Roncalli, Montini, Luciani et Wojtyla ne font pas partie de l’Église visible, mais d’une secte non-catholique. Celui qui ne fait pas partie du corps mystique du Christ ne peut en aucune façon être le Vicaire du Christ. « Ne peut être la tête de l’Église celui qui n’en est pas membre » (Saint Robert Bellannin: De romano pontifice, livre II, ch. 30).
Démonstration en trois temps que ces hommes ne sont pas papes:
§ 1. « II serait absurde de dire que celui qui est hors de l’Église puisse la présider » (Léon XIII: encyclique Satis cognitum, 29 juin 1896).
§ 2. « Seuls sont réellement à compter comme membres de l’Église ceux qui ont reçu le baptême de régénération et professent la vraie foi » (Pie XII: encyclique Mystici c01poris, 29 juin 1943).
§ 3. Roncalli, Montini, Luciani et Wojtyla ne professent point la vraie foi.
Conclusion: celui qui ne professe point la vraie foi n’est pas un membre du corps de l’Église et ne saurait donc en être le chef suprême.
Résumé: l’Eglise dite « conciliaire », ne possédant point les quatre notes caractéristiques de la véritable Eglise, est une secte, une « contrefaçon d’Eglise ». Roncalli, Montini, Luciani et Wojtyla président une secte hérétique; ils ne sont pas papes de l’Eglise catholique.
« Puisque l’on s’attaque à la citadelle même de la foi, [...] nous nous rappellerons ce précepte souvent enseigné par saint Charles Borromée (Concile provincial, ch. 1): «Le premier et le plus grand souci des pasteurs doit être de s’occuper de ce qui a rapport à la conservation intégrale et inviolable de la foi catholique, de cette foi que la Sainte Église romaine professe et enseigne, et sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu» » (St. Pie X: encyclique Editae saepe Dei, 26 mai 1910).
L’un des articles de la foi particulièrement attaqué de nos jours est celui-ci: « Je crois l’Église qui est une, sainte, catholique et apostolique » (ordinaire de la messe, récitation du credo de Nicée-Constantinople).
« Qu’on fasse retentir le credo: par ce chant la vraie foi s’affirme d’une façon éclatante et l’âme des populations catholiques, ravivant sa croyance, se prépare à recevoir la communion du corps et du sang du Christ » (IIIe concile de Tolède, 589, canon 2).