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Quatrième preuve (l'année 1960 ne correspond plus)


1960. Pour essayer d'expliquer ou de « gommer » la portée de la bien embarrassante date de 1960 indiquée par Sœur Lucie dès 1944 pour sa publication au monde, un entretien eut lieu avec la prétendue Sœur Lucie, le 27 avril 2000, et dont voici ce qu'en rapporte le document officiel du Vatican présentant leur 3 ème Secret :

« Alors que Sœur Lucie, avant de remettre à l'évêque de Leiria-Fatima de l'époque la lettre scellée contenant la troisième partie du “secret”, avait écrit sur l'enveloppe extérieure qu'elle pouvait être ouverte seulement après 1960, soit par le Patriarche de Lisbonne soit par l'évêque de Leiria, Monseigneur Bertone lui demande [le 27 avril 2000] : “ Pourquoi l'échéance de 1960 ? Est-ce la Vierge qui avait indiqué cette date ?” Sœur Lucie répond : “Ça n'a pas été Notre-Dame, mais c'est moi qui ai mis la date de 1960, car, selon mon intuition, avant 1960, on n'aurait pas compris, on aurait compris seulement après. Maintenant on peut mieux comprendre. J'ai écrit ce que j'ai vu, l'interprétation ne me regarde pas, elle regarde le Pape” ».

Cette affirmation récente est ni plus ni moins en totale contradiction avec ce qu'a toujours affirmée précédemment la vraie Sœur Lucie. Cette déclaration est une énormité totalement invraisemblable, car elle s'avère gravement mensongère et ce, pour plusieurs raisons ! De nombreux spécialistes de Fatima, et tout d'abord Sœur Lucie, ont en effet donné une tout autre version. Le Chanoine Barthas par exemple, qui, lors de ses entretiens avec Sœur Lucie les 17 et 18 octobre 1946, eut l'occasion de l'interroger sur le 3 ème Secret. Voici le récit qu'il en publia en 1952 : « "Quand est-ce que le troisième élément du Secret nous sera dévoilé ?" Déjà en 1946, à cette question, Lucie et Mgr l'évêque de Leiria me répondirent uniformément, sans hésitation et sans commentaire  : "en 1960." Et lorsque je poussai l'audace jusqu'à demander pourquoi il fallait attendre jusque-là, j'obtins pour toute réponse, de l'un comme de l'autre : "Parce que la sainte Vierge le veut ainsi."  » « Lucie affirme que Notre-Dame veut qu'il puisse être publié à partir de 1960. » . Et quand le Cardinal Ottaviani lui demanda : « Pourquoi cette date ? » Elle répondit : « Parce que, alors, il apparaîtra plus clair. » Et le cardinal Ottaviani de poursuivre : « Ce qui me fit penser que le Message avait un ton prophétique, parce que précisément, dans la prophétie, comme on lit dans la sainte Écriture, existe le voile du mystère. (…) “Alors, elle dit, en 1960 il apparaîtra plus clair.”  » Il s'agit donc bien d'une date prophétique donnée par la sainte Vierge elle-même, et non d'une intuition de Sœur Lucie. D'ailleurs, comment aurait-elle pu écrire sur l'enveloppe une date venant de son intuition seule , elle si soumise et réservée, et presque vingt ans avant les événements prophétisés dans ce 3 ème Secret ? De qui se moque-t-on ? Si la sainte Vierge avait demandé à sœur Lucie de ne pas révéler cet important texte avant une certaine date, il est bien évident que c'est aussi la sainte Vierge qui donna à Sœur Lucie la date à partir de laquelle il devait être publié ! Évidemment, cette date gène Ratzinger et le Vatican car le texte de leur prétendu 3 ème Secret n'a plus aucun rapport avec 1960…

