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Virgo Maria Newsletter N°35

08 juillet 2008 La voix des combattants pour la survie des sacrements valides

Les Dernières Nouvelles...

Dernières Nouvelles du Blog de Virgo-Maria

Publication du 07 juillet 2008

Le BLOG de Virgo-Maria


Consultez régulièrement le Blog de Virgo-Maria, vous y trouverez des brèves et des articles que nous vous signalons dans la presse en raison de leur caractère déterminant pour la compréhension de la situation religieuse.


Les nouvelles se succèdent depuis l’ultimatum de l’abbé Castrillon Hoyos à Mgr Fellay :

Le texte qui suit, tiré d’un blog, explique bien la tonalité actuelle sur Internet :

La réponse de la FSSPX au Vatican est devenue le texte de l’abbé Lorans, c’est-à-dire que le sermon de Mgr de Galarreta (qui était la vraie réponse officielle au lendemain du conseil élargi) est totalement évacué. Plus personne n’en parle, tout au moins plus aucun site officiel de la FSSPX n’en parle.

La publication de l’abbé Lorans (sur Dici.org) est imposée par les relais médiatiques tel que Dici.org ou La Porte Latine, comme le seul document officiel.

Nous voyons ainsi un simple abbé, l’abbé Lorans, relayé et appuyé par l’abbé Celier, se placer au-dessus d’un évêque, membre de l’Eglise enseignante, Mgr de Galarreta, lui couper la parole en imposant un communiqué qui est reconnu comme “ambiguë”. Alors même que la réponse de la FSSPSX à l’ultimatum de Rome, par le canal du sermon des ordinations d’Ecône du 27 juin 2008, est d’une très grande clarté : c’est un NIET et, sur la base des épîtres de Saint Paul, une mise en accusation de Benoît XVI-Ratzinger (”libéral moderniste”) et son équipe accusée de diriger une “oeuvre de démolition” de l’Eglise, de “déchristianisation“.

Mgr Fellay a ensuite donné un écho à ce sermon en écrivant aux membres de la FSSPX, une lettre qui se termine par un très clair “Non possumus” (texte révélé en Grande-Bretagne, mais dissimulé en France).

Fait sans précédent, face à un sermon historique, prononcé dans des circonstances historiques, le vingtième anniversaire des sacres de 1988, et par un évêque, au lendemain d’un conseil élargi, en totale osmose avec Mgr Fellay, un simple abbé a réussi à manoeuvre pour imposer “son” communiqué “officiel de la FSSPX” le lundi suivant (un texte ambiguë), et son compère l’abbé Celier a fait ensuite disparaitre de la Porte Latine la véritable réponse officielle et épiscopale : celle de Mgr de Galarreta.

Nous voyons comment l’entourage infiltré à totalement repris la main en bâillonnant la parole des évêques et en les censurant. Mgr Fellay est encadré par l’abbé Lorans et par l’abbé Celier.

L’a-t-il compris ?

La communication de Mgr Fellay est ainsi récupérée et dénaturée par l’abbé Lorans. Déjà l’abbé Lorans tentait, à Ecône, de faire en sorte que les journalistes n’interviewent pas Mgr Fellay, selon les échos qui nous sont parvenus.

Tout se passe comme si la direction de la FSSPX avait externalisé sa communication entre les mains d’une petite camarilla d’agents favorables à la Rome de Benoît XVI-Ratzinger et ne s’était pas encore rendu compte de la manipulation dont elle se rendait ainsi victime.

VM

http://www.koztoujours.fr/?p=769

Le pape Benoît XVI et les intégristes

Le pape Benoît XVI et les intégristesIl est un évènement de grande importance qui aura logiquement échappé à la vigilance générale, le sujet étant en somme propre au catholicisme, et la semaine ayant été des plus chargées entre une vidéo dont je renonce à commenter l’inanité1, Carcassonne, Carolis, puis Ingrid Betancourt.

Il est pourtant possible qu’on le commentera encore dans plusieurs dizaines d’années comme une étape essentielle dans la consolidation d’un schisme, ou celle de l’unité de l’Eglise, plus assurément qu’on n’évoquera les autres sujets.

