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Publication du 16 novembre 2008
Consultez régulièrement le Blog de Virgo-Maria, vous y trouverez des brèves et des articles que nous vous signalons dans la presse en raison de leur caractère déterminant pour la compréhension de la situation religieuse.
L’abbé de Cacqueray : un nouveau “bien-pensant ratzinguérien”
L’abbé de Cacqueray exprime sa “vive gratitude” aux autorités conciliaires, à Lourdes, alors que la FSSPX “se serait fait piéger” pour la procession aux flambeaux, par ces mêmes autorités conciliaires du sanctuaire, selon Max Barret
Les réactions se développent depuis la procession piégée à l’occasion de laquelle le clergé de la FSSPX a participé publiquement avec les ralliés et les conciliaires à une cérémonie sous des chants modernistes et hérétiques le 25 octobre 2008.
Max Barret, ancien chauffeur de Mgr Lefebvre, raconte comment la FSSPX se serait fait piéger.
L’abbé Pinaud (FSSPX) se serait aventuré dans des “discussions” imprudentes avec les autorités conciliaires qui l’auraient trompé.
Cette tromperie dénoncée par Tychique est confirmée par d’autres témoignages qui nous parviennent.
“La procession aux flambeaux.-
C’est elle qui a suscité le plus de réactions passionnées. De très nombreux fidèles l’ont quittée, certains lançant même qu’on ne les reverrait plus dans un pèlerinage de la FSSP X ! Que s’est-il donc passé ? Que l’on veuille bien me permettre, tout d’abord, de rappeler que lorsque je pris l’initiative de relancer le pèlerinage du Christ-Roi – moribond en 1999 : 800 pèlerins seulement – je le fis en collaboration étroite avec M. l’abbé Pinaud, en charge du prieuré de Lourdes. Cette collaboration se prolongea, sans aucune faille, jusqu’à mon élégante éviction de l’organisation matérielle que j’avais élaborée, puisqu’en 2006, nous étions 9.650 pèlerins, chiffre annoncé officiellement par « La Porte Latine ». Depuis le début de l’ « aventure » je puis dire que les relations qu’il avait réussi à nouer avec les sanctuaires, sans aucune concession sur l’essentiel, ont ouvert bien des portes qui nous étaient fermées auparavant. Il fit preuve d’un remarquable entregent sans lequel le pèlerinage n’eut pas bénéficié de l’essor qu’il a si rapidement connu. Il est l’artisan de cette victoire. Il faut que cela se sache et que cela se dise.
Ma mise à l’écart de l’organisation matérielle du pèlerinage n’interrompit pas, pour autant, mes relations avec l’abbé. Et précisément, quelques jours avant ce pèlerinage, nous eûmes un long entretien téléphonique au cours duquel il me fit part des difficultés qu’il rencontrait sur place, en raisons, notamment, de la présence de nos quatre évêques, et de certaines de leurs exigences difficiles à satisfaire. Parmi ces difficultés il y avait la procession aux flambeaux. Que fallait-il faire ?… Il était exclu que celle-ci puisse se dérouler dans la basilique souterraine comme les dernières années, compte tenu du nombre de pèlerins, alors que l’on ne pouvait pratiquement pas s’y déplacer pour les cérémonies habituelles…. Il aurait fallu enlever et ranger tous les bancs. Ayant participé à l’opération je puis dire que ce n’est pas une mince affaire ! Et il aurait fallu les remettre en place, la procession terminée… Il ne restait que deux solutions. Ou la supprimer, ou la faire sur l’esplanade avec les autres pèlerinages, car l’envisager sur la prairie face à la grotte lui paraissait suicidaire : sans sonorisation alors que celle de l’esplanade allait fonctionner à plein, l’aurait rendue inaudible. M. l’abbé Pinaud a opté pour la solution lui paraissant la plus raisonnable. Mais il voulut s’entourer de garde-fous et exigea que le « Pater » soit récité en latin (pour éviter le sacrilège qu’il contient dans la version française), le « Gloria Patri » aussi, et que ce ne soit pas les mystères lumineux qui soient médités. Il m’en a entretenu, nous en avons discuté et j’ai approuvé sa décision. Il aurait peut-être dû se souvenir que tous les appâts posés par la Rome des anti-christs et ses officines, ne le sont que pour le fonctionnement des pièges auxquels ils sont destinés. Il s’est fait piéger, et moi-même aussi qui ai approuvé sa démarche ! Il faut avoir l’humilité de le reconnaître.” Max Barret, Tychique n°161, 2 novembre 2008
On mesure désormais de plus en plus nettement le rôle de Tartuffe que l’abbé de Cacqueray ne craint pas de jouer, ce “nouveau ‘confesseur de la Foi” qui donne ainsi à s’admirer au public.
Il s’est déjà illustré sous ce rapport en août 2008, en adressant une odieuse “attestation” manuscrite, destinée à être produite en justice, à l’un de ses collaborateurs laïcs afin qu’il puisse effectuer un chantage judiciaire (sournois et contraire au Droit canon) contre l’abbé Schoonbroodt, le menaçant des tribunaux de la République Française, pour une dérisoire question de droits concernant des photographies de clercs sans valeur.
