CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

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Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

jeudi 1er septembre 2011

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14 septembre 2011 : le « hold-up canonique unilatéral » de la FSSPX par Rome, avec la complicité de Mgr Fellay

  

Mgr Williamson (taupe n°1 de la FSSPX, l’agent des cercles subversifs britanniques jouant de concert avec Rome un jeu de revers) – Le pseudo-cardinal Levada accueillant « Mgr » Hepworth (Anglicans invalides) au sein de l’église Conciliaire, avant d’accueillir « unilatéralement » la FSSPX le 14 septembre – Mgr Fellay, au sourire flagorneur, courtisant les bonnes grâces de Ratzinger-Benoît XVI à Rome en échange de la trahison de l’œuvre de Mgr Lefebvre

Les différentes fuites sur la prochaine convocation du directoire de la FSSPX à Rome par le pseudo-“ cardinal ” Lévada, pour le 14 septembre 2011, annoncent une « reconnaissance canonique unilatérale » de la FSSPX par les autorités modernistes mondialistes et apostates, et l’imposition d’un statut canonique d’ “ ordinariat ”, qui – paraît-il (?) – seraient sans contrepartie apparente ni formelle de la FSSPX.

En réalité, cette présentation en trompe l’œil dissimule une opération inverse : le début du hold-up canonique de l’œuvre de Mgr Lefebvre opérée par les stratèges modernistes apostats, avec la complicité active de Mgr Fellay. Nous allons voir pourquoi.

À quinze jours de l’échéance, sur instruction de la Direction de la FSSPX (abbé Schmidberger, complice caché de Mgr Williamson), le site internet du District des États-Unis, vient de purger tous les sermons et déclarations de Mgr Williamson[1], créant ainsi un casus belli apparent qui va permettre à l’évêque britannique d’amorcer une révolte afin de tenter d’emporter avec lui le deuxième anneau : le noyau des abbés voulant rester fermes dans la Foi et fidèles à Mgr Lefebvre. Ainsi par une désormais éculée « gestion des contraires », la taupe britannique, qui agit de façon coordonnée avec son complice depuis 39 ans, l’abbé Schmidberger (taupe n°2 de la FSSPX), espère berner les crétins ou les naïfs et les entraîner à le suivre dans une scission de la FSSPX et la création d’une nouvelle structure de « résistance » à l’extérieur de la FSSPX. Par ailleurs le réseau des relais de Mgr Williamson (abbé Nitoglia, etc.) est en ébullition et déborde d’initiatives.

Tout se met donc en place pour accélérer la scission de la FSSPX et l’intégration de la partie ralliée, sous le contrôle dictatorial de Mgr Fellay, au sein de l’église Conciliaire.

À quinze jours du séisme, les inquiétudes et les tensions ne cessent de croître parmi les clercs et les fidèles de la FSSPX, à tel point que la maison généralice de Menzingen a été contrainte de publier un communiqué pour interdire tout débat au sein de la FSSPX sur cet événement. Le régime soviétoïde imposé par Mgr Fellay a donc connu une étape supplémentaire dans la censure et la police de la pensée.

Ce “communiqué-menace” cite le sermon inepte et impie de Mgr de Galarreta lors des ordinations de juin 2011 à Écône. Dans ce sermon stupide par ses thèses et profondément nul, l’évêque espagnol nie radicalement le message de La Salette et les propos prémonitoires du Pape Saint Pie X sur la venue de l’Antéchrist, en voulant faire croire que la solution à la crise viendrait de Rome et de sa propre réforme. La Très Sainte Vierge Marie a balayé par avance, en 1846, cette assertion en déclarant que : « Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ». Mgr Fellay avait d’ailleurs repris ce message de La Salette à Saint-Malo lors de son sermon du 15 août 2008 : quelle duplicité !

Les prochaines semaines seront donc parsemées des initiatives du “ réseau Williamson ” et des discours en trompe l’œil de Mgr Fellay pour tenter de faire passer la pilule auprès des fidèles de la FSSPX, et présenter cette réunion romaine comme une « avancée positive » qui « n’engage à rien ».