Cette semaine a en effet vu le rejet (ambigu) d’une offre de dialogue faite par le Vatican à la Fraternité Saint Pie X, l’institution regroupant le clergé et les fidèles intégristes. Ce rejet était, en vérité, attendu, tant l’accueil qui lui avait été réservé le laissait présager.

Le Cardinal Dario Castrillon Hoyos, président de la commission pontificale « Ecclesia Dei » avait en effet transmis un document reprenant cinq conditions posées par le Vatican pour la poursuite du dialogue entre la Fraternité Saint Pie X (nous dirons “FSPX”) et lui-même. En réponse, lors d’une homélie, Monseigneur Fellay (actuel supérieur de ladite fratenité) a expliqué que ce que le Vatican leur demandait, c’était “just shut up“, c’était un “ultimatum“, terme semble-t-il complaisamment repris de part et d’autre par l’ensemble de ceux qui ne souhaitent pas qu’une réconciliation puisse intervenir. Face à une interprétation pour le moins orientée desdites conditions, le Vatican a décidé de faire paraître le texte de ces cinq conditions, afin que chacun puisse en juger. Ces conditions, les voici :

1 - Engagement à une réponse proportionnée à la générosité du pape.

2 - Engagement à éviter toute intervention publique qui ne respecte pas la personne du pape et qui puisse être négative pour la charité ecclésiale.

3 - Engagement à éviter la prétention d’un magistère supérieur à celui du Saint Père et de ne pas désigner la Fraternité en opposition à l’Eglise.

4 - Engagement à démontrer la volonté d’agir honnêtement dans la pleine charité ecclésiale et dans le respect de l’autorité du vicaire du Christ.

5 - Engagement à respecter la date - fixée à la fin du mois de juin - pour répondre positivement. Celle-ci sera une condition requise et nécessaire comme préparation immédiate à l’adhésion pour avoir la pleine communion.

En réponse, la FSPX a fourni un texte ambigu et dilatoire mais (i) qui n’est pas une acceptation des conditions évoquées et (ii) qui impose des préalables au dialogue.

On retrouve dans cette réponse une tournure d’esprit spécifique. Ainsi, la FSPX affirme ne pas prétendre à un magistère2 supérieur à celui du Pape, ni l’avoir jamais fait. Dans le même temps, elle souligne que ce texte suppose une reconnaissance implicite de Vatican II, puisqu’il exige une reconnaissance du magistère supérieur du Pape. On comprendra, au minimum, qu’elle revendique un magistère égal, puisqu’elle revendique de pouvoir effectuer son propre tri dans les actes conciliaires. Voilà qui est évidemment difficilement concevable, mais parfaitement révélateur.

Pourtant, ces conditions ont été généralement comprises comme des conditions admissibles par tout catholique. Elles étaient somme toute bien générales et peu contraignante, et ne mentionnaient pas, par esprit de conciliation, la demande expresse et préalable d’une reconnaissance de Vatican II. Le pas, de la part du Vatican, était loin d’être négligeable.

Virgo-Maria

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http://virgo-maria.info/wordpress/

 

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

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Qui et pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l'OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la « ré-conciliation » avec la Rome conciliaire (en fait la « ré-conciliarisation » de la FSSPX) ?

Qui a, depuis 2000, PROMU et Pourquoi, le FAUX préalable de la messe de Saint Pie V ?

Pourquoi n'a-t-on pas posé le vrai préalable du rétablissement du vrai Sacerdoce de vrais prêtres ordonnés par des évêques validement sacrés selon le rite valide des Saints Ordres ?

Qui a INVENTE, et pourquoi, le faux préalable de la levée des «excommunications» ?

Pourquoi n'a-t-on pas posé la VRAIE question de l'abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du VRAI  rite de la consécration épiscopale VALIDE d'avant 1968 ?

A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ?

Serait-ce donc qu'après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l'on veuille désormais faire dire la messe du VRAI rite par de FAUX prêtres  ?

Serait-ce que l'on veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec un clergé aussi INVALIDE que le FAUX CLERGE ANGLICAN ?

Une fois qu’il n’y aura plus de prêtres validement ordonnés, ils donneront la permission de célébrer la messe latine
Révérend Père Carl Pulvermacher OFMCap Ancien Rédacteur en Chef, The Angelus