« Nous avons une date : 1960. S'il ne nous est pas dit formellement qu'elle marquera le début de la réalisation du Secret, nous savons qu'à partir de ce moment précis, indiqué par la Vierge elle-même, la prophétie paraîtra plus claire. Or, la seule raison qui puisse rendre une prophétie plus claire à partir d'une date déterminée est sans nul doute le début de sa réalisation. Sœur Lucie elle-même en 1957 indiquait au Père Fuentes l'importance de 1960 comme étant tout à la fois l'année de la révélation du Secret et, si rien n'était fait d'ici-là pour correspondre aux demandes de Notre-Dame, le moment décisif de sa terrible réalisation. (…) Nous pouvons donc être sûrs que nous vivons présentement cette période sur laquelle porte le troisième Secret, que nous assistons aux événements qu'il annonce. »

« Nous savons en outre que sœur Lucie a confié, dans les années 70, que “le châtiment prédit par Notre-Dame dans le troisième Secret avait déjà commencé“. Ayant ainsi précisé les limites de l'époque concernée par la prophétie, nous pouvons être certains que nous vivons actuellement ce troisième Secret et les événements qu'il annonçait. »

Ainsi, quand les cardinaux Sodano et Ratzinger écrivent dans leurs commentaires que la vision du prétendu 3 ème Secret représente « l'Église des martyrs du siècle qui s'achève, représentée à travers une scène décrite dans un langage symbolique difficile à déchiffrer » et que cela est même confirmé par la prétendue sœur Lucie : « Elle réaffirme sa conviction que la vision de Fatima concerne avant tout la lutte du communisme athée contre l'Église et les chrétiens, et elle décrit l'immense souffrance des victimes de la foi du vingtième siècle  » , il nous faut constater que ces déclarations sont radicalement incompatibles avec d'autres affirmations. Sœur Lucie en effet, ou celle qui en tient lieu, se contredit –au cours du même entretien du 27 avril 2000– car elle vient d'affirmer qu'elle avait mis la date de 1960 « selon son intuition » et parce qu'à cette date « ce sera plus clair » . Or, elle déclare aussi que le 3 ème Secret « décrit l'immense souffrance des victimes de la foi du vingtième siècle.  » Dès lors, quel rapport avec 1960 puisque tout le siècle est concerné ? D'autre part, si le 3 ème Secret n'annonce que ce qui est décrit ci-dessus, alors le pape Jean XXIII ne pouvait en aucun cas soutenir que « cela ne concerne pas les années de mon pontificat » , puisque ces années ne sont pas restées à l'abri de la persécution du communisme athée contre les catholiques, bien au contraire…

Il est donc manifeste que le Secret porte sur un nouveau fléau bien plus grave pour l'Église que la persécution de l'athéisme communiste. D'ailleurs, l'abbé Caillon rapporte que le cardinal Cerejeira, patriarche de Lisbonne, de 1929 à 1971, déclara : « Je ne connais pas le Secret. Le pape Jean XXIII m'en a parlé une fois vaguement, de façon lointaine, et j'ai compris qu'il s'agissait de choses très graves. »

Les circonstances si tourmentées de sa rédaction par sœur Lucie témoignent qu'il doit effectivement s'agir d'événements graves, terriblement importants pour l'Église. Or, il faut bien le reconnaître, le texte publié dernièrement par le Vatican n'en rend pas compte et il n'aurait pas été plus clair en 1917 qu'en 1960, ni même qu'en cette année 2000 ! Ce prétendu « 3 ème Secret » est en effet à peine compréhensible , et on peut toujours légitimement se demander ce qu'il signifie vraiment… tant il s'avère presque vide de sens, ou tout au moins interprétable à volonté.

