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A. La note d'unicité


    « Il n’y a qu’un Seigneur, une foi, un baptême » (Éphésiens IV, 4). « Il n’y a qu’une seule foi que TOUS doivent garder et professer publiquement » (Catéchisme romain).

    Les 2221 évêques qui votèrent, le 28 octobre 1965, la déclaration Nostra aetate de Vatican II, tombèrent par ce fait directement sous un anathème du concile de Vatican I:

    Conciliabule de Vatican II: déclaration Nostra aetate (1965): « Le bouddhisme enseigne [...] une voie par laquelle les hommes [...] pourront acquérir l’état de libération parfaite, atteindre l’illumination suprême par leurs propres efforts ».

    Concile de Vatican I (1870): De revelat., canon 3 (cité dans Pascendi): « Si quelqu’un dit que l’homme ne peut être élevé à une connaissance et à une perfection qui surpassent la nature, mais qu’il peut et qu’il doit, par un progrès continu, parvenir enfin de lui-même à la possession de tout vrai et de tout bien, qu’il soit anathème ».

    On pourrait multiplier les exemples de divergence entre la foi catholique et la croyance conciliaire. À ce sujet, Romano Amerio a fourni un livre de plus de 600 pages (Iota unum), et il y a au moins une cinquantaine de thèmes qu’il a laissés de côté!

    L’Église conciliaire ne professe pas la même foi que l’Église catholique. Donc IL LUI MANQUE LA NOTE D’UNITÉ.


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