d’accord en conscience avec cela, j’ai donc pris la décision de partir.
I – D’abord et avant tout, je tiens à ce qu’il soit bien clair que ce qui m’a conduit à quitter la Fraternité, c’est qu’en conscience, je ne puis être d’accord avec les erreurs doctrinales graves qui m’apparaissent dans ses tractations avec Rome.
La plupart de ces erreurs ont déjà été évoquées par d’autres prêtres. Je voudrais formuler ici, à leur sujet, les remarques suivantes :
* Entre autres erreurs du Motu Propriode juillet 2007, signalons la subordination de la Messe traditionnelle au Novus Ordo Missae ; le texte en question commence déjà de promouvoir la fusion future des deux rites en évoquant « la richesse spirituelle et la profondeur théologique de ce Misssel » [celui de la nouvelle messe], etc. Or, malgré tout cela, nous nous sommes réjouis de ce Motu Proprio, dont nous avons minimisé les erreurs.
* Au nom de la Fraternité, il a été déclaré : « Par le Motu Proprio Summorum Pontificum, le pape Benoît XVI a rétabli dans ses droits la messe tridentine ».
* Face au Décret du 21 janvier 2009, nous nous sommes réjouis d’un document qui reconnaît la validité des excommunications.
* De même, dans leur lettre du 29 janvier de l’an dernier, les quatre évêques de la Fraternité ont remercié le pape au motif que celui-ci aurait « rendu inopérante la mesure qui nous a frappés il y a vingt ans à la suite de notre sacre épiscopal ». Or, le fait d’accepter la validité de cette excommunication a des conséquences doctrinales graves, car cela signifie qu’il n’y avait pas de justification aux consécrations épiscopales, donc qu’il était faux de prétendre à l’existence du modernisme, donc que Monseigneur Lefebvre s’est trompé, donc que le magistère et la liturgie officielle sont bons, donc qu’il faut les accepter, etc., etc.
* Monseigneur Fellay multiplie les déclarations contradictoires, tantôt niant, tantôt affirmant qu’il a sollicité la levée des excommunications, avec tout ce que cela implique.
* J’observe que lors des deux faits en question (la « libération » de la Messe et la levée des excommunications), bien que la Fraternité ait formulé des réserves en signalant les erreurs des deux documents correspondants, ces réserves ont été étouffées sous la multitude des éloges, des Te Deum, des Magnificat, des remerciements et des louanges. Au lieu d’une défense claire et ferme de la vérité, de telles réserves sont apparues comme un moyen de faire taire les consciences et d’occulter les erreurs des « préalables » correspondants.
* S’agissant des conversations relatives au concile Vatican II, la fameuse expression « 95% de bon dans le Concile » signifie que ce qui ne va pas dans ce dernier, ce sont quelques passages ambigus, mais que la majeure partie des textes sont en accord avec la Tradition, ou bien que « jusqu’ici, nous avons eu pour programme d’éclaircir en premier lieu les problèmes doctrinaux, y compris lorsqu’il s’agit non pas de tout régler, mais d’obtenir des éclaircissements suffisants ». Où est-il encore question de convertir Rome ? Puisque nous n’avons pas l’intention de tout régler, allons-nous laisser passer les erreurs doctrinales ?
* Comment peut-on présenter Benoît XVI comme favorable à la Tradition, alors qu’on le sait profondément moderniste ? C’est pourquoi j’ai trouvé incroyables les déclarations officielles de la Fraternité :
- « son arrivée au Pontificat ouvre des espérances à la Tradition » ;
- « c’est une personne intègre qui cherche le bien de l’Église » (alors que c’est un moderniste, qui a essayé en son temps de tromper Monseigneur Lefebvre et qui a menti dans le Décret du 21 janvier comme dans la lettre accompagnant le Motu Proprio) ;
- avec Benoît XVI, « l’Église est entrée dans des eaux plus tranquilles ».