Les revues catholiques s'en étonnent d'ailleurs : « Enfin on ne voit pas en quoi la date de 1960 s'appliquerait à la vision donnée par le Vatican le 26 juin 2000 : l'attentat contre Jean-Paul II date de 1981 ; il n'a pas été tué, contrairement au texte, et il y a toujours des chrétiens qui meurent pour leur foi alors que le Vatican nous dit que le texte se réfère au passé. (…) Enfin, comme on le voit dans la vision de l'enfer (1 ère partie du Secret), les visions de Fatima montrent des faits vrais et ne sont pas symboliques, laissant la place à de multiples interprétations. » « Il n'est pas possible que la Vierge perde son temps à des compositions symboliques d'un intérêt douteux, comme celles que nous présente sans honte Angelo Sodano. »

On s'expliquerait vraiment mal en effet les trois mois d'insurmontable agonie que Sœur Lucie éprouva pour sa rédaction, tant le contenu retenait sa plume, malgré l'ordre exprès de son évêque d'en transcrire le texte  !

« Sœur Lucie ressentit alors, pendant presque trois mois, une mystérieuse et terrible agonie. Elle a raconté qu'à chaque fois qu'elle s'asseyait à sa table de travail et prenait la plume pour rédiger le Secret, elle s'en trouvait empêchée. Il faut y voir sans doute l'ultime déchaînement de Satan contre la messagère de l'Immaculée, devinant quelle arme terrible cette grande prophétie, une fois fixée sur le papier, pourrait constituer contre sa domination sur les âmes et son projet de s'infiltrer jusqu'au cœur de l'Église. Une telle épreuve de la voyante manifestait ainsi la mesure de l'événement dramatique qui allait s'accomplir. La veille de Noël, sœur Lucie confiait à son directeur, D. Antonio Garcia y Garcia, que, bien qu'elle eût essayé plusieurs fois, elle n'a pas pu écrire ce qu'on lui avait commandé. Et “que ce phénomène n'était pas dû à des causes naturelles“… Enfin, le 2 janvier 1944, la Vierge Marie vient elle-même, par une apparition dans l'infirmerie de Tuy, dissiper enfin les ténèbres et les angoisses de la voyante et mettre un terme à sa douloureuse épreuve. »

« Si les circonstances dans lesquelles le Secret fut révélé nous prouvent son unité foncière, les circonstances dramatiques dans lesquelles il fut rédigé nous dévoilent à elles seules, comme le remarque justement le Père Alonso, sa gravité tragique. Aussi importe-t-il de ne pas oublier, en étudiant le troisième Secret, les trois mois de combats intérieurs et même de véritable agonie que la voyante dut affronter avant de recevoir d'En-Haut, le 2 janvier 1944, par une nouvelle apparition de la Vierge Immaculée, la force de vaincre enfin les obstacles qui s'opposaient dans son âme à la rédaction de cet ultime message. »

« Du reste, écrit le Père Alonso, comment comprendre les grandes difficultés de Lucie pour écrire ce Secret, alors qu'elle avait écrit d'autres choses déjà très difficiles ? S'il s'était agi simplement d'annoncer prophétiquement de nouveaux et grands cataclysmes, nous sommes certains que sœur Lucie n'aurait pas éprouvé de telles difficultés dont la victoire exigea une spéciale intervention du Ciel. »

De surcroît, une fois le 3 ème Secret écrit, sœur Lucie mit à le protéger un soin méticuleux. Ce soin extrême est un nouvel indice de l'importance exceptionnelle qu'elle y accordait. La lettre fut placée dans une enveloppe cachetée à la cire et confiée non à la poste, ou à un quelconque messager, mais à un évêque qui la remit en mains propres à Mgr Correia da Silva. Si ce 3 ème Secret n'était que la description de la vision obscure qu'on nous propose aujourd'hui et qui n'ajoute rien aux révélations précédentes, à quoi rimait ce luxe de précautions ?

Répétons-le, ces angoisses de sœur Lucie sont incompatibles avec un texte sibyllin, peu compréhensible de prime abord, qui n'ajoute rien de nouveau, et dont « l'interprétation ne regarderait que le Pape » comme on lui fait déclarer le 27 avril 2000. Comment, dans ce cas, sœur Lucie aurait-elle pu en mesurer l'importance ? Il suffit du reste de constater « l'impact » que la publication de ce prétendu texte sibyllin a eu sur le monde en général : aucun, pour légitimement s'interroger sur l'authenticité du document.

