CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX
http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf
Qui et
Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à
la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome
conciliaire |
Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ? |
Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ? |
Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968? |
A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ? |
Serait-ce
donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on
veuille désormais faire dire la messe du |
Serait-ce que l’on
veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec
un clergé aussi INVALIDE que le |
Gaude,
Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus
Missæ Salve Sancta Parens)
jeudi 13 janvier 2011
Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.
« Tout va très bien, très cher fidèle…suivant le plan » par Mgr Fellay
Parodie de Mgr Fellay sur le thème de « Tout va très bien Madame la Marquise ». Deux témoignages sur le passage à Paris de Mgr Fellay le 10 janvier 2010 : roueries et tromperies feignant de critiquer la nouvelle manifestation « œcuméniste » d’Assise, mais épargnant totalement son organisateur l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI afin de ne pas compromettre les pseudo-« discussions doctrinales » et surtout les négociations en cours pour rallier la Rome moderniste antichiste et liquider l’œuvre de Mgr Lefebvre. Le discours creux et pitoyable de « la Maison de l’… Al... chimie conciliaire » ?
En sortie de colloque Si si No no, un spectacle déshonorant et fétide de courtisaneries ecclésiastiques autour du très vaniteux Mgr Fellay.
Réagissant au VM[1] du 9 janvier 2011 sur la trahison de Mgr Fellay, un fidèle a composé cette parodie humoristique sur le thème de la chanson « Tout va très bien Madame la Marquise » et nous l’a adressée, nous la publions en annexe.
Nous sommes heureux de la faire connaître car elle résume très bien, sur un ton badin, ce qu’est la tromperie qu’opère le « truqueur mîtré »[2] : il a réussi à faire accepter à la FSSPX, la prééminence du rit de Bugnini-Montini-Paul VI (constituant des messes invalides – donc sacrilèges – de façon exponentielle selon Mgr Lefebvre) comme la forme « ordinaire » du rit romain !
Tout comme Mgr Fellay-fallax a réussi à faire accepter à la FSSPX le primat de l’église Conciliaire (maçonnique « œcuméniste », mondialiste, antichriste) ! (à travers la prétendue « levée des excom-munications »).
Selon nos informations, elles-mêmes recoupées par les enregistrements publiés par Dici.org et La Porte Latine.org, le dimanche 10 janvier 2011, Mgr Fellay, que ce soit à l’église Saint Nicolas du Chardonnet ou à la Maison de la Chimie, pour la clôture du congrès de trois jours de Si si No no – Courrier de Rome, a fait semblant de s’indigner de l’annonce de la nouvelle journée d’Assise par l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI : à aucun moment Mgr Fellay n’a prononcé le nom de « Benoît XVI » en traitant de ce sujet !
Sa critique superficielle et vague, voire absolument débile et grotesque (« c’est un mystère », « ça fait peur », etc.) sonnait faux, comme une posture de circonstance, car il ne pouvait éviter le sujet… mais son attitude qui n’avait pas les accents de la sincérité, tranchait singulièrement avec la fureur de Mgr Lefebvre contre cette profanation du premier commandement divin.
On nous signale même que l’abbé Lorans alla plus loin que Mgr Fellay en rapportant dans sa critique qu’il avait vu Mgr Lefebvre à Écône qui était dans une telle colère qu’il aurait voulu s’interposer physiquement pour que la rencontre scandaleuse d’Assise n’eût pas lieu… À côté de l’abbé Lorans, Mgr Fellay faisait, paraît-il, des pirouettes avec son stylo et multipliait les expressions creuses, en veillant bien soigneusement à ne jamais impliquer Ratzinger : « on ne comprend pas », « c’est incompréhensible », … etc. .
Pour la Maison de la Chimie, nous avons reçu ce premier témoignage :
« Mgr Fellay s’exprima devant une assemblée très clairsemée (150 à 200 personnes ?) en nette chute par rapport à 2009. Il parlait dans un auditorium imposant et immense. La hauteur de plafond de plus de quatre étages contrastait singulièrement avec la platitude des propos de l’évêque rasant la moquette (…)
Il commença par se payer la tête de ses auditeurs en débitant des âneries pseudo philosophiques sur le stylo comme instrument pour remplir une page blanche dans le genre : « voyez… le… stylo est… un iiiinnnssstrument… sans lequel la page reste blanche… c’est un … objet… mais la page une fois écrite porte quelque chose de plus que l’encre du stylo… au point même qu’il existe une science pour tenter de découvrir quelque chose de celui qui a tenu le stylo à partir des traces qu’il a laissées… cette science s’appelle …la … gra – pho – lo – gie… » … Quelle stupéfaction dans l’assemblée au souffle coupé devant tant de science dans la bouche du supérieur de la FSSPX !