Le climat de terreur et d’interdiction de critiquer Ratzinger-Benoît XVI est à son comble au sein de la FSSPX, Mgr Fellay et l’abbé de Cacqueray pourchassant impitoyablement les braves prêtres qui persisteraient à armer les familles et les fidèles intellectuellement et doctrinalement contre les modernistes romains, et surtout leur chef, cet ennemi juré de Mgr Lefebvre.

Les prêtres de la FSSPX sont terrorisés, se sachant surveillés par une petite clique qui tient les postes de Direction.

Ajoutons que cette fuite d’information sur la réunion du 14 septembre est cautionnée par l’universitaire Luc Perrin sur le Forum Catholique. Favorable au ralliement de la FSSPX, il est l’une des chevilles ouvrières laïques du cercle occulte du G.R.E.C. où grenouillent les abbés Lorans, Celier, Barthe et Aulagnier, dans ce « think tank » parisien du ralliement de l’œuvre de Mgr Lefebvre. Autant dire qu’il est parfaitement informé du piège dans lequel la Rome apostate s’apprête à précipiter la FSSPX, avec le consentement enthousiaste de Mgr Fellay, flanqué de ses deux assistants pro-ralliement, les abbés Nély et Pfluger. Il y a de cela trois ou quatre ans, l’abbé Nély a été photographié sur la place Saint-Pierre, baisant respectueusement les mains de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, VM l’a publié.

Cette « reconnaissance unilatérale » ne ferait qu’accomplir le scénario de ralliement préconisé en 2007 par l’abbé Celier dans son livre « Benoît XVI et les traditionalistes », publié et préfacé par un franc-maçon public et militant de la Grande Loge de France, et vendu avec enthousiasme par l’abbé de Cacqueray.

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Imaginons que vous dirigiez depuis une PME indépendante, à structure familiale, depuis 17 ans, cette PME ayant été fondée il y a 41 ans, par un pionnier qui veillait jalousement sur l’indépendance de son entreprise et refusait obstinément toute prise de participation extérieure dans son capital, et encore moins tout contrôle par l’extérieur.

Pour le 14 septembre prochain, vous êtes convoqué par le PDG d’un grand Groupe, établi sur le même marché que le vôtre, et qui vous annonce qu’en dépit de l’hostilité de votre prédécesseur, et des divergences profondes, voire des oppositions stratégiques de sa politique produit et de sa politique commerciale, vous « accorde la faveur unilatérale » de considérer que désormais vous faites partie de son Groupe, qu’il vous « maintient » en poste, et qu’il considère que la PME que vous dirigez devienne, sans piper mot, l’une des nombreuses filiales de son Groupe.

Quel patron de PME accepterait ce rendez-vous grotesque ? Encore moins se réjouirait-il de cette « faveur unilatérale » ? Oserait-il aller même jusqu’à prétendre devant les cadres de son entreprise qu’il viendrait de marquer une étape importante dans sa stratégie et d’emporter une victoire ?

Car s’il s’avisait de le faire, tous ses employés le considérerait comme un transfuge à son entreprise et à son prédécesseur, en ayant en réalité vendu subrepticement sa société à un grand Groupe concurrent, pour obtenir une quelconque promotion cachée, sur le dos de ses employés et de ses clients.

Ce patron serait traité comme il le mérite, c’est-à-dire comme un transfuge et un carriériste intrigant, soupçonné de chercher un avantage personnel au détriment du bien commun de la PME dont il a la charge.

La PME c’est la FSSPX, le fondateur est Mgr Lefebvre, le grand Groupe cannibale est la Rome moderniste, mondialiste apostate, et le patron-transfuge est Mgr Fellay.

Commencerez-vous enfin à réaliser et à comprendre l’inversion qu’opère Mgr Fellay dans la présentation de cette réunion du 14 septembre.