Pour l’infiltré n°2 de la FSSPX, l’abbé Schmidberger (de formation kantienne), l’ami personnel de l’abbé apostat Ratzinger-Benoït XVI, « l’Église est entrée dans des eaux plus tranquilles ». Cet ancien supérieur de la FSSPX et véritable Mentor de Mgr Fellay, a été accusé de détruire la FSSPX par Mgr Lefebvre sur son lit d’hôpital en mars 1991, quelques jours avant de mourir de façon inopinée, et alors que l’isolement et la solitude lui était imposés de façon anormale, voire parfaitement scandaleuse.
Sur le plan doctrinal, cela revient à tenter de dissimuler le modernisme de Benoît XVI. Cela revient à offrir de faux espoirs, à faire courir des risques gravissimes à toute la mouvance traditionaliste (compromettant ainsi l’avenir de l’Église entière), ainsi qu’à tromper les fidèles.
* Etc.
* À tout cela vient s’ajouter les faits suivants :
- Les tractations se poursuivent malgré l’absence du moindre signe de conversion de la part de Rome.
- On prétend à tort que Rome nous a donné ce que nous demandions.
- On prétend à tort que les préalables ont démontré la bonne volonté de Benoît XVI.
- Les déclarations de Monseigneur Fellay et de la Fraternité sont empreintes d’ambiguïté.
- On minimise et dissimule les erreurs doctrinales des tractations en cours.
- On met sous le boisseau les textes de Monseigneur Lefebvre ; on insinue que jusqu’au protocole de mai 1988, Monseigneur Lefebvre recherchait plutôt un accord pratique et que c’est seulement après qu’il a exigé un accord doctrinal, ce qui – de la part du Supérieur général et des autres autorités de la Fraternité – n’est autre qu’une canaillerie.
- On attribue à l’intercession de la Vierge la publication de documents qui ne visent qu’à sauver le modernisme et qui contiennent des erreurs doctrinales ou même des mensonges.
Lorsqu’on voit, lorsqu’on soupèse une telle quantité d’erreurs, de même que leurs conséquences doctrinales, on se demande comment tout cela a pu être dit officiellement par la Fraternité Saint-Pie X, par les continuateurs de l’œuvre de Monseigneur Lefebvre.
*****
II – Toutefois, bien que j’aie perçu les erreurs doctrinales de ces tractations avec Rome, je dois reconnaître que jusqu’au début de 2009, j’essayais d’en minimiser la gravité, je m’efforçais de justifier ce que nous faisions au sein de la Fraternité et de défendre Monseigneur Fellay, dans l’idée que :
- « tout cela ne peut pas être mal pensé » ;
- « il existe des contradictions : parfois, l’on cache ou nie les erreurs modernistes de ces documents, mais d’autres fois on les dénonce » ;
- « peut-être Monseigneur Fellay s’illusionne-t-il en pensant obtenir quelque chose » ;
- « peut-être les supérieurs ont-ils des raisons que nous ignorons » ;
- « il est certain qu’on dit parfois des choses fausses et qu’on laisse passer des erreurs (ce qui me déplaît), mais peut-être est-ce afin de parvenir au stade des discussions doctrinales et, cette position une fois acquise, de tirer sur les modernistes avec toute notre artillerie ».
C’est pourquoi, encouragé notamment en cela par l’abbé Bouchacourt, j’ai décidé de soumettre mes doutes et mes objections par écrit à Monseigneur Fellay. Je l’ai fait en octobre et novembre 2009.
Je puis dire, en résumé, que la réponse reçue de Monseigneur Fellay se présentait ainsi :
1. Il ne répondait pas aux questions suivantes, que je lui avais posées : Comment se peut-il que nous ayons continué alors que Rome ne s’est pas convertie ? Avez-vous sollicité la levée des excommunications ? Il ne réagissait pas non plus aux autres objections doctrinales mentionnées ci-dessus.