Quelques esprits un peu faibles s’émerveillaient devant de telles niaiseries. Quelques bienheureux prêtaient un grand humour à Monseigneur. Les autres fidèles restaient de marbre. Ils étaient atterrés devant un tel effondrement intellectuel au sommet de la FSSPX.
Chaque année, la pensée de Mgr Fellay fait des bonds de géants. En janvier 2009, il avait gratifié les auditeurs du colloque théologique de très haut niveau de la FSSPX d’une réflexion lumineuse. Il avait brandit son stylo rouge devant son auditoire médusé en tenant des propos dans le genre : « ceci n’est pas un cardinal… ceci est un stylo… pour l’idéaliste la chose n’existe pas par elle-même… ».
Éclairé par des extraits d’un second témoignage :
« Mgr Fellay (…) sortit sur le nouvel Assise quelques banalités qui ne l’engageaient à rien (…). Mgr Fellay reconnu que la tenue des discussions doctrinales avait imposé à la FSSPX de taire toute critique de fond contre l’église Conciliaire (et donc son chef). (…)
« Il fit état de rencontres qu’il menait avec des jeunes prêtres conciliaires [NDLR : donc des faux prêtres invalidement ordonnés]. Il tenta une critique du « professeur Ratzinger » des années 60. Le théologien du Concile avait déclaré que les parties les plus importantes du credo auraient été : « Credo » et « Amen ». Cela revenait à évacuer tout le contenu. Après tant d’audace, Mgr Fellay se repris immédiatement en ajoutant que le « Pape ne dirait plus cela »… En effet Mgr Fellay avait sans doute des preuves indubitables que Benoît XVI s’était converti !... Des preuves qu’il gardait pour lui…
À la Maison de la Chimie à Paris, le 10 janvier 2010, Mgr Fellay s’est ingénié à berner les fidèles par un discours fade et niais et une protestation feinte contre la nouvelle journée « œcuménique » d’Assise, mais en épargnant très soigneusement son organisateur, l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI. Il n’a apporté aucun démenti public à son interview de reniement[3] de Mgr Lefebvre parue dans les Nouvelles calédoniennes le 27 décembre 2010.
« Et puis vint la séance d’hystérie conclusive.
« Alors que Mgr Fellay rencontrait les personnes qui venaient le saluer et religieusement baiser son anneau, l’abbé de Cacqueray était immédiatement pris d’une crampe nerveuse qui le faisait sourire d’une oreille à l’autre. Ce sourire Colgate de vendeur de brosse à dent devenait contagieux. Mgr Fellay était subitement entouré de faciès souriants jusqu’à l’hilarité. Lui-même se laissait gagner par cette joie soudaine, qui crispait les pommettes et découvrait les gencives. Ses interlocuteurs s’inclinaient devant sa Grandeur et saluaient tant de majesté épiscopale émanant de sa soutane au liseré violet… Moment de joie ineffable autour du Supérieur de la FSSPX… La Maison de la Chimie avait-elle distillé quelque alchimie abêtissante et niaise dont la multiplication des rencontres avec les prélats conciliaires distillerait l’élixir enivrant et débilitant ?
« Au milieu de cette séance théâtrale et fétide de courtisanerie sans équivalent, le Père Lelong flanqué de l’abbé Barthe étaient touchés par la même grâce de bienheureux souriants (…). Ils s’approchaient de Son Excellence… Ah ! Tant de séances du G.R.E.C. pour enfin goûter ces divins instants…
« Était-ce pour nourrir ce cloaque de prêtres carriéristes, menteurs et ignorants que nous avions pris l’église Saint Nicolas du Chardonnet en 1977, avec le soutien de l’abbé Coache ? (…) »
La réaction favorable de plusieurs sites ralliés (Summorum-Pontificum.fr, Chrétienté.Info, etc.), dès le lendemain de la visite de Mgr Fellay montre parfaitement que sa fausse critique d’Assise III n’a eu aucun impact et n’était qu’une critique de surface destinée à endormir les moins méfiants. Ces sites ont loué la position toute en nuance de Mgr Fellay qui ne compromet aucunement la suite du rapprochement avec la Rome apostate.
