CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf

Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

samedi 19 février 2011

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

Lettre ouverte de Yantsos à Mgr Fellay,
Supérieur Général de la FSSPX

  

L’écrivain L.Yantsos s’étonne publiquement de la diligence fébrile de l’abbé Schmidberger (la Taupe n°2 incrustée depuis 1972 au sein de la FSSPX) pour exonérer l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI de tout soupçon d’homosexualité[1].  En réalité les rumeurs s’amplifient sur l’homosexualité du chef apostat de l’église Conciliaire et il est surprenant que son ami d’enfance, l’abbé Schmidberger cherche deséspérément à les étouffer sous le « sceau du secret ».

Nous relayons cette Lettre Ouverte que l’écrivain Laura Yantsos adresse à Mgr Fellay sur la question de l’homosexualité de Ratzinger-Benoît XVI.

Cela ne signifie pas que nous acceptons pour autant les différentes opinions de Mme Yantsos, en particulier sur Fatima.

Voici son texte traduit en français :

Lettre ouverte (par email) à Mgr Fellay de la FSSPX

From: yantsos@optonline.net

To : bfellay@fsspx.org

Date : Samedi, March 20, 2010 10:12 pm

RE : La défense du “pape” par l’abbé Schmidberger.

Je puis songer à défendre de meilleures causes — telles que la Foi par exemple. Même l’état épiscopal de Mgr Williamson constitue une cause des plus nécessaires à défendre parmi les vérités premières. Cependant cette défense du Pape n’a d’autre effet que de soulever la suspicion à l’encontre de la Fraternité Saint Pie X.

Le 15 décembre 2010, Ratzinger-Benoît XVI et son secrétaire particulier « Mgr » Gaenswein se délectent publiquement d’un spectacle donné torse nu en pantalon moulant par un groupe de militants pro-homosexualité au sein du Vatican[2].

Est-ce ce que l’abbé Schmidberger cherche à dissimuler aux fidèles ?

Il existe un gériatre vivant au Canada, qui vivait autrefois en Allemagne où, lorsqu’il était jeune homme, il avait l’habitude de jouer au tennis aussi bien avec Ratzinger qu’avec le frère de ce dernier. Ce docteur a déclaré qu’il était de notoriété publique que Ratzinger, tout comme son frère, étaient des homosexuels — donc retour au point de départ.

Il existe nombre de Catholiques, de Catholiques traditionnels, qui savent bien ce que ce docteur a déclaré.

Aujourd’hui, des rumeurs courent, qui sont parvenues jusqu’aux journaux, selon lesquelles Ratzinger serait un pervers.

Partout sur le réseau internet des homosexuels font des gorges chaudes sur les placards de l’homosexualité de Ratzinger. Ils n’avaient jamais agi de cette manière à propos de Jean- Paul II.

Si l’abbé Schmidberger s’obstine, en tant que dignitaire de la FSSPX, à défendre le "Pape" contre ces accusations (et il existe bien d’autres accusations à propos de ce pape révélées par des ouvrages (cf. par exemple Voeux de Silence, écrit par deux journalistes), les gens vont commencer à suspecter l’abbé Schmidberger d’être lui-aussi un pervers.

Avec les scandales d’homosexualité et de perversion qui font rage au sein de la prêtrise catholique — endémiques (au niveau mondial) — s’est envolée la présomption de "sainteté" parmi les prêtres, qui autrefois leur gagnait la confiance des enfants, comme celle de leurs parents. Cette confiance perdue ne saurait être restaurée par la suggestion de l’abbé Schmidberger de placer ces questions sous le sceau du secret.

Laura Yantsos

yantsos@optonline.net »

Rappelons que l’homosexualité de Ratzinger-Benoît XVI a déjà été dénoncée récemment sur les chaînes de télévision des États-Unis par Hutton Gibson, le père de l’acteur-producteur Mel Gibson, le réalisateur du film « La Passion du Christ », et que dans certains milieux bien informés, le chef apostat de l’église Conciliaire est désormais surnommé « Joséphine »…

Fait troublant, l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI ne cache désormais plus son attirance pour les jeunes hommes au torse bombé et aux tenues moulantes. Il s’est ainsi délecté publiquement le 15 décembre 2010, entouré de toute sa Curie, au Vatican, lors d’un spectacle donné par une troupe de chippendales[3] pro-gay venus se produire à demi-dénudés en plein Vatican.

« Vœux de silence » - « L’abus de pouvoir lors du pontificat de Jean-Paul II »

Par Jason Berry and Gerald Renner[4]. Une enquête sur les abus sexuels au sein de l’église Conciliaire.

Mme Randy Engel (cf. le site Virgo-Maria[5]) s’est également interrogé publiquement sur les mœurs réelles de cet abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.

Désormais, ce dossier commence à devenir très lourd. Il ne reste plus que Mgr Fellay pour persister vainement à tenter de faire croire aux clercs et fidèles catholiques au soi-disant « cœur catholique » et au retour prétendu du chef du Vatican, le « bon Benoît XVI », « aux idées traditionnelles » !