2. Ou alors, il m’opposait des excuses : il rejetait sur les journalistes la responsabilité des erreurs contenues dans ses déclarations, en disant que j’interprétais en mauvaise part (alors qu’en réalité, je lui avais cité textuellement ses déclarations, telles que les avaient reproduites les publications officielles de la Fraternité), etc.
3. Ou encore, il fournissait des réponses incroyables et, de ce fait, préoccupantes :
- « Bien que Rome ne nous ait pas donné exactement ce que nous avions demandé, néanmoins, par analogie, nous pouvons prendre tout ce qui va dans la bonne direction ».
- « Il y a des personnes qui veulent le bien de l’Église, au Vatican également. Si quelqu’un, comme vous-même ou un abbé Ceriani, prétend que ce sont tous des modernistes, il se trompe. Vous n’êtes plus dans la réalité et la vérité ». Comment se peut-il que le Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X ait une vision des choses aussi erronée ?
- « [Avec Benoît XVI] commence une restauration authentique dans l’Église » (même remarque).
À cela vient s’ajouter ce qui suit :
1. Il m’est interdit d’écrire ou de prêcher sur les erreurs du Motu Proprio, de dire aux fidèles que Benoît XVI ne veut nullement nous aider dans ces tractations ; et si je ne suis pas disposé à taire tout cela, je n’ai qu’à quitter la Fraternité. Il m’est interdit de prêcher sur le Pape, voire interdit de confesser. Pourquoi tous ces interdits ? Parce que j’ai osé opposer des objections doctrinales aux tractations avec Rome et qu’on ne voulait pas que j’en parle aux fidèles.
2. On m’a exclu du prieuré de Bucaramanga parce que j’avais dit dans un sermon : « Le Pape est moderniste, et nous prions pour sa conversion ». C’est le prieur de Bucaramanga qui a procédé à mon exclusion, avec l’appui de l’abbé Bouchacourt. Lorsque je protestai de celle-ci auprès de Monseigneur Fellay, ce fut en vain. Ce dernier devait même approuver l’abbé Bouchacourt après que ce dernier eut caché le fait que mon exclusion était due à ce motif.
3. Durant notre échange de lettres portant sur des thèmes doctrinaux, l’abbé Bouchacourt d’abord, puis Monseigneur Fellay ont essayé de « noyer le poisson » et de discréditer mon propos : ils m’écrivirent en disant que le problème tenait uniquement à ma nervosité, qui me rendait justiciable d’un traitement psychiatrique.
À cet égard, je tiens à préciser ceci : je reconnais que, surtout lorsque je vivais à Buenos Aires (du milieu de 1999 au début de 2007), je dormais très mal la nuit ; cela me fit commettre beaucoup d’entorses aux horaires ainsi qu’au règlement et me rendit nerveux. J’en demande pardon à mes confrères et aux fidèles qui ont pâti de cela. Je tiens du reste à les remercier de la patience qu’ils m’ont témoignée, en particulier l’abbé Rubio, prieur de Buenos Aires.
Mais être nerveux et commettre des fautes est une chose, se laisser prendre pour un schizophrène en est une autre. De même, je reconnais bien volontiers toutes mes fautes, mais autre chose serait d’accepter :
- qu’on prétende me contraindre à suivre un traitement psychiatrique ou que l’on veuille me faire prendre des médicaments psychiatriques en les présentant comme des comprimés pour dormir.
- pire encore, que l’on tente de « noyer le poisson » et de discréditer les objections doctrinales que je présentais, au motif que je devrais consulter un psychiatre. Car on en est arrivé à ceci : pour essayer de faire taire quelqu’un qui émettait des doutes au sujet des discussions avec Rome, on a essayé de lui faire suivre un traitement psychiatrique. Les supérieurs de la Fraternité sont devenus pires que les communistes, qui envoyaient dans une clinique psychiatrique – afin de les détruire – ceux qui s’opposaient à eux.
