Vers la destruction plannifiée des Ordres Orthodoxes sacramentellement valides, par les Rose+Croix néo-anglicans du Vatican
Benoît XVI : l’agent Rose+Croix accomplissant les plans d’Oxford-Cambridge pour l’extinction des Ordres sacramentellement valides chez les Orthodoxes. Le plan anglicano-luciférien de liquidation silencieuse de la succession apostolique sur terre.
Le modernisme poursuit sa marche oecuménique vers la religion universelle en singeant l’Eglise catholique, dont il s’est approprié les biens, et les titres (désormais illégitimes) en infiltrant la fonction pontificale depuis 1958, par l’élection invalide du Rose+Croix Roncalli-Jean XXIII.
Figure avancée de ce qu’est appelé à devenir le “processus de réconciliation” initié par Mgr Fellay avec les antichrists de Rome, pour obtenir leurs faveurs, les Orthodoxes et les conciliaires ont publié il y a un an, le 15 novembre 2007, une déclaration où pullulent les sophismes : “la nature sacramentelle de l’Eglise : communion ecclésiale, conciliarité et synodalité dans l’Eglise”, “l’Evêque de Rome soit considéré comme le premier parmi les patriarches du monde entier, étant donné que Rome est, selon l’expression d’Ignace d’Antioche, l’ « Eglise qui préside dans la charité »”, “La « conciliarité », également appelée « synodalité », « reflète le mystère trinitaire », dans lequel la « deuxième » ou la « troisième » personne n’implique pas « diminution ou subordination »”, l’autorité comme “service d’amour”, etc
Les travaux de la Commission ont été dirigés par ses co-présidents : le cardinal Walter Kasper et le métropolite Ioannis de Pergame, aidés de deux co-secrétaires, le métropolite Gennadios de Sassime (patriarcat œcuménique) et Mgr Fortino.
L’”Eglise-sacrement” et la “communion conciliaire” deviennent donc les deux piliers de cette prochaine “union des Eglises” espérée par Dom Beauduin, l’ancien agent de l’Intelligence service, père du mouvement oecuménique et du mouvement liturgique qui ont triomphé à Vatican II, ouvrant les voies à la ruine de l’Eglise et à la naissance-métamorphose de l’église concilaire, cette épouse illégitime et adultère avec le monde et la maçonnerie, qui se prétend la véritable épouse du Christ, mais qui n’en est que l’usurpatrice. Une église conciliaire au clergé invalide qui voudrait désormais s’unir à l’Eglise Orthodoxe au clergé valide qui a conservé sacramentellement, malgré son schisme et ses hérésies, la succession apostolique.
Car c’est bien l’objectif des Rose+Croix qui dirigent le Vatican que de détruire les Ordres valides au sein des Patriarcats Orthodoxes.
Tout ce plan a été amplement exposé par le CIRS sur le site : http://www.rore-sanctifica.org
Virgo-Maria
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Rome
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Catholiques et orthodoxes reconnaissent le primat du pape mais sa fonction reste à l’étude
Rapport de la Commission mixte catholique-orthodoxe
ROME, Jeudi 15 novembre 2007 (ZENIT.org) – Sur le plan historique et sur le plan de la tradition ecclésiale, l’évêque de Rome est considéré comme le protos, c’est-à-dire le « premier » parmi les patriarches aussi bien des Eglises d’Occident que d’Orient. Les prérogatives découlant de ce primat doivent cependant être étudiées et mieux comprises pour être partagées par les deux traditions.
C’est la conclusion présentée par le document important qui a été rendu public ce jeudi par la Commission mixte internationale pour le dialogue entre l’Eglise catholique et les Eglises orthodoxes. Ce document est le fruit de la dernière rencontre de la Commission mixte qui s’est déroulée à Ravenne du 8 au 14 octobre.
Le thème au centre des travaux était : « Les conséquences ecclésiologiques et canoniques de la nature sacramentelle de l’Eglise : communion ecclésiale, conciliarité et synodalité dans l’Eglise ».
Ce thème avait déjà fait l’objet d’une réflexion lors de l’Assemblée plénière précédente, à Belgrade, du 18 au 25 septembre 2006, sur la base d’un projet élaboré à Moscou en 1990. Au cours de la session de Ravenne, l’étude a été poursuivie et un document commun offrant une solide base pour le futur travail de la Commission a été approuvé.