Comme tout ce qui provient de Satan – et non de Dieu – procède de l’inversion, Mgr Fellay sert ici le démon et son plan de perdition des âmes, tout en prétendant, tel un « tartuffe mitré » (ainsi que l’a naguère qualifié publiquement M. l’abbé Juan Carlos Cériani (r-FSSPX)), travailler à la conversion du « plus grand nombre » en voulant « convertir » la Rome moderniste, mondialiste et apostate.

Dans une logique très britannique de tromperie subtile, le gagnant du 14 septembre ce sera l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI, et le perdant sera le clerc ou le fidèle de la FSSPX, lui-même victime de la trahison opérée par Mgr Fellay.

Pourquoi, car à partir du 14 septembre, de par son non-refus du hold-up canonique ( qualifié d’ « unilatéral » (sic) ) de Rome sur la FSSPX, la situation de l’œuvre de Mgr Lefebvre va changer radicalement, même si Mgr Fellay ne signe rien.

À partir du moment où la FSSPX sera canoniquement reconnue par Rome comme « faisant partie de l’église Conciliaire », ou « dans une phase transitoire d’observation en vue d’une reconnaissance canonique pleine et entière », la FSSPX aura un nouveau patron : l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI.

Dans les faits, le Supériorat général restera bien à Menzingen, et, pour un temps encore, Mgr Fellay dirigera la FSSPX, mais aux yeux de toute la population (conditionnée par le battage médiatique) et aux yeux de Rome, la FSSPX sera soumise à l’autorité, ou à la tutelle, de Rome. De même, aux yeux des pouvoirs civils de tous les pays du monde, la FSSPX et ses biens apparaitront comme rattachés à l’église Conciliaire, les dirigeants de celle-ci l’ayant « reconnu unilatéralement », et les dirigeants de la FSSPX ne s’y étant pas opposés, mais au contraire s’étant félicités de ce « succès ». Ce qui veut dire, que dans toutes les procédures judiciaires, l’église Conciliaire se verra fondée à formuler des exigences qui lui permettront d’affirmer ses nouveaux droits sur la FSSPX et sur ses biens. Et si la Direction de la FSSPX s’avisait de s’y opposer, elle se verrait immédiatement accusée de faire du mauvais esprit et menacée de se voir « excommunier ».

Ce « hold-up canonique unilatéral » mettra la FSSPX dans une situation de vulnérabilité qu’elle n’aura jamais connue.

Cette situation ne sera que provisoire pour Rome, car très vite Rome cherchera a se débarrasser de Mgr Fellay, une fois son ralliement public obtenu, afin de mettre en place, à la tête de la FSSPX, un clerc qui sera un homme de confiance de leur réseau, et non plus Mgr Fellay actionné par l’abbé Schmidberger, son gourou.

Pour Rome, introduire une variante de plus, dans le concert des opinions contradictoires qui la composent ne présente aucune difficulté : il s’agit d’une chapelle latérale, à côté de l’Opus Dei, des Focolari, des diocèses divisés, des Anglicans qui ont rejoint, des Luthériens qui rallient, des communautés charismatiques, des Légionnaires du Christ, des progressistes, des mouvements d’action « catholique », etc.

Par cette « reconnaissance unilatérale » non rejetée publiquement par Mgr Fellay, Rome pourra ensuite demander à la FSSPX d’intégrer des clercs (invalides) ou des religieuses conciliaires (cette affaire est en cours, en attente de la « reconnaissance unilatérale » du 14 septembre), et infiltrer ainsi progressivement, et officiellement, l’œuvre de Mgr Lefebvre. Et Mgr Fellay ne pourra pas refuser, sans créer immédiatement un incident diplomatique, qui sera tout de suite amplifié par les médias, Mgr Fellay apparaissant dans la situation de l’évêque arrogant et impertinent, ingrat par rapport à la « reconnaissance unilatérale » que Rome lui aura « généreusement » accordée, en dépit de ses divergences doctrinales.

Et si Mgr Fellay s’avisait d’ordonner sous condition, ces faux prêtres intrus dans la FSSPX, cela deviendra un « casus belli » avec Rome, mettant en doute la validité des Ordres conciliaires.