En résumé :
Au départ, tout en percevant des erreurs doctrinales dans les discussions avec Rome, j’ai essayé de les justifier parce que je ne voulais pas avoir mauvais esprit. Mais lorsque j’ai cherché à éclaircir la question avec mes supérieurs, et en particulier avec Monseigneur Fellay, je n’ai pas reçu de réponse satisfaisante (au contraire), et j’ai constaté la gravité des doutes que j’éprouvais. À cela sont venus s’ajouter des abus d’autorité à mon encontre pour me réduire au silence.
*****
III - Je me suis vu ainsi obligé de confirmer la gravité des erreurs doctrinales que je percevais dans les tractations en question :
On nous a fait accepter des documents qui comportent ou impliquent des erreurs modernistes, on nous oblige à nous taire ou à faire des déclarations erronées ; et je prévois qu’on s’apprête à nous aligner sur les « Ecclesia Dei ». Pour ces diverses raisons, il est visible que les tractations en cours avec Rome vont à l’encontre de tout ce qu’ont toujours dit et fait Monseigneur Lefebvre et la Fraternité qu’il a fondée. C’est pourquoi je dis qu’on est en train de trahir la Fraternité.
Si Satan a fait un coup de maître en imposant le modernisme à l’Église par le biais de l’obéissance, il en fait un plus grand encore en amenant la Fraternité à laisser passer les erreurs modernistes, cette fois aussi par le biais de l’obéissance.
Voilà pourquoi je ne puis être d’accord en conscience avec tout cela.
Par conséquent :
- ayant trouvé confirmation de la gravité des erreurs doctrinales qui caractérisent ces tractations ;
- voyant qu’après consultation de Monseigneur Fellay, celui-ci ne trouvait aucune réponse valable à apporter aux objections que je lui soumettais, et même qu’il y ajoutait des erreurs plus grandes ;
- voyant que l’on m’a adressé deux pseudo-admonitions canoniques d’expulsion fondées sur des mensonges (à savoir que mes problèmes étaient dus à un déséquilibre psychiatrique, alors qu’ils tenaient en réalité au fait que j’avais émis des doutes doctrinaux concernant ce que nous faisons actuellement avec Rome) ;
- le Lundi de Pâques (soit le 5 avril dernier), mû par des raisons doctrinales, j’ai décidé librement et en toute conscience de quitter la Fraternité.
Je pense que tout cela indique très clairement quels ont été les motifs m’ayant décidé à quitter la FSSPX. Je sais que mes fautes personnelles ont été nombreuses. Mais il est arrivé un moment où je me suis dit : « Ce ne sont pas là des problèmes personnels ; il s’agit de points de doctrine, et je ne puis donc me taire ». C’est ainsi que tout a commencé. Et ce n’est pas de gaieté de cœur que j’ai décidé de partir.
Je suis conscient des risques qu’il y a de ne pas appartenir à une congrégation. Mais on peut être certain de bien agir si, malgré toutes ses fautes, on ne fait que chercher à rester fidèle à Notre Seigneur. C’est pourquoi je pense pouvoir persévérer avec l’aide de Dieu.
Puisse ce que j’écris là contribuer à ouvrir les yeux des paroissiens sur ce qui se passe actuellement dans la Fraternité.
Et qu’au sein de la FSSPX, on cesse de se taire et de tromper au sujet de ces tractations destructrices, ainsi que de collaborer avec elles.
La Fraternité était le phare et le principal réduit de résistance de la Tradition. Mais à cause des erreurs qu’elle a acceptées aux fins desdites tractations, elle se fissure et sa lumière devient falote. Dieu veuille que Monseigneur Fellay et ses collaborateurs mettent fin à ces discussions avec Rome, qui ne servent à rien, détruisent la Fraternité et risquent de faire sombrer en même temps toute la Tradition. Dieu veuille qu’ils fassent marche arrière et renient publiquement toutes les erreurs qui ont été commises. Dieu veuille qu’un autre prêtre, un évêque ou une congrégation religieuse traditionaliste ait le courage de réagir publiquement contre toutes ces erreurs doctrinales.