Le document de Ravenne affirme, en 46 points regroupés dans une dizaine de pages, que catholiques et orthodoxes sont d’accord sur le fait que l’Evêque de Rome soit considéré comme le premier parmi les patriarches du monde entier, étant donné que Rome est, selon l’expression d’Ignace d’Antioche, l’ « Eglise qui préside dans la charité ».
Catholiques et orthodoxes ne sont toutefois pas d’accord sur les « prérogatives » de ce primat, car, selon le document « il existe des différences dans la manière de comprendre à la fois la manière dont celui-ci devrait être exercé, et ses fondements scripturaux et théologiques ».
Le document de Ravenne part de deux éléments fondamentaux : la « conciliarité » et « l’autorité ».
La « conciliarité », également appelée « synodalité », « reflète le mystère trinitaire », dans lequel la « deuxième » ou la « troisième » personne n’implique pas « diminution ou subordination ».
L’Eglise possède elle aussi une « dimension conciliaire » qui s’exprime à trois niveaux : local, régional, universel, soulignait ce jeudi Radio Vatican. Les premiers responsables de la conciliarité sont les évêques qui « devraient être unis entre eux dans la foi, la charité, la mission, la réconciliation » et « ont en commun la même responsabilité et le même service à l’Eglise ».
L’autorité dérive en revanche du Christ ; elle se « fonde sur la Parole de Dieu » et, à travers les apôtres est « transmise aux évêques » et « à leurs successeurs ». Son exercice, explique le document, est essentiellement « un service d’amour », car « pour les chrétiens, gouverner signifie servir ».
Au premier niveau, le niveau local, l’Eglise existe en tant que « communauté rassemblée par l’Eucharistie » et est présidée directement ou indirectement par un évêque. Déjà dans ce cas, la communion entre les membres de l’Eglise « apparaît comme synodale ou conciliaire », et par conséquent l’évêque est le protos.
Au niveau régional, conciliarité et autorité rendent évidente la communion avec les « autres Eglises qui professent la même foi apostolique et partagent la même structure ecclésiale ».
Le point 24 du document cite un canon accepté aussi bien en Occident qu’en Orient, selon lequel « les évêques de toutes les Nations doivent reconnaître celui qui est le premier parmi eux et le considérer comme leur chef », ne faisant « rien d’important sans son consentement » et toutefois sans que « le premier » fasse « quoi que ce soit sans le consentement de tous », préservant ainsi la « concorde ».
Ce principe d’unité épiscopale trouve une application également au niveau « universel », au niveau de la communion entre les Eglises de tous lieux et de tous temps, dont les Conciles œcuméniques sont l’expression. Depuis les origines de l’Eglise, ceux-ci ont vu se réunir les évêques des cinq principaux sièges apostoliques - Rome, Constantinople, Alexandrie, Antioche et Jérusalem - puis de tous les autres diocèses, pour apaiser des questions particulièrement importantes.
C’est surtout lors des Conciles œcuméniques que l’on reconnaît le « rôle actif » exercé par l’Evêque de Rome.
« Reste la question du rôle de l’Evêque de Rome dans la communion de toutes les Eglises » ou quelle est « la fonction spécifique de l’Evêque de la prima sede dans une ecclésiologie de koinonia », affirme la Commission mixte.
Dans le même temps il faut examiner de quelle manière « l’enseignement sur la primauté universelle des Conciles Vatican I et Vatican II » peut être compris et vécu à la lumière de la pratique ecclésiale du premier millénaire.
Ce sont « des interrogations cruciales pour notre dialogue et notre espérance de rétablir la pleine communion entre nous », observe le document.
Ce texte, a expliqué Mgr Eleuterio F. Fortino, sous-secrétaire du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, dans un article paru dans « L’Osservatore Romano » le 7 novembre dernier, « constitue une prémisse valide pour poursuivre le dialogue, même si, comme il a été rappelé, ce document n’engage pas actuellement les autorités des deux parties. La commission elle-même ne considère pas non plus l’étude terminée, celle-ci devra être poursuivie ».
Les travaux de la Commission ont été dirigés par ses co-présidents : le cardinal Walter Kasper et le métropolite Ioannis de Pergame, aidés de deux co-secrétaires, le métropolite Gennadios de Sassime (patriarcat œcuménique) et Mgr Fortino.
La Commission mixte, instituée à Istanbul par le pape Jean-Paul II et le patriarche œcuménique Dimitrios I, le 30 novembre 1979, pour la fête de saint André, patron de l’Eglise de Constantinople, a commencé ses travaux en 1980. Elle les a repris en 2006, après une pause de 6 ans due à certaines divergences.