L'impact du vrai texte fut en effet tout autre sur l'esprit du Cardinal Luciani, futur Jean-Paul I er , à la hauteur cette fois des propres angoisses de sœur Lucie lorsqu'il lui fallut rédiger le texte…

« En 1977, pour célébrer le soixantième anniversaire des apparitions, le cardinal Luciani, devenu patriarche de Venise, conduisit un groupe de diocésains à Fatima. Ils se rendirent au carmel de Coïmbre le 11 juillet. Le patriarche célébra la Messe puis, sur la demande instante de sœur Lucie, il s'entretint avec elle pendant près de deux heures. Au sortir de son entrevue avec sœur Lucie, “le cardinal apparut très pâle, au point d'impressionner les personnes présentes.” Au début de l'année 1978, avant son élévation au souverain Pontificat, il prêcha le Carême dans son pays natal. Les photographies que l'on a prises de lui à cette occasion, le montrent “avec une expression qui ne lui était pas habituelle, extrêmement sérieuse.“

« Durant ce séjour, son frère et sa belle-sœur, Edoardo et Antonietta Luciani, s'aperçurent que le cardinal était étrangement absorbé et pensif, fermé. “Un soir, raconte Regina Kummer dans sa biographie de Jean-Paul I er , pendant le dîner, Antonietta remarqua tout à coup sa pâleur extrême et angoissée. Il s'excusa et, sans donner davantage d'explications, il prit son bréviaire et se retira dans sa chambre. De même le lendemain soir. En bonne maîtresse de maison, elle lui demanda si la nourriture était la cause de son malaise.” Le cardinal leur répondit : “J'étais en train de penser à ce que sœur Lucie m'a dit à Coïmbre.” Puis il ajouta : “Le Secret, c'est terrible !”  »

C'est précisément ce que nous verrons dans le prochain chapitre V.


[http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/documents/rc_con_cfaith_doc_2000 0626_message-fatima_fr.html] Texte reproduit également dans l'ouvrage officiel : « Le Secret de Jean-Paul II » par Aura Miguel. Mame-Plon, 2000.

Chanoine Barthas, « Fatima, merveille du XX ème siècle » , p. 83. Fatima-éditions, 1952.

Chanoine Barthas, « De la Grotte au chêne-vert », 1960, p. 108-109.

Documentation Catholique, 19 mars 1967, col. 542.

« La vérité sur le Secret de Fatima » par le R.P. Alonso, p. 34. Téqui, 1979.

« Ceci, ne le dites à personne. A François, oui, vous pouvez le dire. » (texte du Secret 13 juillet 1917)

« Toute la vérité sur Fatima. Le troisième secret », Frère Michel de la sainte Trinité, p. 429 (1985).

« Fatima, joie intime, événement mondial » par le Frère François de Marie des Anges (2 ème édition 1993), p. 396.

« Le Secret de Jean-Paul II » par Aura Miguel, p. 215 et 212. Documents officiels.

« La vérité sur le Secret de Fatima » par le R.P. Alonso, p. 106. Éditions Téqui, 1979.

« L'épopée mariale de notre temps » par l'Abbé Pierre Caillon. Trois cassettes audio, aux éditions Téqui. Disponibles à D.F.T.

Certains l'appliquent à la mort de Jean-Paul Ier en 1978 [!] mais où sont les balles et les flèches ?! ; l'Église officielle, par la voix de Sodano et Ratzinger, l'applique bien-sûr à l'attentat du 13 mai 1981 sur Jean-Paul II (mais Jean-Paul II n'en est pas mort), tout en reconnaissant que dans l'un ou l'autre cas, la prétendue vision ne colle pas vraiment, que tout cela est “tiré par les cheveux“, à moins d'avoir beaucoup d'imagination…

