22 / 07 / 2006

 


Fallait pas le chercher Max Barret :

ils l'ont trouvé !

 

 
 



  A l'évidence Max Barret n'a pas du tout apprécié les commentaires de LHR-Marchiset sur sa demande de retrait d'un texte trituré par les faussaires patentés du sédévacantisme !

 C'est avec plaisir que nous publions le courrier qu'il nous a envoyé dans lequel il ne pratique pas, mais pas du tout, la langue de bois !

 

Dans son message du 27 mai (Mise au point au sujet de la rétractation précipitée de Max Barret), l'abbé Marchiset annonce en tout premier lieu qu'il vient de retirer de son site celui qu'il avait publié le 22 mai. Il a eu bien raison car il s'évite ainsi quelques ennuis.

Mais son impénitence maladive l'amène à "en remettre une couche", ce en quoi il a encore raison car il va me permettre, cette fois-ci de le mettre KO et hors d'état de nuire, du moins auprès de ses lecteurs qui n'ont pas encore été complètement intoxiqués par son venin.

Après quoi, ayant apporté assez de preuves pour le confondre, je mettrai ses messages en "spam" ce qui me permettra de ne plus perdre de temps à les lire (à moins d'aller les récupérer dans la "poubelle" de mon ordinateur qui est, effectivement, la seule place qu'ils méritent).

Car du temps j'en ai besoin. Je suis président de trois des plus importantes associations de la ville (5.200 habitants). Je prépare actuellement le quarantième anniversaire de l'une d'entre elles que j'ai fondée en 1966. Ce qui me permet de revendiquer une qualité qu'il n'a certainement pas : la fidélité ! Au titre d'une autre, je mets en place le "Chemin des géraniums odorants" que 3 à 4.000 visiteurs arpentent chaque année du 1er juillet au 30 septembre. Je participe à l'organisation d'une manifestation "Le Cheval en fête en Rhône Alpes" (15.000 visiteurs attendus - 600 chevaux de toutes races qui défileront dans les rues de la ville) les 19 et 20 août prochains. J'organise le "Marché aux plantes rares" (6 à 7.000 visiteurs les 9 et 10 septembre).

Il peut se renseigner et comparer ce "cursus" au sien car je crois disposer d'une "assise" culturelle et sociale dans toute la région qu'il n'a peut-être pas dans le Haut-Doubs !

Et je n'aurai garde d'oublier, bien sûr, l'activité intense que mon épouse et moi-même consacrons à la Chapelle du Sacré-Coeur et au Prieuré St-Vincent-de-Paul (sans prieur) mais qu'il faut bien entretenir et gérer !

Et je consacre le "peu de temps qui me reste" au pélerinage du Christ-Roi à Lourdes dont je suis "l'agent commercial" après en avoir été l'initiateur dans sa forme actuelle en l'an 2000 !

Ces précisions apportées j'en arrive aux faits.

L'abbé parle de la "pression" que j'aurais subie après la publication sur son site de mon "Courrier" 144 ! C'est un bien petit soldat et peu habitué au combat tactique... Car avant d'écrire une telle ânerie il aurait dû se renseigner...

Car ce qu'il ne sait pas c'est que le 7 avril dernier, soit un mois et demi avant la parution de son brûlot (23 mai 2006), j'avais pris la précaution d'en informer M. l'abbé de Cacqueray et que celui-ci ne m'avait adressé aucune observation particulière à ce sujet..

"Pression" dit-il ? Où l'a-t-il vue ? Voyons maintenant la prétendue "rétractation" !... Même observation : où a-t-il vu la moindre rétractation dans mes écrits ? Le "Robert" au mot "rétracter" dit : "nier ce qu'on avait dit"... Allons l'abbé, il faut aller voir un oculiste !...

Je le mets donc au défi de prouver ma rétractation supposée... Mieux même, le site "honneur.org" cautionne mon texte initial en ces termes : "Max Barret, comme de nombreux fidèles, comme de nombreux clercs, comme tout un chacun, se pose des questions légitimes..."

Questions légitimes ! Telle est la vérité, non trafiquée, non torturée, non déformée... Tel est le fauteur de trouble qui se prétend le sauveur de l'Eglise !

Mon "Courrier" 144 ayant été retiré de son site, il peut continuer à s'user les dents sur ma carcasse : je ne le lirai plus et je classe ce dossier.

Max BARRET

"Les Roux"
01400 Châtillon sur Chalaronne
Tél : 04.74.55.27.63
Fax : 04.74.55.06.54

 

Point final !

Honorius