D’une position officielle théorique (et absurde – contredisant la doctrine catholique du tutiorisme) du « sacerdoce probable » ( hérésies plusieurs fois condamnées par les papes – cf. www.virgo-maria.org et www.rore-sanctifica.org ) ou de la « validité probable » du nouveau rite de consécration épiscopale (qui conditionne toute la transmission du Sacerdoce au sein de l’Église), Mgr Fellay va passer le 14 septembre 2011, à une reconnaissance pratique de la certitude de la validité du clergé conciliaire.

C’est ainsi qu’à partir du 14 septembre, les fidèles vont se voir imposer par Mgr Fellay (il y a déjà eu des précédents) des faux prêtres invalides qui célébreront de fausses messes invalides dans les chapelles de la FSSPX et qui distribueront de fausses absolutions totalement invalides.

Avec le 14 septembre, la grâce sacramentelle sanctifiante va, pour cette raison, commencer à refluer au sein des âmes des fidèles de la FSSPX, et cela de part la volonté et l’ambition dévorante de Mgr Fellay qui aura ainsi bradé le salut de leurs âmes pour gagner une reconnaissance mondaine et des avantages matériels, dans le monde d’ici-bas.

Le salut des âmes des fidèles de la FSSPX va donc être mis en péril à partir du 14 septembre.

À Paris, l’abbé Beauvais est dans le collimateur de Menzingen qui cherche visiblement un prétexte pour pouvoir le limoger de son poste de Curé de Saint Nicolas du Chardonnet. Depuis des années, par les mutations successives du mois d’août, Suresnes a déjà dégarni son entourage, selon la technique du « salamis hongrois ». Par des sources bien informées, nous avons su qu’il a été par trois fois blâmé par Suresnes (abbés de Cacqueray / Celier), ces deux derniers cherchant à créer de toute pièce une situation conflictuelle qui leur permettra ensuite de mieux faire passer, aux yeux de ses confrères, leur projet prémédité d’expulsion de l’abbé Beauvais de son poste.

Au moment de la « reconnaissance unilatérale » et des manœuvres ecclésiastiques qui suivront pour faire tomber l’œuvre de Mgr Lefebvre, Mgr Fellay (en réalité l’abbé Schmidberger qui tire les ficelles depuis Stuttgart) veulent pouvoir disposer à Paris d’un Curé enthousiaste du ralliement (abbé Lorans ?), et non pas de l’abbé Beauvais qui, en fin 2005, avait qualifié en chaire de vérité ce ralliement de « processus de tromperie ».

Autre exemple, le chapitre général de la FSSPX se réunira en juillet 2012, comme l’exigent les statuts. Il est évident qu’après la « reconnaissance canonique unilatérale » du 14 septembre, Rome pourra demander à envoyer un « observateur » à ce chapitre. Normal, selon le point de vue de Rome, la FSSPX fera bien partie de l’église Conciliaire, non ? Et il sera présenté comme impoli par Mgr Fellay de refuser.

Et même bien plus, Rome pourrait exiger de prendre part au vote lors du chapitre général, et puis aussi de participer à l’élection du supérieur général, bien qu’elle ne soit pas avant 2018. Qu’importe, Rome a le temps, et l’essentiel pour elle est qu’elle verrouille une situation, ensuite le fruit mûr finira par tomber.

Nous le voyons bien, cette réunion du 14 septembre est aberrante, ce projet d’« intégration canonique unilatérale » est une escroquerie destinée à berner les imbéciles, et à opérer une prise de contrôle inéluctable de Rome sur la FSSPX, ce à quoi Mgr Lefebvre s’est toujours opposé.

Mgr Williamson et son réseau ont commencé à mettre en place les bases qui rendront possible le départ de l’évêque britannique en entraînant avec lui les abbés les plus fidèles à la Foi, afin de les engager ensuite dans un naufrage.

L’abbé Nitoglia tente de relancer l’affaire Krah sur un site sud-américain, afin de détourner l’attention de l’affaire capitale et cruciale de la disparition désormais accélérée du Sacerdoce catholique valide. Ce même abbé Nitoglia avait fait l’éloge des fruits attendus du « Motu Proprio », lors d’une session d’été d’Avrillé, cautionnant ainsi Ratzinger-Benoît XVI, tout en se livrant à des déclarations provocatrices sur des points d’histoire sensibles.