Ce n'est pas nous seulement qui le disons, puisque même Ratzinger l'avoue dans son commentaire théologique officiel : « Nous voyons l'Église des martyrs du siècle qui s'achève, représentée à travers une scène décrite dans un langage symbolique difficile à déchiffrer.  » Même remarque dans le journal « Le Monde » du 3 juin 2000 : « Il suffit de chanter une seule fois le Magnificat de la sainte Vierge mère de Dieu détrôneur de tous les pouvoirs pour renvoyer à son vide le [faux] troisième secret de Fatima » (Jean Cardonnel, dominicain). Ces affirmations tranchent vraiment beaucoup avec ce qu'en a dit le Cardinal Luciani, futur J.-P. I er , après sa visite à Coïmbre le 11 juillet 1977 où il put s'entretenir avec sœur Lucie pendant près de deux heures : « Le Secret, c'est terrible ! »

Michèle Reboul dans « Monde et vie » du 13 juillet 2000, n°670, p. 13.

Abbé de Tanoüarn dans « Fideliter » de juillet 2000.

Angoisse vraiment incompatible avec un texte sibyllin, symbolique, dont l'interprétation difficile ne regarderait que le saint Père, comme on a fait dire à la prétendue sœur Lucie le 27 avril 2000 : «  J'ai écrit ce que j'ai VU, l'interprétation ne me regarde pas, elle regarde le Pape ».

« Fatima, joie intime, événement mondial » par le Frère François, p. 270.

« Toute la vérité sur Fatima. Le Troisième Secret », Frère Michel de la sainte Trinité, p. 425. Voir p. 36-37 de ce même titre pour la description de l'angoisse vécue par Sœur Lucie lorsqu'il lui fallut rédiger le texte.

« La vérité sur le Secret de Fatima », R.P. Alonso, éditions Téqui 1979, p. 75.

« Fatima, joie intime, événement mondial » par le Frère François de Marie des Anges (1993), qui cite ses sources avec précision p. 347. Il faut noter qu'une fois sur le Siège de Pierre, il a dû réaliser à quel point, de fait, « c'était terrible » car il fit des déclarations plus que surprenantes à sœur Vincenza et à Mgr Magee, comme celles-ci : « Il [disait qu'il] n'avait pas été choisi par l'Esprit-Saint [!]. Il n'était qu'un USURPATEUR, un "pauvre" pape maudit (...). "Il parlait sans cesse de la mort, dit Mgr Magee, il nous rappelait constamment que son pontificat ne durerait pas. Il disait toujours qu'il allait partir et qu'il serait remplacé par l'Etranger . (...) Il ne voulait qu'une chose : mourir... (...) Il l'a dit des centaines de foi s pendant la durée de son pontificat." (...) CHAQUE JOUR , rapportait soeur Vincenza, il répétait avec insistance qu'il avait USURPÉ son titre. "Vous savez, ma soeur, ce n'est pas moi qui devrais être là, disait-il. Le pape étranger va venir prendre ma place"...». Voir « Points de repère dans la crise effroyable que l'Église traverse actuellement » (8 pages A4, 1993), qui reproduit toutes ses déclarations révélatrices (extraites du livre de John Cornwell « Comme un voleur dans la nuit, enquête sur la mort de Jean-Paul I er  » Robert-Laffont, 1989). USURPÉ un titre dans la bouche d'un “pontife”, cela ne peut avoir qu'un sens : s'être emparé du pouvoir Pontifical (de bonne foi dans le cas de Jean-Paul I er ) alors qu'il appartient déjà à quelqu'un d'autre… Cf. « L'Église en danger… » en bibliographie.

Tout récemment, le Corriere della Sera du 15 mai 2000, publiait une confidence de Mgr Capovilla (qui fut le conseiller intime de Jean XXIII), « évêque émérite de Lorette, une des quatre personnes vivantes ayant lu le document conservé depuis quarante ans dans les archives de l'ex-Saint-Office : Dans le texte du 3 ème Secret de Fatima, Jean-Paul I er , le pape Albino Luciani, mort en 1978 après quelques semaines de pontificat, avait lu une certaine prophétie qui l'aurait concerné. »


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