Certains me disent : « Monsieur l’abbé, ne divisez pas les fidèles ni la Tradition en les incitant à réagir ! »
À cela je réponds : « Pardon ! Mais qui donc divise les fidèles et les prêtres ? Quelqu’un qui réagit et s’oppose aux erreurs doctrinales inouïes commises au sein de la Fraternité ? Ou bien plutôt Monseigneur Fellay et ses collaborateurs, qui même après avoir dit que traiter avec Rome reviendrait à répandre un acide ayant pour effet de nous diviser, même après que plusieurs voix se sont élevées pour conjurer ce danger, s’obstinent à poursuivre dans la même voie ? »
Ce qu’il me reste à faire, c’est de vous inviter à prier pour que Dieu nous aide tous à poursuivre ce que nous faisons depuis le début dans la Fraternité : nous efforcer de maintenir la Tradition, transmettre le sacerdoce, aider à la sanctification des âmes, mais aussi nous opposer avec clarté et fermeté au modernisme du Pape et de l’Église officielle.
Ou alors, il faudrait se demander pourquoi Monseigneur Lefebvre a fait tout ce qu’il a fait.
Que Dieu et la sainte Vierge vous vienne en aide à tous.
Dieu vous bénisse.
Abbé Juan José Turco
L’ABBÉ JUAN JOSÉ TURCO POURSUIT LE BON COMBAT
Mardi 27 avril 2010
par Radio Cristiandad
http://radiocristiandad.wordpress.com/2010/04/27/el-padre-juan-jose-turco-continua-el-buen-combate/
LES AUTORITÉS DE LA FSSPX CONFIRMENT L’ERREUR ET L’AMBIGUÏTÉ DE LEUR ATTITUDE ET PROVOQUENT UNE NOUVELLE RÉACTION COURAGEUSE
La situation actuelle se caractérise, premièrement par la voie erronée qu’ont empruntée les supérieurs de la FSSPX et la constante ambiguïté avec laquelle ils tentent de la justifier, deuxièmement par les réactions appropriées de prêtres et de fidèles soucieux de défendre la Foi.
LETTRE À MONSEIGNEUR BERNARD FELLAY,
SUPÉRIEUR GÉNÉRAL DE LA FSSPXBogotá, le 5 avril 2010
Lundi de Pâques
Monseigneur,
Après avoir rendu compte de ce qui s’était passé entre nous sur un plan personnel (avec les lettres que je vous ai adressées hier), et comme suite à ce qui est arrivé ainsi qu’aux réponses que j’ai reçues, je constate qu’il est inutile de continuer à écrire. Je ne puis, en conscience, être d’accord avec ce que vous faites, Monseigneur, vous-même et les autres prêtres :
Premièrement et avant tout, à cause des erreurs doctrinales que trahissent ces tractations avec Rome.
En résumé, je veux parler ici :
- des erreurs doctrinales qui sont à la base de vos préalables ;
- de la question de savoir si vous avez sollicité ou non la levée des excommunications ;
- de la question de savoir pourquoi est dissimulé ou déformé ce qu’a dit et accompli Monseigneur Lefebvre.
- du point de savoir comment peut être attribué à l’intercession de la sainte Vierge la réponse positive à des préalables impliquant des erreurs modernistes, voire des mensonges purs et simples ;
- du point de savoir comment vous pouvez présenter une fausse image de Benoît XVI, censé être favorable à la Tradition (En quoi lui serait-il favorable ? En disant que la Messe traditionnelle est subordonnée à la nouvelle messe ou en cherchant à les fondre l’une dans l’autre ? En levant les excommunications comme si elles avaient jamais été valides ? En disant que nous sommes hors de l’Église et que nous devons accepter le Concile ? En utilisant l’image du Curé d’Ars pour promouvoir « la participation active des laïcs » ou conférer au modernisme un vernis de « sainteté » et de « piété » à seule fin de sauver la liturgie moderniste ?) ;
- des autres points abordés dans les lettres que je vous ai adressées en octobre et novembre de l’an dernier.