Plus encore que le discours fade et nullissime de Mgr Fellay qui nous est rapporté, ce spectacle final et répugnant de prosternation cléricale débile est consternant. Il montre à quel point nous avons changé de monde depuis les rencontres avec Mgr Lefebvre. Et cela tout particulièrement dans les dernières années de sa vie. Car, lors des années 70, après la fondation de la FSSPX, l’atmosphère de combat et de jeunesse (mais qui étaient tout autant appréciables) prenait le pas sur la solennité de ses années d’après les sacres. En sa présence, un tout autre climat, surnaturel celui-là, s’imposait et son sourire simple et chrétien n’avait rien de commun avec les simagrées méphitiques de ces clercs infects.
Qui donc débarrassera la Fraternité de ce chancre ? Il faudra avant cela que les contacts avec Rome soient rompus.
Selon ce qui nous a été rapporté, la mine patibulaire de l’abbé Schmidberger qui avait quitté la salle, bien avant cette séance puante et nauséabonde d’abbés de cour, ne concédait rien à ces puérilités de médiocres soutanes rampant devant les prébendes ecclésiastiques espérées… Son visage fermé et froid, n’avait pas à se laisser prendre par un sourire surfait : taupe infiltrée dès 1972 (avec Richard Williamson) auprès de Mgr Lefevvre, il est, depuis la mort inopinée de ce dernier le 25 mars 1991, le véritable patron intérieur de la FSSPX surveillant de près sa créature : Mgr Fellay qu’il avait propulsé en 1994 sur le siège de supérieur. Car l’abbé Méramo avait barré la route à la réélection du clerc allemand.
Il était l’homme que Mgr Lefebvre avait accusé depuis son lit d’hôpital de détruire la FSSPX, quelques jours avant sa mort inopinée le 25 mars 1991, l’homme qui avait laissé Mgr Lefebvre à l’hôpital, agonisant dans une immense solitude, et non pas entouré de la présence réconfortante des membres de la Fratenité.
Pour janvier 2012, au prochain colloque Si si No no, de quelle nouvelle variante hautement philosophique Mgr Fellay fera-t-il bénéficier son auditoire enthousiaste devant un tel maître qui fait tant progresser la pensée ?
Évidemment au cours de ses interventions parisiennes, Mgr Fellay n’a apporté aucun démenti public à la diffusion publique de son interview du 27 décembre 20103 dans les Nouvelles calédoniennes. CQFD.
Continuons le bon combat
La Rédaction de Virgo-Maria
© 2011 virgo-maria.org
TOUT VA TRÈS BIEN, TRÈS BIEN, SUIVANT LE PLAN…
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelles sont les nouvelles ?
Êtes-vous à Rome ?
Comment cela a-t-il pu arriver ?
— Tout va très bien, mon cher fidèle…
Tout va très bien, très bien…
Le Saint Père m´a appelé
et en courant j´y suis allé…
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelles sont les nouvelles ?
Quinze jours après votre absence
de l’autre bout du fil,
je vous demande, que trouveront-nous à votre retour ?
— Tout va très bien, mon cher fidèle…
Tout va très bien, très bien…
Avec le Très Saint Père nous avons décidé de procéder par étapes,
suivant le plan…
— Allô, allô, Monseigneur
Quelles sont les nouvelles ?
Procéder par étapes suivant un plan ?
Quelles sont-elles ces étapes ?
Quel est ce plan ?
— Tout va très bien, mon cher fidèle…
Tout va très bien, très bien…
Avec le Très Saint Père nous avons décidé de libérer la Messe.
Pourtant il faut que l´on vous dise,
que l’on déplore un tout petit rien,
un incident, une bêtise :
La Messe traditionnelle sera la forme extraordinaire ;
mais à part ça, mon cher fidèle,
tout va très bien, très bien ;
suivant le plan...
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelle est cette nouvelle ?
La vrai Messe, n´est plus l’officielle et l’ordinaire ?
Expliquez-moi, Monseigneur,
Comment cela a-t-il pu arriver ?
— Cela n´est rien, mon cher fidèle…
Cela n’est rien, tout va très bien…
suivant le plan…
Pourtant, il faut que l’on vous dise,
Que l’on déplore un autre petit rien :
La messe nouvelle est la forme ordinaire
d’un seul rit…
Mais à part ça, mon cher fidèle,
tout va très bien, très bien,
suivant le plan…
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelle est cette nouvelle ?
Un seul rit ? La messe bâtarde, officielle ?
Expliquez-moi, Monseigneur,
Comment cela a-t-il pu arriver ?
— Cela n’est rien, mon cher fidèle…
Cela n’est rien, tout va très bien…
Pourtant il faut que l’on vous dise,
que l’on déplore un autre petit rien :
Si la Messe du Saint Père Paul VI est officielle…,
s’il y a un seul rit avec deux formes…,
c’est parce que les deux expriment la même foi…,
Mais, à part ça, mon cher fidèle,
tout va très bien, très bien,
suivant le plan…
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelle est cette nouvelle ?