Nous savons aussi que l’abbé Abrahamowicz est parti en Ukraine pour rencontrer les très suspects nouveaux quatre évêques rebelles à Rome. Ces quatre évêques se refusent à dévoiler l’identité de leur consécrateur, le procédé n’est pas catholique.

Le plus scandaleux est que cette situation dangereuse, immorale et apostate, n’est pas sortie de nulle part, mais résulte d’actions répétées et obstinées de Mgr Fellay depuis plus de 10 ans.

Le « truqueur mitré » (ainsi que l’a naguère qualifié publiquement M. l’abbé Juan Carlos Cériani (r-FSSPX)), a même le toupet de venir présenter ce qui s’apparente à une trahison, comme une « grâce divine » qui serait le fruit de sa dévotion mariale et de celle des fidèles (cf. les 3 croisades sacrilèges et impies dites « du Rosaire »).

Le véritable évêque catholique Mgr Fellay, au sens de la validité de sa consécration épiscopale, frappe comme un mendiant à la porte d’une église Conciliaire qui a de son propre chef désormais perdu le Sacerdoce sacrificiel catholique authentique sacramentellement valide et qui n’est plus à présent que la contrefaçon satanique et hideuse de l’Église catholique dont elle ne peut plus faire partie du fait de son clergé néo-Anglican invalide.

Le véritable évêque demande en somme à un faux clergé de lui accorder une « reconnaissance canonique unilatérale » et de se « convertir » devant ses bonnes paroles !

Un véritable évêque catholique, fidèle à Notre Seigneur Jésus-Christ, que n’est plus à l’évidence Mgr Fellay, procéderait bien au contraire à l’excommunication publique de ce faux clergé invalide, et entreprendrait un apostolat zélé auprès des fidèles conciliaires et Ecclesia Dei pour leur prêcher l’enseignement irréformable et infaillible du Magistère de toujours et pouvoir ainsi leur apporter avec leur conversion, les Saints Ordres et les sacrements valides et donc la grâce de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Et, contrairement à ce que raconte le « prophète de malheur » abbé de La Rocque, après de telles déclarations de vérité, les chapelles de la FSSPX ne désempliraient pas devant l’afflux des affamés conciliaires de la grâce et du salut procuré par l’absolution des péchés.

La survie du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide est l’enjeu crucial ET PRIMORDIAL, pour le salut des âmes, des années que nous vivons.

Mgr Lefebvre l’avait perçu, bien qu’il ait été trompé par l’abbé Schmidberger sur la question de l’invalidité du nouveau rite de consécration épiscopale ( cf. www.virgo-maria.org et www.rore-sanctifica.org ).

Si Mgr Lefebvre avait connu l’invalidité sacramentelle du nouveau rite de consécration épiscopale (si par exemple il avait pu lire les travaux de Rore Sanctifica), il aurait certainement dénoncé cette situation et lancé des missions auprès des fidèles car il était missionnaire dans l’âme.

Au contraire, Mgr Fellay est intriguant dans l’âme et transfuge à son consécrateur et aux fidèles qui ont le malheur de faire confiance à cet homme.

Il va en apporter une preuve manifeste et publique en se rendant à la réunion du 14 septembre 2011.

Que faire ? La solution salutaire pour la FSSPX consisterait à réagir vigoureusement et à expulser les quatre ou cinq clercs influents de la FSSPX (Mgr Williamson, abbé Schmidberger, abbé Lorans, abbé Celier, …) qui la tiennent sous un régime de terreur et qui organisent le ralliement de l’œuvre de Mgr Lefebvre.

Libérée de cette clique, la FSSPX serait en mesure de poser (enfin !) la question ÉVIDENTE de l’invalidité du nouveau rite de consécration épiscopale de 1968, et d’ouvrir la voie de sortie de cette subversion terrible et mortelle du Sacerdoce catholique.

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

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