Alors que, comme le raconte Max Barret, les autorités conciliaires de Lourdes ont “piégé” la FSSPX dans la procession aux flambeaux, dès le surlendemain, le lundi 27 octobre 2008, l’abbé de Cacqueray exprime sa “vive gratitude” et multiplie les flatteries et les soumissions à l’église conciliaire, cette même “église conciliaire qui tombe en ruine” (expression de Mgr Lefebvre) :
“Je veux tout spécialement remercier de son accueil Mgr Périer, évêque de Tarbes et de Lourdes, Mgr Zambelli, Recteur de ce Sanctuaire, ainsi que Monsieur Monory, qui nous accueille chaque année avec générosité en ces lieux. Et nous leur disons notre vive gratitude.“
“(…) en remerciant vivement du fond du cœur Monseigneur Périer, évêque de Tarbes et de Lourdes, de son accueil et de son hospitalité dans ce Sanctuaire (…)” Abbé de Cacqueray, mot final du lundi 27 octobre 2008
Tychique dénonce d’ailleurs une autre ‘perfidie’ de La Porte Latine qui démontre encore une fois ce rôle de Tartuffe auquel l’abbé de Cacqueray (responsable du site) commence à nous habituer :
“Ceci étant précisé, la relation de cette procession qui en a été faite dans « La Porte Latine » est tout simplement perfide ! Que peut-on y lire ? Ceci : « Le soir, à la lumière de leur cierge et des luminaires de la cité mariale, le clergé et les fidèles réunis égrenèrent leur chapelet pour la traditionnelle procession aux flambeaux organisée sur l’esplanade. » C’est beau ! C’est propre ! C’est rassurant ! Tout va très bien Madame la Marquise !
M. XXX (qui est certainement l’inspirateur de ces propos, sinon son auteur, mais qui en tout cas les cautionne de par le contrôle qu’il a sur ce site) n’a rien vu, rien entendu qui fut de nature à troubler son extase ! Il n’a pas vu les fidèles – les vrais fidèles – quitter très en colère cette mascarade conciliaire, comme je l’ai fait moi-même. Il n’a pas entendu ce scandaleux « Je vous salue Marie » new-look, déclamé par une « prêtresse » dûment mandatée, sans doute, pour cette exécution magistrale. Il n’a pas entendu les traditionalistes décontenancés, mêlés aux diverses obédiences conciliaires, s’essayer à « égrener » leur chapelet – comme il dit – tandis que la sonorisation officielle le braillait en je ne sais quelle langue, la langue officielle de l’Eglise ayant été rejetée de ce pèlerinage « international » ! Nous n’avons décidément plus du tout la même vision des choses ! Une fois de plus « La Porte Latine » a fourni la preuve de sa partialité en travestissant la réalité !” Max Barret, Tychique n°161, 2 novembre 2008
Il est clair que le site La Porte Latine est placé sous la responsabilité de l’abbé de Cacqueray lequel, après plusieurs mois de désinformation et de censure des supérieurs de la FSSPX, ne peut plus ignorer la ‘perfidie’ de ce site, le fait est connu mondialement. L‘abbé de Cacqueray est donc directement responsable et sa duplicité transparaît de plus en plus : il soutient mordicus tous les infiltrés qui travaillent à ruiner l’oeuvre de Mgr Lefebvre.
L’abbé de Cacqueray est un ‘bien-pensant ratzinguérien‘, dont l’action enterre chaque jour davantage Mgr Lefebvre et son oeuvre.
Jusqu’à quand le District de France de la FSSPX, et les prêtres français de la FSSPX, supporteront-ils d’être tyrannisés et piégés par le duo des ennemis de Mgr Lefebvre, les abbés Celier et de Cacqueray (cousin de l’abbé de Tanoüarn) ?
Après avoir dû subir à sa tête à Suresnes, pendant plus de 10 ans, le futur rallié, l’abbé Aulagnier, qui a retourné sa soutane pour rejoindre “l’église conciliaire qui tombe en ruine“, le District de France subi depuis maintenant 6 ans l‘abbé de Cacqueray(-Celier), dont la gestion très limitée et médiocre, doublée d’une orientation pro-ratzinguérienne, asphyxie l’oeuvre de Mgr Lefebvre en France, alors que la France, terre de sainte Jeanne d’Arc, est précisément désignée par sa vocation pour mener le combat pour la Foi catholique et, perle entre toutes, pour la sauvegarde du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide.
Pour répondre au redoutable ennemi redoutable que constituent les loges cléricales d’inspirations anglicano-rosicruciennes, les prêtres français de la FSSPX ne peuvent désormais plus tolérer une gestion liliputienne dans ses réalisations et nauséabonde par les moyens de basse police qu’elle emploie, à la tête du District de France.
Il se confirme de semaine en semaine, les bévues et les scnadales s’accumulant, que l’abbé de Cacqueray est visiblement à contre-emploi à la tête du Distict de France, il a atteint (trop vite et trop jeune) son niveau d’incompétence (selon le principe de Peter bien connu dans les manuels de management).
Quand le District de France sera-t-il doté d’un supérieur dont la personnalité renoue avec celle d’un abbé Coache, d’un Mgr Ducaud-Bourget ou d’un Père Barbara qui avaient de la carrure, qui étudiaient les questions et une Foi qui n’était pas celle de Tartuffe, ni celle d’un bien-pensant ratzinguérien ?
Cultivons cette ambition et préparons sa réalisation, afin de sortir le District de France des miasmes d’une gouvernance pro-ratzinguérienne et retrouver la fraîcheur du combat des années 1970. La plaie du très médiocre gouvernement du duo Celier-Cacqueray n’est pas une fatalité, le royaume de France a d’autres ressources.
Virgo-Maria
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Continuons le bon combat
La Rédaction de Virgo-Maria |