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

© virgo-maria.org

 
ANNEXE A  – « Vœux de silence » [6] « L’abus de pouvoir lors du pontificat de Jean-Paul II »
Par Jason Berry and Gerald Renner -  Février 2004
 

Amazon.com Review

Authors Jason Berry (Lead Us Not into Temptation) and Gerald Renner (retired reporter for the Hartford Courant) team up for this highly accusatory report on the sex abuse scandal within the Catholic Church. The "vows of silence" speak to the Church's self-protective secrecy that made it possible to ignore the rampant abuse, despite all the early accusations and red flags. To reveal the history and scope of this problem, Berry and Renner expertly researched the parallel lives of two key players. The first one is Thomas Doyle, portrayed as an American hero priest. Doyle first heard about priests sexually abusing children in the early 1980s. Doyle immediately started to confront his superiors and blow the whistle at every turn. As early as 1983 Doyle wrote that the Church's secrecy caused any and all wrongdoings to be "denied, covered up and rationalized with equal zeal." Years later he became an advocate for! victim restitution, testifying against the Church in numerous court cases. The second character is more like the antichrist: Father Marcial Maciel, who was the influential founder of the cult-like order of Legionaries of Christ and accused of being a particularly cruel and long-term sexual predator.

This parallel lives approach makes for compelling storytelling, but it also creates a disjointed approach with much skipping around in time. What sets this apart from yet-another-expose about the Catholic Church sex abuse scandal is the in-depth reporting on the militaristic Legionaries of Christ, an extremely powerful and conservative order of priests and laymen that are affiliated with a worldwide web of prep schools and universities. Berry and Renner offer a fascinating conspiracy theory about how this international legion managed to protect its abusers and contribute to the long-term secrecy and cover-up. The bold accusations eventually land in the lap of Pope John Paul II, who seemed more invested in protecting the legion and the vow of silence than addressing the abuse. --Gail Hudson

From Publishers Weekly

This impassioned exposé explores the history of priestly pedophilia scandals, and their roots in what the authors portray as the Church's blinkered sexual morés and arrogant hierarchy, through profiles of two emblematic Church figures. The first is Thomas Doyle, an American priest who investigated abuses in the early 1980s; when his recommendations for reform were ignored, Doyle broke with the hierarchy and began testifying about the Church's cover-up. Doyle's antithesis is Marcial Maciel Degollado, founder of the Legionaries of Christ, a secretive, fanatically disciplined order of conservative priests and laymen with a chain of universities and schools that critics liken to a cult. Lionized by John Paul II, Maciel is also a pedophile and Demerol addict, according to at least nine former priests and seminarians who claim they were victimized by him. Investigative journalists Berry and Renner build on years of research and hundreds of interviews to paint a portrait of ecclesiastical corruption. They blame the Church's sexual doctrines-particularly the rule on priestly celibacy, which, they contend, has driven away heterosexual men and fostered a pathologically libertine "gay priest culture" at some American seminaries. The result is an atmosphere of silence and hypocrisy that simultaneously condemns and tolerates both homosexuality and priestly sexual abuse, in which an authoritarian Church hierarchy, reaching up to the Vatican, protects pedophiles, and buries accusations in labyrinthine legal maneuvers. The book's sprawling, somewhat disorganized narrative sometimes bogs down amidst incidental characters and insignificant details, and the panorama of sordid sex crimes, quasi-fascist brainwashing and cynical Vatican mandarins may lead critics to accuse the authors, professed Catholics themselves, of retailing lurid anti-Catholic clichés. But their exhaustive reporting adds up to a disturbing indictment of a deeply troubled Church, and this book will no doubt cause much discussion and controversy.

 
ANNEXE B  – English source
 

Open E-Mail to Bishop Bernard Fellay of the SSPX

From: yantsos@optonline.net

To : bfellay@fsspx.org

Date : Saturday, March 20, 2010 10:12 pm

RE : Fr. Schmidberger's defense of the "pope"

Dear Bishop Fellay:

I can think of better things to defend —like the Faith, for instance. Even Bishop Williamson's plight is a far worthier defense of at least the truth. But this defense of the Pope does nothing better than arouse suspicion against the SSPX.

There is an elderly medical doctor living in Canada who once lived in Germany where, as a young man, he played tennis with both Ratzinger and his brother. This doctor stated that it was common knowledge that both Ratzinger and his brother were homosexuals—way back then.

There are a number of Catholic people, traditional Catholic people, who know what this doctor has stated. .

Today, there is gossip, much of which has hit the newspapers, that Ratzinger is a pervert.

All over the Internet homosexuals make fun of Ratzinger’s closet-homosexuality. They never acted likewise with John Paul II.

If Fr. Schmidberger, as an authority of the SSPX, continues to defend the "Pope" against these accusations (and there are plenty of other accusations about this pope contained in books (eg. Vows of Silence, written by two journalists), people are going to suspect that Fr. Schmidberger may also be a pervert.

With the scandals of homosexuality and perversion in the Catholic priesthood — endemic (worldwide)—the presumption of "holiness" among priests that once earned them the confidence and trust of children, as well as of their parents, is gone. That lost confidence and trust cannot be restored by Fr. Schmidberger's suggestion that these matters be kept secret.

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