Je ne puis, en conscience, être d’accord avec ces tractations, en raison des erreurs dont elles sont imprégnées ; parce qu’on nous oblige à nous taire (alors que les faits parlent d’eux-mêmes) ; parce que je prévois que nous allons continuer à céder sur le plan doctrinal ; parce qu’à en juger par les déclarations de la Fraternité, je constate que ce que l’on veut, ce n’est pas convertir Rome, c’est aboutir à une solution canonique sans se préoccuper de savoir si nous n’allons pas laisser tomber en route la doctrine et la liturgie ; parce que je prévois que nous allons nous aligner sur les Ecclesia Dei ; parce que la manière dont ces tractations sont conduites implique une trahison de Monseigneur Lefebvre.
Deuxièmement, je ne puis, Monseigneur, être d’accord en conscience avec bon nombre de vos affirmations.
Outre celles que je vous ai citées en d’autres occasions, je tiens à souligner qu’il me semble incroyable que le Supérieur de la Fraternité Saint-Pie X ait une vision assez erronée pour en arriver à affirmer :
- « Si quelqu’un, comme vous-même ou un abbé Ceriani, prétend que ce sont tous des modernistes [au Vatican], il se trompe. Vous n’êtes plus dans la réalité et la vérité. » ;
ou encore :
- « Une rénovation de l’Église a commencé. Elle est très difficile, mais authentique. »
Troisièmement, mon désaccord tient aux implications doctrinales des tractations en question.
Je ne puis être d’accord, par exemple, avec l’interdiction qui m’a été faite de parler du modernisme de Benoît XVI. Il est incroyable qu’une telle interdiction ait pu être formulée au sein de la fraternité Saint-Pie X.
Quatrièmement et enfin, je ne puis être d’accord non plus avec les abus d’autorité qui ont été commis, et je proteste à nouveau contre eux.
Je veux parler de la menace dont il ressortait que je devrais quitter la Fraternité si je n’étais pas disposé à me taire au sujet du modernisme du Pape ; de mon expulsion de Bucaramanga sur la foi de mensonges ; des pseudo-admonitions canoniques faisant état d’une expulsion ; de l’interdiction de tout apostolat et de toute confession. Il est absolument incroyable de constater à quel niveau vous êtes tombés, vous-même comme les autres supérieurs de la Fraternité, pour éviter qu’on ne parle des erreurs qui imprègnent vos tractations avec Rome et afin de persécuter ceux qui auraient l’audace d’élever des objections.
Monseigneur, vous saurez si vous poursuivez ou non ces tractations. Mais en conscience, je ne puis être d’accord avec les erreurs doctrinales qu’elles impliquent, ni avec les abus d’autorité commis à mon encontre, pas plus que je ne puis consentir à ce que fait actuellement la Fraternité. C’est pourquoi je me vois forcé de la quitter.
En conséquence :
1. Par la présente, et pour les motifs exposés ci-dessus, je vous communique ma décision de quitter la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X à compter de ce jour.
2. Si, à un moment quelconque, la Fraternité met fin à ces tractations qui nous détruisent et entreprend à nouveau de dénoncer clairement le modernisme de l’Église officielle et du Pape, je demanderai à y être réintégré.
Abbé Juan José Turco
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http://www.virgo-maria.org/Documents/FSSPX/2009-02-03-Appel-P-Ceriani.pdf
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[9] http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-11-11-A-00-Question-about-Bishop-Fellay.pdf
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[11] http://www.virgo-maria.org/Documents/eveques/mgr-fellay/VM-Mgr_Fellay_denonce_quatre_loges_au_Vatican htm
[12] http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-12-04-A-00-CIRS_Avrille_Maronites.pdf
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