Un seul rit ? La même foi ?
Expliquez-moi, Monseigneur, que je me sens défaill…
Comment cela a-t-il pu arriver ?
— Mon cher fidèle…
Laissons cela pour le moment…,
car vous devez savoir que le Saint Père a levé notre excommunication…
Suivant le plan…, évidemment !
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelle est cette nouvelle ?
Nous sommes en communion avec l’Eglise Conciliaire ?
Nous appartenons à l’Eglise Officielle ?
Comment cela a-t-il pu arriver ?
— Cela n’est rien, mon cher fidèle…
Cela n’est rien, tout va très bien…
Pourtant il faut que je vous dise,
que l’on déplore d’un autre petit rien :
Monseigneur Lefebvre et Monseigneur de Castro Mayer
restent excommuniés et sans réhabilitation…
Mais à part ça, mon cher fidèle,
tout va très bien, très bien…
suivant le plan…
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelle est cette nouvelle ?
Vos pères spirituels dénigrés ?
Comment une telle impiété est-elle arrivée ?
Quoique en réalité, c´est un honneur !
— Cela n´est rien, mon cher fidèle…
Cela n’est rien, tout va très bien…
Pourtant il faut que je vous dise,
Que l’on déplore un autre petit rien :
on espère que le Très Saint Père
nous reconnaîtra comme de vrais évêques catholiques…
Mais à part ça, mon cher fidèle,
tout va très bien, très bien…
suivant le plan…
— Allô, allô, Monseigneur ?
Quelles sont les nouvelles ?
Procéder par étapes suivant un plan ?
Quelles étapes sont-elles ?
Quel est le plan ?
— Cela n’est rien, mon cher fidèle,
Cela n’est rien, tout va très bien…
Nous formons une petite vague…
Il y aura une restauration…
Suivant le cœur du Saint Père…
et les étapes du plan !...
TOUT VA TRÈS BIEN, MADAME LA MARQUISE
Allô ?
Allô, allô, James,
Quelle nouvelle ?
Absente depuis quinze jours,
Au bout du fil,
Je vous appelle
Que trouverai-je à mon retour ?
— Tout va très bien, Madame la Marquise.
Tout va très bien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut, que l’on vous dise
On déplore un tout petit rien,
Un incident, une bêtise :
La mort de votre jument grise,
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très, bien tout va très bien.
— Allô, allô, Martin ?
Quelle nouvelle ?
Ma jument grise, morte aujourd’hui ?
Expliquez-moi, cocher fidèle,
Comment cela s’est il produit ?
— Cela n’est rien, Madame la Marquise.
Cela n’est rien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut, que l’on vous dise
On déplore un tout petit rien.
Elle a péri dans l’incendie
Qui détruisit vos écuries.
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très, bien tout va très bien.
— Allô, allô, Pascal ?
Quelle nouvelle ?
Mes écuries ont donc brulé ?
Expliquez-moi, mon chef model,
Comment cela s’est-il passé ?
— Cela n’est rien, Madame la Marquise.
Cela n’est rien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut, que l’on vous dise
On déplore un tout petit rien.
Si l’écurie brûlât, Madame,
C’est que le château était en flamme.
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très, bien tout va très bien.
— Allô, allô, Lucas ?
Quelle nouvelle ?
Notre château est donc détruit ?
Expliquez-moi, car je chancelle,
Comment cela s’est-il produit ?
— Et bien voilà, Madame la Marquise,
Apprenant qu’il était ruiné,
À peine fut-il revenu de sa surprise
Que Monsieur le Marquis s’est suicidé.
Et c’est en ramassant la pelle
Qu’il renversa toutes les chandelles
Mettant le feu à tout le château
Qui se consuma de bas en haut,
Le vent soufflant sur l’incendie
Le propagea sur l’écurie
Et c’est ainsi qu’en un moment
On vit périr votre jument,
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très, bien tout va très bien.
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[1] Mgr Fellay, le « Truqueur mîtré », ainsi que le qualifie – avec quelle justesse ! – l’abbé Ceriani (r-FSSPX) :
http://www.virgo-maria.org/articles/2010/VM-2010-05-10-B-00-Abbe_Ceriani-repond-a_Mgr_Fellay.pdf
http://www.virgo-maria.org/articles/2011/VM-2011-01-09-A-00-Mgr_Fellay-traitre.pdf
[2] Qualificatif que donne l’abbé Cériani (r-FSSPX) à Mgr Fellay